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Anonymous

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 Ce soir avait lieu l'une des fameuses soirées auxquelles je me devais de participer, bras dessus bras dessous avec l'homme qui me faisait office de mari, d'amant lorsqu'il se trouvait être trop déterminé, ce connard qui m'avait passé la bague au doigt. Habillée d'une des robes que monsieur avait choisi, histoire de montrer au monde à quel point sa femme était ravissante avec des robes moulantes, fendues jusqu'à la hanche et décolletée comme jamais. Essayant de me maquiller au mieux pour ne pas faire peur, bien que la motivation ne soit pas réellement au rendez vous, j'avais compris que faire la potiche pouvait me rapporter quelques deniers, et puis avais je réellement le choix ? Une fois prête, je descendais les escaliers de notre superbe villa, alors qu'il m'attendait un brin impatient.
Montant les marches du sublime hôtel qui nous attendait pour la réception, son bras entrelacé avec le mien, le regard haut pour montrer que nous étions les rois de la soirée, ce qu'il adorait penser alors que putain de merde qu'il pouvait être une sale merde tout simplement ! Nous passions devant les gens sans même daigner leur accorder un sourire, un regard, je m'horripilais d'accepter tout ceci et pourtant avais je réellement le choix de l'affronter en public, lui dire merde devant sa cours qui le gobait des yeux et bavait devant lui ?! Une fois à notre table, je l'embrassais sur les lèvres, mascarade quand tu nous tiens avant de rejoindre le bar, un peu de fraîcheur, d'espace et liberté.
 
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Une nouvelle soirée au royaume de Danemark. Enfin presque, puisque nous ne sommes pas au Danemark mais aux USA. Happy se trouvait au bras d’une femme parfaite, robe sur mesure, sortant du coiffeur, maquilleuse personnelle, ongles faits… en somme, tirées à quatre épingles comme dit l’expression. Le seul détail qui pourrait « choquer » par rapport à l’américain serait l’âge. Si l’étudiant brillait du haut de ses vingt-quatre ans, cette dame portait sa cinquantaine avec un brio indiscutable. Somme toute, pour tous ceux n’ayant pas encore compris, Happy était le gigolo de cette femme aux allures parfaites, lui ayant même loué un smoking absolument hors de prix, que même en toute une vie, jamais il n’aurait eu les moyens de se payer. C’était à son bras qu’il apparut à cette soirée, paraissant fier et prêt à en supporter chaque heure, mais dès qu’il en eut l’occasion, il se dirigea vers le bar. Après tout, sa cliente ne venait-elle pas de lui en offrir l’occasion et la permission ? C’était bien ça, la permission… Happy n’était ce soir qu’un objet à prendre ou à jeter, taillable et corvéable à merci, tout simplement car madame payait une note ô combien salée. « Un double whisky sec s’il vous plaît » commanda-t-il en tâchant de ne pas laisser entendre tout son désespoir face au barman. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui manquait.

@Edweiless P. Carlton
(Invité)