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C'est le 9/10/1989 à Auckland, que les membres de la famille Laoinh m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Jules Edrick. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Langues (Français) en majeure et Médecine en mineure depuis cinq ans exactement. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Eliott. Jules Edrick Laoinh | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Un peu des deux. J'aime faire la fête mais je n'ai rien contre une après-midi tranquille et seul à la maison à regarder des films. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Coquet! L'apparence compte beaucoup pour moi. Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu, sinon je n'essaierai même pas d'intégrer les Dunster! Plutôt romantique ou réaliste ? Réaliste, le romantisme ce n'est pas fait pour moi j'ai l'impression. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympathique mais dont il faut se méfier. Il m'arrive d'être lunatique. Plutôt altruiste ou égoïste ? Egoïste. Plutôt optimiste ou pessimiste ? optimiste Plutôt extraverti ou introverti ? extraverti mais j'ai mes limites. Plutôt sucré ou salé ? épicé :P Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Pacifiste mais j'ai du caractère. Je sais envoyer bouler et j'ai de la répartie. Après, je reste loin des bagarres généralement. Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Rebecca Black, je lui trouve un certain charme Physique... Style vestimentaireparisien Piercing non Tatouage non Je crois... Aux fantômes ? non À l'apocalypse ? oui Aux coups de foudre ? oui À l'amitié fille/garçon ? oui Aux sexfriends ? oui À une religion ? oui, Chrétien À la magie de Noël ? oui Au destin ? oui Aux fins heureuses ? oui Je/j'ai... Déjà fait un threesome non mais pourquoi pas! Une voiture oui une jaguar xf Bois de l'alcool oui Fume oui Prend de la drogue non Veux me marier oui Veux des enfants deux maximum Une maladie grave non Un lourd secret non Mens souvent oui Beaucoup d'expérience au lit oui Beaucoup d'expérience en amour oui Eu beaucoup de déception en amour oui Eu beaucoup de déception en amitié non De la facilité à me faire des amis oui Des envies de meurtres oui Peur du noir non Peur de la solitude oui De bonnes notes oui Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de Dunster J'ai pas mal de facilités en cours et je suis bon élève. Mais je ne me repose pas sur mes facilités. Je suis bosseur et sérieux. Je prends au sérieux mes études sans pour autant mettre de côté ma vie sociale. Je combine l'élève modèle et l'élève fêtard. ou de Eliott Ben je sors d'un milieu très aisé. Mon père est un riche héritier. Comme je suis l'aîné, mon père mise tout sur moi et sur la représentation de ma famille. Je dois avoir un comportement droit, de bons résultats et m'écarter de toute personne susceptible de porter préjudice à ma réputation. |
Pseudo/Prénom Driss Âge 16 1/2 Pays/Région France Où as-tu connu le forum ? j'y suis déjà (Satch) Tes impressions ce forum m'épatera toujours Crédits africalgirl, mjpeterpan7 & bazzart Avatar Bruno Mars Scénario ou PI ? PI Facilité à s'intégrer ? 1000/10 :P Mot de la fin Je voulais à tout prix tester le new modèle de présentation qui est à tomber raide |
Histoire
Calling from New Zealand
Auckland. C'est dans la plus grande ville de Nouvelle-Zélande que j'ai vu le jour, un 9 octobre 1989. Mon père, Lionel Laoinh et ma mère, Anne-Heloise, se sont dit oui dans cette ville. Ils étaient deux touristes originaires de Paris mais ils sont devenus amoureux de ce pays et ont décidé de s'y installer. Un an après leur mariage, je suis né. J'étais leur premier enfant alors autant dire que j'étais au coeur de l'attention. J'étais choyé, entouré de tendresse et d'attention. J'avais tout ce que je voulais mais je n'étais pas capricieux. J'étais parfois ingrat, comme beaucoup d'autres enfants mais je savais profiter des choses qu'on m'achetait. Mais en grandissant, je commençais à l'être. Mes parents cédaient à tous mes caprices. Mais je n'étais pas le pire. Mai-Linh, ma petite soeur, était la pire. Deux ans seulement nous séparent. Mai-Linh était un peu la petite peste qu'on avait envie de claquer, moi y compris. Elle était capricieuse et manipulatrice. Elle se croyait au-dessus de tout le monde. Elle était belle et elle le savait. Elle aurait fait une parfaite cabot. Comme j'étais son grand-frère, je la surveillais de très près. Elle m'envoyait souvent boulet et on se disputait fréquemment. Je n'approuvais pas son comportement de petite princesse à la maison comme à l'extérieur. Moi? Jaloux? Déçu de ne plus être sous le feu des projecteurs? En toute honnêteté je ne sais pas. Je ne savais pas si c'était le grand-frère protecteur et soucieux du bien-être de sa petite soeur qui parlait ou bien le grand-frère jaloux qui voulait s'accaparer toute l'attention de la famille.
Même en grandissant, on restait choyer. Notre famille aussi s'agrandissait. A croire que mon père voulait monter une équipe de soccer. Après moi et Mai-Linh, il y'a eu Noélyse, Grégoire, Marc-Antoine et Kim-Lan. Heureusement que mon père avait hérité d'une somme considérable d'argent et que nous vivions tous dans une maison digne d'un palace. Mes petits frères et soeurs étaient jeunes et...invivables. Ils n'arrêtaient pas de courir, de sauter, de toucher à tout. Le soir, en rentrant de l'école et après avoir fait mes devoirs, Mai-Linh et moi devions à tout de rôle garder les petits. On aurait pu se payer une gouvernante mais mon père refusait. J'étais le plus sérieux de tous les enfants. La comparaison était plus à faire entre Mai-Linh et moi vu que mes petits frères et soeurs étaient bien trop jeunes. Je ramenais d'excellentes notes et mon comportement était irréprochable. Je faisais aussi du sport, du soccer et du rugby, sport national en Nouvelle-Zélande. J'aimais aussi le golf. Mes parents étaient fiers de moi et comptaient beaucoup sur moi. « Tu dois honorer ta famille, Jules». C'était le genre de phrase qui m'horripilait.
Je suis resté en Nouvelle-Zélande jusqu'à ma dernière année de lycée. Ma grand-mère paternelle qui vivait aux Etats-Unis était gravement malade. Elle avait plusieurs fils mais bien sûr, celui qui a du se bouger et faire bouger toute sa grande famille, c'était mon père. Nous avons déménagé à Cambridge. « Tu pourras faire tes études là-bas» m'avait dit mon père d'un ton joyeux. J'étais un peu réticent à l'idée de quitter mon pays natal. J'avais ma petite amie, tous mes amis à Auckland, pourquoi me faire ça maintenant que je me suis bien intégré?
Cambridge is great, Cambridge is fine
Je n'avais pas crier un "yaaaaay" en arrivant à Cambridge. Pour beaucoup, je devais être à gifler. C'était les Etats-Unis, le pays où n'importe qui peut s'élever dans la société, devenir quelqu'un, il suffit d'y croire. Les Etats-Unis, on en avait pas mal de clichés de par les séries tv. On avait l'impression qu'on y s'ennuyait jamais. Notre vision était réductionniste et je ne vous cache pas que mes premiers pas à Cambridge étaient..laborieux. J'ai terminé ma dernière année dans un lycée privé d'un quartier huppé de la ville. J'étais désagréable. Je snobais et je me moquais. J'avais l'impression de me retrouver en Mai-Linh. Mais Mai-Linh était bien pire et c'était ce que je craignais en arrivant ici..qu'elle fasse n'importe quoi. Elle devenait une fille vulgaire et moi un frère étouffant. Mes petits frères et soeurs n'étaient pas comme ça et heureusement. Ils étaient innocents mais hyperactifs et bruyants. Mai-Linh prenait un peu ce qui lui arrangeait du rôle de la femme. Le ménage, elle ne le faisait pas ou à peine. Elle passait son temps à ricaner et à raconter ses histoires débiles de filles au téléphone. J'ai fini par m'intégrer à Cambridge mais je n'étais pas le plus aimé de tous. La réputation de fils à papa et de gros snob ne m'avait pas porté chance. Je n'avais pas toujours un comportement correct avec les autres. Je traînais avec une bande de copains riches et moqueurs. On se moquait souvent des personnes timides et complètement effacés.
En arrivant à Harvard, mon comportement a changé. J'ai arrêté de trop jouer les snobs et j'ai commencé à être plus sociable et humain. Mais il n'a pas changé du tout au tout même s'il faut avouer que je suis beaucoup moins capricieux et moqueur que j'avais pu l'être dans le passé. J'ai fini par me sentir chez moi à Cambridge. J'ai choisi d'étudier en majeure le français et en mineure la médecine. Pourquoi le français? Parce que ma mère est d'origine française et que mes deux parents sont nés à Paris. Je maîtrise très bien le français et suis amené à le parler dans la vie de tous les jours. Mes connaissances en laotien restent médiocres mais je connais quelques mots et expressions. Quant à la médecine, j'étais bon en maths et en sciences. Au lycée, j'aimais beaucoup la biologie alors je me suis lancé dans la médecine.
Auckland. C'est dans la plus grande ville de Nouvelle-Zélande que j'ai vu le jour, un 9 octobre 1989. Mon père, Lionel Laoinh et ma mère, Anne-Heloise, se sont dit oui dans cette ville. Ils étaient deux touristes originaires de Paris mais ils sont devenus amoureux de ce pays et ont décidé de s'y installer. Un an après leur mariage, je suis né. J'étais leur premier enfant alors autant dire que j'étais au coeur de l'attention. J'étais choyé, entouré de tendresse et d'attention. J'avais tout ce que je voulais mais je n'étais pas capricieux. J'étais parfois ingrat, comme beaucoup d'autres enfants mais je savais profiter des choses qu'on m'achetait. Mais en grandissant, je commençais à l'être. Mes parents cédaient à tous mes caprices. Mais je n'étais pas le pire. Mai-Linh, ma petite soeur, était la pire. Deux ans seulement nous séparent. Mai-Linh était un peu la petite peste qu'on avait envie de claquer, moi y compris. Elle était capricieuse et manipulatrice. Elle se croyait au-dessus de tout le monde. Elle était belle et elle le savait. Elle aurait fait une parfaite cabot. Comme j'étais son grand-frère, je la surveillais de très près. Elle m'envoyait souvent boulet et on se disputait fréquemment. Je n'approuvais pas son comportement de petite princesse à la maison comme à l'extérieur. Moi? Jaloux? Déçu de ne plus être sous le feu des projecteurs? En toute honnêteté je ne sais pas. Je ne savais pas si c'était le grand-frère protecteur et soucieux du bien-être de sa petite soeur qui parlait ou bien le grand-frère jaloux qui voulait s'accaparer toute l'attention de la famille.
Même en grandissant, on restait choyer. Notre famille aussi s'agrandissait. A croire que mon père voulait monter une équipe de soccer. Après moi et Mai-Linh, il y'a eu Noélyse, Grégoire, Marc-Antoine et Kim-Lan. Heureusement que mon père avait hérité d'une somme considérable d'argent et que nous vivions tous dans une maison digne d'un palace. Mes petits frères et soeurs étaient jeunes et...invivables. Ils n'arrêtaient pas de courir, de sauter, de toucher à tout. Le soir, en rentrant de l'école et après avoir fait mes devoirs, Mai-Linh et moi devions à tout de rôle garder les petits. On aurait pu se payer une gouvernante mais mon père refusait. J'étais le plus sérieux de tous les enfants. La comparaison était plus à faire entre Mai-Linh et moi vu que mes petits frères et soeurs étaient bien trop jeunes. Je ramenais d'excellentes notes et mon comportement était irréprochable. Je faisais aussi du sport, du soccer et du rugby, sport national en Nouvelle-Zélande. J'aimais aussi le golf. Mes parents étaient fiers de moi et comptaient beaucoup sur moi. « Tu dois honorer ta famille, Jules». C'était le genre de phrase qui m'horripilait.
Je suis resté en Nouvelle-Zélande jusqu'à ma dernière année de lycée. Ma grand-mère paternelle qui vivait aux Etats-Unis était gravement malade. Elle avait plusieurs fils mais bien sûr, celui qui a du se bouger et faire bouger toute sa grande famille, c'était mon père. Nous avons déménagé à Cambridge. « Tu pourras faire tes études là-bas» m'avait dit mon père d'un ton joyeux. J'étais un peu réticent à l'idée de quitter mon pays natal. J'avais ma petite amie, tous mes amis à Auckland, pourquoi me faire ça maintenant que je me suis bien intégré?
Cambridge is great, Cambridge is fine
Je n'avais pas crier un "yaaaaay" en arrivant à Cambridge. Pour beaucoup, je devais être à gifler. C'était les Etats-Unis, le pays où n'importe qui peut s'élever dans la société, devenir quelqu'un, il suffit d'y croire. Les Etats-Unis, on en avait pas mal de clichés de par les séries tv. On avait l'impression qu'on y s'ennuyait jamais. Notre vision était réductionniste et je ne vous cache pas que mes premiers pas à Cambridge étaient..laborieux. J'ai terminé ma dernière année dans un lycée privé d'un quartier huppé de la ville. J'étais désagréable. Je snobais et je me moquais. J'avais l'impression de me retrouver en Mai-Linh. Mais Mai-Linh était bien pire et c'était ce que je craignais en arrivant ici..qu'elle fasse n'importe quoi. Elle devenait une fille vulgaire et moi un frère étouffant. Mes petits frères et soeurs n'étaient pas comme ça et heureusement. Ils étaient innocents mais hyperactifs et bruyants. Mai-Linh prenait un peu ce qui lui arrangeait du rôle de la femme. Le ménage, elle ne le faisait pas ou à peine. Elle passait son temps à ricaner et à raconter ses histoires débiles de filles au téléphone. J'ai fini par m'intégrer à Cambridge mais je n'étais pas le plus aimé de tous. La réputation de fils à papa et de gros snob ne m'avait pas porté chance. Je n'avais pas toujours un comportement correct avec les autres. Je traînais avec une bande de copains riches et moqueurs. On se moquait souvent des personnes timides et complètement effacés.
En arrivant à Harvard, mon comportement a changé. J'ai arrêté de trop jouer les snobs et j'ai commencé à être plus sociable et humain. Mais il n'a pas changé du tout au tout même s'il faut avouer que je suis beaucoup moins capricieux et moqueur que j'avais pu l'être dans le passé. J'ai fini par me sentir chez moi à Cambridge. J'ai choisi d'étudier en majeure le français et en mineure la médecine. Pourquoi le français? Parce que ma mère est d'origine française et que mes deux parents sont nés à Paris. Je maîtrise très bien le français et suis amené à le parler dans la vie de tous les jours. Mes connaissances en laotien restent médiocres mais je connais quelques mots et expressions. Quant à la médecine, j'étais bon en maths et en sciences. Au lycée, j'aimais beaucoup la biologie alors je me suis lancé dans la médecine.
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