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WOLFGANG LE CHIEN + FERYLÈNE

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WOLFGANG LE CHIEN
feryel et charlène
regarde autour de toi , vole de tes propres ailes , prends ton indépendance et soulève l'univers comme si rien d'autre ne comptait . la vie ça comprend de faire des efforts , d'ouvrir ses horizons , de vouloir s'imposer face au monde . c'est ton jour , c'est ta voix . fais en ce qui te plaît .

Jour de merde, heure de merde, objet de merde. En fait, rien n’avait démarré comme il le fallait. Je m’étais réveillée à douze heure du matin, autant dire à midi, même si les quarante-cinq minutes en plus ferait que je pourrais carrément dire que je suis sortie de mon lit à treize heure. Hé merde, une énième journée de gâchée. Ces derniers temps, je me couchais très tard, et je me levais tout aussi tard. Mais, malgré tout je finissais toujours par me lever. Courant partout dans la Quincy House, je cherchais comme une folle mon fer à lisser sans le retrouver. Je courais dans tout les sens, un yaourt à la fraise dans la main. Bon d’accord, j’avais un carré de quatre yaourts dans ma main gauche, et alors ? Bref. J’avais ces yaourts, c’était toute ma vie, et puis le fait d’avoir un mini frigidaire dans ma chambre m’offrait l’opportunité d’avoir une réserve secrète de mon pêché mignon. M’enfin, je me retrouvais debout sur le canapé la cuillère remplit de délice dans ma bouche, et mes phalanges libres sur mon front telle une aventurière qui chasse le loup dans la forêt. « Putain. » Nulle part. Ce fer à lisser ce trouvait dans aucune pièce de la maison. Je me laissais crouler dans les coussins, un désespoir sur ma vie. Maugréant fortement pour que si jamais quelqu’un se trouvait entre ses murs, il pourrait m’entendre et s’enfuir de peur qu’un ours ronchon ne l’attaque en lui mangeant les entrailles. « Va falloir que je m’en achète un nouveau, fuck. En attendant, mode roi lion activé, rien à foutre. » Je plongeais ma cuillère dans la crème délicieusement rose et blanche, avant d’en manger une bouchée de plus, me délectant de la saveur qui me fusille les papilles. Quand une main venait à toucher mon épaule, je sursautais et faisait voler ma cuillère dans les airs. Me levant d’un pas rapide avant de réaliser que cette personne était ma meilleure amie. Ma Feryel. Oh mon dieu qu’elle merveilleuse vision que de la voir avec du yaourt sur le visage. Même si c’était du beau gâchis techniquement. « Oh lord, si tu voyais ta tête, c’est à mourir de rire. On dirait un cachalot blanc, mais avec de la fraise partout. » Je me roulais pratiquement sur le sol. Je n’arrêtais pas de rire, jusqu’à en avoir de petites larmes.
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Trop de choses à faire. Voilà à quoi résumait la vie de Feryel depuis plusieurs mois. Les cours prenaient de plus en plus d’ampleurs avec l’arrivée des partiels début décembre, elle se devait d’étudier encore plus. A cela s’ajoutait son travail de présidente de la Quincy House qui ne la laissait pas tranquille. Et en dernier, un tas de problème personnels, entre la tumeur de Charlie, les accusations répétées envers la Quincy, et maintenant les soucis de Nevada, elle ne savait plus trop où mettre la tête. Feryel avait cruellement besoin d’une distraction, et de sortir un peu de ses quatre murs. On pourrait dire que de ce fait, se rendre à la Quincy House n’était pas tant que cela une distraction vu qu’elle passait tous ses jours à la résidence aussi. Toute fois, la jeune femme ne s’y rendait pas pour se mélanger avec ses confrères, mais pour voir sa meilleure amie d’enfance, Charlène qui avait rejoint les Quincy à son plus grand plaisir. Feryel quittait donc son appartement près de Harvard Square pour faire la distance entre chez elle et la confrérie à pied. L’immeuble d’enface commençait doucement à se retrouver. Les échafaudages étaient montés, cassant ainsi l’ancienne vue de la Lowell House. Feryel monta rapidement les marches pour venir à la chambre de Charlène, et s’approcha d’elle par d’ailleurs une fois qu’elle la vit, ne s’attendant pas se prendre un bot de yaourt dans la figure. « T’es pas sérieuse la? » S’exclama-t-elle d’une voix agacée. Comment allait-elle faire pour retirer cet aliment de ses cheveux.
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regarde autour de toi , vole de tes propres ailes , prends ton indépendance et soulève l'univers comme si rien d'autre ne comptait . la vie ça comprend de faire des efforts , d'ouvrir ses horizons , de vouloir s'imposer face au monde . c'est ton jour , c'est ta voix . fais en ce qui te plaît .

Si j’avais su que ma meilleure amie allait venir à la Quincy House, je me serais sans doute un minimum coiffé malgré le fait qu’elle m’est vu en mode roi lion des centaines de milliards de fois. En voyant le visage de Feryel qui n’avait pas l’air de rire du tout face à la situation, j’arrêtais de rire, reprenant un air sérieux pour peut-être me prendre l’engueulade de ma vie, mais au lieu de ça elle me demandait simplement si j’étais sérieuse. J’ouvrais grand la bouche de stupéfaction, prenant grâce au bout de mon doigt un peu de yaourt sur sa joue, le ramenant dans ma bouche pour y goutter. « Franchement, je n’étais pas sûr que ça aurait le même goût, et j’avais bien raison, il est plus sucré d’un coup. » Me tournant pour aller prendre une serviette sur la chaise de mon bureau, je la mettais devant elle avant de me rasseoir en face de madame la présidente. Un grand sourire figé sur le visage. « Oh allez, tu ne vas pas bouder à cause de ça sérieusement ? Je ne pensais pas moi que tu allais m’effrayer à ce point. Puis, ça s’enlève sous l’eau tu sais. Ce n’est pas comme si tu serais obligé de raser ta tête. » Haussant un sourcil, je roulais des yeux avant de me lever pour prendre un autre yaourt et l’entamer avec ma cuillère fétiche, un sourire au visage. Je n’arrivais pas à rester sérieuse en face d’elle, surtout avec cette allure. « Qu’est-ce que tu fais là d’ailleurs ? Tu m’apportes un cadeau de noël en avance ? » Des yeux ronds, des étoiles, j’étais en pleine extase, même si je savais pertinemment que ce n’était pas pour ça. « Ou mieux, tu veux m’annoncer que tu m’offriras un cadeau tout les mois parce que je suis une amie fabuleuse ? » La bouche ouverte pour l’effet de stupeur et de bonheur et boum le piège était mis en place, mais ça me faisait rire de la voir froncer les sourcils et dire non, alors oui, je cherchais un peu sa colère, mais c’était si marrant.
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Feryel aurait dû prévenir qu’elle venait, mais cela ne donnerait pas cet effet de surprise que la jeune femme aspirait à atteindre. Toute fois, dans l’équation, Feryel avait oublié d’ajouter le fait que Charlène pouvait facilement être effrayer, ce qui lui valu donc le pot de yaourt sur la figure. Si Feryel n’en rigolait pas, sa meilleure amie d’enfance en rigolait bien. Au moins une des deux pourraient tirer quelques satisfaction de cette pauvre situation. Charlene en rigolait bien, se foutant surement de la tête que la jeune blonde devait tirer. Feryel ne savait meme pas quoi dire tellement elle était encore sous le choc. Charlene en rigolait, venant même à lui prendre un peu de yaourt de sa joue. Charmant tout cela, Feryel se sentait vraiment pas propre pour le coup. Heureusement que tout cela s’était passé dans l’enceinte de la chambre de Charlene et non devant les yeux de tout de la monde de la Quincy, la honte qu’elle se serait pris. « Très drôle ! » Répondit Feryel avec un ton sournois et sarcastique, parce que clairement elle n’était pas du tout amusée. La nouvelle recrue Quincy lui passa rapidement un essuie pour que Feryel puisse retirer le yaourt de son visage, blaguant qu’elle n’avait pas à se raser la tête. « Encore heureux. Je ferais quoi sans mes jolies boucles blondes qui font tourner la tête de tous ces hommes! » Blaguait-elle, étant donné que Feryel ne s’intéressait pas plus que cela à se trouver un petit ami, ou encore moins quelqu’un à courtiser, bien trop préoccupée par ses études. « J’ai besoin d’avoir une raison d’aller voir ma meilleure amie maintenant? » Lui demandait-elle alors qu’elle continuait d’essayer de sortir le yaourt de ses cheveux. Il faudrait qu’elle prenne une douche. « D’ailleurs, tu m’excuses, je vais squatter ta salle de bain! » De toute façon, il n’y avait que très peu de gene entre les deux jeunes filles. Elles se connaissent depuis l’adolescence. Charlene ayant été sa premiere amie à Boston. « Ma simple présence est un cadeau voyons! Puis trouve toi un petit-ami riche tant que tu y es. » Loin de la d’être matérielle, Feryel rigolait simplement à l’idée de recevoir des cadeaux tous les mois. Qu’en ferait-elle?
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