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Kaylee Armour
Nom Armour. Un nom qui pèse. Eh oui, tu es la petite fille du fondateur de Under Armour une entreprise américaine spécialisée dans le secteur de l'habillement.Prénom(s) Kaylee. Certaines personnes se donnent la liberté de te surnommer Kay, Lee ou simplement K,la liste est longue, mais tu préfères que l'on t'appelle par ton prénom.Âge Tu as soufflé ta vingt-sixième bougie il y a quelques semaines. Tu as l'impression de commencer à vieillir, ça t'effraye. Tu as peur de ce que le futur te réserve. Date de naissance Le neuf avril mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix, en une belle journée de printemps.Lieu de naissance La ville piétonne, la ville sur la colline, l'Athènes de l'Amérique, la ville puritaine, le berceau de la liberté... Effectivement, tu es née à Boston dans l'état du Massachusetts. Statut amoureux Tu es officieusement célibataire, mais promise à un homme dont tu es éperdument amoureuse et qui t'as brisé le cœur.Orientation sexuelle T'as rien contre les petits smacks entre copines pour rire, mais tu n'as jamais désiré une femme, c'est les hommes qui t'attirent. Tu es hétérosexuelle. Classe sociale Tu es riche. Très riche même. La seule chose qui ne va pas vraiment de traviole dans ta vie, c'est ta carte bleue, alors tu en profites. Tu dépenses. Encore et encore. L’argent ne fait peut-être pas le bonheur mais ne pas en avoir te rendrait pire que malheureuse : inexistante dans la société. Job Avocate fraichement diplomée, pour le plus grand plaisir de tes parents et future co-présidente de Under Armour. Choix de groupe Citizens
Avez-vous étudié à Harvard ?
Tu as étudié le droit à Harvard. Ça en jette. Ça fait honneur à ton nom famille réputé. Tu en as bavé pour en arriver là où tu es aujourd'hui et t'en es pas peu fière. Tu as toujours été très studieuse et ambitieuse, un brin perfectionniste, malgré ton penchant pour les fêtes et autres mondanités. Tu as vécu tes années de fac à mille à l'heure. Beaucoup de nuits blanches. Surement trop. Mais ça t'as valu beaucoup de reconnaissance de la part de ta famille. Tu faisais parti de l'Eliot house, comme tes parents avant toi. Tu n'étais pas très impliquée sauf quand il s'agissait de faire la fête, mais on a tout fait pour t'y recruter, tu étais presque un plus value pour la confrérie, tu es quand même une riche héritière en plus d'être une fille de sénateur.
Harvard... Toi, cette université tu l’aimais passionnément. Tu aimais ce que tu y trouvais. Des fêtes et des étudiants pleins d'énergie. Des librairies et des expositions. Tu aimais ta bande de potes qui venait du Liban, de Suisse, d’Arménie, du Nigéria, de Suède, du Costa Rica ou de Chicago. Il en avaient qui bouffaient casher et d'autre halal. Des aristos et des fils de concierge. Des intolérants au gluten, des écrivains, des paresseux, des ambitieux. Un joyeux bordel quoi! Des gens très différents. Mais vous vous aimiez. Pour ce que vous étiez, chacun avec sa singularité. Et s’il y avait bien une chose que tu aimais plus que tout à Harvard, c’était t’asseoir à la cafet ou sur des marches avec tes potes. Pour débriefer avec une copine la soirée de la veille. Pour regarder les passants aux looks improbables. Pour faire semblant d’être intelligente en lisant un bouquin. Pour parler politique et ne pas être d’accord du tout. Pour écrire une lettre d’amour que tu n’enverras pas mais qui te remplit d’espoir. Parce qu'à Harvard, tu te disais que tout était possible. Pouf toi, c'était l'endroit où le champ des possibles te semble infini. Tu pouvais aimer ce que tu voulais et qui tu voulais. Tu pouvais écouter ce que tu voulais. Tu pouvais dire ce que tu voulais. Tu pouvais être toi-même.
Tu as étudié le droit à Harvard. Ça en jette. Ça fait honneur à ton nom famille réputé. Tu en as bavé pour en arriver là où tu es aujourd'hui et t'en es pas peu fière. Tu as toujours été très studieuse et ambitieuse, un brin perfectionniste, malgré ton penchant pour les fêtes et autres mondanités. Tu as vécu tes années de fac à mille à l'heure. Beaucoup de nuits blanches. Surement trop. Mais ça t'as valu beaucoup de reconnaissance de la part de ta famille. Tu faisais parti de l'Eliot house, comme tes parents avant toi. Tu n'étais pas très impliquée sauf quand il s'agissait de faire la fête, mais on a tout fait pour t'y recruter, tu étais presque un plus value pour la confrérie, tu es quand même une riche héritière en plus d'être une fille de sénateur.
Harvard... Toi, cette université tu l’aimais passionnément. Tu aimais ce que tu y trouvais. Des fêtes et des étudiants pleins d'énergie. Des librairies et des expositions. Tu aimais ta bande de potes qui venait du Liban, de Suisse, d’Arménie, du Nigéria, de Suède, du Costa Rica ou de Chicago. Il en avaient qui bouffaient casher et d'autre halal. Des aristos et des fils de concierge. Des intolérants au gluten, des écrivains, des paresseux, des ambitieux. Un joyeux bordel quoi! Des gens très différents. Mais vous vous aimiez. Pour ce que vous étiez, chacun avec sa singularité. Et s’il y avait bien une chose que tu aimais plus que tout à Harvard, c’était t’asseoir à la cafet ou sur des marches avec tes potes. Pour débriefer avec une copine la soirée de la veille. Pour regarder les passants aux looks improbables. Pour faire semblant d’être intelligente en lisant un bouquin. Pour parler politique et ne pas être d’accord du tout. Pour écrire une lettre d’amour que tu n’enverras pas mais qui te remplit d’espoir. Parce qu'à Harvard, tu te disais que tout était possible. Pouf toi, c'était l'endroit où le champ des possibles te semble infini. Tu pouvais aimer ce que tu voulais et qui tu voulais. Tu pouvais écouter ce que tu voulais. Tu pouvais dire ce que tu voulais. Tu pouvais être toi-même.
APRÈS LA BOMBE.
Tu étais étudiante en deuxième année d'école de droit. Tu as été chanceuse sur le coup, tu n'étais pas sur le campus, tu n'avais cours que dans l'après midi et tu t'étais donc rendu chez tes parents. Malheureusement, certaines de tes amis n'ont pas été chanceux. Certains sont morts. Leur perte t'a beaucoup affecté. Tu as perdu le sommeil. Pendant un moment. Aux grands mots les bons remèdes. Tu t'assommais en te bourrant la gueule. Ce n’était pas que tu adorais sortir. Ton problème étais que tu ne savais plus rentrer. Alors, dès que la nuit tombait, pour éviter d’être seule face à ta télé, ton écran d’ordi, celui de ton iPhone ou tes questions métaphysiques, tu sortais suffisamment selon les patrons de boîtes toujours ravis de vous accueillir, ta carte bleue et toi. Tu ne t’amusais pas forcément, c’étais juste que tu ne savais plus t’endormir. Tu as fait beaucoup de cauchemars à l'époque. Lorsqu'il t'arrivait d'en faire étant petite, ta mère te prenait dans ses bras. Tu te sentais protégée. Mais jamais vraiment rassurée. Ce que tu n’avais pas trouvé dans les bras de ta mère cernée, tu faisais semblant de le chercher chez des garçons. Tu as tenté d’épurer tes angoisses et tes doutes liées à l'insomnie. De la catharsis bas de gamme entre volutes de fumée et vodka diluée. Tu as eu besoin de beaucoup de temps pour comprendre que tu vivais dans un monde de merde et qu'un jour toi aussi, tu crèveras. Que tu sois poussière, cendre ou lumière, ça ne changera pas grand-chose. Tu ne seras rien !
Tu étais étudiante en deuxième année d'école de droit. Tu as été chanceuse sur le coup, tu n'étais pas sur le campus, tu n'avais cours que dans l'après midi et tu t'étais donc rendu chez tes parents. Malheureusement, certaines de tes amis n'ont pas été chanceux. Certains sont morts. Leur perte t'a beaucoup affecté. Tu as perdu le sommeil. Pendant un moment. Aux grands mots les bons remèdes. Tu t'assommais en te bourrant la gueule. Ce n’était pas que tu adorais sortir. Ton problème étais que tu ne savais plus rentrer. Alors, dès que la nuit tombait, pour éviter d’être seule face à ta télé, ton écran d’ordi, celui de ton iPhone ou tes questions métaphysiques, tu sortais suffisamment selon les patrons de boîtes toujours ravis de vous accueillir, ta carte bleue et toi. Tu ne t’amusais pas forcément, c’étais juste que tu ne savais plus t’endormir. Tu as fait beaucoup de cauchemars à l'époque. Lorsqu'il t'arrivait d'en faire étant petite, ta mère te prenait dans ses bras. Tu te sentais protégée. Mais jamais vraiment rassurée. Ce que tu n’avais pas trouvé dans les bras de ta mère cernée, tu faisais semblant de le chercher chez des garçons. Tu as tenté d’épurer tes angoisses et tes doutes liées à l'insomnie. De la catharsis bas de gamme entre volutes de fumée et vodka diluée. Tu as eu besoin de beaucoup de temps pour comprendre que tu vivais dans un monde de merde et qu'un jour toi aussi, tu crèveras. Que tu sois poussière, cendre ou lumière, ça ne changera pas grand-chose. Tu ne seras rien !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Le 17 Janvier 2015. Tu étais à Boston, tu as joué au loto en faisant une cagnotte avec tes potes. Vous étiez attablés dans un petit café où vous aviez vos habitudes. Dans ce bar vous vous étiez connus, étudiants pleins de rêves. Ici, à Boston, tu as fait tes études. Et puis, surtout, tu y as appris la vie. Tu y as découvert les amis, les amours et forcément les emmerdes aussi. Vous n'étiez pas inquiets. Vos téléphones se mettent à sonner. Des alertes. Des tweets. Des copains inquiets. C’était un cauchemar. Une prise d'otage. Au beau milieu d'Harvard. Tu t'attendais à quoi après ces attentats à la bombe? Tu t'attendais à quoi après toutes ces agressions? L’insécurité t’angoissait déjà depuis un moment. Forcément. Facebook ne te parle que de ça, en cours les filles paniquaient et il y avait des agents de sécurité partout. C'était dire si la situation est grave ! L’espace public, tu ne le vivais pas. Tu le traversais. Barricadée dans ta voiture en prenant bien soin de la verrouiller sitôt la portière claquée. Tu ne te rendais même plus compte que tu ne faisais rien sereinement dès que tu étais confrontée à autre chose qu’à des visages familiers. Pouf toi, avant, Harvard, c'était l'endroit où le champ des possibles te semble infini. Et à bien y regarder, pour les horribles personnes c’était aussi ça. Et c’est pour ça qu’ils ont agit comme des monstres. Parce que pour eux le champ des possibles doit être petit, obscur et affreux. Tu pouvais y être ce que tu voulais, qui tu voulais. Et ce jour là, des gens comme toi, des amis parfois, avaient payé de leur vie le simple fait de vivre.
Le 17 Janvier 2015. Tu étais à Boston, tu as joué au loto en faisant une cagnotte avec tes potes. Vous étiez attablés dans un petit café où vous aviez vos habitudes. Dans ce bar vous vous étiez connus, étudiants pleins de rêves. Ici, à Boston, tu as fait tes études. Et puis, surtout, tu y as appris la vie. Tu y as découvert les amis, les amours et forcément les emmerdes aussi. Vous n'étiez pas inquiets. Vos téléphones se mettent à sonner. Des alertes. Des tweets. Des copains inquiets. C’était un cauchemar. Une prise d'otage. Au beau milieu d'Harvard. Tu t'attendais à quoi après ces attentats à la bombe? Tu t'attendais à quoi après toutes ces agressions? L’insécurité t’angoissait déjà depuis un moment. Forcément. Facebook ne te parle que de ça, en cours les filles paniquaient et il y avait des agents de sécurité partout. C'était dire si la situation est grave ! L’espace public, tu ne le vivais pas. Tu le traversais. Barricadée dans ta voiture en prenant bien soin de la verrouiller sitôt la portière claquée. Tu ne te rendais même plus compte que tu ne faisais rien sereinement dès que tu étais confrontée à autre chose qu’à des visages familiers. Pouf toi, avant, Harvard, c'était l'endroit où le champ des possibles te semble infini. Et à bien y regarder, pour les horribles personnes c’était aussi ça. Et c’est pour ça qu’ils ont agit comme des monstres. Parce que pour eux le champ des possibles doit être petit, obscur et affreux. Tu pouvais y être ce que tu voulais, qui tu voulais. Et ce jour là, des gens comme toi, des amis parfois, avaient payé de leur vie le simple fait de vivre.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Tu es secrète. Au premier abord t'es un peu réservée sans être timide pour autant, en fait, tu t'ouvres pas vraiment aux autres suite à certains épisodes pas franchement glorieux de ton passé. Tu feins être une fille froide et stoïque que t'es pas vraiment. Lorsqu'on apprend à te connaitre, on découvre que t'es une fille qui a le coeur sur la main, tu donnes sans chercher à recevoir, t'es toujours là pour ses proches et t'aimes sans compter. On a souvent profité de toi à cause de ça, tu veilles donc à te construire une carapace à travers laquelle peu de personnes réussissent à voir. Autant dire que gagner ta confiance est une mission quasi impossible. Tu en es presque devenue detestable. Tu fuis l'attachement. Tu refuse de tomber amoureuse. ♛ Il y a bien cet ex à qui tu repenses. Ce n’est pas exactement ce qu’on pourrait appeler une histoire d’amour. Ou du moins, c'en était une à sens unique. Un énorme réceptacle où tu entasses toutes tes tristesses et déceptions. Le vase où tu noies tes échecs en tout genre. Une excuse pour ne rien remettre en question. Un prétexte tellement pratique pour faire des bêtises tout en gardant bonne conscience. Quand tu sors du cadre bien rangé de la vie en société tu peux toujours te dire que si tu déconnes c’est uniquement parce que tu es triste. Tu te perds dans des fêtes trop bruyantes et des bras trop froids, en cherchant des fragments de cet homme à chaque coin de vie. Les psys te diront que ce n’est pas de l’amour mais de la dépendance affective. C'est peut-être de cela dont il s’agit. ♛ Dorénavant, tu fais passer ton interêt avant celui des autres. Love yourself first. Tu as appris à devenir la scénariste de ta propre vie. Aujourd'hui manipules tout ton petit monde à la perfection. Comment te résister? On te donnerait presque le bon dieu sans confession. Tu es intimidante, jamais intimidée. Tu as l'impression de pouvoir tout te permettre. Ne dit-on pas que les belles femmes sont la seule faiblesse des hommes? Et surtout, tu es aussi riche que Crésus. L’argent peut tout acheter. Du luxe de se garer en plein centre-ville aux heures de pointe à celui d'éviter de payer pour des délits mineurs. Sans oublier les fringues. En remplissant tes placards, tu aimerais combler ton vide. Certains mangent par manque d’affection. Toi, tu as bien trop peur des capitons. Alors tu dépenses. De toute façon, dépenser et boire sont finalement les deux seules activités qui te détendent. La première te donne la jouissance du pouvoir, la seconde te procure ce vertige de l’abandon. ♛ Au fond, tu t'es toujours sentie délaissée par tes parents, alors tu as compensé en te donnant corps et âmes dans tes relations amoureuses ou amicales et dans tes études. C'est d'ailleurs par leur biais que tu as longtemps essayé d'impressionner ton monde. Même si, en réalité, ta vie, tu l’as déjà gagnée. Tu es bien née. Tu as grandi dans une belle maison, tu as été déposée à l’école tous les matins dans une belle voiture, tu as porté de jolies robes, tu es partie en vacances dans de beaux endroits, tu as fréquenté de beaux garçons... Finalement, ta seule ambition est de perpétuer ce train de vie pour toujours comme un long fleuve. Pas tranquille tous les jours certes mais au tracé plutôt impeccable. ♛ Tu as beau être plutôt pessimiste et anxieuse, tu ne sors jamais sans ton sourire. Le sourire est le dernier bastion de délicatesse de ceux qui n’ont plus rien à gagner. Tu en fais partie. Tu n’as rien à gagner. Rien à perdre. Tu as tout. Les apparences et l’illusion. Ce qui compte, ce qui se compte. Alors tu brûles tout. Tu n’aimes rien. Tu aimes tes amis. Ils te ressemblent. Inconscients. Elitistes. Immatures. Pédants. Blasés. Cyniques. Désabusés avant l’âge, irresponsables après l’heure.
Tu es secrète. Au premier abord t'es un peu réservée sans être timide pour autant, en fait, tu t'ouvres pas vraiment aux autres suite à certains épisodes pas franchement glorieux de ton passé. Tu feins être une fille froide et stoïque que t'es pas vraiment. Lorsqu'on apprend à te connaitre, on découvre que t'es une fille qui a le coeur sur la main, tu donnes sans chercher à recevoir, t'es toujours là pour ses proches et t'aimes sans compter. On a souvent profité de toi à cause de ça, tu veilles donc à te construire une carapace à travers laquelle peu de personnes réussissent à voir. Autant dire que gagner ta confiance est une mission quasi impossible. Tu en es presque devenue detestable. Tu fuis l'attachement. Tu refuse de tomber amoureuse. ♛ Il y a bien cet ex à qui tu repenses. Ce n’est pas exactement ce qu’on pourrait appeler une histoire d’amour. Ou du moins, c'en était une à sens unique. Un énorme réceptacle où tu entasses toutes tes tristesses et déceptions. Le vase où tu noies tes échecs en tout genre. Une excuse pour ne rien remettre en question. Un prétexte tellement pratique pour faire des bêtises tout en gardant bonne conscience. Quand tu sors du cadre bien rangé de la vie en société tu peux toujours te dire que si tu déconnes c’est uniquement parce que tu es triste. Tu te perds dans des fêtes trop bruyantes et des bras trop froids, en cherchant des fragments de cet homme à chaque coin de vie. Les psys te diront que ce n’est pas de l’amour mais de la dépendance affective. C'est peut-être de cela dont il s’agit. ♛ Dorénavant, tu fais passer ton interêt avant celui des autres. Love yourself first. Tu as appris à devenir la scénariste de ta propre vie. Aujourd'hui manipules tout ton petit monde à la perfection. Comment te résister? On te donnerait presque le bon dieu sans confession. Tu es intimidante, jamais intimidée. Tu as l'impression de pouvoir tout te permettre. Ne dit-on pas que les belles femmes sont la seule faiblesse des hommes? Et surtout, tu es aussi riche que Crésus. L’argent peut tout acheter. Du luxe de se garer en plein centre-ville aux heures de pointe à celui d'éviter de payer pour des délits mineurs. Sans oublier les fringues. En remplissant tes placards, tu aimerais combler ton vide. Certains mangent par manque d’affection. Toi, tu as bien trop peur des capitons. Alors tu dépenses. De toute façon, dépenser et boire sont finalement les deux seules activités qui te détendent. La première te donne la jouissance du pouvoir, la seconde te procure ce vertige de l’abandon. ♛ Au fond, tu t'es toujours sentie délaissée par tes parents, alors tu as compensé en te donnant corps et âmes dans tes relations amoureuses ou amicales et dans tes études. C'est d'ailleurs par leur biais que tu as longtemps essayé d'impressionner ton monde. Même si, en réalité, ta vie, tu l’as déjà gagnée. Tu es bien née. Tu as grandi dans une belle maison, tu as été déposée à l’école tous les matins dans une belle voiture, tu as porté de jolies robes, tu es partie en vacances dans de beaux endroits, tu as fréquenté de beaux garçons... Finalement, ta seule ambition est de perpétuer ce train de vie pour toujours comme un long fleuve. Pas tranquille tous les jours certes mais au tracé plutôt impeccable. ♛ Tu as beau être plutôt pessimiste et anxieuse, tu ne sors jamais sans ton sourire. Le sourire est le dernier bastion de délicatesse de ceux qui n’ont plus rien à gagner. Tu en fais partie. Tu n’as rien à gagner. Rien à perdre. Tu as tout. Les apparences et l’illusion. Ce qui compte, ce qui se compte. Alors tu brûles tout. Tu n’aimes rien. Tu aimes tes amis. Ils te ressemblent. Inconscients. Elitistes. Immatures. Pédants. Blasés. Cyniques. Désabusés avant l’âge, irresponsables après l’heure.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle timelessimperfection et j'ai 19 ans. Je suis franco-marocaine et j'ai connu le forum grâce à un topi-site. J'ai adoré ce forum et je suis tombé amoureuse du scénario d'Hardin alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Miranda Kerr comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par cranberry. Je fais environ 600 (en général, je m'adapte à mon partenaire de RP) mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Hardin W. Buffet.
Mot de la fin ? ▲ ❤️❤️❤️.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainer si oui, par Tate L. Murray
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
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[code][size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u6792]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t68405-f-tu-vas-me-faire-chier-jusqu-a-quand]►[/url] <span class="pris">MIRANDA KERR </span> ♦ “ Kaylee Armour ”[/size][/code]
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