CABOT HOUSE.
Maëlys est l'incarnation même de la séduction, de la féminité, de la joie et de la détermination. Elle peut se faire passer pour la fille un peu naïve, mais ce n'est absolument pas le cas, elle joue de ça, pour avoir ce qu'elle veut. Et quand elle veut quelque chose, elle fait tout pour l'avoir. Au delà de ses cours de médecine et de son job de nounou, elle aime rester avec ses amies, parler, consoler. Une fille quoi! Elle aime par dessus toutles belles choses, faire la fête, plaire, draguer, s'amuser. Par ailleurs, elle reste sensible, et il faudra briser sa carapace pour vraiment apprendre à la connaître. Elle a été pendant 3 ans chez les cabots, a été VP puis présidente l'année dernière, elle aime cette maison plus que tout.
STUDENTS.
Je ne vois pas Maëlys dans une autre confrérie que la Cabot House, donc ce sera les students si jamais il n'y a pas d'autres choix. La Cabot house c'est pas négociable.
Les students, ce serait l'autre solution, elle serait neutre, faisant partie d'aucune maisons. Les students c'est aussi la liberté dans un sens, pas de compte à rendre à personne et puis pas de guerre entre les confréries. C'est juste la vie d'étudiante lambda.
APRÈS LA BOMBE.
La jeune anglaise se trouvait dans la bibliothèque pendant la bombe, en train de feuilleter des revues sur son prochain devoir important. Elle ne connaissait pas grand monde et ce jour-là, elle s'était renfermée encore plus sur elle-même. Elle ne comprenait pas, elle était perdue, seule. Tout tremblait. Elle s'était réfugié derrière un grand meuble, en laissant son regard bleu se poser sur les gens, qui criaientt, qui étaientt complètement apeurés. Après cette bombe, elle comprit encore plus que la vie ne tenait qu'à un fil. Ce n'est pas plus compliqué que c'la.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Horrible. Cette période n'était vraiment pas la plus belle dans l'histoire d'Harvard.. C'était si dur, de voir toutes nos confréries touchées à ce point, de voir à quel point l'humain pouvait être méchant et égoïste. Puis un midi à Macdo, je me revois encore allongée au sol, tremblante et apeurée comme jamais auparavant. Je m'adressais à Avalon, cette fille Cabot ni spéciale.. Et elle mit fin à ses jours devant nous. Trois autres étudiants firent la même chose à plusieurs endroit de la ville. Rien que d'y repenser, j'en ai des frissons. Plus jamais ça.