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JAMES ANDERSON ► Rj King

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feat. Rj King
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James Anderson
Nom AndersonPrénom(s)JamesÂge 26 ansDate de naissance 11.02.90Lieu de naissance BrésilStatut amoureux FiancéOrientation sexuelle BisexuelClasse sociale RicheÉtudes majeures MédecineÉtudes mineures Relations internationalesJob -Choix de groupe #1Mather Choix de groupe #2 Winthrop

 
MATHER
   Comme vous pouvez l'imaginer, James est un grand fêtard et il pourrait passer ces soirées en soirée, à boire et partager ces moments avec ces camarades. Il profite de sa vie, comme jamais. Après le décés de ces parents et le moment où il a failli mourir il ne veut plus regretter quoique ce soit. Il est fidèle, et protégera les personnes de son groupe sans érpouver une quelconque hésitation, il se lancerait dans une bagarre pour sauver l'un des siens. Ce groupe est pour lui.

    WINTHROP
    James a toujours été un charmeur de ces dames, un courreur de jupons.
Tout en gardant une certaine élégance et une classe inegalable. Il restait néanmois concentré sur ces études, mais ce n'est pour cette raison qu'il ne sait pas se lâcher durant les fêtes. D'ailleurs, il n'en rate pas une. Il boit, il fume. Il a toujours été quelqu'un de très sociable sans pour autant donner une confiance ou sentir qu'une personne pourrait être son ami.
APRÈS LA BOMBE.
   J’ai appris pour la bombe, alors que je n’étais pas à l’université ce jour-là. Je sais qu’il y a eu des personnes blessées, que tout le monde était en panique. Je n’ai pas vraiment mesuré l’importance de la chose. Enfin, jusqu’au moment où une connaissance à moi m’a appelée en pleurant, en citant qu’elle était elle-même blessée et que je devais rentrer au plus vite. Ce que j’ai fait, et c’est là où j’ai vraiment réaliser la gravité. Je ne sais pas comment cela s’est passé, j’ai un peu perdu la notion du temps. J’ai aidé comme j’ai pu avec les connaissances médicales que j’avais. Mon stage s’est rallongé, puisqu’ils étaient en surcharge de travail, et qu’il fallait un suivit après la bombe. Je sais que cela peut paraître égoïste, mais je suis heureux de voir qu’à part mon amie, personne de mon entourage n’a été blessé. Parce que je ne sais honnêtement pas, comment j’aurai réagis face à cette nouvelle épreuve.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
    J’étais en vacances, lorsque cela s’est déroulé. J’ai suivi attentivement à la télévision avec la main sur le cœur. Vous avez beau être le petit enculé de service, le petit intello. Vous avez peur pour les autres, même avec ceux que vous ne connaissez pas. Je n’ai pas eu d’appel, aucun de mes proches n’a été touché. Mes vacances ont été plus courte et je suis rapidement redescendu afin de comprendre ce qu’il s’était passé. Je ne comprends pas comment l’humain en arrive là. Déjà que je n’aimais pas les gens, j’en viens à être totalement dégoûté. On ne sait pas avec qui on vit, peut-être qu’un jour mes voisins pourraient faire la même chose ? Nous ne sommes à l’abri de rien du tout, malheureusement. Désormais, je me suis éloigné des gens. Je n’ai plus confiance, je regarde un peu tout le monde du coin de l’œil. Je n’aime pas être entouré de monde, je prends panique à l’idée de me retrouver en public. C’est souvent là, que les choses se déroulent mal.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
    Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D

 
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story of my life
J'ai passé une enfance assez calme, aux bras de mes parents et ceux de mes frères et soeurs. La vie était plutôt calme, assez facile à gérer. Un bon niveau scolaire, malgré que ça insupportait ma fratrie. Je ne nie pas avoir été le chouchou de mes parents, toujours à l'écoute et cédant à mes plus vastes caprices. Mais j'étais quelqu'un de respectueux, j'aidais quand ma mère en avait besoin, j'écoutais toujours les conseils de mon père, même si ce n'était pas très glorieux. J'estimais avoir la vie que je méritais. Même si nous n’avions pas vraiment une demeure splendide, nous habitions dans une banlieue au plein milieu de rio de Janeiro, plus précisément en plein coeur de favelas. Je sais, ce que vous imaginez. Que je n’aie eu aucune éducation, que le crime était partout à mes côtés, que je n'avais pas d'école. Non, cela est des préjugés. Surtout que oui, j'avais l'opportunité d'aller à l'école, mes parents avait tout de même suffisamment d'argent pour nous envoyer moi et ma fratrie en cours. J'ai vécu de bons moments, et quelques fois de très durs. Mais mon enfance n'a pas été si désastreuse, j'en garde d'ailleurs de très heureux souvenirs. Au Brésille, quand des gens meurs dans les favelas ce n'est pas très important, nous étions considérés comme des reclus. Je sais de quoi je parle, mes parents se sont fait tuer. Sans la moindre explication par un gang qui s'était tout bonnement trompé d'identité. On n'a eu aucun retour de la police, et on ne saura probablement jamais qui étaient les assassins. C'est comme ça, moi et mes frères et soeurs avons eu un dernier avertissement. Soit partir du Brésil, soit mourir. Nous n'avions pas d'endroits où aller, nous étions totalement perdus. Tout le monde nous a tourné le dos, comme s’ils savaient ce que nous vivions mais ne pouvaient en rien nous aider. C'était peut-être à ce moment, où j'ai réalisé que mes amies, ne l'étaient pas vraiment. Que même la police ne pouvait absolument rien y changer. Nous avons repris contact avec mes grands-parents, qui ne donnaient que rarement des signaux de vie, en supposant le fait qu'ils n'avaient jamais accepté le mariage entre mon père et ma mère. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés en Louisiane, recueillis par mes grands-parents, qui au contraire de mes parents n’appréciaient pas tant que ça la présence d’adolescents. Mais qui aimait plus que tout l’odeur de l’argents. Je dois quand même vous avertir que c’est un sujet vraiment délicat. Je ne supporte pas d’en parler, et je ne veux en aucun cas recevoir une quelconque pitié. C’est sans doute la raison pour laquelle deux ou trois personnes en dehors de ma « famille » le savent. Mes parents me manquent, et mes grands-parents me font sans cesse comprendre que nous ne sommes pas du même monde, que si je veux obtenir la fierté de mes parents il me suffirait que j’oublie l’existence de mon cher père. Une tâche impossible, et des propos qu’ils seront susceptibles de regretter.  (509 mots)



Je suis arrivé en Amérique à l’âge de douze ans, tout allait bien au début. Je pensais même pouvoir rapidement m’intégrer. Me faire des amis et commencer une nouvelle vie tout en mettant de côté les événements passés au Brésil. Même si cela me hante, je ne dis rien, je ne veux pas inquiéter mon entourage. Je sais que ça va aller. Il le faut. J’ai donc mené une vie plus au moins saine. Pas d’alcool, pas de mauvaises fréquentations. J’essayais de donner mon maximum pour rendre mes grands-parents fiers. Mes frères et mes sœurs se sont rapidement senti à l’aise, comme s’ils avaient oublié nos vrais parents, et qu’à cette période ils étaient absents. De mon côté, cela ne se passe pas comme prévu. Je ne cesse d’avoir des images, des hurlements dans ma tête, et les regards des gens remplit de pitié. Je rêve de ma mère, de son visage. Du dernier instant où j’ai pu les tenir dans mes bras. Nous étions une belle famille, une famille unie, et désormais je me suis retrouvé dans une famille où le principal sentiment est de ne penser qu’à sois. À l’argent, mais non à l’amour, ni à la tendresse. Les liens de nos familles s’étaient volatilisés. Et moi, je ne pouvais pas. Je n’étais pas comme eux. J’étais si jeune à l’époque, comment ont-ils cru que c’était la meilleure des choses ? « Il faut que tu oublies, si tu veux avancer, il faut que tu oublies tes parents. » Ce n’est pas possible, pas pour moi. J’ai été élevé et bercé dans un amour, dans les bras d’une mère qui n’avait pourtant pas grand-chose, mais qui donnait toujours plus, et la voix d’un père qui a toujours été là, qui m’a toujours tendu la main en me disant de ne jamais lâcher, qu’un beau jour mes efforts finiront par payer. On m’a tout prit. D’un clignement de paupière, du jour au lendemain. Et je ne pouvais rien faire, à par être spectateur de ma propre destruction. Mon grand-père contre toute attente m’a tendu la main. Il voyait bien que la seule chose qui me maintenais en vie, était les études que je me raccrochais à ça pour pouvoir partir, comprendre du pourquoi du comment, la vie m’a arrachée à mes parents.
 
Mon grand-père n’a pas réussi à m’aider. Finalement, il trouvé une solution plus simple, une solution qui serait magique, qui nous aiderait moi, et ma famille pour aller de l’avant. Je le suis, sans hésitation, je veux juste que cette douleur cesse, je veux juste être libre de mes propres pensées, ne plus avoir de démons à mes côtés, ne plus succombé à cette tristesse qui m’enferme dans ma chambre constamment. Un petit garçon social, c’était comme ça que j’étais avant. J’étais sûr de moi, je n’avais jamais hésiter d’aller auprès de quiconque.  Et désormais, je passe mes journées à aller en cours, rentrer, étudier. Et me coucher. Sans avoir de buts. Je suis sous médicaments, je ne connais pas vraiment le nom, mais mon grand-père me rassure en me disant de les prendre, que je vais aller mieux. Ce fut le cas, les premiers temps. Je prenais correctement mon traitement et je remarquais une différence. J’étais plus léger, mon cerveau réussissait à se concentrer sur une seule chose et non sur plusieurs. Mes pensées n’étaient plus aussi négatives qu’auparavant. Je me sentis être comme un adolescent normal. Du moins, je le pensais. Et je le priais chaque nuit. Il m’a dit d’en prendre encore, pour aller davantage mieux, qu’il voyait du changement et que je devais continuer dans cette allure. Alors, j’ai encore une fois accepté, deux médicaments, trois. Quatre, jusqu’à ne plus vraiment compter combien j’en prenais par jour. J’oubliais le nombre, j’oubliais tous ce qui m’entourait. J’étais comme un robot. Je ne sentais plus rien.

Jusqu’au jour où à mes seize ans, cela fut trop. Trop pour mon corps, trop pour ma tête. Je succombais à une overdose de médicaments. Zolpidem, Adderall, xanax binge, c’étaient mes meilleurs amis, et ils ont failli me tuer. J’ai loupé une année d’étude, j’ai été transféré dans une clinique privé à l’issu de mon grand-père qui niait m’avoir donné ces médicaments. Je ne pouvais pas lui en vouloir, il voulait juste m’aider putain, alors je me tais. Je ne dis rien, j’ai dit que j’avais trafiqué un certificat et que c’était la dernière solution que j’avais pour ma dépression. Je suis resté dans la partie désintoxications de cette clinique, dans le but de me sevrer. Pas de vie sociale, rien. Des murs blancs, des programmes pour que notre cerveau soit apte à travailler tout seul. Pas de visite, c’était interdit. Nous devions faire un travail sur nous-même, nous rappeler de cette douleur qui nous a plonger ici, de la comprendre, peut-être. Et de la faire taire.

Pendant cette année, j’ai vécu pas mal de chose. La première a été que mon propre docteur, donc mon grand-père avait été à son insu mon propre dealer. La deuxième chose a été que j’ai appris à connaître un homme plus âgé que moi, qu’il était dans le même cas que moi, et que nous nous sommes rapprochés. Je ne me vois pas quelqu’un d’aimant, encore moins capable d’aimer. C’était plutôt un divertissement. J’ai surtout réaliser que j’aimais également les hommes, et les femmes. Même si je reste dans l’optique que cette liaison s’est créée dans le seul but de m’occuper l’esprit. Les hommes et les femmes étaient séparées. Quand je suis sorti de cette clinique après une année de sobriété. J’ai négligé cette facette de moi, en m’obligeant à croire que ce n’était rien qu’une passe, que j’étais fou amoureux des courbes des femmes, et qu’aucun homme n’aurait pu me donner un tel plaisir. Alors, j’ai repris mes études, dans le but d’arriver au sommet, en reniant cette partie de moi. J’ai réussi à obtenir mes diplômes sans grande difficulté, les études m’aidant considérablement à oublier mon ancienne addiction. Désormais ma nouvelle drogue était mon avenir. J’ai revu mes grands-parents, même si j’ai demandé d’être transféré à l’université de Harvard. Habité seul, sans voir la culpabilité sur les traits du visage de mon grand-père, qui d’ailleurs m’envoie chaque mois une très grande fortune, que je prends un plaisir imaginable à dépenser, évidemment tout en le menaçant gentiment de tout avouer à sa clinique. Il sous-entend qu’à la fin de mes études il pourrait me léguer son entreprise. Je le mérite, n’est-ce pas ? J’ai encore des séquelles. Des crises de panique, anxieux. Des coups de colère qui risquent de me faire replonger à tout moment.


Ma scolarité n’a pas été des plus calmes. Mais elle n’a pas été non plus trop mouvementée. Ma vie de jeune adulte a eu son quota de fêtes. D’examens, et de relations aucunement sérieuses. J’ai choisi comme étude principal la médecine, étant donné que mon grand-père et lui-même médecin. Mais j’ai également choisi comme étude secondaire les relations internationales du fait que j’ai appris plusieurs langues. Je me débrouille assez bien, j’ai appris à vivre, à avoir des amis. Je pense que je ne me débrouille pas mal.

 
Il y a un type depuis peu qui me nargue. Nous avons couché ensemble, mais ce n’était rien de sérieux à mes yeux, juste un coup comme ça, histoire de profiter. Il a une tête de gosse. Je ne sais pas quel âge il a. Mais il était là, à me regarder dans les yeux, à me dire des trucs pour me chauffer. Je le faisais passer pour mon petit frère pour pas qu’on me surprenne à sauter un gars bien plus jeune que moi. Mais j’aime ça, je ne sais pas pourquoi. Je ne saurai même pas l’expliquer. Mais j’aime cet affrontement. J’aime savoir qu’il est dans les soirées où je vais, contre le mur, dans les toilettes. On s’en tape, tout y passe. Il est si bon, c’est si étrange que je deviens parano. Que je le cherche moi-même du regard... Je sens qu’il cherche un truc, et il va le trouver.
 
J’ai passé six mois à jouer avec ce garçon. Pour finalement... Arriver à quelque chose de plus inattendu. Je suis toujours autant seul, je veux dire, malgré mes efforts surnaturels. Je n’arrive pas à dépasser ce stade. Mais c’est différent... Très différent quand je suis avec Harley. Il est là, sa présence me fait du bien, je me sens à l’aise, je n’ai pas peur d’être moi. C’est définitif. Je veux qu’il soit dans ma vie.
 
Nous nous sommes avoués nos sentiments le vingt-huit février, alors que je me tenais dans une ruelle avec un type, en train de fracasser son crâne contre le trottoir le plus proche. Nous sommes ensemble. Je crois qu’en écrivant ces mots, je n’arrive toujours pas à le réaliser. Je ne vais pas tout expliquer, je vais encore moins passer tous les détails de ma vie, j’explique, globalement comment ça s’est produit, où j’en étais à cet époque. Alors, j’étais avec Harley, nous sommes allés voyager au spring break. Nous avions même un projet fou d’emménager ensemble, mais cette fois, pas dans un appartement, mais dans une maison que nous prendrions le temps de choisir. La « bulle » c’est comme ça, qu’il surnomme notre maison. C’est plutôt joli non ? Ouais, je croyais que ça l’était.
 

Harley a été hospitalisé. À cause des coups qu’il a reçue. Il s’est bagarré, ou plutôt il s’est laissé cogner. Un type, une embrouille, j’en sais pas plus que ça, je sais juste que je l’ai retrouvé durant une garde, allongé sur un lit d’hôpital. Tout est revenu d’un coup. J’ai pensé partir, fuir. Pour ne pas affronter mes vieux démons, de ne pas me retrouver seul encore une fois. Cette image de lui, ainsi... M’a tellement fait du mal. Je n’ai pas pu continuer avec lui. Je faisais des crises, et il a voulu se séparer. Voilà, j’ai l’impression que ma vie se détruit petit à petit. Je ne sais pas si j’aurai les forces nécessaires pour aller de l’avant. J’ai même réussi à mentir à mon psy. En lui disant que Harley a avait pris quelques jours de congés, et que nous nous étions éloignés le temps qu’il revienne. Mais au fil des jours. J’ai commencé à réaliser qu’il ne reviendrait plus jamais. Que je lui faisais peur. Que mes crises étaient bien trop conséquentes. Et pourtant, lors d’un cours d’Anglais, nous nous sommes revus. C’était un choc, je ne savais ni quoi faire, ni quoi dire.

La première semaine a été dure. Je n’arrivais rien à avaler, j’étais cloué au lit, quand je n’étais en cours. La maison que nous venions d’acheter est remplie de souvenirs, et cela en devient même des cauchemars. Je me surprends à repenser à mes parents décédés, ainsi qu’à mon grand-père qui a failli me tuer, pour qui je n’accorde même plus une seule attention. Suis-je redevenu le monstre seul ?
 
À ma deuxième semaine, j’étais plutôt heureux. Ouais, j’étais excité à l’idée de revoir Harley, même si je me doutais que cela n’était que durant un cours, j’avais peur qu’il demande à changer de prof, et que je ne puisse plus le voir. Il m’évite dans les couloirs, je le sens.
 

 
Il était là, devant moi. Je ne voyais que sa bouche bouger, je ne voyais que sa maigreur qui m’a traumatisé. L’homme que j’ai connu n’était pas en face moi. Il a perdu du poids, il est mal, tout aussi mal que moi.. Et peut-être que par égoïsme, j’aime ça. Je veux qu’il soit triste, qu’il regrette ses actes, qu’il se souvienne des bons moments, de l’amour que j’éprouvais à son égard. Je veux qu’il comprenne que ce n’est pas notre vie. Que non, on ne peut pas continuer à être sans l’autre. Je maudis son frère, qui ne me laisse le voir, qui raccroche mes coups de téléphone, je le maudis jusqu’à ne plus pouvoir.
 
Nous avons longuement discuté des pours et des contres. Et nous avons décidé de nous redonner une petite chance, et d’en profiter pour aller visiter la mère d’Harley. C’est bon Paris, c’est une ville splendide. Même si effectivement je ne donne pas une bonne impression. J’ai rejoint Harley durant une soirée. Il était avec ses amis, et je me disais que cela serait une bonne idée de le rejoindre et d’entamer une petite amitié avec ceux qui partagent la vie de mon homme. Peine perdue, cela ne s’est absolument pas bien déroulé. Les événements ont fait que je me suis retrouvé sur un type, à le massacrer de mes mains, j’étais prêt à le tuer. Je n’en revenais pas à quel point la rage et la haine s’était imprégnées de mon corps. J’ai repoussé Harley lorsque nous nous sommes défilés dans les rues de Paris pour retrouver la demeure de ses parents. Des disputes, des hurlements. J’en viens à être marqué. Des cicatrices qui logent mon torse, ainsi que mon dos marqué par mes tatouages.

En revenant en Amérique, je me suis.. Vengé, je crois que c’est le bon mot, puisque Harley l’a pris de la sorte. J’ai vendu la « bulle » sans éprouver de regret. J’étais sur le canapé quand j’ai retrouvé Harley qui revenait tout juste de cours. Je savais ce que j’allais faire, c’était évident. Il m’en a voulu, et il m’en veut certainement encore aujourd’hui. Mais durant ce moment, j’ai posé mon genou à terre, et je lui ai demandé sa main. Ouais, vous avez bien lu. Le type solitaire, à trouble de la personnalité, a demandé en mariage l’homme qui vit avec lui depuis 7 mois.
 
J’ai mal aux doigts, à force d’écrire le passé. Je vais me focaliser sur le présent désormais.

       
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(re)bienvenue et bon courage pour ta fiche JAMES ANDERSON ► Rj King 3850463188
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Rebienvenue JAMES ANDERSON ► Rj King 2109348208
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bienvenuuuuuue et bonne chance pour ta fiche JAMES ANDERSON ► Rj King 2511619667 .
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rebienvenuuuue JAMES ANDERSON ► Rj King 3850463188
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : JAMES ANDERSON ► Rj King 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

JAMES ANDERSON ► Rj King SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Bienvenue parmi nous JAMES ANDERSON ► Rj King 2511619667 !
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

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RJ KING perfect choice JAMES ANDERSON ► Rj King 3850463188
rebienvenue parmi nous mon tout beau JAMES ANDERSON ► Rj King 1001568715
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Re Bienvenue parmi nous JAMES ANDERSON ► Rj King 3850463188
Good luck pour ta fiche and have fun Vic
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rebienvenue sur le forum :heaart:
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