Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCaleb&Milan - Who let the dogs out
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Caleb&Milan - Who let the dogs out

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J'suis dans ma chambre, un spliff au coin des lèvres entrain d'enfiler un pantalon noir. Ouai, c'est ce soir la mission commando, ce soir qu'on s'rend dans la chambre de Willow et ... qu'on saccage tout ? J'crois qu'Adriel a été assez clair avec son "carte blanche". Puis avec moi, ça ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. J'ai donné rencard à Caleb devant la Quincy, j'ai déjà dix minutes de retard comme un cancre. Pas ma faute, ça fait quatre jour que j'pisse vert fluo, et franchement, ça commence à m'faire baliser. Pantalon ajusté, j'choppe un pull noir, balance le cul de mon joint dans l'cendrier, enfile le pull, attrape une part de pizza de la veille, mes chaussures à la main, mon sac à dos sur l'épaule, et j'déguerpis en courrant. Pizza dans la bouche, j'galère un peu à mettre mes chaussures en marchant, puis comme un con, j'ai oublié la ceinture, mon pantalon n'arrête pas de tomber sur mon caleçon. J'sors de la Mather, intrépide et désinvolte. Une nouvelle bêtise à accomplir, ça me donne des papillons dans le ventre. J'trace dans le campus, j'espère que Caleb ne râlera pas trop, et j'le vois là de loin qu'attend avec une tête de pas content. J'cours plus vite et ... BANG. J'tombe à cause de mon lacet défait, m'relève l'air de rien même si j'me suis bien rétamé, et arrive vers lui en me marrant à moitié  : "Désolé mec, j'ai eu un p'tit problème". J'pose le sac à dos au sol, essuie mes mains pleine d'huile sur mon pull : "Mais j'ai ramené quelques trucs". Je m'accroupis devant le sac à dos, l'ouvre, et commence à en sortir un tas d'objet en les lui montrant avant de les poser par terre : "Un tube de mayonnaise pour remplacer le shampoing. Les deux sont fait avec des œufs, alors ...", désinvolte, en haussant les épaules, avant de poursuivre : "ça c'est ... un truc assez dégueu, j'te conseille pas d'mettre le nez dedans, j'ai demandé à Harry, le SDF de la 64 ème de m'préparer une mixture spéciale". Un truc improbable à base de sauce bolognaise, de pisse et de cafard noyés  : "Du poil à gratté, de la vaseline, des guirlandes, une photo A3 de mon cul pour mettre au dessus de son lit, des feutres blancs", j'lève la tête vers lui : "Comme ça on peut écrire des saletés partout sur les murs sans que ça ne se voit au jour". Et j'sors deux ampoules de lumière noire : "Sauf qu'avec ça, la nuit, elle ne verra que ça". J'fouille le fond du sac et finit par sortir une petite fiole : "Et le dernier ...". J'me relève et me remet face à lui : "Du poppers. On imbibe ses draps, ses taies d'oreillers, à peu prés tout. Et à chaque fois qu'elle s'allongera dessus, elle aura des montées de dingue sans comprendre d'où ça vient", imitant une voix féminine : "Oh mon dieu, que m'arrive-t-il, je me sens toute chose et j'ai très envie de faire l'amour à ma lampe de chevet". Grand sourire aux lèvres, j'ouvre la fiole et sniff un petit coup pour la route : "T'en veux un peu avant qu'on s'y mette ?", lui tendant la fiole.

@R. Caleb Pecorella @Adriel Rhodes
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Un et puis deux et puis, pourquoi pas la moitié d’un autre. T’es défoncé, t’as fumé joint après joint et puis tu t’es dis qu’une autre demi ce serait bien, mais t’as les yeux rouges à faire peur au diable lui-même. C’pas grave, tu te prépares à faire quelque chose de carrément bandant psychologiquement, mais tu commences à perdre ta vibe à force d’attendre c’ptetit con de Milan. Tu le connais pas tant, mais putain qu’t’aimes l’énergie d’ce gamin. Tu l’vois arriver au loin et puis tu l’écoutes alors qu’il se plante à quelques pas d’toi. « J’veux une excuse valable p’tit con. » On dirait que tu veux être sérieux mais t’éclates de rire, tu peux même pas jouer le personnage une demi seconde. « Okay, j’suis défoncé, faut pas m’écouter. » Tu dis, un sourire bizarre pendu aux lèvres. T’as l’habitude de planer chez toi seul, ou avec une conquête mais encore une fois chez toi. C’est rare que tu permets cette liberté mentale en public, mais putain, ça te donne une de ces adrénalines parfaites pour les événements à venir. Il te déballe tout c’qu’il a amené et t’es carrément surpris de voir que l’gamin sait vraiment c’qu’il est venu faire. Il te décrit rapidement les items et tu peux pas t’empêcher de prendre le pot dégueulasse et d’y voir des morceaux noirs au travers qui t’donne rapidement l’envie d’le remettre sur le sol. « T’as vraiment mis le paquet. » L’idée du crayon blanc tu la trouves carrément sublime parce que t’as déjà quelque chose en tête mais tu t’concentre le plus possible à l’écouter. T’as les yeux qui deviennent tout ronds quand tu vois la fiole et qu’tu comprends que c’est du poppers. T’éclates de rire au moment où sa voix féminine traverse sa gorge parce que putain qu’t’apprécies les gens qui ont pas peur du ridicule. « Énorme. » T’échappes tout en prenant la fiole qu’il te tend, consommant une petite quantité à ton tour. « J’suis pas venu les mains vides. » Tu dis, t’adressant à lui tout en lui redonnant rapidement sa fiole, mais déposant ton regard sur la poche de ton manteau parce que tu galères à trouver c’que t’y a mis. « Bah presque mais j’ai … t’as tellement d’la misère que t’as l’impression que Milan a pitié d’toi et qu’il est sur le point d’sortir c’qu’il y a dans ta poche à ta place que tu réussis - apporté de l’assouplisseur à tissus. » Tu dis, presque fièrement. T'as sorti de ta poche un petit pot de liquide d'assouplisseur. Et puis tu vois sa gueule et tu réalises que lui bah, il réalise pas ton putain de plan. « Comment détruire l’estime d’une femme, fermer le business entre ses jambes, donc la rendre inintéressante aux yeux des hommes et tout ça, sans laisser la moindre trace? » Tu commences tranquillement à lui expliquer où tu veux en venir. Mais putain t’es lent et tu vois qu’il comprend toujours pas. « Vaginite. » Tu prends une courte pause et tu dévoiles le secret parce que tu réalises que t’as pèté tout le punch est prenant trop de temps à l’expliquer. « J’vais en mettre subtilement dans ses sous-vêtements et ça va dérégler son ph et puis ça va lui donner de récurrentes vaginites. » Tu dis. « Quel mot dégueulasse. » Tu dis, alors que tu réalises que le mot vaginite sort beaucoup trop de ta bouche en ce moment. « J’ai vu ça dans une émission. » Tu dis pour te défendre parce que le seul coup auquel t’as pensé est quand même vraiment chiant et … bizarre pour un homme de connaître de telles informations. T’as des notions en médecine, c’pour ça. Du coup, tu te dirige vers l’entrée et tu te sens d’attaque.
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