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La vie prend des tournants bien trop serré parfois. Amare a vu la vie prendre des gens par surprise, les rendre fous car non préparé à ce changement de direction imprévu. Il l’a vu tellement souvent qu’il a l’impression de comprendre ce que ça fait. De comprendre que la vie nous offre tellement de surprises qu’il est difficile de s’adapter à ces changements soudain. Il l’a connu, il y a longtemps. Sa mère, la rue, madame Rossbury, les Lindley, le mannequinat. Mais depuis, il a une stabilité, une sorte de continuité qu’il apprécie mais dont il se lasse aussi. Dans sa chambre à la Mather House, sa bouteille de bière sur le sol, il pensait à ça. Ses colocataires n’étaient pas présent, alors il fumait sans problème dans la chambre, n’en ayant pas grand chose à faire si ça l’odeur s’imprégnait dans les murs. Il s’en fout de beaucoup de chose en même temps. A part ses études et ses proches. Un pull léger et un jogging gris matelassé sur lui, il aurait pu sortir d’une séance de sport si c’était son genre, mais ça ne l’est pas. Il sort juste d’une sieste, le sommeil est encore dans ses yeux, l’envie de bouger pas réellement au rendez-vous. Dans son lit bien douillet, le calme présent dans la maison, la seule chose qui manquait était un pot de glace et une bonne série à regarder au milieu de la nuit. Pot de glace qu’il allait subtiliser dans la cuisine de la maison. Qu’il appartienne à quelqu’un ou pas, rien à faire. Il voulait son pot de glace. Écrasant son mégot de cigarette dans une timbale qui traînait, il sortit de la chambre, pas vraiment discrètement. Il était à la moitié du chemin lorsqu’il croisa une petite tête blonde qui n’avait vraiment rien à faire dans les parages. « Mais qu’est-ce que tu fous ici Ory ? »

@Orysia L. P-Petrova
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— Ft. Amare

J'ai une soudaine envie d'aller me chercher du mcdo. Ça fait trop longtemps que j'en ai pas mangée, ça craint. Jules n'ait toujours pas rentré. C'est typique venant de lui, il ne m'avertit jamais. Il n'avertit jamais, préférant me laisser toute seule dans sa chambre. Peut-être que je m'inquiète trop en fait, c'est probable. Depuis que je l'avais surprise en train d'acheter de la drogue, j'le suivais partout, comme une vraie sangsue. Quand il m'avait proposé de squatter sa chambre pour quelque temps, il était parfaitement conscient que je serais toujours quelque part en train de le surveiller. Même si ça ne lui faisait pas spécialement plaisir. D'ailleurs, il m'a demandé d'arrêter de me mêler de ses trucs. Si c'est ce qu'il veut, okay. C'est pourquoi je ne lui envoie pas un sms à cette heure-ci, histoire de le laisser respirer. Je m'avance vers la porte, déposant ma main sur la poignée de porte afin d'ouvrir celle-ci. Je me penche vers le couloir, tournant ma tête de gauche à droite, de droite à gauche afin de m'assurer qu'il n'y a personne. Tout est nickel. Dès que je suis dans le couloir, je referme la porte derrière moi. Je marche sur la pointe des pieds, parce que j'ai vraiment pas envie que le plancher craque sous mon p'tit poids. Puis si je fais un moindre bruit, je vais réveiller quelqu'un. C'est à éviter, étant donné que je suis pas supposer être ici vu la guerre qu'il y a en ce moment et dont, je ne prends pas du tout part. Je descends les marches, avant de me diriger vers la porte d'entrée. « Mon argent! » dis-je, en réalisant que je l'ai oubliée à l'étage, Alors que je me retourne, je tombe nez à nez avec Amare. Fuck, fuck. Il me demande qu'est-ce que je fous ici. « Euh.. j'étais venue reprendre mon portable. J'allais partir.. » Totalement faux, vraiment.  

© LOYALS.
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Amare n'est pas vraiment partisans des petites guerres insignifiantes qui fait rage et fureur entre la EH et la MH. Il n'y prend par alors que deux amies à lui y sont au coeurs. On aurait dit que la vie semblait tourner autours de ça depuis quelques temps à Harvard. Allez en cours, occupez vous de vos études au lieu de vous prendre le chou pour savoir qui a la plus grosse, qui a la plus longue, qui a la combinaison des deux. Il trouvait ça absurde et inutile, et surtout déplacé vu ce qui se passe dans le monde, vu les élections qui allait se dérouler deux jours après, vu la situation du monde. Ridicule et déplacé. Sans être un militant activiste, il jouait la carte de la neutralité alors en tombant sur le visage d'ange d'Orysia en plein dans le hall de la Mather House, il ne fit pas scandale à avertir toute la maison de sa présence. « Petite idiote. T'es chez Jules, je suppose ? Viens, on va dans ma chambre, il ne fait pas bon vivre pour toi ici vu ce qui se passe. » Prenant sa petite main dans la sienne, il l'entraîna dans les escaliers avant de se rappeler pourquoi il était descendu au départ. « Attend deux secondes. » Se précipitant dans la cuisine annexe, il rafla un pot de glace non entamé, deux cuillères et une bouteille d'eau fraiche, puis reprit le chemin vers sa jambe, Orysia derrière lui. Il ne valait vraiment pas qu'on la voit dans les parages car elle risquait gros, autant auprès des Mather que des Eliot. Expulsion des bleus et lynchage par les verts. Pas vraiment le meilleur pour une fille aussi délicate qu'elle. Ouvrant la porte avec la pomme de ses fesses, il la laissa entrer, en vrai gentleman et admira son dos quand elle passa devant lui. C'est un mec, il ne peut pas s'en empêcher. « J'étais venu prendre de la glace, j'avais la dalle après avoir dormi. Tu faisais quoi en bas ? Et pourquoi tu parlais d'argent ? » Orysia n'avait rien à faire ici mais bon, il l'aimait bien. Plus que bien d'ailleurs mais il lui dira jamais. Un petit rayon de soleil, un sourire dans ses nuages souvent grisâtre. Une personne qui lui fait du bien mais dont il a du mal à accepter l'influence. Il ne devenait pas mou et collant avec elle, mais moins agressif, moins cru, moins lui et ça le dérangeait fortement. Pourtant, passer du temps avec elle, ça faisait du bien, ça le calmait, ça l'apaisait. Un peu comme lorsqu'il est avec Romy et c'est ça qui lui fait peur. Parce que Romy, il a fini par en tomber amoureux et il l'est toujours malgré lui. Ressentir ça pour Orysia, c'est comme ci il trahissait Romy.
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— Ft. Amare

Moi qui voulais jouer à la superwoman sans me faire repérer par quelqu'un, c'est plutôt raté. Encore heureuse que ça ne soit pas le président ou Sage. Je regarde par-dessus son épaule, en gardant le silence. J'écoute le silence qui règne dans la Mather House. J'avais passée un pacte avec Jules, personne ne dirait à qui que ce soit que je me trouvais ici. Inutile de vous dire que j'angoisse comme une dingue présentement et ce, devant Amare. Je trouve rien de mieux que d'utiliser mon portable comme mensonge. Qui vient reprendre son téléphone durant la nuit, sérieusement? Pourquoi j'ai dit ça? Après, c'est inutile d'essayer de me comprendre. Je suis un mystère à moi toute seule. Je me mords la lèvre inférieure. Amare sait que je suis la super bff de Jules, en fait c'est un secret pour personne. « Non! C'est pas lui à qui j'ai prêtée mon téléphone. J'crois pas que c'est une bonn.. » Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, qu'il attrape ma main dans la sienne pour m'entraîner dans les escaliers. Amare s'arrête soudainement avant de se retourner et de redescendre les escaliers, en me demandant d'attendre deux secondes. Il part dans la direction de la cuisine et moi, je reste là. Je l'entends faire un peu de bruit. Au bout d'une minute, je le vois qui revient vers moi, en tenant un pot de glace, deux cuillères et une bouteille d'eau qu'il tient dans ses bras. Il passe devant moi et je le suis, sans me poser de question. Lorsque nous arrivons devant sa porte, Amare ouvre celle-ci avec la pomme de ses fesses. Il se décale afin de me laisser entrer la première. Comme c'est mignon. Je pénètre dans sa chambre et je cherche l'interrupteur sur le mur, comme ça, je risque pas de trébucher sur quelque chose. Il me repose la question, concernant ma présence au sein de la confrérie. « Je te l'ai dit, je suis venue reprendre mon téléphone. Quel argent? T'entends des voix, j'ai rien dis.» Dis-je en faisant mine de ne pas comprendre sa question.  « T'as pas peur de t'asphyxier là-dedans? » Demande-je en blaguant. Je suis pas folle, même les murs ont une couleur jaunâtres. Je viens m'installer sur son lit sans même attendre qu'il me le propose.   

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Il s’en fout des règles Amare, il s’en fiche de les respecter ou de les briser. Il n’en tient pas compte. Harvard en est pourtant bourré mais il ne joue pas avec elle. Il les ignore, les respecte comme il les brise. Il vit et puis c’est tout. En voyant Ory dans le hall des Mather, la putain de règle qui les interdisait d’y être, il n’en fit pas cas. A vrai dire, il ne la connaissait même pas. Si bien qu’il balaya ses paroles d’un geste de la main et la fit monter dans sa chambre, en ayant pris au passage un pot de glace et deux cuillères. Orysia était un petit rayon de soleil pour lui alors il vit aucuns inconvénients à l’avoir avec lui pour le reste de la soirée. Ils ont une relation particulière, spéciale. Elle est un peu la lumière dans son monde sombre, le fils blanc dans son patchworks de noir. Amare a longtemps eut du mal à accepter l’influence assez lumineuse qu’Orysia a sur lui, durant les premiers mois de leur amitié, il l’évitait énormément pour ne pas sentir un sourire idiot lui venir au visage. A présent, il combat moins cela, sourit avec plaisir devant elle. Un vrai mystère. « Prendre ton téléphone ? Il dépasse de ta poche Ory. » Déposant les fournitures sur son bureau, il alluma la lumière et pris une cigarette. « Et j’ai définitivement entendu ta douce voix parler d’argent. » Ouvrant les fenêtres, sachant très bien que la délicate petite blonde ne supportait pas l’odeur de la nicotine, il s’installa près de la fenêtre la plus proche et regarda la jeune femme. Prenant une taffe, deux taffes, finissant sa cigarette en moins de qu’il n’en faut pour le dire. « M’asphyxier ? On est chez les mather je te rappelle, c’est la chambre la moins jaunâtre que tu verras ici ma belle. De la glace ? » Prenant le pot, lui tendant une cuillère, il ouvrit la glace, bien pressé de sentir le froid dans sa bouche. « T’en veux ? » lui dit-il en tendant le pot devant elle. Dans la douce lumière de la chambre, ses cheveux brillaient d’une douce lumière. Il doit avouer qu’il n’a jamais réellement porté attention à la beauté de la jeune femme. Il sait qu’elle est belle, c’est évident. Mais la couleur or de ses cheveux, le bleu de ses yeux, l’éclat de sa peau de porcelaine, il n’y portait pas attention. Mais là, devant lui, elle était rayonnante, littéralement. « Alors ? T’as fini de me mentir ? Tu veux bien m’avouer que tu crèches chez Jules ? Ça rendrait la situation un peu moins embarrassante pour toi. » dit-il en riant doucement. Prenant une bonne cuillère de glace, il en déposa un peu sur le nez retroussé de la jeune femme avant de l’avaler tout rond. Un vrai gamin.
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— Ft. Amare

J'avais une relation assez particulière avec Amare. Nous étions différents sur pas mal de choses en fait et pourtant, on arrivait à bien s'entendre. Orysia la douce, extravertie et un Amare peu sociable et solitaire. Complètement à l'opposé direz-vous. J'avais cette fâcheuse habitude de traîner avec des mecs qui avaient tous ce même point en commun; mystérieux. Au fond, j'espérais peut-être gratter un peu, pour découvrir leurs vraies personnalités. Je prenais un oreiller et je venais m'allonger sur le ventre, en tenant fermement l'oreiller contre ma poitrine. Je regardais Amare déposer les trucs sur le bureau avant de sortir une cigarette. Il jetait un regard sur mon popotin et il me signalait qu'il voyait mon téléphone. Mouais, c'est pas malin Ory. « C'est pour ça que je quittais la Mather House, puisque je l'avais récupérée. » Dis-je en le suivant des yeux, tandis qu'il se dirigeait vers la fenêtre pour l'ouvrir.  Je contournais de nouveau sa remarque vis-à-vis de ma voix qu'il avait entendue. Je secouais la tête de gauche à droite. « Les voix se ressemblent toutes. » S'il fallait que je mente pour qu'il arrête de me questionner, j'avais pas trop le choix. Je frissonnais au courant d'air qui rentrait dans la chambre, je voyais mes poils de bras se redresser. J'avais la chair de poule. Je passais une main sur mon bras, en tentant de le réchauffer. « Tu es trop habitué d'être là-dedans, pas moi! » Dis-je en me défendant. J'attrapais la cuillère qu'il me tendait et il rapprochait le pot de glace pour me faciliter la tâche. Amare me demandait si j'en voulais. Comment ne pas refuser? Je plantais ma cuillère dans la glace et en sorti un gros morceau. Je laissais fondre la glace dans ma bouche. Je relevais mes yeux vers lui, en croisant son regard. Amare savait que je mentais et il me mentionnait que la situation était embarrassante pour moi. Ah oui? Non, j'vois pas de quoi tu parles.  « La situation elle est embarrassante pour toi, pas pour moi. » Tout allait bien de mon côté. Il venait déposer un peu de glace sur le bout de mon nez. C'était froid bordel. « Okay okay j'avoue, je cruche chez Jules! » Dis-je en riant tout en enlevant ce truc de sur mon nez.

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Une bouffée d’air frais. Elle est son petit rayon de soleil. Deux êtres tellement différents qu’il était étonnant de les voir ensemble, de les voir rire ensemble, de les voir dans le même univers. Orysia, cette petite boule d’énergie, ce soleil ambulant. Amare, toujours morosse, trop solitaire et introverti. Il ne rit pas comme elle, il rit en sous cape, derrière sa main. Il ne veut pas que le monde le voit sourire. Étrange mais vrai. Orysia, elle rit pour le monde, elle sourit pour n’importe qui. Mais les deux sont bien ensemble, leur amitié se construit petit à petit, sans accros. Il écoute ses mensonges sans queue ni tête. Il écoute ce qu’elle dit et se surprend à la trouver adorable dans son nuage de mensonge. « Mais oui, bien entendu. » Elle tente alors de le persuader que toutes les voix se ressemblent mais il reconnaîtrait la sienne dans une foule alors c’est foutu. « Tu sais bien que ta voix ne ressemble à aucunes autres. » Il la connait bien. Il sait qu’elle ne veut pas mettre Jules dans une histoire qui n’est pas la sienne, mais elle devrait lui faire confiance. Il n’est pas une balance. Il se met à la fênetre, laissant l’air frais de la nuit entrer dans la chambre et allume sa cigarette. Il ne veut pas incommoder la jeune femme alors il prend des précautions. « Oui, sans doute. » Sa clope finit, il lui donnant une cuillère et le pot de glace et la regarda manger en souriant doucement. Elle était adorable et ça l’énervait. Elle leva les yeux sur lui, allongée sur son lit. Elle avait l’air d’un ange venu le détruire. « La situation est embarrassante que pour toi. » Il déposa de la glace sur son nez et elle avoua avec un petit cris d’oiseau. « Ah, tu vois, la vérité n’est pas si douloureuse que ça. » dit-il en riant à son tours. Lui redonnant le pot de glace, il s’installa à ses pieds, sur la moquette pleine de déchets digne d’une chambre de mecs. « Donc tu es chez Jules à cause de quoi ? T’as pas un appart en ville toi ? » Avec son nom et ses beaux yeux, elle pouvait tout avoir alors pourquoi crèches-t-elle ici alors que c’est si dangereux. « Et ne t’inquiète pas, je ne dirais rien à personne. »
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