Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAu claire de la lune mon ami pierrot prête moi ta plume pour t'écrire un mot
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Au claire de la lune mon ami pierrot prête moi ta plume pour t'écrire un mot

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Au claire de la lune mon ami pierrot prête moi ta plume pour t'écrire un mot Le regard rivée sur le ciel étoilé de ce mois d’octobre, je restais immobile analysant d’un peu plus prêt les constellations qui s’offraient à moi. Je n’avais jamais apporté autant d’attention aux étoiles avant ce soir. L’esprit légèrement voir très embrumé, je me perdais dans une analyse qui n’était pas la bonne. Mes priorités étaient aujourd’hui différentes et une certaine légèreté s’emparait de moi. Je ne pensais plus et je ne souhaitais plus le faire. La lumières du feu tricolore se reflétait sur mon visage et le silence baignait la ruelle dans laquelle je me trouvais. Il était impossible pour moi de vous définir le lieu exact ou je me trouvais. Et pour tout vous dires, je n’y prêtais aucune attention. J’étais ici et cette simple banalité me suffisait déjà. Personne ne m’attendait et s’était la, la dure réalité. Ce soir, je n’avais pas pensé. Ma raison s’était mise en repos me laissant moi et ma stupidité prendre le relais. J’avais profiter de ma soirée à un tel point que je ne me souvenais même plus du nombre de verre que j’avais bu. C’était la mon refuge. Ma stupidité m’avait également pousser à lui envoyer un message. Mélanger un peu d’alcool avec ma curiosité et vous en obtenez un jolie mélange. C’était ce qui m’avait pousser à envoyer un sms à Sloan. Savoir s’il m’avait oublier et si ces quelques mois n’étaient déjà plus que de lointain souvenir. Le manque se faisait ressentir même si mon égaux m’interdisait de le montrer. L’étudiant avait autrefois cette capacité à tirer le meilleur de moi et aujourd’hui, je retombais comme il se devait dans la bonne vieille routine que j’avais finit par délaisser. Allongé en plein milieu de la route, je sortis mon téléphone de mon pantalon appelant mon futur sauveteur. Sloan ne pouvait pas être sur la route pas même après que je lui ai envoyer ma localisation. Nous n’étions plus ensemble et cette possibilité qu’il vienne me chercher n’était pas envisageable. Du moins la charline alcoolique ne l’envisageait pas. Alors que je levais les bras au ciel, un bruit sourd se fit entendre et des phares éclairaient mon visage. Mes yeux se fermèrent éblouie par le faisceau lumineux que dégageait la voiture. Je ne bougeais pas et pourtant je me mis à grogner. « maiiiiiiiiiis euuuuuuh !!!! bordel mais eteinds la lumière !» Je ne me rendais compte de rien. La voiture s’immobilisa et le moteur s’arrêta. Les feux restèrent allumé et un bruit de portière se fit entendre. Je n’allais pas mourir, voilà la première déduction qui me venait à l’esprit. Immobile, je me surprenais même à fredonner cette bonne vieille chanson. « Au clair de la lune mon amie pierrot prête moi ta plume...» trop concentrer sur ma mélodie, je ne fis même pas attention à la personne qui s’approchait de moi l’air affolé.

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Sloan était en rage. Charline et lui venaient d'échanger quelques sms dans lesquels, elle lui avoua être sur le bord d'une route, perdue en pleine campagne et ivre morte. Il mit une bonne dizaine de minutes avant d'obtenir la géolocalisation de la brunette. Une fois sa position obtenue, il mit ses chaussures, attrapa sa veste et parti en trombe de son appartement. Dahlila n'était pas là, elle devait certainement être en soirée ou autre, en fait, il s'en fichait pas mal de l'endroit où elle pouvait bien être. Leur cohabitation se passait très bien et chacun respectait l'espace personnel de l'autre, il n'aurait pas pu rêver mieux. Car en plus d'avoir une compagnie au quotidien, cette fille lui redonnait le sourire et la force de continuer, c'était cool de sa part. Il descendit les escaliers quatre à quatre avant de sortir de l'immeuble et de se diriger, d'un pas déterminé, vers sa voiture. Il n'arrivait pas à se calmer. Les traits de son visage étaient fermés et franchement, il se demandait comment il allait faire pour rester calme face à elle. Boire seule sur une route isolée, en pleine nuit, était le meilleur moyen pour se faire enlever, violer et tuer. Non mais rien que ça. Il grimpa dans sa Porche Cayenne et mit le contact pour démarrer à toute vitesse, faisant crisser les pneus au passage. L'Eliot balança son portable sur le tableau de bord et essaya tant bien que mal de suivre le trajet que Mappy lui donnait. Mais ou-est-ce qu'elle était bordel. Il mit environ quinze minutes avant d'arriver à l'endroit indiqué. Evidemment, Charline n'était plus là, elle avait bougé putain. Sentant le stress monter en lui, il se racla la gorge énergiquement. « Putain Charline, t'es où ? » grogna-t-il à voix haute. Il coupa la radio et plissa les yeux pour essayer de la distinguer sur le bord de la route. Son allure était faible, il ne voulait pas l'écraser non plus. « La vie d'ma soeur, je te trouve, j'te bute ! » jura-t-il d'un air extrêmement mauvais. Sloan était aux aguets, à l'affût du moindre mouvement, si ça se trouve l'autre cinglé lui avait fait une blague de mauvais goût et était dans les bras de son colocataire. Il était bouillant de rage, franchement, qu'il la trouve n'était pas forcément une bonne chose pour elle. Et alors qu'il avait les yeux rivés sur le côté, il reporta son attention droit devant lui avant de piler net. Charline était allongée en pleine milieu de la route, elle semblait inerte, sans vie. Un pic d'adrénaline vint l'envahir et il n'attendit pas une seconde avant de défaire sa ceinture, attraper son portable et se précipiter vers elle. Sans chercher à comprendre, il arriva, la respiration haletante, jusqu'à sa hauteur où il l'entendit chanter une chanson. Son coeur rata probablement un battement et, ne pouvait retenir sa bipolarité plus longtemps, il explosa. « Bordel mais c'est quoi ton problème ? J'aurais pu t'écraser ! Ma parole t'es complètement cinglée, va te faire soigner Granger. » hurla-t-il. Oh non, il n'était pas d'humeur à plaisanter, cela ne l'amusait pas, mais pas, mais pas du tout. Sloan se pencha vers l'avant, lui attrapa son poignée et tira dessus de toutes ses forces, l'obligeant à se lever. « Maintenant tu te lève, tu monte dans cette putain de bagnole, j'te ramène chez ton coloc de merde ! » lui ordonna-t-il en serrant son poignée de sa main crispée. Il n'était clairement plus maître de ce qu'il faisait, que Charline se méfie, sa patience était réduite à néant à cause de sa double personnalité. Il était fou, fou de rage contre elle.
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