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Bousculer pour une amitié. ft Langley.

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Bousculer pour une amitié.

« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.»
Sa y'est. C'était arrivé. Ce que je redoutais le plus était définitivement là, j'étais planté devant. Harvard. Où la plus grande Université, la plus prestigieuse de tous les Etats-Unis. J'avais pendant des mois appris la langue anglaise, mais pas que ! Pour avoir un niveau plus que raisonnable je mettais mis à apprendre l'espagnole, le français et l'italien. Les trois langues principales après l'anglais. Malheureusement, je ne pouvais pas me défaire de mon accent Russe dès que j'ouvrais la bouche. Mais au moins, je maîtrisais les bases. La tête appuyée sur le volant de ma voiture, je soupirais un grand coup. Je n'avais pas envie de franchir ce parking. Je devais juste passé donner une papier administratif qui ne prendrait que quelques minutes tout au plus, et pourtant, c'était comme-çi la mort m'attendait. Je relevais mon regard sur le grand bâtiment. Que dis-je : immense !. Je retirais la clé de contact avant d'attraper les papiers posés sur le siège avant. Je sortais alors de la voiture et claquait la portière avant d'enfiler mes lunettes de soleil noirs et de m'allumer une cigarette. Je tirais une longue bouffée sur le filtre avant de doucement recraché la fumée. Devant le carré de pelouse qui dominait l'avant de l'Université, il y'avait une foule d'élèves qui grouillaient dans tous les sens, excités, impatient. On aurait dit une armée de fourmis. Je secouais doucement la tête de gauche à droite, exaspéré par ce spectacle avant de m'avancer vers eux.
- Pitoyable.. lâchais-je alors devant leur excitation. Quelques regards me dévisagèrent mais baissais alors vite les yeux quand je tournais le mien vers eux. Tirant la dernière latte sur ma cigarette j'allais l'écraser avec ma chaussure contre le sol. Je redressais les manches de ma veste et recrachais doucement la fumée blanche. Alors que je m'avançais vers le bâtiment, je bousculais de mon épaule un jeune étudiant digne d'un minimoys vu sa petite taille qui était en pleine conversation avec une jeune fille. Ha ! Que ça faisait du bien, un peu de méchanceté en ce jour de pré-rentrée. Sans même me retourné, j'affichais un sourire en coin, bien satisfait !.



Langley & Aleksey.

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« Bousculer pour une amitié .. »

Le regard rivé sur mon téléphone portable, j'essayais tant bien que mal de convaincre mon père de louer une salle dans Cambridge afin d'y faire une fête, mais en vain. Cet idiot ne comprenait vraiment rien à rien ! A Harvard, l'université la plus prestigieuse du monde, les choses n'étaient qu'apparences. Contrairement à ce que la plupart des étudiants pensaient, l'université était tout sauf accueillante. Franchir le portail équivalait à se jeter dans un bassin rempli de requin. Des requins assoiffés qui plus est. Fort heureusement pour moi, je faisais partie de la catégorie des plus forts. Garce prétentieuse et pourrie gâtée par son père, ma réputation n'était plus à faire. Quiconque me faisait du tord subissait en général mes foudres. Je le faisais disparaître. Malheureusement, faire disparaître mon père m'était impossible, alors je devrais faire sans cette foutue salle.
Je soupirai un bon coup, énervée. Rester dans ma voiture pour me calmer était inutile, j'étais bien trop énervée pour ça. Alors, je ramassai mon sac qui était posé sur le siège passager pour finalement sortir du véhicule.
En quelques traversés, je rejoignai le campus où m'attendait une de mes nombreuses connaissances. Très franchement, je ne connaissais même pas le prénom de ce mec, mais lui pensait que j'étais son ami. Soit. Quoi qu'il en soit, il me faisait pitié et je n'avais qu'une envie : lui refiler ma carte de crédits pour qu'il s'achète de nouveaux vêtements. Mais impossible, j'étais bien trop égoiste pour ça !
Je m'avançai donc vers lui avec une expression d'agaçement sur le visage. En cette veille de rentrée scolaire, je n'avais vraiment pas envie qu'un idiot m'adresse la parole.
Je soupirai, énervée, avant de lui demander d'un ton lasse ce qu'il désirait. Sa réponse eut le mérite de m'énerver encore plus que je ne l'étais déjà et c'est donc d'une voix méprisante que je lui répondai : « Ecoutes-moi bien, mon grand, je n'ai nullement envie... » Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, qu'un idiot desesperé poussa violemment mon interlocuteur. Certes, je me fichais complétement du garçon avec qui je parlais, mais cet étudiant venait tout de même de me provoquer.
Décidemment, aujourd'hui tout le monde décidait de m'énerver ! J'attendai les excuses de cet homme, mais il ne se deigna même pas à se retourner. Bien, s'il voulait ignorer son geste, j'allais le lui rappeler !
Je posai une main rassurante sur l'épaule de ce ringard, lui faisant ainsi comprendre que ce gars allait payer pour ce qu'il venait de faire puis, je me retournai vers l'inconnu, qui me tournait le dos, avant de lui lancer d'une voix provocante : « T'as perdu ta langue ou tes parents ne t'ont pas éduqué ? »
Un sourcil relevait, j'attendais impatiemment la réponse de ce mec que je ne connaissais même pas, mais que je détestais déjà.

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Bousculer pour une amitié.

« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.»
Je devais me rendre dans le grand hall, puis, tourner à droite, longer un grand couloir qui n'en finissait pas pour enfin trouver à ma gauche le secrétariat. Je connaissais le bâtiment par coeur. Malheureusement, je n'avais aucune envie d'y rentrer. Rien que de sentir l'air climatisé et humide de ce vieil établissement me donnait la nausée. Je n'avais jamais apprécier l'école et les études, mais je savais utiliser mon cerveau et ma matière grise à bonne escient. Alors, comme d'habitude, j'allais m'en servir. Il commençait à faire chaud en ce début d'après-midi et ma veste noire n'arrangeait rien. Je décidais alors de la retirer et de la placer sous mon bras. Elle allait plus m’encombrer qu'autre chose, surtout si je devais faire la queue et attendre des heures avant de déposer ce fichu papier qui nécessitait qu'une simple signature. L'idée de retourner la déposer à ma voiture me faisait chier, autant le dire. Je penchais alors la tête en arrière, exaspéré et passait ma main sur ma nuque en penchant la tête sur le côté de gauche à droite. Alors que j'étais dans mes pensées, une voix féminine s'élevait avec un ton froid et stricte qui semblait s'adresser à moi. Interloqué, je me retournais alors et appercut la jeune fille en compagnie de l'étudiant que j'avais à l'instant bousculé. Je restais un instant figé, partager entre l'incompréhension et l'énervement qui montait en moi.
- C'est à moi que tu parles ? dis-je avec un ton glaciale en pointant mon index en ma direction. Quelques élèves aux alentours qui avaient alors vu la scène se tournèrent vers nous. Je mordillais ma lèvre inférieur en lâchant un petit rire avant de finir par exploser de rire. Je secouais doucement la tête de gauche à droite et retirait mes lunettes de soleil. Je fixais de mes yeux clair la jeune blonde. Mon rire tonitruant laissait place à un sourire alors que je m'approchais, les mains dans les poches et la veste sous le bras, vers mon interlocutrice et son petit protégé. Arrivé à leur hauteur, j'ébouriffais les cheveux de l'étudiant, tel un chien.
- Ho, excuse-moi de t'avoir bousculé ! lâchais-je en grinçant des dents avec l'accent russe qui semblait avoir modifié mes mots. J'arquais un sourcil d'un : "Ces excuses te vont-elles ?!" envers la jeune femme avant de passer entre eux afin de rejoindre le parking et de poser ma veste dans ma voiture.



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J'étais surprise, confuse et perturbée. Il faut que dire que ce n'était vraiment pas dans mes habitudes de défendre un inconnu, surtout quand cet inconnu en question était un ringard de première ! Mais de toute façon, il était trop tard pour reculer ; je venais tout juste de provoquer l'étudiant qui l'avait bousculé.
D'ailleurs, celui-ci se retourna et pour la première fois, je vis son visage. L'incompréhension s'y lut quelques secondes avant de laisser place à la colère, ce qui eut le mérite de m'amuser. Je ne pus retenir un faible rire alors qu'il me demandait si c'était à lui que je parlais. Non seulement ce mec était hautain, mais en plus il était idiot. Super !
Je levai un sourcil, amusée par son énervement soudain et c'est donc d'une voix provocante que je lui répondai « Tu vois un autre mec mal élevé ici, à part toi ? » Je croisai les bras sur ma poitrine, prête à me disputer avec cet homme, tandis qu'il se mit à rire. Mon Dieu, que j'avais envie de le gifler ! Ce mec avait un égo surdimensionné de lui-même...
Je relâchai mes bras qui retombérent le long de mon corps alors qu'il s'approchait de moi. J'étais prête à défendre le ringard face à ce débile qui se croyait tout permis. Cependant, l'inconnu me prit de court lorsqu'il s'avança vers le ringard pour lui ébouriffer les cheveux.
Si je ne m'étais pas rangée du côté du looser, j'aurais probablement ris, mais puisque j'étais contre l'homme, je n'avais pas d'autre choix que celui de m'énerver. Alors, lorsqu'il me regarda droit dans les yeux avec son air supérieur, je me mis en colère pour de bon. Mais faisant comme si de rien n'était, l'étudiant passa devant nous, nous abandonnant ainsi à notre sort.
Surprise, je restais quelques secondes sur place histoire de me calmer après quoi, je le suivis vers le parking de l'université. « Non mais je rêve ! Tu crois sincérement pouvoir venir ici, te foutre de la gueule des gens et ne pas en subir les conséquences ? Vous n'êtes pas civilisés en Russie ou alors vous êtes tous stupides ?! »

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Bousculer pour une amitié.

« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.»
Je ne pouvais pas m'en empêcher : emmerder les gens était l'un de mes passe-temps préférés. Je retrouvais alors mon sourire de satisfaction quand je rejoignis ma voiture sur le parking. Je n'y pouvais rien, l'humeur joviale de ce mec m'avais exaspéré. Et remettre cette petite peste en place alors qu'elle avait osée m'interpeller devant tout le monde était plus que jouissif. J'aimais être remarqué, certes, mais je n'aimais en aucun cas qu'on me fasse face. Qu'on me prenne de haut comme elle l'avait fais. Elle devait être une de ces sales petites filles pourries gâtées à qui on ne refuse rien. Sauf qu'elle ne sait pas à qui elle a à faire ! A cette je me mis légèrement à rire. A croire que mon égo était sur-dimensionné fois mille. J'ouvrais alors la porte passagère de ma voiture et y jetais ma veste avant de refermer la porte, en la claquant certainement un peu trop fort. Je serrais les poings doucement. Il fallait absolument que j'apprenne à contrôler ma colère et mon comportement, surtout à Harvard, et tout commençait mal pour le moment. Posté devant ma voiture, je la vis arrivée derrière moi par la vitre passagère devant laquelle je me tenais. Je soupirais aux première paroles qu'elle prononça bien qu'elle soit plus calme et sa voix plus posée qu'auparavant.
-Tu veux que je te dise.. C'est à ce moment là que je me tournais vers elle. Je n'ai aucun putain d'ordres à recevoir d'une fille comme toi. Je n'avais pas à m'excuser envers ce type, mais je l'ai fais et ça m'a irrité la gorge. Je m'avançais alors vers elle et la pointa du doigt sans la quitter des yeux, histoire de bien la provoquer :
- Je te conseille de ne pas recommencer une telle chose. Je laissais un instant de silence nous submergés alors qu'elle me fusilliait du regard. Je repris alors en esquissant un sourire taquin :
- J'ai pas l'habitude de m'en prendre aux fillettes, si tu vois c'que j'veux dire..
J’espérais avoir mis la cerise sur le gâteau, l'avoir énervée bien comme il faut : la crème de la crème !



Langley & Aleksey.

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« Bousculer pour une amitié .. »

Mon adversaire soupira lorsqu'il m'entendit l'interpeller pour la seconde fois de la matinée. Que croyait-il ? Qu'il pouvait me ridiculiser devant tout les étudiants et que je n'allais rien faire ? C'était vraiment mal me connaître ! Depuis mon arrivée à Harvard, j'avais ridiculisé pas mal d'étudiants et évidemment, je m'étais disputé avec la plupart des filles du campus. Mais voilà, jamais on ne m'avait ridiculisé de la sorte. Alors qu'il le veuille ou non, j'allais faire de ce mec la risée de toute l'université.
Lorsqu'il prononça ses premières paroles, je serrai la machoire afin de ne pas lui jeter à la figure toutes sortes d'insultes puériles. On était plus à la maternel, à notre âge on se disputait avec de vrais mots, avec des choses qui faisaient mal. Il me suffisait juste de trouver le point faible de ce mec. Il me semblait s'énerver très vite, tout comme moi. Il suffisait donc de rester calme pour l'agacer encore plus, facile.
Sa réponse me fit sourire puisque si la situation avait été inversé, j'aurais probablement répondu la même chose ! Pourtant, lorsqu'il s'avança vers moi et me pointa du doigt, le sourire qui était quelques instants plus tôt sur mes lèvres s'effaca. Je n'aimais pas du tout la manière dont il me pointait du doigt et je n'avais qu'une envie : le gifler. Pourtant, je restais de marbre face à ses mots qui ne signifiaient strictement rien pour moi.
Je baissai quelques secondes les yeux, énervée avant de le regarder le plus sincérement possible. Je m'apprêtai à lui répondre, mais il me devança. Et sa réponse fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
A peine eut-il fini, que je lui répondai calmement et avec franchise afin de l'énerver le plus possible.
« Sinon quoi ? » J'haussai les sourcils et lui lançai un regard interrogateur avant de reprendre de plus bel « Tu vas me pousser comme tu as poussé ce mec ? Réveilles-toi, mon mignon, on est en Amérique ici. Les gens sont civilisés, alors si tu tentes quoi que ce soit, je te jure que tu pourras dire adieu à l'université et aux "fillettes" qui s'y trouvent. »
Je m'avançai encore plus près de lui, de sorte que nos visages n'étaient qu'à quelques centimétres l'un de l'autre, puis je lui répondai « Tentes quoi que ce soit contre moi ou contre mes amis et je te fais disparaître de la vue de tous. Tu pourras toujours essayer d'aborder une fille, personne ne t'écoutera. Tu ne seras plus rien. Compris ? »



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« Je ne savais pas que faire le malheur des uns faisait le bonheur des autres.»
Si elle n'avait pas été une femme et qu'elle avait été aussi provocatrice, je n'aurais pas hésité deux minutes à lui mettre mon poing en pleine figure. Or, je ne pouvais pas le faire. Pour trois raisons simples : De une, je pouvais dire adieu à Harvard. De deux, je savais que les Etats-Unis étaient très à cheval sur là dessus et de trois j'avais visiblement à faire à une petite fille à papa pourrie gâtée et que si il apprenait que j'avais levé la main sur elle, il me collerait sûrement un procès aux fesses qui durerais une éternité. J'étais perdu dans ces pensées et soupirais alors et haussais les épaules. De toute manière, il n'était pas dans mes principes de levé la main sur une femme. C'était presque avec une extrême attention que j'écoutais ce que cette nana avait à me dire. Alors qu'elle me parlait, je la toisais de la tête aux pieds avant de m'attarder sur les traits de son visage enfantin. Sur elle, elle portait des vêtements de marques d'une valeur inestimable. J'esquissais un fin sourire, j'avais donc raison sur ce que je pensais d'elle : elle était friquée. J'aimais avoir raison, je n'y pouvais rien. Cependant, je me trouvais quelque peu perdu devant sa vivacité et son courage. Elle prenait les devant sur moi, sans une pointe de crainte ou de peur dans le regard, ce qui m'intriguait mais qui aussi semblait m’intéresser d'avantage. C'est au moment où elle approcha son visage du mien, un peu trop proche, que je réalisais que je n'avais pas dis un mot. Je passais ma langue sur mes lèvres avant de prononcer quelques mots dans un chuchotement :
-Tu sais ce que tu es ?.. Une pauvre petite gamine pourrie gâtée. Je la regardais dans les yeux et serrais la mâchoire. Mais, si tu veux savoir, je trouve que tu m’impressionnes. Juste un conseil cependant : Ne me parle plus jamais sur ce ton.



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Je faisais preuve de courage face à ce russe qui, je suis sûre, n'avait qu'une envie : me gifler. Mais qu'il se rassure, j'avais aussi très envie de le frapper et j'étais prête à me défendre. Evidemment, je ne ferais pas le poids face à lui, mais au moins, il se ferait viré de l'université et c'est tout ce qu'il méritait.
Mon visage près du sien, je le dévisageais depuis déjà quelques secondes afin d'essayer de devenir ce qu'il pensait. J'étais capable de lire dans quelqu'un comme dans un livre ouvert alors comprendre que ce garçon était quelque peu intrigué par mon courage ne m'a pas été difficile.
Il passa sa langue sur ses lèvres ce qui m'agaca légérement. Je pensais lui avoir cloué le bec, mais à peine avais-je fini de lui répondre qu'il me chuchota des menaces.
J'étais amusée, mais aussi impressionnée par son comportement. Quiconque me voyait pouvait comprendre que j'avais de l'argent. Il n'était pas bien difficile de comprendre également que mon père était avocat alors je pouvais renvoyer ce russe au pays en un claquement de doigts. Et pourtant, il continuait à me menacer ! Impressionnant...
Je restai quelques secondes silencieuses face à ses paroles après quoi, je m'écarta légérement de lui et haussai un sourcil. « Sinon quoi ? Hein ? » Je me mis à le regarder des pieds à la tête avant de répondre d'un ton dégouté : « Tu es pathétique, mon grand ! Tu impressionnes peut-être les p'tits russes, mais moi tu ne me fais pas peur. Tu m'dégoutes même. »



© Chieuze

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