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Ael + Tired of Dying

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Ou ? Quand ? Comment ? Je ne peux répondre à aucune de ses questions, la chute est longue, tellement longue que je ne sais même plus depuis quand je tombe. La tête qui tourne, j’entends les lumières de Boston et vois le brouhaha des quartiers peu fréquentables, ou les oiseaux de nuits viennent se perdre. J’espère qu’au fond personne ne viendra me sauver, j’espère me faire faucher, j’espère que cette mascarade que j’ai trop fait duré finisse par prendre fin. Je n’ose pas m’imaginer, je n’ose pas me représenter, parce que je sais que je m’imaginerais seule. Et j’ai envie de gerber, mes boyaux se tordent sous l’effet du vin, ma personne me dégoute, mon odeur alcoolisé me donne la nausée. Les pourquoi se bousculent dans ma tête et me martèlent le crane jusqu’à me faire hurler de douleur … si seulement quelqu’un pouvait m’entendre qui crier.  Je ne sais pas si je cris, ou si je me contente de hurler intérieurement, c’est pire qu’une trahison, pire qu’une peine, pire qu’un chagrin, pire qu’un deuil … c’est l’effondrement de toutes mes certitudes. Je ne sais plus ce qui est réel, je ne sais plus ce qui l’a été. Dans un élan de désespoir, en espérant secrètement ne pas avoir de réponse, mes doigts pianotent sur le téléphone et j’envoie un message à Ael. Je demande à ce qu’il ne réponde pas, à ce qu’il m’appuie dans ce ressenti que j’ai … qu’il ne prouve pas que j’ai tort, que je sache une fois pour toute que je suis seule. « J’crois que Noah est parti », c’est ce que le vin me permet d’écrire, la raison tente de prendre le dessus, de préserver mon âme, de me convaincre que tout ça n’est pas vrai. Cependant, l’émotion m’enveloppe et je le sais qu’il est parti, je le sens. Et si Noah est capable de me laisser, alors je n’ai plus aucune certitude. Mon être se fissure, je vais imploser et je vais tout dégueulasser autour de moi. Mes peurs les plus profondes  profitent de chaque fissure pour venir piquer mon âme, elles ressurgissent, sadiques et serrent mon cœur tellement fort que l’angoisse me fait croire que je vais mourir. La main tremblante, je regarde mon téléphone et à bout de souffle je décris ce que je crois voir autour de moi et envoi le message à Ael. Je baisse la tête et regarde la bague de Noah au creux de ma main et dans un accès de rage je la balance loin … j’crois que je vois un type la ramasser. Et je regrette alors je me lève mais ne le vois plus, ça m’angoisse, pourquoi j’ai fait ça ?  Ou est Ael ?  Pitié qu’il vienne me chercher, je veux pas crever ici, je veux pas être toute seule.
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Tu tournais encore, encore et encore, tu ne savais pas quoi faire. Tu attendais presque désespéré une réponse de sa part, une indication qui pourrait faire en sorte que tu sautes dans ta voiture pour aller la chercher, pour partir rien que tout les deux parce que tu savais que c’était ce qu’il fallait, ce qu’elle avait besoin actuellement. Tu t’en foutais de ton bébé, du reste du monde, la seule personne qui occupait tes pensées était ta meilleure amie, Gabrielle. Tu ne savais pas quoi faire, tu étais complètement perdu ne comprenant pas le départ du jeune homme, ne comprenant rien de ce qu’il se passait, tu savais seulement qu’elle avait besoin de toi, que tu te devais d’être là pour elle et que tu le serais quoi qu’il t’en coute. Ton téléphone sonna, tu baissas les yeux pour voir ce qu’elle était en train de te dire et sans attendre une minute, tu te mis à courir en dehors de la chambre, de la maison sautant dans ta voiture et démarrant presque aussi vite. Tu te foutais des limites de vitesse, des règles, de ta propre sécurité la seule chose à laquelle tu continuais de penser été Gabrielle. Tu avais mal, tellement mal, rien qu’en lisant ses messages tu savais qu’elle n’était pas bien, que celle que tu connaissais d’habitude n’était plus. Ça te faisait souffrir, tellement, personne ne pourrait comprendre, personne sauf elle. Elle qui était tellement importante pour toi, tu ne lui donnais que très peu de temps en ce moment, mais putain, tu ne pouvais pas la laisser tomber. Tu sorties rapidement de ta voiture laissant le moteur tourner, tes actions devaient être rapide, tu devais la prendre rapidement dans tes bras et pourtant…Tu bloquas, la voyant devant toi, comme ça, tu bloquas et tu ne savais pas quoi faire, tu ne savais plus quoi faire parce que la scène était atroce. Tu fermais les yeux fortement espérant secrètement que ce n’était qu’un cauchemar, que tu allais retrouver celle avec qui tu étais capable de faire les pires coups possible, mais non. Avant de la retrouver, tu allas récupérer la bague, tu savais qu’elle ne le voulait pas, que c’était la colère, que Noah aurait toujours une place dans son cœur, dans sa vie même si elle te dirait l’inverse. Une fois la bague dans ta poche, tu allas vers elle, tu te plantas devant elle tout en posant tes deux mains sur ses joues pour qu’elle relève la tête pour te voir. « Je suis là. » Pour le moment c’était la seule chose que tu étais capable de dire avant de serrer la jeune femme contre toi, de lui montrer qu’elle n’était pas seule, que tu serais toujours là pour elle.
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Je me sens glisser dangereusement vers ma fin, il y a un moment ou on ne peut plus rien prendre, plus rien accepter, plus rien supporter. Je suis arrivée à ce point-là, ce point ou ma personne entière est en train d’étouffer. Le peur me dévore, l’angoisse demande à ce qu’elle lui laisse quelques miettes et moi, … moi dans mon habit le plus pathétique je demande à ce que ces deux gloutonnes me dévorent vite, que je ne puisse rien sentir. Perdre Noah c’est comme me perdre moi-même, perdre cette partie de moi qui vivait encore, celle qui arrivait à tenir l’angoisse et la peur éloignés. Je balance sa bague, puis réalise mon geste, que je viens de balancer la seule chose qui me ramène à lui et je panique. Je tourne la tête et ne vois plus celui qui l’a ramassé, bon sang j’ai envie de chialer. Je suis conne et je suis en colère, j’ai envie de me frapper moi-même. Je sens une présence tout près de moi et je la reconnais, sans regarder je peux reconnaitre Ael, son parfum, son souffle et je lève légèrement la tête vers lui alors qu’il pose ses mains sur mes joues. Je le regarde et j’ai envie d’exploser, je sens que je lui fais de la peine et à ses mots je ne peux m’empêcher de pleurer. Je m’accroche à lui comme on s’accroche désespérément à la vie, alors qu’on demande et qu’on craint la mort en même temps. Je m’accroche à lui et froisse ses vêtements et je me mets à sangloter bruyamment, mes mains ne cessant de chercher une accroche sur le tissu, comme si j’avais peur de glisser. Je n’arrive pas à respirer, ma poitrine me brule, je suffoque. Ce n’est pas vraiment de la peine, pas vraiment de la colère ou du chagrin … c’est comme si tout ce que je m’étais efforcée de retenir ces dernières semaines finissaient par sortir. Comme si mon corps m’avait mis devant un ultimatum, j’avais le choix entre me laisser à aller, ou laisser l’anxiété me tuer. Entre les pleurs et les éclats de voix j’arrive à dire péniblement « Ca fait … ça fait mal », parce que je n’arrive pas à dire « j’ai mal … », parce que j’ai tellement mal que je n’arrive pas à associer cette douleur à ma personne. Je le lui répète plusieurs fois, comme si j’espère qu’au fond, le dire finira par faire cesser la douleur. Je m’accroche à lui un peu plus, comme si cela est possible et je lui dis presqu’en suppliant « pars pas … ».
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Tu pouvais parfaitement comprendre le sentiment qu’elle devait ressentir, tu ne pouvais que comprendre sachant qu’il y a en quelque sorte un an tu avais été à sa place. Tu avais subi sa disparition comme la pire chose possible dans ta vie, tu avais subi cette chose puisque tu n’avais pas le choix, que tu faisais face à ce silence si assourdissant. C’était juste horrible, horrible de perdre quelqu’un d’important, de perdre une partie de soit, c’était juste horrible et dieu que tu ne pouvais que la comprendre. C’était bien pour ça que tu serais là pour elle, que tu allais mettre tout le reste derrière toi pour prendre soin de ta meilleure amie, de faire en sorte qu’elle redevienne celle qu’elle est normalement parce que tu ne supporterais pas la voir tomber comme ça. C’était une horreur pour toi, cette vue pouvait presque te briser le seul organe que tu étais sûr ne pas avoir dans ton organisme, tu allas vers elle plus vite possible, la regardant dans les yeux, tu voulais qu’elle comprenne, qu’elle sache que tu étais là, qu’elle ne serait jamais seule, qu’il en était hors de question. Tu allais partir, réellement, quelques jours avec elle, tu ne savais pas où, sûrement dans un quelconque hôtel de ton père. Mais tu allais partir avec elle, tu préviendrais Aymalyne plus tard. Pour l’instant tu serras Gabrielle contre toi, le plus fortement possible ne voulant pas la voir tomber, ne pouvant pas supporter de voir sa tête baisser regardant ses pieds comme une personne faible. « Je sais. » Oui, tu savais parfaitement, oui tu la comprenais. Oui ça faisait mal, un mal de chien de perdre une partie de soit, un être qui n’était pas du même sang, mais qui représentait beaucoup. Ces larmes étaient la pire des choses pour toi, la pire chose que tu pouvais vivre et refusant qu’une autre personne tombe sur une telle chose tu te mis à la porter en retournant vers ta voiture. « Écoute-moi bien, je reste là. Je ne pars pas, jamais. Tu entends ? Tu n’es pas toute seule, je serais toujours là pour toi bébé, toujours. » Tu la serras un peu plus contre toi, toujours plus pour lui prouver ce que tu étais en train de dire, pour lui prouver que tu n’allais pas partir, que tu n’allais pas prendre la fuite, qu’elle aurait toujours une épaule sur laquelle se poser quand elle en avait besoin.
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Si Ael n’était pas arrivé je ne sais pas ce que j’aurais fait, je ne sais pas jusqu’ou j’aurais été capable d’aller dans l’autodestruction. Je crois que c’est ce qui est le plus effrayant chez moi, je ne connais pas mes limites, je ne sais pas à quel point je peux sombrer, à quel point je peux détruire et à quel point je peux me détruire moi-même. Je devais donner à Ael un spectacle bien pathétique, je ne savais s’il m’avait déjà dans un état pareil, j’avais pour habitude d’intérioriser le tout et d’attendre comme une bombe à retardement, d’être seule pour exploser. Je pense avoir compris ce qu’était l’instinct de survie, parce que sans lui, je me serais laissé crever dans cette rue, j’aurais prié pour qu’un malade en profite et réduise ce qu’il reste de moi, en cendres si fines que même mon souvenir aurait été difficile à dessiner. Au lieu de quoi, j’avais appelé Ael et même si j’avais espéré qu’il m’ignore, il y avait cette partie de moi qui savait que ce n’était pas possible, qui savait qu’il allait venir et cette partie … avait voulu me garder en vie. Et dans ses bras je m’effondre, je geins de façon pathétique, je cris ce qui évident … je crois que ça me fait mal. J’ai mal d’être moi, j’ai mal de sentir seule … et j’ai mal parce qu’il y a ces voix dans ma tête qui me répète que je l’ai mérité. Je m’accroche à Ael comme on s’accroche à la vie … je m’accroche à lui d’une façon désespérer et dans teneur corsé de son parfum, je trouve un certain réconfort, quelque chose de connu alors que je plonge dans l’inconnu. J’ai oublié ce qu’est la vie sans Noah. Je sens mes pieds se décoller du sol et il me porte vers la voiture, cherchant sans doute à sauver le peu d’honneur qu’il me reste … je n’ai plus peur d’avoir honte. Une fois dans la voiture, je m’accroche à lui et lui murmure « je ne te mérite pas … ». Il est un ami trop bon, trop précieux pour qu’il puisse poser les yeux sur moi, en ce moment je me trouve laide. Je pense à toutes les fois où je l’ai délaissé, a cette fois ou je l’ai abandonné et à ce jour où il m’a pardonné alors que je ne le méritais pas. « Je ne sais même pas comment tu fais pour m’aimer …. ».
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Tu ne savais pas si on pouvait dire de toi que tu étais un sauveur ou pas, que tu étais là dans les bons moments, mais tu savais que quand on t’appelait tu étais là, tu serais toujours là surtout pour ceux qui étaient proches de toi, surtout pour une de tes meilleures amies. Tu pouvais comprendre sa peine, sa douleur, mais tu savais aussi qu’elle allait aller de l’avant, que le jeune homme finirait par revenir à Boston car il avait laissé plus de gens qu’autre chose et tu ne doutais pas une seule seconde que Noah le savait. Mais tu n’avais pas le temps de penser au retour de Noah, tu n’avais pas le temps de penser à autre chose qu’à la peine qu’était en train de vivre Gabrielle, une partie de ta vie, une personne qui comptait plus que tout et surtout tu ne l’avais jamais vu comme ça. Alors, bien sûr tu avais l’impression que ton cœur était brisé aussi, tu avais l’impression de ressentir sa peine et cette sensation était horrible, mais tu allais devoir être fort pour vous deux, tu allais devoir faire en sorte qu’elle redevienne la Gabrielle que tout le monde était capable de connaître. Tu continuais de la serrer contre toi dans cette voiture, personne ne pouvait vous voir et heureusement, tu refusais qu’une quelconque personne profite du malheur de la brune. Tu étais réellement prêt à te battre pour elle, ça peut être dingue face à l’abandon que tu avais pu vivre il y a plus d’un an, mais tu n’étais pas le genre à en vouloir à tes proches, tu pardonnais sûrement un peu trop facilement, mais tu savais que tu avais besoin d’elle dans ta vie alors, tu n’avais pas l’envie, ni le temps de te battre pour lui faire comprendre la peine qu’elle t’avait fait vivre. « Arrête de dire n’importe quoi. » C’est toi qui ne méritait personne, qui ne méritait pas d’avoir des gens proche de toi avec ce que tu as pu faire. Tu posas tes mains sur ses joues pour essuyer doucement les larmes qui étaient en train de couler le long de ses joues. « On a pas besoin d’explication pour ça. Je sais que je pourrais pas vivre sans toi alors, c’est tout ce qui peut expliquer la raison de mon amour pour toi. » Tu haussas les épaules même si c’était quelque chose de dingue, c’était en quelque sorte la vérité. Tu n’avais pas besoin d’explication pour expliquer ta relation avec la brune, de savoir pourquoi tu finirais toujours par lui pardonner, c’était comme ça.
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Je m’étais tellement concentrée sur moi, je m’étais enfermée dans ma douleur et ma colère il y a 1 an, que j’avais oublié de regarder Ael, j’avais oublié à quel point il m’était précieux. J’étais parti, je n’avais pas eu un regard sur les gens qui pourtant avait compté pour moi et le pire dans tout ça, c’était que pendant longtemps, je n’avais pas eu un seul remord, un seul regret. J’avais un problème qui finissait par me couter plus que ce que je voulais bien avouer, j’avais eu la prétention de penser que tout et tout le monde m’était acquis, dont Ael. Et aujourd’hui alors que je chutais sans jamais m’écraser, il ressurgissait et je me mettais à regretter ma prétention et mon égoïsme. Serrée contre lui, je pouvais presque sentir son cœur battre et je m’accrochais à ses battements, à la chaleur de sa peau et la douceur de sa voix pour ne pas sombrer complètement. Il n’essayait même pas de m’accabler, alors qu’il aurait pu me dire que je n’avais que ce que je méritais, que je finissais par sentir toute la peine que j’infligeais aux personnes qui m’entouraient. Ma réaction aurait pu lui sembler démesurée aussi … mais il semblait pouvoir apercevoir la particularité et l’intensité de l’amour que je ressentais pour Noah, sans pour autant que je le lui explique. Il aurait pu être jaloux et se contenter du départ de mon alter ego mais au lieu de ça, il était là, m’entourait de ses bras et se sentait désolé pour moi. J’en étais maintenant certainement, Ael était une bien meilleure personne que moi et en rien je ne le méritais. « Je suis désolée … » j’étais désolée pour toutes les fois où j’avais été absente, toutes les fois où je l’avais pris pour acquis. Il passa ses mains sur mes joues, essuyant les larmes qui y avaient coulé. Je lui souris timidement, entre peine et amour avant de prendre une grande inspiration, essayant de me calmer, de reprendre contenance et de faire honneur à la personne que j’étais … et aussi par respect pour Ael, il méritait d’avoir autre chose qu’une épave comme meilleure amie. Je poussai un léger soupire, me reposant totalement sur le fauteuil de sa voiture « Je crois que j’ai besoin d’un verre … » alors que je savais pertinemment que le taux d’alcool que j’avais dans le sang était franchement exagéré et que si continuais sur cette voie, l’alcool allait finir par remplacer mon sang. « J’ai balancé la bague de Noah en plus …», stupide petite chose que j’étais.
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Tu te sentais mal, tu avais mal au cœur de voir une telle chose sûrement parce que tu n’avais jamais vu la jeune femme dans un tel état, tu n’avais jamais vu autant de peine chez elle, autant de douleur et tu ne savais presque pas quoi faire. Tu avais tellement l’habitude à une Gabrielle presque diabolique qui se montrait forte avec tout le monde, qui refusait qu’on la voit comme une petite chose fragile. Et cette même personne était en train de pleurer dans tes bras, en train de te serrer comme ci tu étais la seule chose à laquelle elle pouvait se retenir et franchement, c’était juste horrible, mais tu restais là, tu n’allais pas partir ou quelque chose comme cela. Elle était ta meilleure amie, tu lui avais pardonné son départ, tu ne lui en voulais pas, tu ne pourrais jamais lui en vouloir, c’était comme ça, tu étais comme ça. Tu étais dans ta voiture, tu posas ta bouche sur le front de la brune longuement lui faisant comprendre qu’elle n’avait pas besoin de l’être, que c’était qu’une histoire du passé et que maintenant vous étiez ensemble de nouveau. Tu passas ta langue sur tes lèvres avant de démarrer la voiture sentant la bague qui n’était absolument pas la tienne sauf que tu ne voulais pas la rendre tout de suite à Gabrielle, tu avais réellement peur qu’elle la lance de nouveau et bon, tu n’étais pas assez fou pour perdre la vie juste pour une bague, donc tu la laissais à sa place sans vraiment y penser. « Tu boiras dans l’avion, on va vraiment partir quelques jours. » Tu ne voulais pas qu’une quelconque personne profite de la faiblesse de la brune actuellement, tu refusais qu’on profite de son état pour lui faire du mal. « T’en fais pas pour la bague. » C’était bien la seule chose que tu pouvais dire alors que tu étais en train de conduire, tu pris sa main dans la tienne en entrelaçant vos doigts ensemble. Tu faisais attention à la route, tu faisais clairement attention car ce n’était pas le moment de mourir, clairement pas. Puis tu avais surtout besoin de ce contact avec elle, tu avais envie de lui montrer que tu étais présent, que tu n’allais pas partir et que même si Noah n’était plus là, elle ne se retrouverait jamais seule, que tu serais toujours présent pour elle.
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