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fire meet gasoline

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Une maison qui brûle, des étudiants dispersés dans des maisons différentes, Alexandra n’en pouvait définitivement plus. Elle voulait retrouver sa chambre, son appartement, ses repères. Mais tout était déplacé, tout était brûlé. Plus rien ne restait de ce qu’elle connait et ça la rend folle. Misha partit, elle envisageait définitivement de proposer à Oksanna une colocation. Elles n’ont jamais habité ensemble, mais ce serait une nouvelle expérience pour les deux jeunes femmes. Pour le moment, malgré la supposée rivalité entre les Cabot et les Eliot, Alexandra restait tout de même chez les roses avec sa soeur et Athéna. Deux personnes sur toute une confrérie, mais tout de même. Elle s’y sentait bien, elle n’avait pas de problèmes avec elle et c’est l’essentiel. Les Eliot sont dans une mauvaise passe, entre les histoires de grossesses, les rumeurs, les bagarres. Leur séparation depuis l’incendie de la maison a accentué tout ça, et Alexandra ne supporte plus la tension qui règne dans la maison. Elle a pu entendre certains membres de la maison d’un message sur Cole et Lucky, une mather, le règlement concernant les interactions avec les Mather. Elle n’en peut plus Alex, elle veut retrouver la Eliot du passé mais c’est difficile vu la mauvaise passe qu’ils traversent. Alors elle se console dans les bras de personnes qui sont proches d’elle. Pas forcément des hommes, pas dans leur lit, mais être près de ses proches, de ceux qu’elle aime. Celui qu’elle aime ? Question encore en cours de réflexion. Elle ne sait pas ce qu’elle ressent, elle ne sait pas ce qu’elle veut, elle sait juste que Milo n’est plus qu’un ami, n’est plus qu’un mec avec qui elle couche régulièrement. Il n’est plus que ça, et ça la dérange. Son propre comportement à l’anniversaire d’Alaska l’a énervé. Sa réaction à ses propos. Elle a exagéré et ne s’en est rendu compte qu’en rentrant chez elle plus tard. À présent, quelques semaines après la tempête, presque un mois, il y a une distance entre eux, ce qu’elle ne supporte pas. Pas une distance physique, ils habitent tous les deux à la Cabot House, alors bien entendu, elle se devait de le voir tous les jours, passant devant elle, draguant tout ce qui bouge. En réalité, elle ne supportait pas ça. Mais elle avait Tate, malgré les problèmes qu’il avait lui même. Elle se réfugiait pratiquement chez Tate. Pas chez lui, mais être proche de lui la ramenait à ses jeunes années à Harvard. Ce qui semble énerver le jeune withrop. Mais bon, que peut-il lui dire lorsqu’il sait qu’il ne se gène pas pour fricoter à droite et à gauche. Elle vit sa vie, ne peut pas se bloquer pour lui, malgré qu’elle aurait bien voulu être de plus en plus proche de lui. Mais la distance émotionnel qu’ils ont ces temps ci l’énerve et la met sur les nerfs. Elle essaye de comprendre ce qu’elle veut de lui mais il rend les choses difficiles. Voulant partir faire un peu de course à pied autours du campus, elle s’habilla simplement. Un jogging assez épais, un pull de sport et sa paire de sneaker qu’elle adore pour courir et sortie de la chambre qu’elle occupait depuis peu. Les yeux baissés sur la porte de sa chambre afin de la fermer, elle ne vit pas le jeune homme derrière elle et fonça presque sur lui. « Milo ?! » Étonnée de sa présence devant sa chambre, elle fut prise de court et embarrassée. Que lui dire ? Qu’elle flirtait avec un autre parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle voulait de lui ? Qu’elle se rapprochait d’un ami avec qui elle couchait depuis des années ? « Qu’est-ce que tu fais là ? T’es pas en cours ? » Elle devait y être, mais depuis deux jours, elle était clouée au lit par une migraine et sa douleur à la jambe. Son docteur lui avait désormais interdit la course, mais il fallait qu'elle sorte, qu'elle évacue. Avec son jour de répit que son corps lui accordait, elle tentait sa chance et allait courir. Si elle avait mal, Mike, son garde du corps, la ramènerait chez elle. Mais Milo. Elle ne s’attendait vraiment pas à le voir aujourd’hui. Encore moins dans cet état. « Viens entre. J’allais faire un peu de course mais bon, tu es là. » Elle se mentirait si elle disait qu’elle ne voulait pas l’embrasser présentement, si elle ne voulait pas lui arracher ses vêtements comme à chaque fois qu’elle le voyait. Milo l’attire à tous les niveaux et elle n’y peut absolument rien. Il est son aimant. Mais cet aimant l’attire tellement qu’elle résiste encore et encore, si bien qu’elle veut briser le lien afin de ne pas rester coller pour toujours. Retirant son pull dans lequel elle commençait à avoir chaud, elle resta dans sa brassière de sport totalement noire et non sexy. « Tu voulais me voir pour quelque chose en particulier ? »
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En ce moment, Milo ne faisait que de râler, il n'était pas content et ne se gênait pas pour exprimer sa colère. Avec John les choses ne se passaient pas si bien que cela, c'est pourquoi il avait trouvé un certain refuge à la Winthrop House. Malheureusement pour lui, ce bâtiment venait d'être réduit en cendres quelques semaines plus tôt. C'était la catastrophe assurée, bouleversant son quotidien et ses petites habitudes. Alors qu'il misait beaucoup sur les jolies filles de la Cabot House, il s'était retrouvé à loger avec, sans doute, la plus moche et la plus chiante d'entres elles. Sa situation actuelle ne lui plaisait pas et cela se voyait sur son visage. Ses traits étaient tirés et il ressemblait étrangement à un gamin de quatre ans qui n'avait pas ce qu'il voulait. C'était sans doute un caprice de sa part mais lui ne voyait pas les événements de la même façon. Il voulait retrouver sa petite vie normale et qu'on arrête de le faire chier. Rien n'allait. Aujourd'hui, il quitta les cours beaucoup plus tôt, prétextant un devoir à terminer pour le lendemain, devoir qu'il avait bien entendu terminé depuis des lustres. Même s'il était grognon en ce moment, le Winthrop restait sérieux dans ses études et c'était bien la seule chose qui l'inspirait. Les mains dans les poches, le beau brun rentrait des cours. Il se trouvait dans le couloir de la Cabot House et regagnait calmement sa chambre provisoire. Bordel, vivement que toute cette histoire soit résolue et qu'il reprenne ses habitudes. Il aperçut Alexandra sortir de l'une des chambres du bâtiment. En réalité, le jeune homme n'était pas vraiment surprit de la voir ici puisqu'il l'avait croisé la veille dans le salon alors qu'elle s'était affichée devant tout le monde en faisant la gamine. Dépassé par cette vision, Milo ne l'avait pas approché et avait préféré quitter les lieux plutôt que de se prendre la tête avec elle. La blondinette ne semblait pas l'avoir vu aussi, elle lui tourna le dos pour pouvoir fermer la porte de sa chambre. Une fois à sa hauteur, il vint se placer juste derrière elle et resta silencieux. Alex le remarqua assez vite, elle semblait étonnée de le voir dans les couloirs de la Cabot House, peut-être pensait-elle qu'il était venu tirer son coup avec l'une des membres de cette confrérie. Rapidement, elle le questionna sur sa présence ici. Milo fronça les sourcils en l'observant d'un peu plus prés. « Non j'suis pas en cours, j'ai terminé. » répondit-il d'un calme déconcertant. En réalité, il avait décidé de ne pas assister au dernier cours de la journée. La motivation n'y était pas et puis, il avait mieux à faire. Alex lui avoua qu'elle s’apprêtait à aller courir, un choix pas vraiment judicieux connaissant l'état de sa jambe. Le Winthrop trouvait cette décision complètement stupide et ne manquera pas de lui faire remarquer plus tard. Pour le moment, il se contenta de répondre un « Hmm. » désabusé. Il était plutôt froid avec la jolie blonde et avait ses raisons. Une rumeur d'une possible relation purement sexuelle avec Tate ne la quittait pas. Pourtant, Milo devrait s'en foutre, pourtant ce n'était pas le cas. Ça l'énervait vraiment aussi, il prenait soin de garder ses distances et de lui transmettre aucune émotion, telle qu'elle soit. Alexandra enleva son pull, laissant apparaître une brassière noire. Il plissa les yeux avant de reporter son attention sur ses paroles, essayant de rester concentré sur cette fameuse rumeur. « En fait j'suis pas venu te voir, je rentrais juste à ma chambre. T'sais que la Winthrop aussi a brûlé, bref j'me suis retrouvé là. » dit-il sur un ton assez neutre. Il croisa les bras contre son torse et prit appui contre le mur du couloir. Cette situation l'énervait, Alexandra était SA propriété et il ne cautionnait pas qu'elle puisse être intime avec d'autres mecs. Elle était à lui et à personne d'autre, il faisait preuve d'une possessivité déplacée. « Me dis pas que t'étais parti courir ? » la questionna-t-il. Ah bordel ça l'énervait. Milo venait presque à en regretté d'avoir croisé son chemin dans ce putain de couloir trop étroit. Une discussion s'imposait entre les deux, c'était inévitable. « Laisse moi le temps de me changer, je t'accompagne ! » lui dit-il. En fait, il ne lui proposait pas de l'accompagner, il lui imposait sa présence. Alexandra voulait faire sa grande ? Bah Milo allait lui donner un footing dont elle se souviendra longtemps. Il n'allait pas la lâcher et la pousser dans ses derniers retranchements. Ils n'avaient jamais transpirés de cette manière là ensemble. Il fallait bien un début à tout.
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Elle avait hâte. Hâte de sortir d’ici, hâte de voir autre chose que des murs trop parfaits, des filles trop parfaites, des attitudes trop parfaites. Ce n’était pas elle, ce n’était plus elle. Alexandra, la coquette et adorable Alexandra avait fait place à celle forte et colérique, à la puissance et la détermination dont elle faisait preuve tous les jours. Elle voulait retrouver un semblant de normalité et avait donc pour projet de déménager chez Oksanna, le temps que son appartement se libère et qu’elle puisse l’intégrer complètement. Alors, pour le moment, elle supporter. Contre bon vent mal gré. Elle regardait les filles des Cabots se pomponner H 24 alors qu’elle était couverte des odeurs de l’hôpital. Croisant Milo, se pavanant presque dans les couloirs, ce qui la tuait. Elle voulait lui parler, lui demander comment ça allait. Ils ne parlaient presque plus que par message ou encore sur instagram. Le voir en vrai, le toucher, le rendre fou par ses gestes et ses baisers lui manquaient. Elle avait changé Alexandra depuis l’incendie, mais Milo resterait toujours le même pour elle. Son côté viril et sa brutalité, qui étaient essentiel au jeune homme, lui manquaient. Beaucoup trop. Rentrant dans sa chambre afin d’aller faire un peu de course à pied malgré sa jambe qui lui donnait du fils à retordre, malgré la douleur qui la transperçait nuit et jour, elle était décidée à aller courir. En sortant de sa chambre, déjà toute habillé et prête, elle se cogna contre Milo. Que faisait-il là ? Il était supposé être en classe, pas devant la porte de sa chambre. « Je connais ton emploi du temps, t’es loin d’avoir terminé ta journée. » Défensive, sur les nerfs, elle ne voulait pas que ça sorte aussi durement, mais son calme l’irritait. Elle l’informa de son plan pour l’après midi et elle sentit le dédain dans son expression. Oui, elle aurait mal, mais c’est mieux que de dépérir inlassablement dans sa chambre et se plonger dans une ambiance sombre et morosse.  Elle l’invita à entrer dans sa chambre, et ferma la porte derrière lui. Être au vu et su de tous la dérangeait énormément depuis le mariage des Wildhingham et des Petrov. Sa vie privée, telle qu’elle l’entendait au vu de son statut, lui manquait. Et Milo en faisait partie. Alors, hop, fermer les yeux les filles. Elle entra dans la chambre et retira son pull la laissant vêtu d’une brassière noire tout en écoutant Milo. « Oui, je suis au courant. Désolé pour ça. » Le mystère derrière l’incendie des maisons Eliot, Winthrop et Lowell n’a toujours pas été élucidé mais de nombreux doutes persistes sur la Mather House, bien qu’elle soit alliée à la Winthrop. Mais bon, ce n’est pas le sujet. Milo loge aussi à la Cabot House, ce dont elle se doutait bien vu qu’il passait la plupart de son temps ici à présent. « Je pensais bien qu’il y avait une raison à ta présence constante ici. » dit-elle, montrant bien qu’elle savait qu’il était souvent ici. Prenant sa bouteille d’eau, elle but une petite gorgée et fut surprise par le ton de Milo suite à sa question. « Heu si, je pense que j’ai encore le droit de courir, seule. » Elle croisa ses bras sur son torse, bien décidé à ne pas le laisser prendre le dessus. On lui a toujours dit qu’avoir les bras croisés est une forme de défense inconsciente, mais là, elle est totalement consciente d’être sur la défensive. « Pardon ? » Elle ouvrit grands les yeux, réellement choquée par ses propos. « Tu penses réellement m’accompagner ou tu te fous de moi là ? » Se mettant devant la porte de sa jambe, se yeux plongés dans ceux du jeune homme, elle lui bloqua le passage. Il était hors de question qu’il ne l’accompagne où que ce soit. « Tu ne me parles pas en face depuis des semaines, tu m’évites, disons les choses clairement. Et tu penses vraiment que je vais accepter que tu m’accompagnes aller courir. » Alexandra est colérique, ce n’est une nouvelle pour personne. Péter un plomb, c’est sa spécialité. Et en plus, elle est particulièrement nerveuse ces temps ci alors ce n’est pas le moment pour l’agacer. « Tu veux quoi ? Me protéger de ma pauvre jambe abimée ? T’assurer que je ne vais coucher avec personne. Nouvelle, ce n’est pas ton problème, on est pas un couple. Alors va baiser qui tu veux et ne t’impose pas ainsi. »
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Milo ne s’attendait pas vraiment à tomber nez à nez avec Alexandra, surtout dans ce couloir aussi étroit que silencieux. Les cours n’étaient pas terminés et pourtant, il avait quitté l’université précipitamment. Aujourd’hui, plus que d’habitude, le besoin de se défouler se faisait ressentir. Il était dans une période charnière de sa vie et avait du mal à aller de l’avant. Dans sa situation, il y avait autant de pour que de contre, à lui de faire les bons choix et d’agir en conséquence. Avec John, rien ne se passait comme prévu et même si le jeune homme était redevable de son adhésion à Harvard, il ne cautionnait plus sa conduite et ses petits trafics à la limite de la légalité. Son parrain agissait sous le coup de l’impulsivité et parfois, il allait trop loin, beaucoup trop loin. Le Winthrop prenait ses distances en ce moment et il avait raison de le faire. Depuis la rentrée, il n’avait pas beaucoup squatté sa chambre de confrérie mais là, il ressentait le besoin de quitter l’immense appartement de John pour retrouver une certaine liberté. Il ne voulait plus être associé à lui et à ses activités illicites, faire ses propres choix, voilà ce qui l’animait. Aussi, lorsque la jolie Alexandra lui lança un reproche en pleine gueule, il fronça les sourcils. Elle était plutôt froide et distante, cela ne lui ressemblait tellement pas, ce n’était pas dans ses habitudes. La dernière fois qu’elle lui avait parlé ainsi, c’était à l’anniversaire de sa copine, alors qu’il avait fait exprès le déplacement et l’effort de venir pour elle. Quoiqu’il en soit, Milo n’allait certainement pas se laisser faire. Manque de chance pour la princesse, il n’était pas non plus d’humeur à accepter les critiques et à laisser couler. Son visage vint se fermer à vue d’œil, il avait les traits tirés, sa réflexion ne passait visiblement pas. « Qu’est ce que ça peut te faire ? De où tu connais mon emploi du temps toi ? » répondit-il sur le même ton froid et cynique qu’elle. Franchement, cette situation ne lui convenait pas du tout et de voir où les choses allaient avec Alexandra semblait lui déplaire fortement. Rien n’allait comme il l’aurait voulu. La blondinette entra dans sa chambre et l’invita à faire de même. Le Winthrop la suivit, un peu perplexe. Un rien l’énervait, il avait les nerfs à vif et allait réagir à la moindre réflexion de sa part. Lorsqu’elle le piqua sur la raison de sa présence ici, il ne mit pas longtemps à répondre un « Ma présence constante ici ? Sérieux Alexandra, tu m’espionne ou quoi ? » hyper agressif. Répondre par des questions pour éviter le sujet, il était en tord, elle était en tord, ils étaient mutuellement responsables de cette distance. Milo n’avait pas envie de faire d’effort avec elle, surtout pas avec un tel comportement en retour. Elle voulait être froide, parfait, il allait répliquer en conséquence. « J'croyais que t'avais mal à ta jambe, en vrai t'as mal quand ça t'arrange toi ! » répondit-il mauvais. Il n'admettait pas qu'elle face ses petits caprices de princesse de merde. Ça l'énervait à tel point qu'il sentait la rage monter en lui. Ce n'était vraiment pas le moment de le chercher mais elle l'avait provoqué, il se devait de répliquer. La blondinette se plaça juste devant la porte, lui bloquant le passage. « Te protéger de ta jambe ? Mais dans quel monde tu vis Alexandra ? J'en ai rien à foutre de ta jambe, de ta condition de princesse, de tes petites manières de fille pourrie gâtée. » commença-t-il froidement. Il avança de quelques pas dans sa direction, ne la lâchant pas des yeux. Il soutenait son regard et comptait bien avoir le dernier mot. « Si j'veux t'accompagner c'est pour t'en faire baver Windsor. Te faire regretter de t'être crue supérieure à ta blessure. Comme tu l'dis si bien, on est pas un couple Alexandra alors enlève toi ça de la tête. Je baise qui je veux, tu te tape qui te veux. Arrête de croire que c'que tu fais a de l'importance à mes yeux, arrête de croire que tout t'es dû parce que tu viens d'une famille royale. Ici t'es personne donc redescend de ton trône. » Tout en parlant, Milo s'était approché d'elle, réduisant dangereusement leur distance. Son rythme cardiaque s'était intensifié, cette fille l'énervait tellement que ça en était presque excitant. Le regard toujours plongé dans le sien, il était blessant mais ne s'en rendait pas forcément compte. Cette fille le mettait dans un état pas possible et ce n'était pas la première fois. A quelques centimètres de son corps, il plaqua sa main sur la porte, juste à côté de son visage et plissa les yeux. « Je m'impose si j'veux donc tes ordres tu les gardes pour quelqu'un d'autre. Ça ne marche pas avec moi ! » dit-il d'une faible voix roque, presque dans un murmure. Alexandra devait comprendre qu'elle n'était pas maître de la situation. C'était lui qui tenait les rennes, qu'elle le veuille ou non.
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N’étant pas de nature calme et posée, Alexandra explosait pour un rien. Une contrariété, un cheveux de travers, un obstacle sur la route, un retard inopiné. Elle arrivait à s’énerver pour un rien et on devait s’y adapter sinon elle se mettait réellement en colère ce qui n’est pas beau à voir. Mais depuis qu’il y a une distance aussi incompréhensible entre elle et Milo, c’est pire. Tout la rend nerveuse, tout l’énerve, tout l’agace. Que ce soit un rouge à lèvre mal fermé à une douleur impossible à calmer ou encore une mauvaise nouvelle dans le journal, elle s’énerve. Et là, en voyant Milo sur le pas de sa porte, tout remonte à la surface. Elle a autant envie de l’embrasser que de le frapper, elle veut autant qu’il la prenne dans ses bras qu’elle ne veut qu’il disparaisse de sa vue. Sa vie a pris un tournant lors de l’incendie de la Eliot House. Elle s’est retrouvée sans toit car ayant pris une décision hâtive en louant l’appartement qu’elle avait en centre ville. A présent, dans la maison de rose, elle devait s’adapter. Et avoir un Milo bien réel en train de se pavaner dans les couloirs sans la regarder une seule fois la rendait folle. « Je connais ton emploi du temps parce que je devais m’adapter à tes horaires pour te faire part de mes découvertes pour ta famille pauvre idiot. J’allais pas débarquer en plein dans un cours pour te dire que ta psychologue se faisait payer pour te mentir non ? » répliqua-t-elle sur un ton froid. Ils étaient glacials, froids, fier et hautain. Leur caractère explosif se manifestait par un vent polaire entre eux. Elle le laissa pourtant entrer dans la chambre qu’elle occupait pour le moment et retira son pull qui lui donnait chaud. La température de la chambre était chaude, et encore plus depuis l’arrivée du jeune homme. Il en faut peu pour qu’ils reviennent sur leur grand chevaux et se jette à la gorge de l’autre. Enfin, surtout la blonde qui n’en pouvait plus de voir Milo avec d’autres personnes qu’elle. « Je ne t’espionne pas. T’es juste difficile à ignorer. » Le grand Milo Castellan qui prenait tout la place avec son ego et sa prétention surdimensionnés. Il peut à présent. Son statut lui permet plein de choses qui lui était interdite. Mais elle même n’est pas mieux. C’est une princesse, une héritière, la première à être en ligne pour le trône d’Angleterre. « J’ai mal et j’ai des cachets contre la douleur, espèce d’idiot. J’ai juste besoin de sortir des idées noires de ma tête. » Comme le fait qu’elle n’arrive pas à ne pas penser à lui, à ne pas s’inquiéter pour Oksanna, à être calme et posée alors que sa vie la bousculait de tous les côtés. Elle explose alors, pleine de rancoeur et de non dits qu’elle garde pour elle depuis trop longtemps. « Je ne suis pas une petite fille pourrie gâtée. Tout ce que j’ai, je l’ai parce que j’ai travaillé pour. Tu crois quoi ? Que la famille royale est pleine d’amour et de licornes. Non. » Elle a accusé durement ce qu’il lui a dit. Elle a gardé la tête haute comme la princesse qu’elle est. Comme la femme forte qu’elle est. « Tu veux m’en faire baver ? Tu penses que j’ai la vie facile et que je vis ma vie comme bon me semble ? Et ben non, Milo. » Elle est devant lui et la porte, bien décidée à tout laisser sortir sans la moindre hésitation. « Oui, on est pas un couple mais te voir tremper ton engin dans tous les trous qui passent sous tes yeux me rend malade. J’ai pas envie d’être une fille parmi les autres. Et si c’est le cas, tu t’es trompée de personne. » Elle en a marre qu’on joue avec elle. Elle en a marre d’être ballotté comme une chaussette sale. Il s’approche d’elle, l’accolant au mur avec son corps. Ils n’ont jamais été aussi proche depuis des semaines. Son coeur bat vite, sa respiration s’accélère. Elle a envie qu’il dégage et elle a envie qu’il reste. Des contradictions qu’il provoque juste avec sa présence. Sa main plaquée sur la bois de la porte, juste à côté du visage d’Alexandra, il grogna doucement. « C’est moi la princesse, n’oublie pas. C’est moi qui donne les ordres. » Elle se rapproche de lui, abolissant la distance entre eux. Son corps contre le sien, son visage à hauteur de son torse. « Et pour le moment, je veux juste que tu comprennes une seule chose. Si tu penses que je vais obéir à tes ordres comme une petite chienne, tu te trompes lourdement sur moi. » Elle sait qu’elle le provoque, que tout ce qu’elle dit va à l’encontre de ce qu’il veut. Mais elle s’en fiche. Il est temps qu’elle s’impose elle aussi. « Oh et pour ton information, je ne couche avec personne à part toi depuis des mois. Alors quelque soit la rumeur que tu as pu entendre à mon sujet, sache que c’est faux. Quelque soit les idées que tu te fais sur ma vie sexuelle, sache qu’elles sont fausses. » Il est temps de remettre les points sur les i. Elle en a marre qu’on parle pour elle, qu’elle apprenne des rumeurs toutes plus farfelues les unes que les autres. « Et crois pas que je ne sais pas que tu te tapes Ashleigh. Elle est très expressive concernant vos parties de jambes en l’air dans les vestiaires. Je suis capitaine, je sais tout. » Elle le veut pour elle seule et il est hors de question de le partager.
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Milo se voulait méfiant, distant et froid envers Alexandra. Cette fille le mettait hors de lui, il était en colère et cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Comment osait-elle s'en prendre à lui de cette façon. Elle qui flirtait avec Tate sans le moindre scrupule et qui se tapait certainement d'autre mec. Ses accusations n'avaient pas lieu d'être et clairement, il ne comptait pas se laisser faire. Surtout que pour une fois, il n'était pas totalement en tord. Certes, il baisait à droite et à gauche mais il n'avait pas à se justifier, surtout pas à la petite Windsor. Ils n'étaient pas en couple, elle l'avait si bien dit. Elle n'avait pas à agir comme ça et elle allait s'en mordre les doigts. Ce n'était ni l'endroit ni le moment de lui prendre la tête. Déjà qu'il n'était pas de bonne humeur, cette petite scène de ménage achevait littéralement sa journée. Merci princesse. Le Winthrop s'était approché d'elle pour la menacer, pour lui faire comprendre que cette situation ne lui plaisait pas mais pas du tout. Pour qui elle se prenait ? Elle n'était personne et ses manières de petite fille pourrie gâtée l'agaçait au plus haut point. Alexandra ne semblait pas du même avis que lui et prétexta être tout à fait à même à lui donner des ordres. Il leva les yeux au ciel, pauvre petite brebis égarée, aveuglée par son trône de merde. « T'es la princesse rien du tout ici, t'es au même niveau que les autres même si ça t'arrache la gueule de l'admettre. » répondit-il séchement. Oh bordel qu'elle pouvait être chiante quand elle s'y mettait celle-là. Milo n'avait qu'une seule envie, lui faire fermer son clapet et la faire redescendre de son petit nuage. A force de se prendre au sérieux, elle semblait déconnectée du monde réel et de la dureté qu'il représentait. Contre toutes attentes, la belle blonde vint coller son corps au sien. Et ses mots lui arrachèrent un sourire sarcastique sur son visage. Oh que si elle allait lui obéir, comme elle le faisait depuis le début. Il inspira énergiquement avant de baiser la tête pour l'affronter du regard. Le Winthrop la laissa parler et il fut surprit de voir, qu'au final, elle ne l'attaquait plus mais se défendait juste. D'où venait se revirement de situation ? Il l'ignorait complètement et lui, ne décolérait pas. Rapidement, le sujet Ashleigh vint sur le tapis, bah tiens, il l'attendait celle là. Perdu par ce qu'elle disait, en rage par les propos qu'elle tenait. Cette meuf lui soutenait corps et âme qu'elle ne se tapait personne d'autre. Pourtant, Milo n'était pas dupe, il savait très bien que quelque chose se se tramait derrière tout ça. « Qu'est-ce-que ça peut te foutre que j'me tape Ashleigh ? Hein ? On est pas ensemble Alex, tu m'arrêtes pas de me le répéter. Elle est bonne et ne me tape pas des scènes comme t'es en train d'me faire là. J'me fais aucune idée sur ta vie sexuelle, j'men bat les couilles de c'que tu fais de ton cul. » commença-t-il assez mauvais. Ouais, il était cru lorsqu'il était énervé, vilain défaut qu'il avait là. Mensonge, il était aussi jaloux qu'elle. Ils étaient aussi fautifs l'un que l'autre dans cette situation mais avaient tous les deux une fierté. Sans même s'en rendre compte, il avait approché son visage d'elle, inévitablement attiré par ses lèvres et par son corps tout entier. « T'attends quoi exactement de moi Windsor ? Hein ? J'suis pas un petit toutou à qui on donne des ordres, PRINCESSE. Faudra te contenter de ça, j'ai pas mieux à t'offrir. » grogna-t-il sur un ton relativement plus doux que le précédent. Il avait beau être énervé contre elle, son corps contre le sien l'excitait encore et son membre durcit contre elle le trahissait certainement. Il ne pouvait pas aller à l'encontre de ses envies et clairement, elle l'excitait en toutes circonstances. « J'suis pas un mec fréquentable mais ça, tu l'as su à la seconde même où tu m'as vu Windsor. J'sais pas à quoi tu t'attendais. Que je change ? T'as rêvé ma pauvre ! Je changerais pas, même si tu me le demandais. T'as voulu un peu de distraction dans ta vie ? Un peu de virilité ? J'te l'ai apporté mais ne viens pas me le reprocher maintenant. » râla-t-il. Même lui se perdait dans ses explications, leur engueulade n'avait ni queue ni tête. Sa main, toujours plaquée sur la porte, vint se serrer. « Et même si là j'ai envie de t'étrangler, tu restes une sacré distraction pour moi. » conclut-il. Oh bordel c'était pas vrai mais Milo voulait pousser le vice encore plus loin. Lorsqu'il était énervé, ses mots dépassaient toujours ses pensées et il regrettait après. Pas du le moment mais plus tard, lorsque la crise était terminé. « Maintenant si t'as fini de me cracher ton venin en pleine gueule, laisse moi passer, que j'puisse aller baiser la première fille venue ! » dit-il froidement. Il était en rage !
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Être en colère, s’énerver, se rendre fou de rage et d’une jalousie mal placée. Alexandra avait l’habitude. C’est son caractère, sa manière d’être. Elle ne peut pas ne pas être jalouse et possessive, elle n’aime pas partager ce qu’elle aime. Alors oui, elle est généreuse et donne, mais elle donne ce qu’elle veut donner. Elle ne va donc certainement pas aimer partager ses amis, et encore moins celui qui la rend folle. Alors quand Milo a débarqué comme un boulet de canon et a ravagé ce qu’elle pensait établi dans sa vie, elle a eut du mal à rester détacher, à ne pas faire preuve d’une jalousie incommensurable. Et elle n’y arrive toujours pas. Le voir se balader comme un petit prince dans les couloirs de la Cabot House la rendait folle, voir les filles baver devant lui, ça lui donnait envie de les frapper au visage. Fort. « Je ne suis au niveau de personne. Tu ne connais pas la moitié de ma vie petit con. » Il ne sait pas ce par quoi elle est passée. Il ne comprend pas pourquoi ce sentiment de possessivité est si important pour lui. Quand on perd une personne comme elle a perdu Benjamin, quand on perd un enfant, on veut tout posséder, même si on risque de s’écorcher vif au passage. Elle veut Milo pour elle et pour personne d’autres. C’est comme ça et pas autrement. Et même si elle gardait le visage aussi froid qu’elle le pouvait, les mots de Milo l’avait blessé. Il avait touché un point, elle n’est pas grand chose ici. Une princesse expatriée, une fille belle et gracieuse comme il y en a tant, une colérique comme une autre. Elle n’est pas banale, mais pas exceptionnelle non plus. Se collant presque à lui, elle lui dit la vérité. Elle n’est pas un petit toutou avec lequel on joue pour s’amuser. Elle est plus et il est temps qu’il le comprenne. Il est temps qu’il comprenne qu’elle a toujours été honnête avec lui, qu’elle ne lui a jamais menti sur quoi que ce soit. Coucher avec deux personnes à la fois, très peu pour elle. Un accident est vite arrivé et ce n’est pas anodin comme accident. Faut prendre ses précautions et très peu pour elle de revivre son adolescence all over again. « Je ne m’en fous pas que tu te tapes la Strauss. Je n’aime pas et ça. Et je sais que ça t’importe si je couche autre part vu ton ton arrogant et condescendant. » Il s’approcha encore plus d’elle, son visage trop proche de celui de la blonde, ses yeux plongés dans les siens mais faisant des allées et venues entre son regard et ses lèvres pleines. « Je veux pas d’un toutou, j’en ai juste marre d’être la laisser pour compte. Je t’ai aidé à trouver ta putain de famille Milo. Combien de filles auraient fait ça pour toi vu comment tu me traites ? » Il semblait se calmer, un peu. Elle ne comprenait pas comment ils avaient pu en arriver là, comment la rage et la jalousie avaient pu les consumer autant en si peu de temps. Son corps contre le sien montrait parfaitement l’envie qu’il avait d’elle et le désir qu’elle lui inspirait autant. Se mordant la lèvre inférieure, elle le regardait droit dans les yeux, essayant avec difficulté de garder ses mains pour elle. « Je ne veux pas que tu changes. T’es comme tu es et c’est très bien comme ça. Mais n’ose pas me dire que tu t’en fous si je couches avec d’autres mecs. On sait tous les deux que c’est faux bordel. » Elle croyait dur comme fer qu’il tenait à elle sinon il serait déjà partis, elle est en certaine. Il n’est pas fréquentable, mais elle ne lui a jamais demandé de changer. Elle n’a jamais aimé les mecs trop propres sur eux de toute façon. A quoi bon ? Ils cachent tous un secret ces gars trop propres, trop polis, trop parfaits. « Une distraction ? » Là, elle se sentait insultée. Une putain de distraction. Elle allait lui montrer si la distraction en était réellement une ou pas. « Tu ne vas nulle part. Tu voulais une distraction, la voilà ta putain de distraction. » Elle se mis sur la pointe des pieds et l’embrassa à pleine bouche. Hors de question qu’il ne lui échappe. Elle mis ses mains sous le t-shirt du jeune homme et commença à le faire monter le long de son torse. Elle sentit les mains de Milo lui agripper les hanches, la collant encore plus contre lui. Il est hors de question qu’il aille voir une autre fille autre que lui à présent.
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Des mots venaient d'être prononcés, des insultes dites et des vérités éclatées. La colère avait prit le dessus sur ces deux êtres qui ne savaient rien faire d'autre que se déchirer. Attirés comme des aimants, ils n'arrivaient pas à se comprendre et ne voulait, surtout pas, mettre des mots sur ce qu'ils vivaient. Autant jusqu'ici, le sexe les avait unis et rapprochés, autant à présent, cela ne semblait pas leur suffire. Incapable d'exprimer ce qu'ils ressentaient, ils se contentaient de s'enfermer dans une certaine possessivité et une jalousie à toute épreuve. La main littéralement plaquée sur la porte, Milo essayait de se raisonner un minimum mais la colère était trop forte pour espérer arborer une conduite raisonnable. Alexandra le poussait à bout avec ses accusations et même si dans cette histoire il était loin d'être innocent, il ne voyait pas vraiment ce qu'il avait fait de mal. La remise en question n'était pas évidente pour lui et en bon connard qu'il était, lui rejetait la faute. Les mots qu'ils s’échangeaient été assez crus et blessants, le but étant, bien sur, de faire réagir l'autre et pourquoi pas, l'achever. « Une distraction, t'as bien entendu. » trancha-t-il d'un ton sec et particulièrement provocateur. Le Winthrop ne pensait pas un mot de ce qu'il disait mais il essayait de se convaincre du contraire. Alexandra avait prit beaucoup de place dans sa vie, peut-être un peu trop de place d'ailleurs. Et alors qu'il s'attendait à une nouvelle attaque, un nouvel affront de sa part, la blondinette vint se mettre sur la pointe des pieds et l'embrassa à pleine bouche, l’empêchant de répliquer comme il l'aurait voulu. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, Milo répondit à son baiser langoureux et passionné. La colère qu'ils ressentaient n'avait fait qu'accentuer la tension sexuelle qui planait entre eux. Par pure réflexe, il l'agrippa par la taille et la suréleva contre la porte de la chambre. Les émotions se bousculaient en lui, il se sentait puissant, la colère l'avait envahi, faisant de lui un être dictés par des pulsions primaires voire animales. Ses mains viriles se posèrent sur ses cuisses pour les serrer sauvagement. « Soit ma distraction. » murmura-t-il le souffle court. Cette fille lui avait manqué mais trop fier pour l'avouer, il ne lui avouera jamais une telle chose. A défaut, il essayait de lui faire comprendre à quel point elle lui faisait de l'effet, à quel point elle pouvait l’obnubiler. « Ma seule distraction. » continua-t-il sans vraiment s'en rendre compte. Il lui avait soufflé faiblement ces quelques mots, peut-être l'avait-il seulement pensé, il l'ignorait complètement. Son esprit se faisait pervers, elle allait le rendre accro s'ils continuaient ainsi.
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