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Juste pour une nuit.

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Juste pour une nuit.
— with @N. Hippolyte Dunford

Ce soir je suis sortie en compagnie de mon pote Horden, comme à chaque fin de soirée bien arrosée, l'un ou l'autre s'invite à dormir pour éviter de prendre la route et surtout pour rire de la soirée au réveil, la en l'occurrence, notre sortie c'est déroulé prêt de chez lui, on décide donc de rentré chez lui pour dormir. Holden ne boit pas alors je profite de lui pour m'éviter de faire des conneries. C'est un bon gas et je suis ravis de le compter parmi mes amis peux nombreux qu'ils soient. Ce soir j'ai un peux abuser sur l'alcool avec tout ce qui m'arrive en ce moment j'ai besoin d'oublier et quoi de mieux pour oublier que de boire? Je suis allonger sur un matelas qu'il à installer pour moi dans sa chambre et regarde le plafond, j'ai du dormir une heure ou deux, je tourne la tête en direction de mon téléphone pour regarder l'heure et vois qu'il n'est que 4h. Je soupire et me redresse du matelas pour sortir de la chambre, j'ai la soudaine envie de rejoindre Hippo dans son lit. Je prend le culot et entre dans sa chambre pour la rejoindre, j'espérais qu'elle soit seule et mon désire est exaucer. Je souris et monte sur son lit pour monter ensuite sur elle à cheval, je glisse mes lèvres sur son cou en passant ma main sur sa bouche au cas ou elle se met à criée, je sais qu'elle reconnaîtra mes lèvres.

© SEAWOLF.
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Tournant mille et une fois dans mon lit, à la recherche du sommeil qui met du temps à arriver. Perdue dans mes pensées, cette nouvelle m'a littéralement achevée, j'étais complètement paumé et j'attendais de voir mon meilleur ami pour décider de la suite. J'avais besoin de son avis, de son aide, de lui tout court. Serrant mon drap entre les doigts, les yeux grands ouverts, fixant le vide face à moi, j'avais qu'une envie.. C'était de pleurer. Mais aucune larme ne coule, comme si elles étaient toutes gelées à l'intérieur de moi. La sécheresse d'une âme en fuite, d'une humanité inexistante. Mes yeux se ferment petit à petit, quittant le monde réel pour le noir complet du sommeil. Un poids vient se poser sur moi, je fronce les sourcils, pensant rêver jusqu'à ce que ses lèvres viennent goûter à mon cou. Je me lève en sursaut, ma main vient s'écraser sur sa joue dans un réflexe. Et je vois son visage, plissant les yeux comme pour confirmer.. Bordel. Comme si j'avais besoin de ça, comme si j'avais besoin qu'il vienne LUI. Il n'était pas au courant pour le bebe qui est en l'occurrence forcément le sien et il ne le saura sans doute jamais, sa présence me rend de suite nerveuse. - Qu'est ce que tu fous ici ?! Tu pues l'alcool à plein nez en plus ! Que je lance en grimaçant, remontant le drap jusqu'à ma poitrine.
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— with @N. Hippolyte Dunford

Hippo me rend complètement dingue, je sais pas ce qu'elle me fait mais quand je suis proche d'elle ou que je sais qu'elle est pas loin, j'ai comme un sentiment étrange qui m’envahis qui ce met en route. J'ai besoin de sentir son corps, je sais qu'elle est pas le genre à réconforté, mais le faite d'être prêt d'elle me suffis. Je décide donc de la rejoindre dans son lit pour aller directement l'embrasser, mais sa réaction ne se fait pas attendre et sa main se retrouve sur mon visage. Je me recule d'un bon et assis sur son lit j'allume la lumière qui se trouve sur sa table de chevet pour qu'elle s'assure que s'agit bien de moi, avec elle on sais jamais elle pourrais me tuer. Je remarque d'ailleurs ses yeux exploser comme si elle avait pleuré et allez savoir pourquoi un côté que je ne connais pas encore, fait apparition, un côté protecteur. Je m'approche d'elle à genoux et ne m'occupe pas de ce qu'elle dit, je glisse ma main sur sa joue et passe mon pouce sous son œil. "Tu as pleuré?" Je la regarde dans les yeux avec compassion.

© SEAWOLF.
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Il te tire de ton sommeil, lui, ton cauchemar présent. Son visage se dessine dans la pénombre, tu comprends que plus tard, qu'après avoir écraser ta main contre sa joue de qui il s'agit. Il allume ta lampe et la lumière vient agresser tes yeux, tu grimaces, portant ta main à ton front pour atténuer la douleur irritante faite à tes iris. Tu recules, te redresse en emportant le drap avec toi, et tu te laisse retomber sur la tête de lit. Soupire. C'est la dernière personne que tu avais envie de voir là maintenant, ni même plus tard. Tu as préféré rien dire, gardant ce lourd secret pour toi, prenant les décisions sur la vie ou la mort d'un enfant qui est aussi le sien. Éternelle égoïste. Tu ne pense qu'à toi, c'est tout ce qui compte, et ton avenir avec un mioche sur les bras entacheraient tes projets. Son doigt glisse sur ta joue, tu restes muette quelques secondes avant de finalement la dégager en écartant ton visage de sa main. - Je ne pleure jamais Buffett. Mensonge. Ta vie entière n'est que mensonge, mascarade que tu aimes cacher sous tes grands airs dédaigneux, ne faisant plus la différence entre toi et le robot antisocial que tu es devenue. - Arrête de me regarder avec pitié tu veux ? Encore un soupire. Tu roules des yeux avec agacement, la faiblesse ne faisait pas partie de toi. Jamais. - Tu comptes me dire ce que tu fais dans ma chambre  ou pas sinon ? Tu demandes. Impatience, arquant un sourcil sans lâcher le regard.
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Je dois dire que Hippo est une énigme pour moi, elle me déteste et pourtant elle m'accepte dans son lit, enfin d'habitude elle ne refuse pas, il faut que je force un peux quand même, mais la je la sens vraiment étrange, comme si je lui avais fait quelque chose, son regard en dit long, mais j'arrive pas à décrypter. C'est comme si je lui avais fait du mal, c'est étrange comme sensation. J'ai bien remarqué qu'elle à pleurer, mais je reconnais bien Hippo qui cache ses émotions, je suis surtout loin de me douté que c'est en partie de ma faute qu'elle est dans cette état et je le serais certainement jamais. Lorsqu'elle me retire ma main de sa joue je la regarde d'un air interrogateur et hausse ensuite les épaules. "Si tu le dit, après tout je m'en fous." C'est vrai, pourquoi je me préoccupe de ce qu'elle peut ressentir? Je m'en contre fiche moi, j'ai pas envie de passer pour le faible et surtout de lui montrer que je tien à elle plus qu'elle ne peux l'imaginer, elle tien pas à moi donc il faut que je reste sur mes gardes. Puis quand elle me demande d'arrêter de la regarder avec pitié, je pouf de rire. "Tu devrais me connaitre depuis le temps, tu sais bien que j'ai jamais de pitié pour personne" Je suis Hardin et le jour ou je ressent ce genre de sentiment je vais commencer à vraiment prendre peur, c'est plus un côté protecteur qui ressort et que j'ai encore jamais ressenti. Mais j'arrive à le mettre de côté et ne pas y penser. Je me redresse pour m'approcher d'elle et glisse ma main sur son entre jambe. "Est ce que ça te va comme réponse?" Je suis venu vers elle pour trouver du réconfort mais ça je ne peux pas lui dire.

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[i]Tu sais pas pourquoi cette façon d'être, pourquoi la carapace que tu portes depuis la mort de ton père en reste indestructible. Que sentimentalement parlant tu n'as jamais pu tenir la route, incapable de te laisser aller, de lever le drapeau blanc et d'assumer ce que tu peux réellement penser.. Toujours à jouer à ce jeu interminable de comment être encore plus garce que ce que tu n'es déjà, comment réussir à faire décamper le plus de personne possible qui rode autour de toi, simplement parce qu'au fond, t'as peur. T'as toujours eu peur de toi-même. Grande muraille de fer, tu ne laisse personne la franchir, c'est bien mieux comme ça de toute façon. - Très bien. Que tu dis sèchement. Tu n'as pas besoin de lui, de son soutient, tout ce qu'il peut faire c'est de dégager une bonne fois pour toute et de ne jamais revenir. - Parfait alors ! Tu peux ranger ton regard plein de bonnes intentions et toute cette mascarade, ça te rend tristement moins sexy. Sourire suffisant sur tes lèvres, téméraire comme toujours, tu ne lâche pas son regard. Bataille sans fin, sans nom, sans répit dans laquelle tu prends un plaisir inavoué. Et tu resserres les cuisses sur sa main instinctivement, fermant les yeux, un soupire qui s'échappe d'entre tes lèvres. Tu le supplie intérieurement de ne pas faire ça, de ne pas jouer ce soir, pas maintenant, pas après ce que tu sais et que tu lui cache. - Hardin.. Que tu souffles difficilement alors que t'as subitement terriblement chaud. - On peut.. On peut pas faire ça. Tu déglutis, ferme fort les yeux et puise la force en toi de pouvoir repousser sa main.
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Enfaite plus elle me repousse, plus je suis attiré, je dois être drôlement sadique avec moi même ou bien très con, peut importe le terme puisque je reste comme une glandu. Je ne contrôle pas du tout ce qu'elle me fait, n'y ce que je ressent, je ne veux pas mettre de mot dessus et le faite qu'elle soit si froide avec moi m'arrange, parce que si elle réagissait autrement, je pense que j'aurais déjà pris mes jambes à mon coup. La c'est surtout très intéressent et ça me donne un challenge de plus. D'ailleurs j'ai pas dit mon dernier mot et je suis pas prêt de partir, j'ai vraiment pas envie de quitter cette chambre, j'en suis toute façon incapable. "Arrête de mentir, je sais très bien que tu me trouve sexy, quoi que je fasse." Je lui fais un clin d'oeil, elle est comme moi et on s'attire mutuellement, c'est comme ça et pas autrement, on peux pas nier ce qu'il y à entre nous, même s'il y a pas de mots dessus, il se passe quelque chose. Je prend directement les choses en main comme elle aime et sentir ses cuisses se serrer contre ma main, je comprend que ça lui plait, c'est mon but et je suis bien content. Mes lèvres glisse sur sa poitrine qui se cache derrière le tissus de sa nuisette et je monte délicatement sur elle. Quand elle prononce mon prénom, je redresse la tête. "Chut." Je n'est pas dit mon dernier mot et même si elle essaie de me repousser comme d'habitude, je n'écoute pas et glisse ma main sous sa nuisette pour passer directement sous sa culotte. "Tu réfléchis encore trop Dunford."

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