L'hiver arrivait à grand pas sur Boston et les habitants de la ville, fini les tops et les jupes sans collants, j'avais bien misé aujourd'hui sur un slim bien plongé dans mes hautes bottes arrivant à mi jambes et une chemise assez chic. Car même si j'avais divorcé depuis quelques mois, je me trouvais toujours à vouloir prendre soin de mon look, après tout on attrape pas les mouches avec du vinaigre, et à quoi bon se lamenter sur son sort, autant profiter à fond et paraître la plus heureuse au monde. Décidant alors de me rendre pour une ultime fois au Pinkberry, manger un bon yaourt glacé, je poussais la porte lorsque soudainement de l'autre côté se trouvait le visage de Célia. Sursautant, je me poussais sur le côté pour la laisser sortir et augmenter par la même occasion la distance qui séparait nos visages, et nos corps. Je ne pourrais expliquer pourquoi cette jeune femme avait un pouvoir sur mon corps tout entier, pourquoi elle me faisait frémir de l'intérieur rien qu'à son sourire ou son odeur, toujours était il qu'à cet instant présent il était grand temps que nos corps s'éloignent. Alors qu'elle ne semblait trop décidé à bouger, je finissais par forcer le passage pour rentrer dans le magasin, mon estomac criant famine ... ou pas !
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L'hiver arrivait à grand pas sur Boston et les habitants de la ville, fini les tops et les jupes sans collants, j'avais bien misé aujourd'hui sur un slim bien plongé dans mes hautes bottes arrivant à mi jambes et une chemise assez chic. Car même si j'avais divorcé depuis quelques mois, je me trouvais toujours à vouloir prendre soin de mon look, après tout on attrape pas les mouches avec du vinaigre, et à quoi bon se lamenter sur son sort, autant profiter à fond et paraître la plus heureuse au monde. Décidant alors de me rendre pour une ultime fois au Pinkberry, manger un bon yaourt glacé, je poussais la porte lorsque soudainement de l'autre côté se trouvait le visage de Célia. Sursautant, je me poussais sur le côté pour la laisser sortir et augmenter par la même occasion la distance qui séparait nos visages, et nos corps. Je ne pourrais expliquer pourquoi cette jeune femme avait un pouvoir sur mon corps tout entier, pourquoi elle me faisait frémir de l'intérieur rien qu'à son sourire ou son odeur, toujours était il qu'à cet instant présent il était grand temps que nos corps s'éloignent. Alors qu'elle ne semblait trop décidé à bouger, je finissais par forcer le passage pour rentrer dans le magasin, mon estomac criant famine ... ou pas !