Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLes seules vraies réponses sont des questions [ft. Caleb]
Le Deal du moment : -38%
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip ...
Voir le deal
99.99 €


Les seules vraies réponses sont des questions [ft. Caleb]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △
On ne choisit pas sa famille. C’est bien ça la fameuse phrase que tu as entendue des dizaines de fois et que tu as aussi prononcée dans un soupir à plusieurs reprises? Eh bien non, pour sûr, on ne la choisit pas… Et pourtant tu l’aimes, ta famille. Et puis surtout tu lui ressembles. Tu as bien ce gène des Armour qui fait que tu es prête à jouer dans le Vaudeville orchestré par ton paternel pour ne pas perdre ton héritage. Donc, en toute franchise, en ce moment rien ne va. Tu ne réfléchis plus à ce que tu vas mettre le matin. Ton boulot t’ennuie autant qu’il t’épuise. Ta mère t’exaspère. Tes copines te ressemblent. Et tes soirées t’indiffèrent. Mais te poser des questions, faire le point, prendre du recul, tu n’as pas le temps. Et puis il y a tellement plus simple et plus efficace : aller chez le coiffeur. Le coiffeur c’est la vie en mieux. Toujours. Quels que soient ton âge et ton quotient de séduction du jour, chez le coiffeur c’est toi l’élue. De ton entrée au salon jusqu’à la sortie tu n’entends que des compliments et des remerciements. Et tu aimes ça. Qui n’aimerait pas ? Pendant qu’on boucle tes cheveux, tu feuillettes un magazine d’actualité. Le genre de revues que tu n’achèteras jamais mais que tu as besoin de toucher de temps en temps. Tu te fous absolument de savoir ce qui se passe au parlement ou à la bourse, mais tu ne veux pas non plus te sentir déconnectée. Tu as juste besoin de savoir que ça existe. Qu’un autre monde que le tien tourne. Tu es sûrement la seule à méditer sur un journal absurde dans cette enclave de la beauté. Une enclave dans laquelle tu t’es faite prisonnière. Tu vis séquestrée dans ta beauté, tu te dois d’être impeccable quels que soient les aléas de ton moral. A douze ans, tu as décidé d’être belle. Non, la beauté n’est pas une appréciation subjective. Ce serait un concept hippie de penser que la beauté vient de l’intérieur. Et les hippies ont les cheveux sales. La beauté est un choix. Et un processus qui prend du temps et de l’argent. Et ça tu l’as compris au moment de ton premier rendez-vous chez l’esthét’, à douze ans donc. Et puis ça a continué. Là tout de suite tu dois choisir la couleur de ton vernis à ongles. Un rouge. Impeccable et passe-partout. Quand rien ne va, retour aux valeurs essentielles. L’écran tactile des smartphones a radicalement changé le moment d’éventuelle solitude où tu attends que ton vernis sèche. Avant tu te faisais chier en pianotant l’air des doigts et en soufflant dessus. Maintenant tu scroll compulsivement ton écran pour faire défiler les statuts facebook et autres tweets. Tu n’es pas seule, visiblement, à aller moyennement bien. Mais toi tu n’en parles pas, tu te recoiffes et tu te fais limer les ongles. Ce serait impoli de se plaindre. Tu es délicate donc tu vas bien. Tu t'empares de tes affaires et salues ta voisine avant de sentir de ce temple de la superficialité. Pas de passage par la caisse. Tu as un abonnement. Alors que tu marches en direction ta voiture que tu as garé un peu loin étant donné que la rue était bondée, tes yeux croisent un visage connu. « Caleb ! » Tu interpelles le jeune brun au fur et à mesure que tu t'approches de lui. « Ça fait un bail ! » Clairement, cela faisait un bon moment que tu n'avais pas vu le bel italien. Ce qui est tout à fait normal parce que tu rentres de trois mois de vacances à Marrakech et que juste avant tu as passé quelques semaines à Omaha. « Tu vas bien? » Tu lui esquisses un regard, ourle légèrement les lèvres et lui montre tes dents blanches malgré la cigarette. Tu lui souris sincèrement. Tu adores ce gars. Il est franc et ne se prend pas la tête. Vous avez partager quelques unes de vos nuits, mais il n'y a jamais eu aucune ambiguïté puis tu ne peux pas t'empêcher de le trouver indécemment beau.

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △
Un troisième tatouage. Tu préfères ne pas compter celui que t’as sur la fesse droite, c’est une longue histoire de dingue entre un Eliot et toi, donc le mot “eliot” en petit sur le cul, c’pas une de tes fiertés. T’as découvert une passion pour l’encre depuis bien des années, tu t’es pourtant juste laissé aller à l’expérience y’a trois mois. Le premier, satisfaisant. Et les autres se sont suivis les uns après les autres, et te voilà encore prêt à laisser ta peau déchirée sous une aiguille. T’as passé près de trois heures dans le studio à te faire tatouer italia - un autre tatouage qui aura une signification secrète à jamais- sur l’omoplate gauche, et t’es satisfait quand le tatoueur te fais comprendre que c’est terminé. « Prochain rendez-vous … hmm, dans deux semaines? » te dit-il, alors que tu te permets de lui répondre que d’un hochement de tête. Il te tend un papier avec une date à la mi-novembre, tu paies ce qui est dû et tu te retrouves à l’extérieur avec l’épaule sensible. Mais t’es un dure à cuire, si si donc ça devrait aller. Tu marches d’un pas assez rapide sur le trottoir, vêtu de ta veste en cuir noire -t’es tellement l’mec cliché des fois mdr- et t’es interpellé par une voix qui t’fais douter quelques secondes et que tu replaces rapidement en apercevant Kaylee au loin. Elle s’approche et t’es carrément charmé par ce que tu vois ; ça, ça changera jamais. Pas de sentiments, ok. Mais une attirance comme t’as jamais ressenti avec autres. Quelque chose de really fucking out of this world. Et même si t’as eu la chance d’y goûter à quelques reprises, t’as pas perdu le désir torturant qu’elle à toujours su entretenir en toi. Mais bon, revenons à nos moutons ; soyons pas en mode pervers. « Kaylee.. » Tu dis, calmement. « Toujours plus superbe à chaque fois qu’j’ai l’honneur de te voir. » Ouais, c’est comme ça qu’tu parles avec Kaylee, y’a pas de secrets, elle sait qu’tes entre ses jambes dès qu’elle te l’ordonne. Et ouais, ça fait un bail. Mais putain que le temps lui va à ravir. Elle te demande si tu vas bien et tu peux pas t’empêcher de renchérir assurément. « Beaucoup mieux qu’y’a trente secondes. Toi? » Tu regardes ton téléphone parce qu’il vibre dans tes mains et tu peux y lire « On se reprend, la soeur vient d’arriver. -___- » Tu soupires et réalises que t’es vraiment pas classe d’avoir donné ton attention automatiquement à ton téléphone et tu relèves la tête vers Kaylee et tu continues. « ‘Scuse moi. Mes plans de ce soir viennent de tomber à l’eau. » Tu prends une pause et tu renchéris. « Dis, t’es rapparu dans le coin depuis quand? » Tu peux pas t’empêcher d’lui faire comprendre que t’aurais aimé qu’elle te fasse savoir qu’elle était de retour. Pour de vraies bonnes retrouvailles quoi.

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △
L’été est fini. Tes cheveux ont poussé en ondulant librement, et les pointes ont blondi. Tu es tellement bronzée que tu n’as pas utilisé de Terracotta depuis au moins trois semaines. Tu as des souvenirs plein la tête et des photos plein ton Instagram. Tu as passé deux semaines dans cette même maison où tu vas depuis plus de vingt ans avec ta famille et tous ces gens que tu côtoies depuis tellement longtemps qu’ils te saoulent autant que ta famille. Vous avez eu des déjeuners qui s’éternisent et des soirées pleines de tendresse. Et puis après, tu es partie avec des copines. Tu es partie ailleurs. Tu es partie Afrique. Pendant un mois. Pour te changer les idées. C'était tellement différent, tellement salvateur. Mais tu as du faire face au retour à la réalité. Te revoilà à Boston. Pas une chose n'a changé durant ton absence et justement, c'est bien ça le problème. Rien de mieux pour affronter tout ça qu'un passage chez l'esthéticienne. Ta manucure est impeccable et tes cheveux sont parfaitement coiffés. Tu aimes plaire, Kaylee. Tu aimes séduire. Tu aimes savoir les hommes prêts à tout pour t'avoir. Ça te procure une certaine satisfaction personnelle. Mais encore plus que ça, tu aimes les mâles. C'est ton vice. Et plus ils sont mauvais garçons, plus ils t'attirent. Ton faible pour les badboy t'a apporté bien des peines de cœur, mais tu n'y peut rien. Ça a toujours été ainsi. C'est ton côté autodestructeur. Un gars gentil, rangé et sérieux, c'est trop peu pour toi. Toi, sous tes airs de fille à papa, tu aimes l'adrénaline et ça seul un dur à cuire peu te le procurer. En parlant de dur à cuire, tu croises Caleb en sortant du salon. Caleb, le dealer. Caleb, le brun ténébreux. Caleb, le bel italien. Il t'a toujours fait tourné la tête. Et franchement il y a de quoi. Vous avez partagé quelques nuits ensemble et ça en valait la peine. De toute façon, si ça n'avait pas été aussi bien, tu n'aurais jamais remis le couvert avec lui, aussi mignon soit-il. Tes lèvres s'étirent en un sourire lorsqu'il te complimente. Tu as l'habitude avec lui. Il ne passe pas par quatre chemins et ça te plait d'autant plus. Pourquoi se prendre la tête?   « J'y compte bien. Je viens de sortir de chez l'esthéticienne. » Un rire cristallin franchit tes lèvres. Après tout, ton unique but en entrant dans ce temple de la superficialité était d'en sortir encore plus belle que tu ne l'étais. « Ah et merci pour le compliment. Je ne peux que te le retourner. » Tu te pinces la lèvre inférieur. Il sait pertinemment bien qu'il te plait. Tu lui as dit tellement le fois entre deux gémissement lorsqu'il te faisait oublier ton propre nom. « Pourquoi? Qu'est-ce qui n'allait pas il y a trente secondes? Sinon, moi ça va merci. » Tu mens. Rien ne va. Mais à quoi bon le dire si tu ne peux pas lui expliquer pourquoi? Tu fronces les sourcils lorsqu'il baisse les yeux vers son portable. Qu'est-ce qui peut être plus intéressant que toi? T'es capricieuse Kaylee, tu aimes que tout les feux soient braqués sur toi. Juste sur toi. Tu hoches la tête lorsqu'il t'apprend que ses plans de ce soirs sont tombés à l'eau. Ça fait un moment que tu n'as plus de plans de soirée, toi. À quoi bon sortir si on ne peut pas picoler? La seule chose qui te donne la foi de discuter avec des nanas peu profondes et des mecs dont la seule occupation est de faire jouer leurs muscles, c'est l'alcool. « Je suis désolée pour toi. » Tu hausses les épaules. Ça doit le faire chier quand même. Ton sourire réapparait lorsqu'il te demande quand est-ce que tu es rentré. Tu vois à son expression qu'il aurait aimé que tu le tiennes au courant et ça te fait plaisir de savoir qu'il tient à te voir. « Je suis rentrée du Maroc y a même pas deux semaines. Je comptais t'appeler d'ailleurs. » Tu lui dis la vérité. Tu as même composé son numéro, mais tu t'es rétracté en te disant que si vous vous voyiez, ça aurait sans aucun doute été pour une partie de jambes en l'air, or c'était un peu glauque alors que tu portais le gamin d'un autre dans ton ventre.

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △
Ça te fait du bien de la revoir. Ton monde est sans dessus dessous ces derniers temps et tu peux pas t’empêcher de t’ennuyer de la simplicité qui avait toujours été règle numéro à votre relation. « J'y compte bien. Je viens de sortir de chez l'esthéticienne. » T’esquisses un sourire et tu confirmes du regard. « Pourquoi? Qu'est-ce qui n'allait pas il y a trente secondes? Sinon, moi ça va merci. » T’es pas sûr de la croire lorsqu’elle te dit qu’elle va bien, mais t’as pas envie de t’éterniser sur la question, vous êtes en pleine retrouvailles et personne est mort, aussi bien essayer de rester positif. « T’étais pas là. » Tu dis, sourire flirteur à la commissure de tes lèvres. Ouais, c’est pour ça qu’tu vas beaucoup qu’il y a trente secondes. Tu la complimentes, elle te le renvoi et tu t'absorbe rapidement de cette bonne ambiance. Tu t’attardes à ton téléphone quelques secondes et annonce à Kaylee que tes plans de ce soir sont annulés. Inconsciemment, tu réalises que le fait qu’tu lui ai dis, c’est parce que t’as comme déjà prévu d’la ramener chez toi. « Je suis désolée pour toi. » Tu lèves les épaules en signe de “je m’en foutisme”, comme si t’étais habitué de te faire lâcher pour des plans. Tu lui fais finalement comprendre que t’aurais aimé avoir de ses nouvelles, comme quoi elle était rentrée. « Je suis rentrée du Maroc y a même pas deux semaines. Je comptais t'appeler d'ailleurs. » Tu l’écoutes attentivement avant de reprendre de plus belle. « Mais.. tu ne l’a pas fait. » Ouais, c’est une petite pointe et puis quoi, c’est vrai qu’ça te fait un peu chier. En deux semaines, si elle aurait voulu t'appeler, elle aurait trouvé le temps. « T’es occupée là, maintenant? » Tu te rattrapes, tu veux pas mettre de tension, t’es pas vraiment fâché qu’elle t’ais pas contacté, t’es peut-être juste surpris. Ou t’sais pas. « J’vis à quelques rues d’ici. » Tu dis, détournant le regard une fraction de seconde vers le chemin que t’empruntais avant de te faire arrêter par Kaylee. « On se fait livrer un p’tit quelque chose à manger, j’ai une bonne bouteille de vin et puis on rattrape le temps perdu? » Tu dis, avant de renchérir taquineur. « Et puis après j'verrai si je te pardonne d'pas m'avoir contacté. »

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △

Tu déambules dans la rue pour rejoindre l'endroit où tu as garer ta voiture. Bien sur que tu ne vas pas chez le coiffeur qu'il y a à côté de chez toi. Quelle idée ! Toi, tu vas chez le coiffeur qui a le meilleur baromètre de la ville. Un grand nom français avec qui il faut prendre rendez-vous des jours à l'avance. Tes cheveux, c'est sacré. Tu ne peux pas laisser n'importe qui te les couper tout de même. Tu t'attends à tout sauf à croiser le bel Italien qui t'as fait crier son nom tellement de fois que tu ne serais pas capable de les compter. Tu lui demandes comment il va. Mieux maintenant qu'il te voit. Phrase prévisible. Phrase toute faite même. Tu secoues la tête en souriant. Tu sais pertinemment que c'est surjoué, même si tu ne doutes pas de ton agréable compagnie. « Moi aussi ça me fait plaisir d'être tombé sur toi. » Vraiment. Votre relation a toujours été caractérisée par la légèreté. Du sexe. De la complicité. Des petites blagues ici et là. Pas d'attache. Pas de sentiments. Que veut le peuple? Niveau sentimental, tu as eu ta période où tu as accumulé les mecs. Des débuts d’histoires mais jamais rien de construit. Des aventures prometteuses qui n’ont jamais tenu leurs promesses. Alors maintenant, tu te contentes de te faire plaisir. Les mecs peuvent bien se taper qui ils veulent en toute impunité. Alors pourquoi ce ne serait pas le cas pour les femmes? T'es un chouia féministe, ouais. Sauf que tu as du rencontrer des petits imprévus. Ça n'a pas été facile ces derniers temps. Entre ton plan foireux avec Hardin, la découverte de ta grossesse et l'ultimatum de tes parents... Mais lorsque Caleb te demande à son tour si tu vas bien, tu réponds forcément que oui. Tes cheveux brillent, tu t’arranges pour faire croire que le reste aussi. Tu ne crois pas toi même ce que tu débites, mais tu souris. Il te reproche le fait de ne pas l'avoir contacté. « Tu sais j'étais à Omaha juste avant et vu que je viens d'ouvrir mon cabinet, j'étais un peu prise. » Tu ne mens pas. Tu omets juste de tout lui dire. Tu aimerais bien lui expliquer le pourquoi du comment tu t'es retracté mais ça doit rester secret. Enfin, ce n'est pas comme si tu le penses capable de le crier sur tout les toits, mais il doit surement s'en foutre. Il te demande si tu es occupée. « Excuse moi, je dois envoyer un SMS. » Tu sors ton cellulaire de ton fourre tout Prada et tu textes ta mère pour annuler votre virée shopping. Tu n'étais pas vraiment chaude pour aller acheter une robe de fiançailles. Tu ne veux pas de ce mariage arrangé de toute façon. Caleb t'offre l'occasion de fuir sur un plateau d'argent. Tu relèves les yeux vers lui en souriant. « Plus maintenant ! » Il te propose de passer chez lui pour manger quelque chose et rattraper le temps perdu. Un petit rire t'échappe lorsqu'il te charie. « Oh, tu verras quand je me serais occupée de toi, tu n'auras pas d'autre choix que de me pardonner. » Tu lui dis d'un ton aguicheur en te pinçant la lèvre inférieur et en t'approchant dangereusement de lui posant ta main sur son bras. Tu enchaines avec un rire. Un rire jaune que tu essayes de camoufler. Tu n'as pas tourner ta langue sept fois dans ta bouche avant de parler. Tu le chauffes alors que tu ne comptes rien faire avec lui. Pas que tu ne le veuilles pas, mais tu ne peux pas te permettre une partie de jambes en l'air avec le brun alors que tu portes le gosse d'un autre homme. T'es ouverte d'esprit et tout, mais là, c'est un peu dégueu. « Tu veux commander quoi? » Tu renchéris pour tenter de cacher ta gêne avant d'entreprendre de le suivre chez lui.

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


❝ Les seules vraies réponses sont des questions ❞


Kaylee & Caleb
Les gens se sentent seuls parce qu'au lieu de construire des murs, ils construisent des ponts △
T’as toujours été un peu prévisible en tant que charmeur. Et pourtant, ça fonctionne. Parce que tu sais comment la mettre à l’aise. T’es pas d’une compagnie cinq étoiles, mais t’es pas redondant non plus- quand tu te lèves du bon pied, bien entendu-. T’es satisfait de réaliser qu’elle partage le même genre d’euphorie d’te voir. T’es pas insécure, mais c’est toujours flatteur. Tes yeux dessinent sa silhouette à mainte reprises, mais certes, très subtilement. Tu finis par dégager une ambiance légèrement différente, lui faisant comprendre que t’es pas con, qu’tu sais qu’elle aurait pu te voir avant, mais vous êtes là, en retrouvailles, parce qu’elle ne l’a pas fait. « Tu sais j'étais à Omaha juste avant et vu que je viens d'ouvrir mon cabinet, j'étais un peu prise. » Elle te dit qu’elle était très prise, tu l’sais qu’c’est probablement vrai, ce pourquoi tu répliques d’un simple « J’te crois. » avant de tuer le sujet avec un sourire déjà beaucoup plus chaleureux. Vous vous êtes jamais vraiment pris la tête, c’pas aujourd’hui que ça va commencer. Après avoir vu ton sms, tu lui demandes si elle est occupée ce soir. Rapidement elle réplique. « Excuse moi, je dois envoyer un SMS. » Tu hoches de la tête, lui laissant s’adonner à sa tâche. Elle sort son téléphone et t’attends quelques instants avoir d’avoir son attention à nouveau. « Plus maintenant ! » Tu lui proposes donc une bonne bouffe, un bon vin et une suite que tu te fais dans ta tête, qui t’intéresse peut-être un peu trop. C’pas ta faute, t’as la vision d’une déesse d’étampé dans l’iris. Tu lui fais même comprendre qu’elle a à se faire pardonner. « Oh, tu verras quand je me serais occupée de toi, tu n'auras pas d'autre choix que de me pardonner. » T’as une chaleur qui t’envahi au moment où sa main s’aggripe légèrement à ton bras , et puis honnêtement, t’es vraiment satisfait par cette réponse. « J’en ai pas le moindre doute. » Que tu répliques, sourire charmeur qui montre tes dents vraiment blanches pour un fumeur de ton calibre. Tu vois déjà comment la soirée va se dérouler et tu peux pas t’en plaindre. T’as toujours pris ton pied avec Kaylee. Dans toutes les sphères d’la vie. « Tu veux commander quoi? » L’Italie. Ton tatouage te passe dans la tête, et t’as déjà réponse à ce que t’as envie d’manger. « On se fait livrer de l’Italien. » Et puis tu réalises qu’y’a pas vraiment de menus dans ce type de gastronomie qui t’intéresse donc tu renchéris. PIzzaaaaaaaa. Ouais, ça c’est classe. « D’la pizza. C’est Italien. C’est parfait. Donc, ça t'va? » Tu dis beaucoup plus sûr de toi avec cette réponse. Vous êtes en route vers chez toi, vous reste déjà plus que deux rues, soit trois minutes de marche. Si elle est fatiguée, t’iras la reconduire à sa voiture. Mais t’as pas prévu d’la laisser quitter ton chez toi avant demain, donc le jeu est entre ses mains. « Alors, du nouveau dans ta vie? » Tu dis, avant de continuer, détournant ton visage vers elle, tout en continuant ta marche. « J’ai besoin d’une mise à jour là. » Sex friend. Ouais, c’est c’que vous étiez. Mais vous vous êtes toujours intéressés à la vie de l’autre. Vous êtes proches, peut-être plus autant qu’auparavant, mais vous avez un intérêt commun. C’rare pour toi de l’assumer, mais c’est tout sauf sentimental avec elle, c’pour ça qu’elle a su facilement gagner ton respect.

©BESIDETHECROCODILE
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)