Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJe dompte mieux les hommes que les machines. (Craig)
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


Je dompte mieux les hommes que les machines. (Craig)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je dompte mieux les hommes que les machines.
— with Craig le big boss

« PUTAIN DE MACHINE DE MERDE » que je m'énervais en tapant sur la vieille machine à café. C'est quand même pas la mort de me servir un café quand même ? J'vous assure que si j'avais une batte de baseball à porter de main, la machine démoniaque n’existerait déjà plus. Je soufflais, lui lançais des regards noirs. Elle s'en tapait elle, elle ne voyait rien du tout. « J'te jure que j'vais te balancer par la fenêtre! ». J'me disais que la menacer allait peut-être la faire remarcher correctement. J'étais arrivée ici tôt ce matin, j'avais eu ma matinée de cours et je m'étais dit que j'allais trainer à la Mather House pour ne pas rester toute seule chez moi l'après-midi. J'étais détendue. Je ne le suis plus à cause de cette machine à café défectueuse. Et en plus, la cuisine est sale. C'est pas possible... Personne ne s'occupe des poussins ici ? Je serrais mon poing et il vint s'abattre une dernière fois sur le dessus de la cafetière. J'crois que c'était le coup de grâce, le coup de trop. Un jet de café se mit à partir, mais pas dans la tasse. Non, le truc était en train de partir en live devant moi, sous mes yeux et là, j'étais certaine que la machine me faisait un fuck royal en m'envoyant son jet de café dans la gueule. « J'y crois pas... » que je soufflais, les mains en l'air et la tête en avant, laissant le café dégouliner. Restons calme...

© SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Ce matin, je n’avais rien à faire en lien avec mon travail dans l’université. C'est pourquoi j’ai décidé de me diriger vers la maison des Mather, que je représentais depuis peu de temps en tant que professeur responsable. Tous mes nouveaux collègues m’avaient traité de fou après ma décision. Il semblerait que cette maison est composée de personnes assez hautes en couleurs et difficilement contrôlable. Ces stupides coincés du cul, ne savait pas que ces élèves étaient presque identiques à moi-même.

Je me suis dit qu’il était bon de passer en premier par la salle de vie, lorsque je viens voir la maison des mathers. C’est ce genre de pièce à vivre, qui permet de rencontrer un maximum de personnes. Et vu que j’aime être en relation avec les autres, c’est une sorte de paradis pour moi. Enfin pas totalement ici même, la salle n’était pas très bien entretenue et vu qu’il était tôt, personne n’était présent ici. Sauf cette élève qui s’énervait énormément sur cette pauvre machine à café, peut-être étaient-elles à bout, la femme comme la machine à café.  Je me suis rapproché de cet élève, pour finalement constater qu’il s’agissait d’Alaska, cette sympathique élève enceinte de six mois. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui adresser quelques paroles ironiques tout en étant à ses côtés.

« La pauvre cafetière, je n’aimerais pas être à sa place ! »

Un rire sympathique s’est échappé de ma bouche barbue et j’ai pris les devants, pour vérifier ce qui n’allait pas avec cette cafetière. Après quelques vérifications, ce n’était plus que plus ou moins la fin de sa vie. Elle était beaucoup trop vieille et il fallait la remplacer. Donc j’ai tenu au courant la femme enceinte.


« Elle semble être en fin de vie, je vous payerais une nouvelle cafetière. Et si tu veux je t'offre un café tout à l’heure ! »

Après cette proposition, je me suis mis à observer les alentours. Cette pièce était vraiment dans un piteux état et je me devais y faire quelque chose. Tout en réfléchissant, j’avais marmonné quelques mots à voix basse.

« Il va falloir que je les convoque…»

Après cette courte période où j’étais sérieux, un air joyeux avait repris place sur mon visage. Et je me suis retourné vers Alakas, pour lui adresser quelques mots.


« Ne t’énerve pas autant, ce n’est pas bon pour ton bébé »


Un air chaleureux semblait se dégager de moi, en effet je ne pouvais m’empêcher d’être protecteur avec ce bon élément qu’est Alaska. En espérant qu’elle reprenne son calme…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je dompte mieux les hommes que les machines.
— with Craig le big boss

J'étais en colère, hors de moi. Bon, peut-être pas quand même, mais je devais avouer que j'avais envie de me rendre dans le placard à balais pour y prendre la batte de baseball et démolir la machine à café avec. C'est vrai quoi, j'en pouvais plus là. Je voulais juste qu'elle me fasse un putain de café et non pas qu'elle m'asperge de la tête aux pieds. « La pauvre cafetière, je n’aimerais pas être à sa place ! ». Je tournais la tête et je lançais un regard noir à la personne qui se tenait à mes côtés. Craig Hart, notre professeur référent chez les verts. C'était un peu le papa de la maison, autant se le dire. Je laissais échapper un soupir en attrapant un torchon un peu plus loin. C'est dégueulasse, j'ai du café partout et surtout, j'ai taché ma belle robe en jean que mon petit ami m'avait offert à mon anniversaire. « Elle semble être en fin de vie, je vous payerais une nouvelle cafetière. Et si tu veux je t'offre un café tout à l’heure ! ». J'haussais les épaules d'un moue boudeuse. « Maintenant que je vais devoir me traîner l'odeur du café toute la journée... Je crois bien que je préférerais un thé. ». Pas chiante pour un sou. Je reposais le torchon une fois l'avoir replié sur le plan de travail de la cuisine. « Il va falloir que je les convoque… » - « Hum ? » Je relevais la tête et je suivais le regard de l'homme pour remarquer que c'était le bazar. « Bon courage... » que je lui confiais en souriant. Pour tous les secouer pour qu'il fasse le ménage, ça allait être difficile. Rien que l'autre fois, je dormais dans la chambre de Milan et il y a de quoi faire une crise cardiaque. « Ne t’énerve pas autant, ce n’est pas bon pour ton bébé ». J'haussais les sourcils en le regardant. C'est bon, j'étais calme là. « Je ne vois pas de quoi tu veux parler, je suis totalement détendu... » que je m'exclamais l'air de rien en haussant les sourcils.

© SEAWOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)