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BABBY BURN. + Happylène

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regarde autour de toi , vole de tes propres ailes , prends ton indépendance et soulève l'univers comme si rien d'autre ne comptait . la vie ça comprend de faire des efforts , d'ouvrir ses horizons , de vouloir s'imposer face au monde . c'est ton jour , c'est ta voix . fais en ce qui te plaît .

Censée aller à une soirée, je m’étais mise en route pour cette place que tout le monde convoitait pour le restant de la nuit. Je marchais près de la cabot house, heureuse de pouvoir partir à cette fête qui promettait d’être mémorable, mais quelque chose me disait d’aller voir si Happy était déjà couché ou non. Et quand j’arrivais devant la porte et que j’entendais les hurlements de son petit bout, je savais qu’il n’y avait aucune chance pour que ce jeune papa soit en plein milieu d’un rêve fabuleux. Tournant la poignée, je m’apercevais vite que ce n’était pas fermé à cause du bruit de la porte grognant contre le sol. J’entrais dans le hall et suivait le bruit assourdissant du bébé trop merveilleux qui était fatigué, tout ceci avant d’arriver à l’encadrement d’une porte, de m’y épauler et de regarde Happy danser et chanter pour tenter de la calmer. Je pouffais gentiment, sans le laisser réellement m’entendre. Son corps balançait de droit à gauche et il me donnait le dos. « Alors c’est comme ça que tu comptes bercer un p’tit bout ? En le secouant sans arrêts. Alala Happy, j’ai vraiment des cours à te donner. » Je rigolais avant de m’approcher de lui et de dire bonsoir à la petite en lui souriant et caressant le bout de son petit nez tout mignon. Puis je tapais le front de mon ami pour le lui dire à son tour. Faute d’être plus grand que moi, il aurait dû se baisser plus tôt, mais voilà, c’est centimètres en plus me rendait microscopiques à ses côtés. Et je finissais par lui faire un petit bisou sur le bras pour me faire pardonner. « Besoin d’aide ? » Grand sourire, mine réjouis, tout pour mettre en confiance.


@Happy S. Gainsborough
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D’ordinaire, Happy arrivait à endormir Marie sans trop de problème, en chantant ou en la berçant dans sa poussette… là, rien à faire. La demoiselle, trop fatiguée et trop énervée sans doute, refusait de dormir et hurlait à en rendre d’ors et déjà sourd son jeune père, possédant pourtant une ouïe plus que défaillante. A aucun moment il n’aurait été capable d’entendre la venue de son amie adorée, Charlène. Cette dernière s’approcha, faisant presque sursauter l’américain par ses quelques propos qui lui arrachèrent pourtant un petit sourire en coin. « Mais je ne la secoue pas ! » se défendit-il, légèrement dépité. Et dire qu’il fallait que sa pote débarque pile quand la petite refusait de dormir, alors qu’il savait si bien l’endormir d’ordinaire… le monde est vraiment trop injuste. Il la regarda, d’un air attendri, saluer la petite princesse en touchant doucement le bout de son nez encore translucide, avant de taper légèrement le front d’Happy, qui en grimaça aussitôt. « Hé ! » Normal, un grand dadet comme ça, cela se frappe plus facilement que cela ne s’embrasse. Il se pencha bientôt pour lui embrasser doucement la joue, histoire de lui dire bonsoir comme les conventions l’indiquaient en théorie. « Tu vas bien ma belle ? Me fait super plaisir de te voir ! Ma p’tite chipie refuse de dormir ce soir, rien à faire. Elle est super mignonne d’habitude ! Juste pour me faire passer pour un père indigne quand tu viens, quoi… » s’amusa-t-il en bisouillant son trésor.

@K.-M. Charlène Bendorva
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regarde autour de toi , vole de tes propres ailes , prends ton indépendance et soulève l'univers comme si rien d'autre ne comptait . la vie ça comprend de faire des efforts , d'ouvrir ses horizons , de vouloir s'imposer face au monde . c'est ton jour , c'est ta voix . fais en ce qui te plaît .

En ce qui concerne les enfants, j’avais toujours eu ce petit truc en plus depuis mes premiers babysittings. Alors quand je le voyais dans la posture à la border de manière à ce qu’elle soit quand même un peu trop éveillée, je décidais de faire cette petite remarque inoffensive pour lui signaler ma présence. Et sa réponse me faisait esquisser un sourire. Bon, d’accord il ne la secouait pas, mais un petit bébé comme ça est très sensible au mouvement que fait son parent. J’en savais quelque chose, j’avais fait des nuits blanches avec certains bambins dans mes premières expériences. Ouh, souvenir douloureux. « Non, mais tu vas trop vite attend, c’est fragile ce genre de petits êtres. » Je le tapais sur la tête de mon ami après avoir flattée la petite chose qu’il tenait dans ses bras. Bien sûr, il rétorquait avec un baiser sur ma joue qui me laissait le sourire scotché à mes lèvres, complètement intacte. Quand ce fût fait, je m’asseyais sur un meuble juste à côté pour lui donner face. « Je vais super bien merci, et toi alors ? » Je rigolais parce que c’est vrai que la coïncidence était affreuse. Juste quand je décidais de venir lui rendre une petite visite, elle refusait de s’endormir, à croire qu’elle aimait bien le faire voir comme un père indigne. C’était marrant quand même. « Non mais tu crois que ce n’est pas fait exprès ? Je l’ai appelée cet après-midi pour mettre au point ce petit plan machiavélique afin que tu ne fermes pas un œil ce soir voyons. » Je rigolais de plus belle, jusqu’à ce que je m’arrête d’un coup sec. « Tu sais quoi, tu devrais la mettre dans son lit avec un fond de musique classique. Ça marche sur certains bébés pour qu’ils se calment et dorment. Je dis ça mais je dis rien hein, tu peux continuer à la secouer comme un hot-dog, ça me fait un spectacle. » Je pouffais de rire sur la fin de ma phrase. Il allait m’envoyer un coussin à la tête si je continuais à l’embêter comme ça, ou sinon c’est moi qui le ferait. Ouais, sauvage un jour sauvage toujours, ma cage n’aurait jamais dû rester ouverte. Joke.



@Happy S. Gainsborough
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Au commentaire de Charlène, le jeune homme lui lança un regard quasi désespéré. Un peu comme s’il se trouvait dans la peau de Michael Jackson à lancer son bébé dans les airs sur un balcon là où tous les paparazzi avaient pu le photographier. Quelle horreur. Bon, l’image était un peu trop forte mais Happy n’avait pas eu l’impression de la secouer, jusqu’ici. « Bah écoute, malgré le fait que je ne m’imaginais pas du tout papa à vingt ans, je me porte comme un charme ! » reprit-il dans un petit sourire, qui se transforma bientôt en rire rien qu’à imaginer sa porte en train de fomenter un tel plan machiavélique. S’il la croyait capable de tels méfaits, Marie restait trop petite pour être sa complice, cela lui offrait donc un alibi… mais pour cette fois seulement. « Tu sais que tu me fais peur parfois ? Je suis un incompris ! C’est définitif ! » pleurnicha-t-il faussement. Mais l’idée suivante de Charlène était une idée de génie, il fallait bien le reconnaître. Happy s’exécuta aussitôt, embrassant le front de son petit trésor, la bordant dans son berceau pour mieux mettre un fond de musique classique sur un Ipod car oui, il avait bien évidemment de la musique classique dans un coin de son MP3 unique et préféré. Pour le moment, c’était un succès parfait, ce qui permit de fermer la petite pièce où dormait Marie pour conduire Charlène jusqu’au salon des Cabots, complètement vide puisque toutes les roses étaient à cette fameuse soirée. « Wow ça marche pour le moment yihooo ! Mais tu sais que j’ai eu la trouille qu’elle ait une maladie… avec sa mère camée… ou qu’elle risque de finir sourde, comme moi ! Enfin… tu veux boire quelque chose ? »

@K.-M. Charlène Bendorva
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regarde autour de toi , vole de tes propres ailes , prends ton indépendance et soulève l'univers comme si rien d'autre ne comptait . la vie ça comprend de faire des efforts , d'ouvrir ses horizons , de vouloir s'imposer face au monde . c'est ton jour , c'est ta voix . fais en ce qui te plaît .

J’étais comme ça, incroyablement impulsive. Alors je disais la plupart du temps, tout ce qui me passait par la tête. Ceux en face de moi, faisait souvent les frais de mes mots, mais Happy me connaissait, il ne me haïrait pas pour si peu, il faudrait que je kidnappe son bébé et que je la donne à un loup garou pour qu’il décide de peut-être me bouder. Non je déconne. Ou pas. Qui sait. « Être papa à vingt-ans, c’est super à la mode tu sais. Toute les filles vont te tomber entre les jambes maintenant. » Métaphore. Ouais, elles allaient vouloir se retrouver entre ses jambes, mais j’allais passer de l’anti-poufiasse pour être sûr qu’elles ne brisent pas son cœur et que son bébé soit toujours sa concentration numéro une. Ouais, je préférais le savoir seule, avec moi et bébé trop cute, que mal accompagné et mal baisé. Oui. « Caliméro de mes fesses, arrête de te morfondre et commence à me payer mes services avec des yaourts à la fraise, merci. » Besoin d’une baby-sitter ? Appelez-moi je ne prends pas cher, je veux juste mon dessert favori et je suis comblée. Quand il finissait par écouter mon conseil de mettre de la musique classique à sa fille, on finissait enfin à quitter son havre de paix sans même l’entendre pleurer. J’étais presque entrain de chercher des fleures autour de moi pour pouvoir m’en lancer. Arrivant au salon de la Cabot, je m’asseyais sur le canapé de manière à être à l’aise. J’entendais les craintes de mon petit chou, je le comprenais certainement, mais je ne savais pas si ce que je m’apprêtais à dire lui serait d’une grande aide. « T’inquiète pas, si elle est aussi débrouillarde que son papa, il ne devrait rien lui arriver de très grave. Puis être sourde ça sert à draguer les beaux mecs sourds, tu vois. » Je rigolais, parce que je voulais qu’il retrouve un peu confiance en lui et en sa fille. J’étais persuadée qu’elle n’avait pas de maladie, mais comment le faire comprendre à son jeune papa qui veut une seule chose dans sa vie, la rendre heureuse comme une princesse de conte de fée. « Puis tu sais, l’intérêt à avoir une mère camée, c’est qu’elle pourra toujours en vouloir à elle et non à toi pour les futurs mauvais choix que tu feras. Parce que, on ne va pas se mentir, si tu deviens comme mon père a lui dire qu’elle ne se mariera qu’après ta mort, elle risque de vouloir couper les freins de ta voiture assez vite. » Je le prenais dans mes bras. Lui faisant un bisous sur la joue pour qu’il arrête d’avoir peur, enfin. « Un whisky-coca si tu as, je veux bien merci. » Souriante, comme toujours.


@Happy S. Gainsborough
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Clairement, si Charlène venait à kidnapper Marie et la donner en pâture à un loup, Happy réagirait. De manière sans doute un peu excessive, à la lumière de l’inquiétude qu’il ressentirait. Mais là n’était même pas la question, car jamais une telle situation ne surviendrait jamais et heureusement. « A la mode, sans rire ? Entre les jambes, entre les jambes… je vais te faire rire, mais mon métier nocturne les fait toutes fuir… » Sans aller jusqu’à dire qu’il n’avait pas de succès, ce qui serait faux et même pure calomnie, l’américain ne parvenait jamais à avoir la moindre relation sérieuse. Cela capotait dès que son métier de gigolo arrivait sur le tapis. Aucune nénette ne le laissait jamais s’expliquer. Ses dettes, sa mère dans le coma, tout ça échappait totalement à ces étudiantes dont l’argent semblait tomber du ciel et qui n’aurait jamais de problème avec leur banquier. Tant mieux pour elles… « Yaourt à la fraise, c’est parti ! » s’exclama-t-il, bien loin de vouloir rester à se morfondre, prenant un paquet entier dans le frigo. A la guerre comme à la guerre, il prit deux cuillères dans son tiroir et déposa le paquet de six yaourts, partant du principe qu’on ne part pas pour une nuit de babysitting sans biscuits… ou plutôt sans yaourts à la fraise, qui était de loin son parfum préféré. Marie se laissait apparemment bercer dans son petit havre de paix, la musique classique aidant, alors qu’ils se retrouvaient tous deux avec Charlène dans le salon vide des Cabots. Une chance. « A priori le pédiatre que j’ai vu m’a dit qu’elle n’avait pas développé de symptôme donc pour le moment je trouve que c’est bon signe, et sincèrement ça m’a rassuré. Je veux qu’elle ait une bonne santé tu vois… » admit-il en acceptant volonté son câlin, berçant délicatement son amie, caressant ses cheveux dans un moment délicat. « Tu crois qu’elle en voudra uniquement à sa mère pour les mauvais choix que je ferai ? » rit-il doucement en se relevant pour aller leur servir deux whisky-coca. « Ce qui m’effraie en fait… c’est que sa mère débarque pour essayer de la reprendre, en plein bad trip… j’en ai cauchemardé il y a quelques nuits. Désolé de te parler de tout ça, c’est pas gai, je vais un peu fermé ma gueule et te laisser parler de toi ! Qu’est-ce qui se passe de beau dans ta vie, raconte moi ? »

@K.-M. Charlène Bendorva
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Selon lui son métier nocturne faisait fuir les filles, et j’avoue que je n’avais pas envie de déranger la petite, alors oui, j’allais attendre qu’on soit hors de sa chambre pour poser plus de questions, allant dans le salon avec mon ami plus rapidement que prévu comme il écoutait vite mon conseil pour le mettre en place. Je m’asseyais dans le fauteuil après que nous nous soyons pris dans les bras, il avait partagé ses craintes avec moi, mais aussi son soulagement que le pédiatre de sa fille lui avait apporté, et j’avais sourie comme une enfant de six ans à cette nouvelle. J’adorais cette nouvelle, elle m’enlevait un poids sur les épaules. Parce que même si je n’étais pas la meilleure amie du monde parfois, je m’inquiétais pour sa choupette. Quand il revenait avec nos verres, je le laissais parler de son rêve. Je le laissais simplement parler un long moment pour qu’il se vide, mais après ça, c’était à mon tour de parler. Quand il finissait, je prenais une gorgée avant de commencer l’interrogatoire spécial agent yaourt à la fraise que je suis. « Bon, c’est mon tour maintenant. » Un grand sourire venait se placer sur mes lèvres, un sourire satisfait en fait. Je parlais beaucoup, je m’en rendais compte, mais j’aimais tellement ça aussi, c’était dur de m’en passer. Parler était en quelque sorte ma drogue à moi. En plus de l’alcool. J’attrapais ma cuillère, et décrochait un premier yaourt du pack de six qu’il avait emmené, plongeant une délicieuse cuillérée de fraise au creux de ma langue. Dieu que c’était bon. « De un, je ne comprends pas les filles qui ont peur de ton travail. Sincèrement, j’aurais trop aimée sortir avec un mec qui pourrait me faire des strip tous les soirs, sachant que je pourrais lui glisser des billets dans le boxer pour le fun. Elles sont vraiment connes, mais bon. » Une deuxième cuillère de yaourt venait à se poser entre mes lèvres, toujours aussi énorme, avec de la substance dégoulinant de chaque côté, mais bon. « De deux, je suis soulagée que tu me dises ça, parce que ta fille c’est mon petit rayon de soleil et je veux que rien ne lui arrive de mauvais dans sa vie. Comme à toi en gros, m’enfin. » Je rigolais nerveusement, parce que bon, je venais de lui faire un compliment quand même, je voulais que tout aille dans sa vie, je ne voulais pas qu’il souffre. Je l’aimais trop mon Happy. Troisième cuillère. « De trois, si elle t’en veux, tu me l’envois, je vais la régler en deux deux moi la petite. Après, tu as le temps avant qu’elle commence à se rebeller, donc profite des belles années qui s’affichent face à toi. » Finissant mon yaourt, j’en raclais même le fond avant de le déposer sur la table et de prendre mon verre pour en boire de nombreuse gorgée d’affilée. J’avais vraiment un problème. « De quatre, si cette garce revient, crois-moi que je vais la tuer et enterrer son corps quelque part où personne ne la trouvera. Sauf les requins qui la dévoreront. Parce que si jamais elle pose la main sur ton bébé sa vie est foutue. Et enfin, de cinq, j’ai rencontré quelqu’un, mais j’ai peur de l’avoir fait fuir. » Grosse nouvelle pour la fin, je lui balance une bombe en pleine tête, mais c’était pour son bien. Je faisais cette grande nouvelle juste avant de terminer mon verre. Un peu trop plein à mon goût.


@Happy S. Gainsborough
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Happy appréciait d’entendre Charlène parler, cela ne l’avait jamais dérangé, bien au contraire. Qu’elle continue à s’exprimer, à le conseiller, et à lui parler d’elle également… cela ne ferait que renforcer au jour le jour cette belle relation de confiance qu’ils développaient depuis un bon moment déjà. Aussi, alors qu’ils se trouvaient dans le fauteuil, blottis l’un contre l’autre, un yaourt et un verre chacun en main, ce fut à l’américain de l’écouter religieusement. Il avait suffisamment monopolisé la conversation pour le moment, c’était désormais à la jolie quincy de le faire. Pour le coup, lorsqu’il l’entendit s’exprimer, sans l’avoir interrompue une seule fois, le futur véto ne put décemment s’empêcher de redresser légèrement la tête, les yeux comme deux billes arrondies par la surprises. « Eh bien dis donc… » murmura-t-il de peur de rompre ce moment, ne sachant même pas par quel bout démarrer tellement il venait de recevoir d’informations d’un coup. Happy se pencha déjà pour embrasser son front, manière silencieuse de la remercier pour toute l’aide qu’elle venait de lui apporter rien que par ce discours. Mine de rien, cela comptait énormément à ses yeux. « Promis, déjà, si la harpie droguée se repointe, je te l’envoie et j’aimerais bien être réincarné en petite souris pour voir comment tu vas lui régler son compte tiens… je n’aurais jamais cru que tu aurais été si coulante vis-à-vis de mon métier nocturne, franchement tu es bien la première et MERCI si tu savais combien ça me fait du bien d’entendre ça ! Enfin quelqu’un qui ne me juge pas ! Actuellement c’est mon gagne pain tant que je n’ai pas fini mes études, je n’ai aucune aide financière de personne, et c’est ce qui fait que Marie et moi on a un toit après tout… alors les autres nénettes avant de juger, hein… merci de ta compréhension, ça me fait du bien si tu savais… rien ne t’empêche de venir me voir quand je suis au club cela dit, c’est open bar, hein ! Tu peux aussi venir voir Marie quand tu veux, et pour être honnête, je lui cherchais une marraine, et j’avais un peu pensé à toi, si jamais tu voulais bien… » proposa-t-il la chose, d’un petit air mi angélique mi malicieux, alors qu’ils étaient tranquillement, tous les deux, à se goinfrer de yaourt à la fraise. « Maintenant qu’on a passé en revue ma vie en long, en large et en travers, ne crois pas que j’ai zappé l’information hyper méga giga importante que j’ai entendu à la fin de ton discours ! Alors alors… qui est ce fameux « quelqu’un » et qu’est-ce qui te fait croire que tu l’as fait fuir ? Raconte tout à tonton Happy ! »
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