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Alekseï & Kaylee
Let's get wasted AVENGEDINCHAINS
La boîte est blindée. Les videurs dehors ne servent pas à grand-chose, finalement. Seuls les habitués se présentent devant la porte de ce temple de la nuit. Un anonyme n’oserait pas. De toute façon, dans ce genre d’endroits, on ne devient pas VIP, on l’est comme une évidence depuis le jour de l’opening. A l’intérieur, les visages te sont familiers et, s’ils ne le sont pas, c’est qu’ils sont louches. Il fait chaud en boîte, tu dois aller aux toilettes vérifier une dernière fois ton make-up. Il faut qu’il tienne toute la soirée. Devant les chiottes, un type te demande si tu veux vraiment aller aux toilettes. Ben oui connard, s’en mettre plein le nez dans un lieu aussi glauque, tu laisses ça aux gens qui ont la chance de ne pas réaliser à quel point ils s’ennuient. Toi tu ne fais que boire. Tu bois, donc tu penses. Tu bois, donc tu danses. Tu danses donc, tu oublies. Tu oublies donc tu recommences. Tu es à un verre de rencontrer Descartes. Tu ne vas pas sur la piste. Tu te contentes de gigoter en rythme autour de la table. Vu le prix qu’elle coûte, tu ne t'en éloigne jamais trop. La fille à la jupe trop courte se déhanche. Le garçon à la chemise satinée la repère. Ils se sourient. Il fait semblant de savoir danser. Elle a l’air faussement surprise. Tout le monde sait comment la soirée se poursuivra. Ce n’est rien de plus qu’un samedi soir sur la Terre. Comme le dit la chanson : « C’est une histoire normale. Le verre qu’elle accepte et les sourires qu’il étale .» Sauf que plus personne n'écoute ce genre de musique. La tendresse n'ayant plus aucune valeur marchande. Et ces deux noctambules ne savent pas que, justement, c’est de tendresse qu’ils manquent. Alors ils se feront croire qu’ils vivent un moment de grâce absolument unique. La vodka hors de prix mixée à de la musique cheap peut aussi créer ce genre d’illusions… Tu es comme eux donc tu ne les juges pas. Tu n'es juste toujours pas assez bourrée pour suivre le premier ersatz de beau gosse prêt à te payer un verre. Au loin tu aperçois aussi celle qui était la fille canon du lycée. Elle a eu son bac il y a 12 ans. Peu importe ! Une réputation, ça se fructifie. Elle a un peu perdu en fraicheur. Elle papillonne de table en table. Elle arrive à allumer deux ou trois mini-étincelles dans les yeux d’un mec qui n’envisagera jamais de la revoir. Elle prétend ne pas vouloir arrêter le train de vie qu'elle mène. Elle ment et elle ne s’en rendra compte que trop tard. Elle est cette fille qu’on conjugue à la tristesse. Tu finis ton verre cul sec, tu ne veux pas lui ressembler. Pourtant qu’est-ce qu’elle était jolie ! Elle aurait pu avoir une vie merveilleuse. C’est peut être ça, la génération no future. Enfin, le voilà. Le moment où tout le monde se doit de festoyer : La chanson qui fait se lever toute personne ne voulant pas être prise pour un alien. Toi aussi tu remues les lèvres. Evidemment que tu les connais par cœur, ces paroles que tu ne comprends pas. Tu reprends des glaçons dans le grand seau qui brille posé au milieu de la table. Vous avez fini vos deux bouteilles tes amis et toi. Tu te faufiles vers le bar et tu commandes un Caïparinha qui te rappelle tes vacances au Brésil. Il faut bien que tu cultives ta gueule de bois du lendemain.
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KAYLEE & ALEKSEÏ.
Tu es là, assit comme un con au fond de la boîte. Tes yeux sont plissés car tu ne vois pas distinctement ce qu'il se passe devant toi. C'est l'alcool qui tu as ingurgité en quantité astronomique au cours de la soirée. Ça faisait à peine quelques semaines que tu avais débarqué à Boston, tout droit venu de Moscou. Tu avais encore un accent très prononcé et tu ne parlais pas un anglais excellent. L'hôpital de la ville t'avait accepté dans ses rangs et te voilà un chirurgien américain. La cerise sur le gâteau était que dans quelques mois, Harvard te proposerait un poste en tant qu'enseignant, que tu accepterais sur le champ évidement. Mais tout cela, tu ne le savais pas. Tu avais fuis la Russie pour une simple et bonne raison et elle s'appelait Anna. Elle était ta fiancée, elle portait ton enfant et elle a perdu la vie. A cause de toi. Enfin c'est ce que tu mets dans le crâne. Si tu avais été là plus tôt, si tu t'étais libéré à l'heure et si tu étais arrivé assez vite, peut-être cette voiture ne l'aurait pas percutée. Et peut-être n'aurais-tu pas été obligé d'attendre de longs mois avant de signer ce foutu papier qui finalement, avait été l'officialisation de la fin de ton rêve. Ils l'avaient débranchée, dans tes bras, et tu sentais encore la chaleur de son dernier souffle dans le creux de ton cou.
Sans prévenir, tu sens une main attraper la tienne puis te tirer vers la piste de danse. Les lumières t'éblouissent et la musique trop forte t’assomme. Tu sens des mains sur ton corps, des petites mains frêles qui se baladent sur ton torse puis tu arrives enfin à ouvrir les yeux. « Putain mais qu'est-ce que tu fous ? » lances-tu à la jeune femme qui t'avait tiré de tes songes. Tu avais passé une bonne partie de la soirée avec elle et projetais de passer la nuit également, mais tu as changé d'avis. D'un geste du bras tu écartes la demoiselle qui te regarde avec des yeux ronds emplis d'incompréhension, puis tu prends la direction du bar. Ne dit-on pas qu'il faut soigner le mal par le mal ? C'était exactement ce que tu allais faire. Accoudé, tu interpelles une serveuse afin qu'elle te serve un énième verre de vodka martini. Tu es tout bonnement incapable de te souvenir de ce qu'il s'est passé dans les dernières heures. Tout ce que tu sais, c'est qu'il y a tes amis quelque part dans cette boîte de nuit immense.
Après l'avoir payé, tu prends d'une main ton verre et tu en bois une gorgée. Elle ne te brûlait plus la gorge comme au tout début. Tu regardes tout ces corps qui se trémoussent comme si l'alcool n'avait aucun effet puis tes yeux se posent sur une jeune femme qui approche. Tu as beau être complètement saoul, tu remarques vite qu'elle est magnifique et que c'était elle que tu voulais ramener chez toi ce soir, si seulement tu étais capable de rentrer. Tu arbores ton sourire le plus charmeur, même complètement ivre, puis tu attends qu'elle arrive près de toi. « Bonsoir » lui dis-tu avant d'avaler une seconde gorgée de ton breuvage. « C'est pas très correct de laisser une jeune femme seule au bar ». Alek, on t'avait connu plus subtil et plus gracieux que cela. D'un geste maladroit, tu venais de prendre une troisième gorgée, à croire que cette boisson avait le goût d'un jus de fruit. « J'espère que tu n'es pas accompagnée car j'ai bien l'intention de tenter ma chance ce soir », pour le digne héritier des Voïnov, tu pouvais repasser. Et ce, dans 200 ans.
Sans prévenir, tu sens une main attraper la tienne puis te tirer vers la piste de danse. Les lumières t'éblouissent et la musique trop forte t’assomme. Tu sens des mains sur ton corps, des petites mains frêles qui se baladent sur ton torse puis tu arrives enfin à ouvrir les yeux. « Putain mais qu'est-ce que tu fous ? » lances-tu à la jeune femme qui t'avait tiré de tes songes. Tu avais passé une bonne partie de la soirée avec elle et projetais de passer la nuit également, mais tu as changé d'avis. D'un geste du bras tu écartes la demoiselle qui te regarde avec des yeux ronds emplis d'incompréhension, puis tu prends la direction du bar. Ne dit-on pas qu'il faut soigner le mal par le mal ? C'était exactement ce que tu allais faire. Accoudé, tu interpelles une serveuse afin qu'elle te serve un énième verre de vodka martini. Tu es tout bonnement incapable de te souvenir de ce qu'il s'est passé dans les dernières heures. Tout ce que tu sais, c'est qu'il y a tes amis quelque part dans cette boîte de nuit immense.
Après l'avoir payé, tu prends d'une main ton verre et tu en bois une gorgée. Elle ne te brûlait plus la gorge comme au tout début. Tu regardes tout ces corps qui se trémoussent comme si l'alcool n'avait aucun effet puis tes yeux se posent sur une jeune femme qui approche. Tu as beau être complètement saoul, tu remarques vite qu'elle est magnifique et que c'était elle que tu voulais ramener chez toi ce soir, si seulement tu étais capable de rentrer. Tu arbores ton sourire le plus charmeur, même complètement ivre, puis tu attends qu'elle arrive près de toi. « Bonsoir » lui dis-tu avant d'avaler une seconde gorgée de ton breuvage. « C'est pas très correct de laisser une jeune femme seule au bar ». Alek, on t'avait connu plus subtil et plus gracieux que cela. D'un geste maladroit, tu venais de prendre une troisième gorgée, à croire que cette boisson avait le goût d'un jus de fruit. « J'espère que tu n'es pas accompagnée car j'ai bien l'intention de tenter ma chance ce soir », pour le digne héritier des Voïnov, tu pouvais repasser. Et ce, dans 200 ans.
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Sors avec nous, ça va être bien qu'ils disaient. Du beau monde et de l'alcool qui coule à flot, voilà pour la promesse. Tu as fait des sourires de circonstance et tu as tout fait pour faire tourner ta tête au plus vite. Ça ne fait pas exactement rêver. Tu ne t’es pas particulièrement amusée. Tu as trop bu, trop dansé, trop fumé et trop parlé. Tu regrettes presque d'être venu. Ce soir tu n’as pas l’ivresse joyeuse. D’habitude, tu espères prolonger la nuit. Tu tentes de t’offrir un léger supplément de rêve à défaut d’âme. Tu cherches à tout prix à rester le plus éloignée possible du retour à la réalité. Mais ce soir, tu ne veux pas. Tes yeux brillent, tout te semble un peu flou. Tu n’attends pas qu’un garçon te raccompagne. Ce soir, tu sais que c’est une mauvaise idée. Le garçon ne te plaît pas. Alors tu t'isoles au bar. Tu ne lui vends pas d’illusion et tu ne t'en fais pas non plus. Rien à gagner. Tout à perdre. Ce soir tu n’as pas envie de te prêter au jeu de l’amour sans hasard. Et puis, de toute façon, tu auras mal à la tête demain, alors autant essayer d’éviter quelques regrets. Tu veux juste aller te coucher. Tes amis ont l’air de vouloir continuer à faire la fête. Dash te fais signe de les rejoindre. Son pote, le type qui te drague depuis le début de la soirée le lui a surement demander. Tu te contentes de lui faire un signe de la tête et tu continues à boire toute seule. C'est sans compter sur cet homme qui t'accoste avec une réplique dépassée depuis l'époque des jeans taille haute et des épaulettes. Quoique on dort peut-être encore ce genre de disquette dans le pays de ton interlocuteur. Il n'est pas du pays. Son accent est repérable à des kilomètres à la ronde. Ce n'est pas un accent chantant, genre latino ou canadien. C'est un accent grave et plutôt dur. Un accent allemand ou en provenance des pays de l'est. « Qui est-ce qui t'a appris à draguer? » Un rire cristallin s'échappe de tes lèvres. Tu es une fille qui a trop bu. Et lui, c’est un gars qui a beaucoup trop bu. Ton regard se pose sur lui. Tu le détailles avec plus de précision. Grand, brun, yeux gris. Tout à fait ton genre, mais ce soir, tu n'as pas envie. En plus il est complètement déchiré. Trop peu pour toi. Tu fronces les sourcils lorsqu'il reprend la parole. Sérieusement? Il te fait du rentre dedans carrément. Aucune subtilité. Aucune délicatesse. Ça te vexe presque. Toi qui a l'habitude d'être traitée comme une princesse. « Dommage pour toi, je suis lesbienne. » L'excuse infaillible. Quoique au vue de son taux d'alcoolémie, ça pourrait l'exciter. Tu le sens déjà venir avec une proposition de ménage à trois ou un plan loufoque.
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Le problème était justement là ce soir. Tout les codes de bienséances que tes parents t'ont apprit durant toute ton enfance, tu es littéralement en train de t'asseoir dessus. Toi qui, habituellement, peut être un véritable gentleman, un homme plein d'attentions et de savoir vivre, là tu passes pour un ivrogne qui a juste envie d'une jolie femme dans son lit. Si seulement tu pouvais arriver jusqu'à ton appartement dans cette état. Et encore moins avec une quelconque relation sexuelle. La jeune femme, intelligente et maline, remarque immédiatement ton état et rit de ta remarque. Perplexe et ne te rendant pas compte de l'image que tu dégages, tu arques un sourcil de façon très exagérée « Oh, pourquoi tu dis ça, c'était plutôt pas mal comme approche ? » Décidément, tu es beaucoup trop ivre et il s'avère que ramener une femme chez toi va être une mission impossible. La brune en face de toi fronce les sourcils, te dévisage et te répond qu'elle est lesbienne. Si elle comptait te faire fuir avec cette réplique, elle se trompait royalement. Un large sourire se dessine sur ton visage. Tu le voulais provocateur mais tout se que tu réussis à faire c'est d'avoir l'air niais « Ça tombe bien, je suis sûr que je vais vous adorer toi et ta copine alors ! » puis tu te mis à rire comme si c'était la blague de l'année. D'une traite, tu terminas ton verre que tu posas sur le bar qui était près de vous.
Tu regardes la jeune femme qui a l'air aussi exaspérée que toi tu as l'air con puis ton regard se porte sur son verre. Il était vide, ou en tout cas presque vide. Sans lui demander son avis, tu en commandes deux autres que le serveur te donne presque immédiatement, à croire qu'il n'avait vraiment rien de bien intéressant ce soir. D'un geste un peu trop enjoué, tu tends un des verres à la jolie brune, manquant d'en renverser la moitié sur sa robe. Demain, tu arrêtes de boire, tu viens de décider ça maintenant, mais tu ne tiendras jamais cette promesse. Promesse que tu t'ai déjà faite un nombre incalculable de fois « Excuses-moi ! Je vois plus très bien arrivé à cette heure-là ... » Tu venais clairement de lui confirmer que tu avais bu le fameux verre de trop il y a quelques heures déjà. Tu avais peu de chance de la séduire mais là, c'était véritablement fichu.
Tu regardes la jeune femme qui a l'air aussi exaspérée que toi tu as l'air con puis ton regard se porte sur son verre. Il était vide, ou en tout cas presque vide. Sans lui demander son avis, tu en commandes deux autres que le serveur te donne presque immédiatement, à croire qu'il n'avait vraiment rien de bien intéressant ce soir. D'un geste un peu trop enjoué, tu tends un des verres à la jolie brune, manquant d'en renverser la moitié sur sa robe. Demain, tu arrêtes de boire, tu viens de décider ça maintenant, mais tu ne tiendras jamais cette promesse. Promesse que tu t'ai déjà faite un nombre incalculable de fois « Excuses-moi ! Je vois plus très bien arrivé à cette heure-là ... » Tu venais clairement de lui confirmer que tu avais bu le fameux verre de trop il y a quelques heures déjà. Tu avais peu de chance de la séduire mais là, c'était véritablement fichu.
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Alekseï & Kaylee
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Ce soir t'as l'alcool triste. Chaque gorgée d'éthanol que tu ingurgites te rend un peu plus mélancolique. Pourtant, tu continues. Tu en es à ton cinquième verre. Heureusement que tu tiens plutôt bien à la boisson. Il faut aussi admettre que tu n'as rien pris de bien fort. T'es un peu lassée. Tu as beau vivre dans une grande ville, de sa grandeur tu n’en as que les inconvénients. Dans ta réalité, tu vis dans un village, tu ne vas que dans des endroits qui te sont recommandés et surtout où tu es sûre de croiser des gens que tu connais, ou au moins que tu identifies. Tu vas toujours aux mêmes endroits avec les mêmes personnes. Tes amis, tu les aimes. Ils sont comme toi. Fêtards. Désinvoltes. Irresponsables. Vous faites parti de la jeunesse dorée du pays. Une jeunesse dorée, qui ne brille pas vraiment. Trop habituée à ton aquarium, tu ne t’aventures jamais en lieux et visages inconnus. En parlant de visages inconnus. Celui du jeune homme venu t'aborder ne te dit rien. Tu te moques ouvertement de sa technique de drague, le pire c'est que ça semble le surprendre. « Ah ouais tu trouves? Je pense que t'es juste trop bourré pour te rendre compte que ce que tu viens de me sortir, c'est tout sauf pas mal. » Le son de ta voix est fortement atténué par la musique qui criait dans les enceintes. Un son chaloupé et incisif bien loin des beats rageurs sur lesquels tu aurait aimé te déhancher. Il te souris niaisement lorsque tu prétends être homosexuelle. Sauf que ton excuse produit le contraire de l'effet escompté. « Non mais t'as vraiment aucune limite. » Tu lâche d'un air faussement outrée. De toute façon, c'était prévisible qu'il te dise ça. Deux filles qui couchent ensemble, y a rien de mieux pour réveiller l'appétit sexuel d'un homme. « J'ai pas de copine. » Tu enchaines désinvolte. Tu détournes ton regard. Tu ne sais même pas pourquoi tu réponds à ce type. Peut-être parce qu'il aura oublié tout ce que tu lui aura dit demain? Peut-être que tu pourrais lui dire à quel point ta meilleure amie te manque sans passer pour une conne émotive qui a envie de se rabibocher avec une nana qui a sauté sur son copain? Peut-être que pour une fois tu pourrais te lâcher et mettre ton égo de côté? T'as clairement besoin de parler. Anna c'était la seule a qui tu t'ouvrais vraiment. T'as un tas d'amis. Un tas de gens que t'aime bien. Un tas de gens avec qui tu fais la fête. Mais personne a qui tu peux vraiment faire confiance. Le brun te commande un verre alors que le tien est encore plein. T'as l'habitude qu'on te paye des verres, mais là c'est pathétique. Il aurait pu attendre que tu le vides un peu. Tu hausses les épaules. Il doit vraiment être déterminé à t'emmener sous ses draps. « Tu sais, tu peux me payer tous les verres que tu veux, je coucherais pas avec toi. » Tu le préviens. Histoire que le fait que t'accepte ce qu'il t'offre ne lui donne pas de faux espoirs. Il te tend prestement ton verre et bien sur il tache ta robe. Une bodycon bordeaux qui t'a couté la peau des fesses. « Putain ! » Tu jures en te redressant et en passant ta main sur la tâche en question. « Sérieux, arrête d'essayer de faire le beau quand t'es déchiré ! » Tu souffle avant de te diriger vers les toilettes pour essayer de la faire partir.
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KAYLEE & ALEKSEÏ.
Elle est en train de se foutre de ta gueule, littéralement. Tu commences à comprendre que ce soir, tu ne pourras rien attendre d'elle. D'un côté, tu la comprend. Avec un peu de recul, tu sais à quel point tu as l'alcool mauvais, tu sais que ces breuvages plus ou moins forts font ressortir ce côté excessif qui te vient de tes origines russes. Fichu pays qu'est la Russie. Ce pays duquel tu as hérité tout tes traits de caractères. Tu es le stéréotype même de ces habitants et tu ne le sais que trop bien.
La jeune femme te reproche de n'avoir aucune limite. C'était précisément un de tes défauts et elle venait de mettre le doigt dessus. Elle t'informa par la même occasion qu'elle n'avait pas de petite amie. Sa mine faussement choquée te fis sourire et te donna la mauvaise idée d'aller encore plus dans l'extravagance. Tu ne pouvais pas l'avoir, c'était certain, alors l'alcool te donnait l'envie de continuer de façon exagérée ce jeu, même si elle n'était pas forcément d'accord. « C'est pas grave, on va en trouver une de copine, y'en a partout ici ! », tu regardes autour de vous et lui montre toutes les jeunes femmes qui se déhanchent sur la piste, « y'en a bien une qui va nous plaire à tout les deux ». Tu lui adresse un clin d’œil. Tu sais, ou plutôt tu te doutes, que cette remarque va l'agacer, mais tu t'en fiche pas mal.
Tu lui tends le verre que tu as l'intention de lui payer lorsqu'elle te rétorque que ce n'est pas ainsi que tu la mettras dans ton lit. Tu lui offre ton plus grand sourire, puis tu te mets à rire. Autant lui avouer la vérité, ton but n'est absolument plus d'obtenir d'elle une danse charnelle. « Très franchement, vu mon état et comment tu me rembarre, crois moi je suis carrément incapable d'avoir des relations sexuelles. », tu ne peux t'empêcher de rire car tes paroles sont criantes de vérités. Lorsqu'elle tend la main afin de saisir le verre, l'alcool te prend un traître et t'offre un petit vertige qui te fait renverser la moitié de la liqueur sur la jolie robe de la demoiselle. Sans attendre et sans prendre de gants, la jeune femme t’envoie royalement de faire foutre. Tu fronces les sourcils et reste un instant idiot, devant elle. Impulsif, ton sang ne fait qu'un tour et tu laisse tomber les deux verres que tu tenait fermement l'instant d'avant. « Faut que tu te détende, sérieusement. Parce que là tu fais vraiment la nana qui a un balai bien profond donc son cul ! », c'est sorti tout seul. Ton tempérament excessif refait surface. En effet tu es déchiré et probablement lourd, mais il était hors de question que tu la laisses te traiter ainsi.
La jeune femme te reproche de n'avoir aucune limite. C'était précisément un de tes défauts et elle venait de mettre le doigt dessus. Elle t'informa par la même occasion qu'elle n'avait pas de petite amie. Sa mine faussement choquée te fis sourire et te donna la mauvaise idée d'aller encore plus dans l'extravagance. Tu ne pouvais pas l'avoir, c'était certain, alors l'alcool te donnait l'envie de continuer de façon exagérée ce jeu, même si elle n'était pas forcément d'accord. « C'est pas grave, on va en trouver une de copine, y'en a partout ici ! », tu regardes autour de vous et lui montre toutes les jeunes femmes qui se déhanchent sur la piste, « y'en a bien une qui va nous plaire à tout les deux ». Tu lui adresse un clin d’œil. Tu sais, ou plutôt tu te doutes, que cette remarque va l'agacer, mais tu t'en fiche pas mal.
Tu lui tends le verre que tu as l'intention de lui payer lorsqu'elle te rétorque que ce n'est pas ainsi que tu la mettras dans ton lit. Tu lui offre ton plus grand sourire, puis tu te mets à rire. Autant lui avouer la vérité, ton but n'est absolument plus d'obtenir d'elle une danse charnelle. « Très franchement, vu mon état et comment tu me rembarre, crois moi je suis carrément incapable d'avoir des relations sexuelles. », tu ne peux t'empêcher de rire car tes paroles sont criantes de vérités. Lorsqu'elle tend la main afin de saisir le verre, l'alcool te prend un traître et t'offre un petit vertige qui te fait renverser la moitié de la liqueur sur la jolie robe de la demoiselle. Sans attendre et sans prendre de gants, la jeune femme t’envoie royalement de faire foutre. Tu fronces les sourcils et reste un instant idiot, devant elle. Impulsif, ton sang ne fait qu'un tour et tu laisse tomber les deux verres que tu tenait fermement l'instant d'avant. « Faut que tu te détende, sérieusement. Parce que là tu fais vraiment la nana qui a un balai bien profond donc son cul ! », c'est sorti tout seul. Ton tempérament excessif refait surface. En effet tu es déchiré et probablement lourd, mais il était hors de question que tu la laisses te traiter ainsi.
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