Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(LEMY) Don't want to hurt until I care.
Le Deal du moment : -16%
Friteuse sans huile NINJA Foodi Dual Zone 7,6 L 2400W ...
Voir le deal
135.01 €


(LEMY) Don't want to hurt until I care.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Don't want to hurt until I care
Romy & Lewis

C'est. La. Panique. Mes mains plaquées sur mon front, je ne détache pas mon regard de ce petit être confortablement installé dans mon canapé, qui crie depuis déjà plus d'une bonne heure. Bordel, mais à quoi je pensais ? Qu'est-ce qui m'a pris de proposer à Azraël de faire du babysitting pour elle ? Je me suis jamais occupée d'un bébé et même si elle m'a expliqué les bases, je suis clairement pas douée pour ça puisque mon neveu de cesse de hurler sans que je n'arrive à le calmer. J'ai tout essayé. Lui donner à manger, lui chanter une berceuse, faire des grimaces, danser, regarder la télé, je suis vraiment à court d'idées. Et je commence sérieusement à flipper car ce gosse n'est pas le mien et j'aimerais le rendre en entier à sa mère d'ici la fin de la journée. Je désespère tellement que j'en viens à appeler mon autre soeur, Feryel, sauf qu'elle me dit qu'elle est occupée à la Quincy House. J'appelle mes amis, mais quand je parle de bébé, aucun d'eux ne daigne se bouger le derrière pour m'aider. D'ailleurs, je retiens clairement leur rire de l'autre côté du téléphone. Je sais plus quoi faire, je fais les cents pas dans mon appartement, puis je me décide à envoyer un sms à Lewis. Je sais pas, je me dis que vu qu'il est ultra proche de ses frères et soeurs, il doit bien savoir s'occuper d'un bébé ou bien deviner quel est leur besoin. Enfin j'espère. De toute façon, quand il me répond et me demande ce qu'il se passe, je préfère pas lui dire qu'il s'agit de mon neveu. Je reste très floue et lui dis de venir chez moi. On sait jamais que lui aussi se dégonfle. Je fais quelques derniers essais en lui présentant sa tutu ou encore une peluche mais rien ne fonctionne. Je finis par me laisser tomber dans mon canapé, à deux doigts d'appeler les urgences. Mais non, je dois me calmer. Inspire, expire. Tout va bien se passer. Lewis va arriver, il va trouver la solution et tout rentrera dans l'ordre. Azraël va récupérer son bébé en bonne santé, elle sera très contente, puis la prochaine fois qu'elle me proposera un babysitting, je lui dirais que j'ai la gastro. Je soupire, puis sursaute alors que j'entends quelqu'un toquer à la porte. Je me relève d'un bon et cours jusqu'à l'entrée. « J'ARRIIIVE ! » que je hurle par dessus les pleurs d'Hendrix. Je me jete littéralement sur la porte et une fois cette dernière ouverte, j'attrape Lewis par le t-shirt pour le faire entrer au plus vite. « Putain, heureusement que t'es là. Le bébé. Il arrête pas de pleurer. » je dis sans même vraiment lui expliquer la situation. Enfin si, je le fais, mais je doute qu'il comprenne du premier coup.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'avais un peu mal partout dans ton corps, la veille tu avais été à la boxe avec ton meilleur ami, Aaron, et il fallait bien avouer que tu avais fait le chaud. T'as toujours été du genre grande gueule, le genre qui dit de la merde histoire de se foutre dans un pétrin pas possible. Et en soit, c'était ce qu'il c'était passé. T'avais chauffé un mec plutôt costaud, le type qui sait jouer de ses poings. T'avais provoqué, gentiment bien entendu, et t'étais monté sur le ring avec lui. Pour tout dire, il t'as mis ko en un rien de temps et tu t'étais attrapée un sublime coquard. Alors là t'étais tranquillement chez toi, tu regardais un Tarantino un joint à la bouche. T'avais Lou à côté de toi, tu partageais un bon moment et t'étais pas prêt de bouger. Enfin ça c'était avant de recevoir un message de panique de Romy, tu soupirais un peu mais tu répondais à son appel au secours. Dans l'histoire, c'était plus Lou qui ronchonnait que tu doives t'en aller. D'ailleurs tu te dispensais de lui donner la raison au risque de te prendre une baffe dans la gueule, un coquard c'était bien assez. T'avais enfilé une veste en ce mois automnale et t'étais parti à l'assaut. T'étais pas pressé, ni trop lent, simplement détendu. T'aimais bien cette période de l'année, c'était joli toutes ces feuilles. Et si t'avais un côté artistique, peut-être que t'aurai aimé être photographe pour prendre en photo toutes ces feuilles durant toutes les années de ta maigre vie. T'étais chez Romy, tu sonnais, t'avais envie de fumer et t'avais oublié ton paquet chez toi. Tu soupirais un peu, t'entendais des cris de bébé, tu te questionnais. C'était la voix d'Oswald que t'entendais à présent, tu levais un sourcil de curiosité. Qu'est-ce qui pouvait bien se passer à l'intérieur ? La porte venait s'ouvrir sur une Romy décomposée, tu souriais. Même pas le temps de dire bonjour qu'elle te tirait à l'intérieur par ton t-shirt, dans d'autres circonstances tu aurai pu te réjouir et te dire qu'elle voulait que vous finissiez au lit mais tu doutais de son envie, surtout au vu de ses paroles -et de votre pacte, bien entendu. "Mais quel bébé Romy ?" que tu demandais. Parce que jusqu'ici, tu l'entendais mais tu le voyais pas. Puis d'abord, il était à qui cet enfant ? "T'as un gosse maintenant ?" que tu demandais en rigolant. Ouais, et si c'était le cas, pourvu que tu ne sois pas le père. Puis dans le fond, tu fornçais les sourcils. Elle t'avait vraiment dérangé pour ça ? "Attends, tu m'as vraiment appelé au secours pour ça ?". Tu savais pas trop s'il fallait que tu pleures ou que tu rigoles de la situation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Don't want to hurt until I care
Romy & Lewis

Je sais vraiment pas ce qui m'a pris de garder le gosse d'Azraël. Ca fait plus d'une heure qu'il est en train de pleurer et que j'arrive pas à le calmer. J'ai jamais gardé de bébé, j'en ai même jamais tenu dans mes bras avant Hendrix. J'y connais rien et me voilà en train de faire du babysitting. J'en suis même venue à appeler Lewis puis qu'il m'aide, si ça c'est pas être dans le désespoir ... Quand il finit par toquer à ma porte, je lui laisse même pas le temps de me saluer ou quoi que je le précipite dans l'appartement pour qu'il me vienne en aide. On a pas le temps là, si ça se trouve Hendrix est en train de mourir. J'en sais rien. Je marche alors devant lui sans lui lancer un regard et soupire alors qu'il me demande de quel bébé il s'agit et si j'ai un gosse. « Non, c'est pas le mien, si j'avais été enceinte je crois que tu l'aurais vu. » je dis en levant les yeux au ciel. Bah oui, j'aurais pris trois mille kilos, j'aurais été grosse comme une baleine. Dois-je lui rappeler qu'il faut neuf mois pour créer un bébé ? Bordel, s'il sait même pas ça, comment il va m'aider à m'occuper d'Hendrix ? On est foutus ... « C'est celui de ma jumelle. Et aussi celui de ton président alors t'as intérêt à ce qu'il reste en vie. » je rajoute histoire de lui mettre un peu la pression. Je sais pas vraiment si ça va marcher mais pourquoi pas ? Après tout, c'est lui qui fait partie d'une confrérie. J'ai jamais vraiment compris ça d'ailleurs. Une fois arrivée sur le canapé, j'attrape Hendrix dans mes bras et essaye de le bercer histoire de voir si ça va changer son humeur, mais pas vraiment. « Bah oui, désolée mais j'avais vraiment personne d'autre et j'ai pas envie que mon neveu meurre par ma faute tu vois. » je lui réponds alors qu'il s'étonne de la situation. Moi aussi j'aurais préféré que ça soit quelqu'un d'autre, genre quelqu'un de qualifié mais c'était pas possible. « Tiens, prends-le. » je rajoute en mettant directement l'enfant dans ses bras. Je lui laisse pas vraiment le choix, c'est un peu une question de vie ou de mort. « A ton avis, pourquoi il pleure ? » que je lui demande en me creusant moi-même le cerveau. C'est déjà plus simple pour moi de réfléchir quand quelqu'un d'autre que moi doit tenir ce gosse à trois centimètres de mes tympans.

✻✻✻
CODES © LITTLE WOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)