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DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal

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diego jean-marcel gherardini

     
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Fiche d'identité
Nom Gherardini est mon nom d'usage, j'ai changé celui de mon père dès mon arrivé aux US. Personne n'a besoin de savoir que je suis un Norcino dans l'âme. Prénom(s) Diego Jean-Marcel mais tu peux m'appeler JeanJean comme tout le monde. Mes parents étaient bourrés quand ils se sont rendus à la mairie, c'est pas possible autrement.Âge 28 ans.Date de naissance 12 octobre 1988.Lieu de naissance à Vérone, Italie.Statut amoureux CélibataireOrientation sexuelle Hétérosexuel.Classe sociale Moyenne, c'est la dèche.Job Homme à tout faire sur Harvard. Du ménage à la maintenance en passant par les réparations et l'entretien. Je fais tout, je n'ai pas le temps de me faire chier.Depuis combien de temps ? Trois ans.Choix de groupe Staff

Avez-vous étudié à Harvard ?
Je n'ai pas eu cette chance. Harvard a toujours été la consécration ultime pour moi, l’apothéose de tout cursus scolaire. Le prestige que cette université renvoyait m'a toujours fasciné, l'intégrer dépassait mes rêves les plus fous. J'ai l'honneur de pouvoir fouler les couloirs des salles de cours, non pas avec un livre dans mon sac à dos mais plutôt avec un balais à la main ou un tournevis dans la poche. J'aurais aimé avoir les capacités de suivre les différentes matières proposées mais les études n'ont jamais été mon fort. N'ayant ni les capacités ni l'argent pour y arriver, j'ai du revoir mes espérances à la baisse et me contenter du minimum pour exceller dans ce domaine. Aujourd'hui qui peut le dire ? Que serait Harvard sans son Jeajean ?

QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
J'avoue je suis bon dans la maintenance mais je n'ai pas encore eu l'occasion de donner des cours d’électricité ou de plomberie. L'ambition des étudiants dépasse fatalement tout ce que je peux offrir à cette université.
APRÈS LA BOMBE.
Cela fait un peu plus de quatre ans que je travaille pour Harvard. Fraîchement débarqué dans cette université, j'étais encore en formation avec l'homme à tout faire, parti en retraite seulement un mois après la bombe. J'ai vu de tout, des étudiants traumatisés par l'horreur de l'explosion, d'autres blessés par les dégâts qu'elle venait de causer ou d'autres encore non concernés par cette histoire. Le melting pot de cette université fait que chacun à réagit à sa manière, en fonction de ses origines, de ses croyances et de sa sensibilité. Pour ma part, j'ai surtout été marqué par le visage de cet homme, un faciès que je n'oublierai sans doute jamais. Ce silence pesant lorsque mon regard croise le sien, le temps qui s'arrête lentement, prit dans un tourbillon d'incompréhension et du sentiment étrange d'échapper de peu à la mort. La folie d'un seul homme aura suffit à heurter la sensibilité de toute une génération d'étudiants, concernés par cette attaque ou non.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Sale histoire que cette prise d'otage. Comment les choses ont-elles pu déraper à ce point ? Passer d'une exclusion à une paranoïa malsaine en si peu de temps ? Nous avons tous assistés aux agressions sans pouvoir intervenir et empêcher l'inévitable. Masquer leur identité pour alimenter un sentiment d'insécurité et permettre de faire régner la terreur sur l'université était malin de leur part. Ils étaient avertis mais je pense que la situation leur a échappé et ils n'ont pas su garder le contrôle de ce qu'était à la base qu'une simple vengeance. Tout le monde est concerné par cette folie, aucun étudiant ne peut rester indifférent face à ces événements marquants. Tout comme la bombe, des personnes y ont perdus la vie ou l'esprit. Personnellement, j'ai subis ces attaques de plein fouet, suscités de toutes parts. J'en ai rassuré des étudiantes en panique, j'en ai raccompagnés des filles à leurs chambres. J'avoue qu'au début, j'ai un peu profité de la situation avant de me rendre compte que ça allait dégénérer. L'université toute entière était plongée dans un sentiment oppressant d'insécurité, il fallait que ça explose, ce n'était plus vivable.
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DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 387742012


       
mathioso
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mathieu et j'ai 72 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à louise.  Il est pourri alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sergio Carvajal comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sweat Disaster. Je fais environ 10 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

      Mot de la fin ? ▲ Fin.

      Je souhaite adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainer si oui, par quelqu'un de libre

     
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Once upon a time


la réputation des Norcino n'est plus à faire
Alors que tous les garçons de mon age ont le droit à une fête d'anniversaire sur le thème de Buzz l'Eclair ou de son rival Woody, moi j'assistais à ton procès pour le mien. J'avais tout juste huit ans et ma présence dans cette audience à huit clos ne semblait alerter personne. Mon corps tout entier était caché par la présence d'un gros monsieur juste devant moi, me permettant ainsi de passer inaperçu aux yeux de tous. J'aurais dû sortir en même temps que les journalistes, il aurait été préférable que je quitte les lieux le plus vite possible, empêchant ainsi mon esprit d'être brouillé et traumatisé à tout jamais. Rien ne me laissait entrevoir une suite choquante à ton procès. Les visites entre le tribunal et le centre de détention provisoire étaient devenus mon quotidien, c'était l'unique façon de te voir puisque tu n'étais plus à la maison avec nous. Je ne comprenais pas tout à cette époque mais le vide et le stress laissé par tes actes rendait maman paranoïaque. Je me souviens des crises de larmes qu'elle lâchait dans la salle de bain, la porte fermée. Des sanglots inconsolables nourrissants ce sentiment de honte qui planait sur nous, la médiatisation intensive de cette affaire n'arrangeait rien à la culpabilité qu'elle ressentait par ta faute. Ces larmes auraient pu justifier l'absence de maman à ton jugement et pourtant elle était là, prête à te soutenir corps et âme dans ta folie malsaine. C'est dans ces moments-là qu'on se rend compte que l'amour que l'on porte à une personne peut s'avérer dérisoire voire dangereuse pour sa famille. Maman t'en voulait à mort mais elle te soutenait et encore aujourd'hui je m'interroge sur les raisons qui l'ont poussés à venir à ton audience. J'étais là moi aussi, tu ne me voyais certainement pas, caché derrière une bonne dizaine de rangés pleines à craquer de visages braqués sur toi. Tu étais assis derrière cette vitre parfaitement nettoyée, le service de sécurité semblait te couper du monde extérieur, de mon propre monde. Je n'osais pas bouger par peur d'être jugé à mon tour pourtant toutes ces personnes étaient bien présentes pour toi et pour ce que tu avais fait. Mes mains étaient religieusement posées sur mes cuisses, j'attendais la suite sans comprendre ce que je foutais là. En entendant ton nom, mes yeux se levaient vers toi, je me rappelle encore me pencher sur le côté pour essayer de t’apercevoir un peu mieux. Tu étais à ma droite et maman à ma gauche quelques rangés plus haut, aucun de vous deux n'avait d'attention pour moi, j'étais transparent quoi que je fasse. La cours se leva à l'arrivé de la présidence, c'était une marque de respect que tu ne connaissais visiblement pas. Le procès pouvait enfin commencer. A l'annonce des faits, ma gorge se noua, empêchant ma respiration de se faire normalement. Je regardais les personnes autour de moi murmurer des choses à ton sujet mais j'étais trop petit pour en comprendre le contenu. Un débat pénible et éreintant se mettait en place autour de tes actes, une vidéo était sur le point d'être dévoilée à toute l'assemblée. Je l'avais regardé du coin de l'oeil et j'y avais vu des femmes dénudées avec toi, des cris stridents me venaient aux oreilles mais je ne réagissais pas, incapable de comprendre ce qui se déroulait devant moi. Mon innocence venait d'être piétinée et souillée à cause de toi, la petite télévision au bout de la pièce m'imposait des images choquantes qui défileront jusqu'à la fin de ma vie dans mon esprit; mais je n'étais pas encore au bout de mes peines avec toi. Lorsque j'entendis que des enfants étaient impliqués dans tes histoires, je repliais instinctivement mes jambes vers moi pour chercher une pointe de sécurité. Silencieux depuis le début du procès, je levais les yeux vers l'homme assis juste à côté de moi. J'ignorais qui il était pour toi mais j'avais peur, je redoutais de subir le même sort que ces femmes affolées sur l'écran. Le monsieur se tourna vers moi et se leva, interrompant le procès et les explications vaseuses de ton avocat. Je le vois encore me pointer du doigt et articuler C'è un bambino in questa stanza. A ces mots mon regard s'écarquilla de terreur, j'étais démasqué. Les policiers se ruaient sur moi pour me faire sortir de l'audience, l'un d'eux me portait presque pour me faire déguerpir au plus vite. Il y avait bien un enfant dans cette salle papa, c'était moi. Juste avant de quitter ce spectacle de désolation, je me suis retourné vers toi et que j'ai hurlé papà, tu t'en souviens papa ? Parce que moi je m'en souviens bien. Tu m'as regardé comme si j'étais un étranger, j'ai vu la honte et les remords dans tes yeux juste avant que tu ne détourne le regard chassant ces émotions d'un froncement de sourcils. C'est le seul souvenir, la seule image que j'ai de toi papa, celle d'un violeur impitoyable sans coeur ni conscience morale. La condamnation à perpétuité est une peine clémente pour toute l’atrocité dont tu as pu faire preuve envers ces femmes. J'espère vraiment que tu pourris dans ta cellule et tu vas croupir en enfer par la même occasion.


traîné de foyers en foyers "le temps d'une amélioration" qu'ils disaient
Juger une personne pour ses erreurs est une chose commune à tous les êtres humains, rejeter la faute sur les autres et trouver des excuses fait parti de la normalité, tu n'es pas si différente des autres. Chercher des raisons qui pourraient justifier le comportement inacceptable de papa hantait ton esprit déjà bien meurtri par ces accusations. Une enfance difficile ou des parents absents, tous les prétextes étaient bons pour plaider sa cause. Tu ne pouvais pas nier l'évidence car les preuves l'accablaient lui et personne d'autre, aucun doute n'était possible, aucune once d'erreur n'allait jouer en sa faveur. Même s'il niait les faits, il avait violé et assassiné neuf femmes, un tel acte de cruauté devait être punis par la loi et tes petites tentatives pour le tirer d'affaire étaient aussi pitoyables que grotesques. Je sais bien le mal qu'il a pu te faire mais me délaisser n'était pas la solution à préconiser dans ce genre de situation. Ce procès m'a traumatisé et tu ne semblais pas voir mon mal-être, tu restais plongée à corps perdu dans sa défense, tisant de manière plus que régulière sur la bouteille. C'était surement un moyen pour toi de nier la réalité et de te protéger. Tu cherchais un moyen d'échapper à cette pression médiatique refoulant tes devoirs envers moi. C'était facile pour toi, les services sociaux m'avaient placé dans une famille d'accueil le temps d'une amélioration qui n'arrivera jamais. Tu étais tranquille et débarrassée du petit Jeanjean, ce gamin qui avait assisté malgré lui à l'affaire de viol qui défraya le plus de chroniques ces dernières années. Plus les jours passaient et moins je te voyais, tu n'étais plus qu'une ombre pour moi, un vague souvenir qui s'estompait inévitablement. Perdre son père dans de telles circonstances était abominable mais ton silence n'était guère mieux. A aucun moment tu n'as cherché à savoir si j'étais bien avec les Pacera puis les Damone et enfin les Armanéo. Maintenant je peux te le dire maman, j'ai souffert de ton absence, j'aurais aimé avoir ma mère pour me rassurer et me faire comprendre les choses. Tu sais quand on est jeune, on subit les attaques de plein fouet et sans prévention, il m'était impossible d'imposer les barrières nécessaires pour me protéger. Prendre du recul sur les insultes que je recevais à l'école ne m'était pas permis, j'acceptais les remarques car ce sentiment de culpabilité ne me quittait jamais. Tout me ramenait à papa et à cette vidéo révoltante qui obstruait la moindre de mes pensées. Ce n'était pas de ma faute maman, pourquoi ne m'as-tu pas écarté du danger des autres ? J'ai réussi à grandir et à suivre un semblant de scolarité mais ce n'est pas grâce à toi. Tu ne m'as apporté aucune éducation et aucune morale. Comment voulais-tu que je me construise un avenir acceptable quand je te voyais arriver saoule à nos rendez-vous mensuels ? Ton visage se creusait et ta peau se détériorait à vue d’œil renvoyant de toi l'image d'une femme bafouée, en pleine détresse. L'alcool te rendait agressive et maniaco-dépressive, je n'osais plus te toucher maman et redoutais le moment où tu auras assez de lucidité pour me prendre dans tes bras en chialant toutes les larmes de ton misérable corps. Ces visites m'étaient imposées et heureusement pour toi car contrairement à l'exemple que j'avais de toi et de papa, je respectais mes devoirs envers autrui. Tu m'excuseras de ne pas être venu à ton enterrement il y a cinq ans maman, c'était au dessus de mes forces mais si je me tiens devant ta tombe aujourd'hui c'est pour te remercier. Il m'aura fallu une année pour admettre le fait que sans toi je ne serrai pas la personne que je suis actuellement. Merci d'avoir fait de ma vie une lutte acharnée, merci de m'avoir donné le courage d'affronter la réalité pour ne jamais devenir comme toi et merci d'avoir été le contre exemple même de la mère parfaite. T'en vouloir ne rime à rien, tu as fait tes choix et a réagit comme tu as pu, je n'étais qu'un obstacle sur ton passage. Je suis conscient de la peine que tu as pu ressentir mais serait-ce égoïste de ma part de l'ignorer et de continuer ma vie comme si tu n'avais jamais existé ? C'est dérisoire mais si l'occasion de changer le passé se présentait à moi, je le laisserais intact. Chacun de tes actes nourrissait le besoin que j'avais de m'éloigner de toi. Papa enfermé dans cette minuscule cellule et toi entre quatre planches, je peux enfin me libérer de tout le mal que vous m'avez fait. Le silence dans ce cimetière résume la relation qu'on a pu avoir, le vide était parfois meilleure compagnie que la tienne. Debout devant toi, je dépose aujourd'hui une rose sur ton caveau en signe de paix et de délivrance intérieure. Addio mamma, cette pensée pour toi sera la dernière maman, j'ai une revanche sur la vie à prendre.


vous avez profité impudemment de mon innocence, it's over
Ma première action en arrivant aux Etats-Unis a été de changer d'identité. Norcino me collait à la peau depuis trop d'années, le changer était devenu un besoin vital, j'ai donc opté pour le nom de famille de ma défunte mère. Je n'ai pas envie de renier mes origines, rien ne pourra changer le passé mais j'avais là une chance presque inespérée d'améliorer mon futur. Gherardini n'allait pas me porter préjudice ici, c'est l'opportunité que j'attendais depuis des années, celle de pouvoir recommencer une nouvelle vie ailleurs, loin de toute honte et discrimination. Je quittais mon ancienne vie pour me reconstruire dans un pays où tout semblait possible, une jolie idylle attractive. Je ne vais pas mentir les premiers mois ont été assez difficiles, je ne mangeais pas à ma faim et les Américains étaient plutôt hostiles à l'intégration d'un Italien ne parlant presque pas la langue. Ma force de caractère m'a permit de ne jamais abandonner et de relativiser face à ces difficultés passagères. J'ai appris à m'intégrer et à me familiariser avec la langue grâce à des rencontres qui ont changés ma vie. Avancer dans mon nouvel environnement ne me faisait pas peur et je n'étais pas là par hasard. Boston signifiait beaucoup moi, je voyais cette ville comme une utopie presque parfaite, aussi, l'envie d'intégrer Harvard me traversait l'esprit plus d'une fois. La sélection à l'entrée de cette université était impitoyable et c'est ce qui lui valait sa renommée internationale. J’enchaînais les petits boulots afin de me laisser l'opportunité de rester à Boston et tenter mon adhésion à Harvard. Ma vie a basculée le jour où je suis arrivé pour l'entretien avec le corps enseignant, je savais alors que mon intégration était plus que compromise. Je suis entré dans le hall de l'université pour espérer convaincre une âme charitable de plaider ma cause mais le destin en avait décidé autrement. Mon chemin croisa le tien au détour d'un couloir, je me souviens de la première fois que je t'ai vu, perché sur ton échelle, tu essayais de venir à bout d'un câble dénudé. Les lumières au plafond me laissaient penser que l'électricité courrait toujours dans les circuits, c'était périlleux vu ton age de tenter une telle opération. Je me suis approché de toi et t'ai proposé une aide que tu n'as pas pu refuser. J'ai posé mon sac à côté de l'échelle bancale et je suis monté pour te filer un coup de main. Mon enfance n'a été qu'une succession d'expériences tantôt négatives, tantôt positives mais j'essayais de garder que le meilleur de chaque. Livré à moi-même depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours dû me démerder par mes propres moyens et c'est avec une facilité déconcertante que j'arrive à bout de ton problème de câble. Mon regard se tourne alors vers l'interrupteur de sortie qui s'allume aussitôt tandis qu'un sourire débordant de fierté illumine ton visage. Tu m'as ensuite demandé de l'aide sur un circuit beaucoup plus compliqué que celui-là, je t'avais suivi en oubliant la raison de ma présence ici. Un bordel sans nom se trouvait dans le tableau électrique de cette bâtisse mais tu m'as laissé faire, prenant même quelques notes à l'occasion. Ensemble on a mit une bonne semaine à mettre de l'ordre dans ce foutoir. C'est à ce moment-là que tu m'as proposé une place que je ne pouvais pas refuser, mettant mes projets d'études entre parenthèses. Je suis reconnaissant de ce que tu as fait pour moi, tu pouvais partir en retraite l'esprit tranquille, j'étais là pour assurer ta succession et je m'y applique pour la quatrième année consécutive.
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MON MATHOUUU DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2511619667 Bienvenue l'frangin DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 166564858
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Genre on est pourris ! :ôô: *lui lance des cailloux*
Bienvenuuuue sur ILH, et bon courage pour ta fiche DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 387742012 DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 1365124802
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Excellent choix DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 4205929361 Bienvenue chez toiiii !! DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 1946740601 DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2511619667
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la bienvenuuuuuuuuuue DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2109348208
réserve-moi un lien face
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Merci.
@Margot Weasley Pourris jusqu'à la moelle, c'est pour ça que je suis là DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 1881463262
@A. Soane King-Moore ouais avec plaisir
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 3850463188
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bienvenuuuuuuue et bonne chance pour ta fiche DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2511619667 .
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ROUUUUUR LE PETIT CHABERT DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 152426858 DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 1881463262 DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2109348208
bienvenuuuuuuuuuuue le frangin à ma louisette DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2109348208 DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 152426858 bon courage pour ta fiche et bien évidemment garde moi un lien DIEGO JEANJEAN GHERARDINI ► Sergio Carvajal 2109348208
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