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On se chamaille, on se bagarre, pourquoi ?

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Olivia • Eleanor
« On se bagarre, on se chamaille, pourquoi ? »

fiche par century sex.


Je venais de rentrer chez moi, encore sous le choc d'un tel comportement. Je ne comprenais pas, j'étais encore plus perdue qu'avant. Et-ce que j'avais fait le mauvais choix ? Pourquoi vouloir la retrouver aussi rapidement ? Après tout, j'étais seule depuis pas mal d'années maintenant... peut-être parce qu'elle était la seule qui avait encore un lien familial avec moi... je ne savais pas, je ne savais plus. Elle avait sa vie, j'avais la mienne, je venais de tout chambouler, sans même vouloir la blesser, je ne voulais pas la détruire intérieurement, je ne connaissais pas sa vie et je m'étais permise de venir la voir, comme ça, à cet instant oui, je m'en voulais. Je pouvais très bien attendre encore un peu avant d'aller la rencontrer. En tout cas, il était certain que je n'irais plus la voir, j'avais fait une erreur, il était hors de question d'en commettre une deuxième. Qu'elle reste dans son coin et je ferais de même. Une fois la porte claquée, je jetais mon sac sur le canapé et souffla un bon coup. J'enfilais un pantalon de jogging et un t-shirt même pas repassé, je n'avais envie de rien, je voulais être seule, sans personne autour de moi. Je me rendais quelques minutes plus tard à la cuisine, j'avais envie de vider le dernier pot de glace à la vanille qui me restait, ça allait m'aider à surmonter cette sale journée, qui tardait à se terminer. Affalée devant la télé je zappais, il n'y avait rien de bien important et à vrai dire, j'avais la tête ailleurs. Tout en avalant une cuillère de glace, je regardais l'escalier qui menait à l'étage, ce qui voulait dire, aussi au grenier, là où tout avait commencé...

Tout en laissant la télé allumée, je me dirigeais au pied de l'escalier, j'avais l'impression que tout allait s'écrouler. J'espérais voir ma mère descendre pour qu'elle m'explique ce qui était en train de se passer, mais rien de tout ça n'arriverait. Ca me faisait mal. Je montais les marches une par une, à une allure plutôt ridicule, j'étais effrayée, à nouveau, ce qui pouvait totalement se comprendre. Je repassais sans cesse en boucle dans ma tête, le message de mon grand-père, savait-il ? Le contraire ne pouvait être possible, étant donné que son mot était placé sur ce carton, qui cachait des tas de choses. Il n'avait certainement pas eu le courage de m'en parler, pour ne pas à nouveau me chambouler, il ne voulait certainement pas voir souffrir. Il ne me restait plus que lui à l'époque et je savais qu'il tenait à moi plus que tout, on s'aimait tellement. Des larmes coulaient sur mon visage. Je devais absolument prendre sur moi et me calmer au plus vite, je n'avais pas le choix, je devais plonger la tête la première dans cette histoire, je devais tout remuer pour enfin avoir des réponses. Et tout ça, oui, je pouvais le faire sans Olivia.

Une fois dans le grenier, je me dirigeais le coeur serré vers ce carton. Prenant le temps, je m'asseyais sur le sol, je regardais autour de moi, je fermais les yeux et je me rappelais différents souvenirs. J'aimerais encore entendre ma mère m'appeler pour me dire de venir manger, j'aimerais voir mon père venir vers moi pour me serrer très fort... le mot « père », venait de m'enlever de mes pensées.
Sans trop attendre, j'ouvrais le carton, le dossier en question je devais le garder avec moi, j'y trouverais certainement des choses intéressantes qui pourrait m'aider. Je fouillais au fur et à mesure. Je trouvais quelques vêtements, probablement ceux que j'avais après ma naissance, je pouvais voir également une assez grosse enveloppe marron, qui protégeait comme il fallait tout ce qu'il y avait à l'intérieur. Je venais de l'ouvrir. J'enlevais avec précaution tout ce qu'il y avait à l'intérieur. Je regardais la première photo qui se présentait à moi, on pouvait y voir deux petites filles, qui étaient encore très jeunes, elles devaient avoir quelques mois pas plus. Elles souriaient, elles avaient l'air bien. Sauf que oui, je reconnaissais l'une d'elle dessus, c'était moi et là mon coeur s'emballait et si c'était... tout en retournant la photo, je lisais en légende « Eleanor et Olivia ». Je n'y croyais pas une seule seconde, ce n'était pas possible, je venais de me rendre compte que l'on se connaissait déjà... comment était-ce possible.

Un claquement de porte de voiture venait de me ramener à la réalité, je n'attendais personne et je ne voulais voir personne, c'était clair et net, je voulais rester tranquille.
Je me levais pour aller jeter un oeil à la fenêtre, je n'y croyais pas, c'était Olivia. Que me voulait-elle ? Venait-elle s'excuser ?. Je prenais avec moi le carton et tout ce qui allait avec et sans trop hésiter, je descendais pour aller lui ouvrir.
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ELEANOR & OLIVIA
« On se bagarre, On se chamaille, Pourquoi ? »


Depuis cette révélation, la jeune femme n'arrivait pas réaliser qu'elle avait une soeur. Et puis non mais oh, qui a dit que cette peste était sa soeur ? Qu'est-ce qui peut prouver que cette pauvre fille à moitié folle est bien sa "soit-disant" soeur ? Rien ne le prouve .... Sauf ce foutu papier, ce fichu truc qui complique tout dans la tête de la jeune femme. Pourquoi lui avait-elle laissé ce truc ? L'avait-elle fait exprès pour qu'Olivia prenne vraiment conscience de la situation ? C'était surement ça, cette dernière le lui avait laissé volontairement. A présent, elle n'avait pu le choix, il fallait qu'elle le lise, qu'elle le voit de ses propres yeux. Olivia ramassa le papier qui avec le souffle du claquement de la porte l'avait poussé jusqu'à ses pieds. Non elle ne rêvait pas, il y avait bien marqué "William Walker", c'était son père, il n'y avait pas dix mille personnes à s'appelait ainsi et qui avait la même date et lieu de naissance que lui, non ? Cette fille était bel et bien sa soeur. Olivia avait une soeur. Comment pourrait-elle gérer un tel truc ? Comment pourrait-elle pardonner à son père, à ses parents tous ces secrets ? Olivia ne savait plus quoi penser. Tout ce qu'elle avait connu, tout ce en quoi elle avait cru, et bien rien de tout cela n'était réel. Son père les avait trahi, leur avait caché sa vie secrète et pire que tout, avait abandonné son autre fille au détriment d'une autre. A cet instant, Oli' prit conscience que son père était un monstre !

Depuis le départ d'Eleanor de sa boutique, Olivia n'arrêtait pas de tourner en rond. Et pour la première fois de sa vie, elle ne s'occupait même pas de ses clientes. D'ailleurs l'une d'elle lui fit la réflexion, mais en voyant la tête d'Oli', lui suggéra de fermer et d'aller se reposer. Peut-être qu'elle n'avait pas tord au fond, peut-être que cette dernière devait faire une pause et pire que ça, le tri dans sa vie. Apprendre une telle chose était surement la pire nouvelle. Mais ce n'était pas ça le plus horrible dans l'histoire, c'est qu'elle ne pouvait même pas demander des explications à son père ou à sa mère étant donné qu'elle avait disparu depuis un an aux yeux de tous. La jeune femme ferma boutique et fonça chez elle. Oui, il fallait qu'elle prenne ce fichu carton où tous ses liens familiaux étaient cachés. Le voici, ce carton, là où le passé d'Olivia réside. Finalement, c'était bien pire que d'apprendre qu'elle avait une soeur. Chaque jour Oli' évitait de penser à ses parents, à tout ceux qu'elle avait laissé sinon, elle avait le coeur en miette. C'était exactement le cas à présent. Malgré tout ses efforts, Oli' craqua. Ses derniers pleurs ? Celle-ci ne s'en rappelait même pas. En réalité, elle n'avait plus de coeur, ni d'émotions depuis fort longtemps. Mais Eleanor l'avait bousculé, l'avait touché malgré elle. Olivia ne pouvait pas laisser cette histoire comme ça. Il fallait qu'elle la voit, qu'elle lui parle, qu'elle lui montre tout ça.

Avant de partir, Olivia avait prit l'essentiel pour Eleanor. Tout sur son père, des photos, des articles, enfin toutes la banalités qu'une fille qui admirait son père pouvait garder. Il fallait qu'Eleanor les voit, il fallait qu'elle puisse savoir qui est réellement son père et surtout qui est la personne qui l'a lâchement abandonné. Olivia lui en voulait. D'une part parce qu'il avait trahit sa famille, ses valeurs, ses croyances et d'autre part parce qu'il n'avait jamais voulu d'autre enfant qu'Olivia. A présent, elle comprenait pourquoi. La jeune femme avait toujours souhaité avoir une soeur. Un grand frère qui la protègerait de tout et n'importe quoi et une soeur avec qui elle partagerait tous ses secrets et ferait les quatre cent coups. C'est ce qu'elle avait toujours désiré au plus profond d'elle-même et aujourd'hui son rêve avait pris forme, même si c'était vingt-six ans après, sa soeur était enfin là ! Comment pouvait - elle ne pas lui ouvrir la porte ? Et puis, Oli' avait tout perdu, comme El', alors pourquoi ne pas se réunir et voir la vie d'une autre façon ? Aller, c'est parti, la réalité l'attendait pas loin de chez elle. Regardant la carte qu'El' lui avait donné, Olivia fonça chez elle pour enfin savoir toute la vérité ... Où apprendre la vérité à cette dernière, qui sait ?

Devant sa porte .... Olivia faisait les cents pas. C'était plus fort qu'elle. Cette dernière n'arrivait pas à sonner. Pourtant c'était simple, mais aucun geste ne pouvait se faire. La jeune femme était comme pétrifiée. Mais finalement, la porte s'ouvrit sans qu'elle ne le veuille vraiment. C'était El', et oui, elle était bien là devant elle. Olivia sourit même si elle n'arrivait pas vraiment à parler. Elle lui tendit le sac qui renfermait tout ce que cette dernière avait son père. A présent, c'était à Eleanor. « J'pense que tu devrais regarder ça, c'est tout ce que j'ai sur mon père ... Notre père. Excuse moi pour ma réaction, mais j'suis juste sous le choc. Notre vie change, la tienne en mieux, la mienne en beaucoup moins bien. » Eleanor savait la vérité, elle avait un père, n'était plus seul, alors qu'Olivia l'était plus que jamais ... Et ca lui brisait le coeur. « J'te dérange pas plus. » Dit-elle en reculant. En réalité, elle était gênait et ne savait pas quel comportement adopter. Que devait-elle faire ?
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Olivia • Eleanor
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fiche par century sex.


Je pensais lui avoir tout dit ce matin, il semblerait qu'elle non. Venait-elle pour encore me hurler dessus ou tout simplement pour avoir une conversation ? Dès à présent, oui je m'attendais à tout et à n'importe quoi. Je m'y étais certainement mal prise dans ma démarche, mais comment devais-je agir ? Un simple courrier aurait peut-être fait l'affaire, mais il était un peu trop tard pour y penser, c'était fait, je ne pouvais pas revenir en arrière. Je devais assumer, un point c'est tout.

Je déposais mon carton sur le canapé. Je pouvais l'apercevoir à partir de la fenêtre de la cuisine, elle était là, en pleine hésitation, ne sachant pas quoi faire, était-elle nerveuse ? Probablement, qui ne le serait pas !
Je ne voulais pas attendre, je n'allais pas mettre des heures à lui ouvrir. J'ouvris la porte...
- « Qui te dit que je veux savoir qui est mon véritable père ? ». - Que pouvais-je répondre à ça ? Elle était là, avec des affaires le concernant, il y avait certainement des photos, des dossiers qui expliqueraient toute cette histoire, ça me paraissait tellement absurde, mais pourtant c'était bien vrai, j'avais quelque part sur cette Terre mon vrai père. Aurais-je la force de regarder ne serait-ce qu'une seule photo ? L'image de mon père je l'avais déjà en tête et je ne voulais pas qu'elle change, sauf que mon père n'était plus là. Je ne savais absolument pas quel comportement adopter face à tout ça. Je ne voulais pas m'en prendre à Olivia, car elle-même n'y était pour rien. Ma vie était chamboulée, c'était comme si je recommençais tout à zéro. Je devais bien me mettre en tête que je n'étais plus seule, une personne de ma famille, ma sœur était là. J'avais beaucoup de mal à m'y faire.

- « Olivia... notre vie à toutes le deux vient de changer, c'est un énorme bouleversement pour moi, je n'avais plus personne, jusqu'à il y a quelques jours encore ». - Je devais lui raconter, lui expliquer. Ca allait prendre des heures, voir même des jours, mais elle devait savoir après tout. Elle pensait me déranger, mais ce n'était absolument pas le cas, bien au contraire, nous devions prendre le temps de parler de tout ça, calmement.
- « Tu ne vas pas rester là... ». - lui disais-je en partant dans le salon, tout en lui laissant la porte ouverte. Il était hors de question que l'on se jette dans les bras l'une de l'autre, c'était beaucoup trop tôt et on ne se connaissait même pas. Moi avec mon carton et Olivia avec son sac... c'était chouette à voir ! On avait du pain sur la planche. Même si je zapperais bien volontiers une bonne partie de l'histoire, bref, il était temps.

- « Tu vois, je viens d'aller faire un tour dans mon grenier j'ai descendu ça, j'avais envie de me faire une journée détente ». - Ajoutais-je en souriant nerveusement. Ce carton avait probablement des réponses à nos questions, de plus, je ne l'avais pas encore totalement vidé. Nous étions en train de tout étaler sur la table basse pour y voir plus clair. Je laissais Olivia terminer, j'allais nous faire deux grands cafés, on en avait grandement besoin je pense. Appuyée contre le plan de travail, je regardais Olivia et je me surprenais à sourire, j'étais ravie intérieurement. De nouveau assise à ses côtés je lui tendais la tasse. - « Je pense que l'on va trouver quelques réponses avec tout ça ». Des papiers, des photos, des cassettes, des vêtements etc... voilà tout ce que l'on pouvait trouver. J'angoissais à l'idée de trouver des choses qui allaient encore plus me blesser. Mais je voulais la vérité, je ne voulais pas m'arrêter là. Savoir pourquoi personne ne m'a jamais rien dit à ce sujet, j'avais vraiment l'impression de vivre dans une famille qui n'avait aucun problème, nous étions tellement, le bonheur pouvait se lire sur chaque visage et ce tous les jours. Là, j'étais triste, mais je n'arrivais pas à détester qui que ce soit. Est-ce qu'au moins une fois dans sa vie on devait mentir ? Était-ce une obligation ? Je ne fonctionnais pas comme ça, alors oui, je me posais des tonnes de questions à ce sujet. - « Les secrets, il faut les mettre de côté et se parler franchement, qui commence, toi ou moi ? ». - Peu importe qui allait ouvrir les hostilités, on devait y passer toutes les deux ! Je regardais Olivia tout en buvant une gorgée de mon café.
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ELEANOR & OLIVIA
« On se bagarre, On se chamaille, Pourquoi ? »


Comment Olivia était – elle censée réagir ce matin ? Aurait-elle du rester calme ? Et bien, ce genre de nouvelles, ce n’est pas fait pour que l’on reste calme. Comment pouvait – elle garder son sans froid ? Là, Oli’ avait prit du recul, elle était de nouveau calme mais très déçue et triste. Pourquoi avait – elle cet état d’esprit ? Très simple, toute sa vie, son enfance, son adolescence, ses parents lui ont donné des valeur, lui ont montré ce que la vie pouvait être. Mais à présent, Olivia ne pouvait plus y croire, ne pouvait plus faire confiance aux deux seules personnes à qui elle aurait pu tout donner. Ces deux personnes, ses parents, sa propre famille l’avait trahit et lui avait menti. La jeune femme ne pouvait pas l’accepter, c’était plus fort qu’elle, trop dur pour elle. Ce genre de choses ne peut pas se pardonner. Celle-ci pouvait pardonner beaucoup de choses, mais le mensonge, c’était hors de questions, surtout lorsqu’il s’agissait de sa propre famille. Bref, personne ne pouvait vraiment rester de marbre ou calme à une telle annonce : “Au faite, tu es ma soeur !”. Pour Oli’ c’était impossible. Mais après la tempête, vient le calme, ce fut le cas. La jeune femme ne pouvait pas en rester là, ne pouvait pas laisser cette image d’elle si négative à Eleanor. Surtout qu’elle n’avait pas l’air d’une fille bien méchante, mais plutôt paumée. Après tout, peut-être avaient-elles plus de points communs qu’elles ne pouvaient le croire, non ? Olivia n’en savait rien, mais elle avait envie de le découvrir. Cette fille était sa soeur, sa famille. Même loin de tout, il lui restait finalement une personne. Peut-être serait-elle se raccrochait à elle dans les pires moments ? L’avenir le lui dira ! La jeune femme était finalement face à Eleanor avec son sac rempli d’affaire concernant son père, leur père ... Après tout, si la situation avait été inversé, Oli’ aurait voulu savoir. Alors elle décida de tout donner à Ele’, c’était sa vie aussi, son père, elle avait le droit de savoir qui était son géniteur ! Mais celle-ci ne semblait pas tellement convaincu, avait – elle peur ? « A ta place je l’aurais surement voulu ... Même si le sac serait surement resté fermé pendant des semaines ou des mois. J’aurais aimé savoir et avoir des réponses à mes questions. Voilà pourquoi je suis là. » Peut-être qu’Oli’ supposait mal et qu’elle n’avait aucune envie de voir tout ça ....

Eleanor n’avait plus personne ? Comment la vie pouvait-elle les réunir alors qu’elle vivait la même chose ? Bon c’était surement différent, Oli’ l’avait voulu, elle avait voulu disparaitre. Jade était devenu Olivia, rien d’autre. Mais Ele’ avait surement d’autre raisons, et peut-être même des pires que cette dernière ... Peut-être qu’un jour elles se confiraient l’une à l’autre, mais pour l’instant, ce n’était pas le cas. Toutes les deux, devaient vivre avec ça, apprendre à se connaitre et peut-être qu’un jour elles riraient de ça, mais pour l’instant, la situation était quelque peu tendu. « Tu n’avais plus personnes ? Comment ça ? Si j’peux te rassurer, je n’ai plus grand monde non plus ... Voir même plus personne du tout. » Olivia n’avait plus un seul contact avec ses parents, et n’en aurait surement pas après cette fameuse révélation, sinon tout risquait de déraper. Cette dernière laissa la porte ouverte tout en partant à l’intérieur de sa maison .... Une invitation à entrer ? C’était certain ! Olivia le devait, même si elle n’avait pas prévu ça en venant ici. Une fois dans la maison, elle regarda tout autour d’elle. Sa maison était sublime. Un peu laissait à l’abandon, mais c’était une superbe bâtisse. Les fenêtres en bois de chênes faisait ressortir le cachet de la maison ainsi que les poutres apparentes au plafond. Olivia était sous le charme de cette demeure, qui était une vieille maison famille, et ça se sentait, pas besoin de le demander. C’était son métier. Une fois dans le salon, elle déposa son sac juste à côté du carton qu’Eleanor venait de poser.

A présent, tout ce qui était dans ce fameux sac et carton était étalé sur la table basse de son salon. Étrangement, Olivia était stressée. Leur vie se trouvait sur cette fameuse table. Bizarrement, comment cette situation, leur vie avait – elle pu prendre une telle tournure ? Olivia se le demandait encore. Personne de sa famille n’avait jamais rien dit, son père n’avait jamais avoué ce secret des plus horrible. La tromperie était un vilain défaut mais le mensonge était bien pire. Un mensonge peut détruire une personne. Mais là, il y avait plusieurs vies, plusieurs personnes en jeux. Ceux qui ont caché ça avait peut-être leur raison, mais ça n’excuse rien ! Eleanor l’avait laissé éparpillait tout ça en allant faire le café. Olivia était heureuse d’avoir une nouvelle personne dans sa vie avec ce lien .... Mais elle ne pouvait pas le montrer, c’était trop dur pour elle. « Merci pour le café. » Lui dit-elle d’une voix douce. Mais le pire était à venir ... Les révélations. Qui commence ? Que voulait-elle au juste ? Qu’Oli’ lui raconte sa vie ? Qu’elle lui dise le pourquoi du comment elle était à Cambridge ? Olivia n’en était pas capable, alors pour une fois, elle serait lâche. Eleanor devrait commencer les révélations parce qu’elle ne s’en sentait pas capable. C’était trop dur pour elle. « Si ca ne te gêne pas, je te laisse ouvrir le bal... » Le bal était un terme positif et joyeux qui lui permettait de dédramatiser la situation dans laquelle, les jeunes femmes se trouvaient. Mais qu’avait – elle à lui révéler ? Que pouvait-il bien se cacher derrière cette jeune femme ? Olivia avait tant de questions ....
Codage fait par .Jenaa
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