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SOREN LEDFORD ► Christian Bale

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Soren Ledford

       
Christian
       Bale
Fiche d'identité
Nom Ledford. Prénom(s) Soren, Abigaïl.Âge 39 bougies. Pas de complexe quant aux années qui passent et laissent leur marque.Date de naissance 15 juillet 1977.Lieu de naissance New-York.Statut amoureux Divorcé. Accessoirement, père d'une ado de 15 ans, dont il a la garde un week-end sur deux.Orientation sexuelle Pansexuel. Le genre n'est pas un critère important. En revanche, il y en a bien d'autres sur lesquels Soren reste intransigeant. Monsieur ne baise qu'avec les plus jolis spécimens. Aussi jeunes que la décence le permette.Classe sociale Aisé.Job Professeur de physique et d'astronomie, à l'Université d'Harvard.Depuis combien de temps ? 8 longues années de service.Choix de groupe Staff d'Harvard.

       
Avez-vous étudié à Harvard ?
       J'ai effectué et obtenu mon doctorat à Harvard, effectivement, entre 2002 et 2005. Le plus gros de mes études, je les ai suivies à Columbia, à New-York. J'ai également passé un an à Paris, en dernière année de bachelor. Pour apprendre le français, et par dessus tout pour y rencontrer mon ex-femme. Mes résultats n'étaient pas plus brillants que ceux de mes collègues. C'est sans doute pour ça que je me contente à présent d'enseigner, sans accorder trop de mon temps à mon devoir de recherche.

       QU'EST-CE QUI A VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
       C'était une suite logique. La thèse bouclée, validée, j'ai tout bêtement postulé avec l'appui de mes professeurs de l'époque. Il me fallait rapidement un emploi pour subvenir aux besoins de la petite famille, vous savez ? On n'a pas envisagé la possibilité de déménager, puisque ma femme travaillait également à Boston. Et puis, je ne me plains pas de mon poste. Le salaire est un peu plus généreux à mesure que les années passent, et les étudiants sont autant de morceaux de barbaque dont on renouvelle le stock à chaque début d'année.

       .
APRÈS LA BOMBE.
       J'étais sur place, bien sûr. C'est au beau milieu de l'un de mes cours que l'explosion s'est faite entendre, depuis le parking. J'ai le souvenir bien distinct des fracas des vitres soufflées par l'une des détonations. La panique soudaine, cette terrifiante décharge d'adrénaline. Tenir tout un amphithéâtre calme dans ces conditions a été une épreuve difficile. Malgré mes ordres hurlés d'attendre pour sortir, quelques étudiants n'ont écouté que leurs propres instincts et ont passé les portes. L'un d'eux a trouvé la mort, quelques foulées plus loin. J'en garde une sacrée rancoeur vis à vis de l'Université et son lamentable système de sécurité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
       L'ambiance était... Intéressante. Il faut apprécier le sordide, bien sûr, mais j'ai d'abord été relativement fasciné par la facilité avec laquelle ces hommes commettaient leurs sévices. Après l'épisode de l'attentat, c'était évidemment un coup en plus dans les dispositifs déjà amplement ridiculisés. De quoi exaspérer. Ma réputation a joué contre moi, les premiers temps. Les rumeurs s'ébruitant, il aura fallu attendre la résolution de l'affaire pour être tout à fait innocenté. Comme quoi, les coupables ne sont pas toujours les connards les plus évidents. Quant à la prise d'otage, je n'ai heureusement pas été impliqué.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
       Il n'y a pas grand chose, encore moins grand monde qui pique l'intérêt de Soren. Il est un fataliste accompli en ce qui concerne l'humanité toute entière, en amour, en amitié, en famille. Il vit dans sa petite bulle d'impudence, se fout bien de rentrer dans les bonnes moeurs. Ça n'est pas rare qu'il soit en retard à ses propres cours, encore moins qu'il ne tringle l'un de se étudiants (ou ceux des autres, pas de jaloux). Il est très porté sur l'hygiène, a cette manie de prendre au moins deux douches par jour, se laver les mains à la moindre occasion. Comme si la crasse sortait de ses pores. Il ne supporte pas les endroits sales, et une haleine un peu renfermée suffit à le renfrogner. Il fume, pourtant, en quelques occasions. Mais pas de cigarettes, non. Ce serait s'enliser les poumons de la plus bête des façons. La cocaïne, parfois. Toujours à modération. Il ne faudrait pas perdre le contrôle de la situation.


       
Tinà
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tinà et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus  SOREN LEDFORD ► Christian Bale 321341868 .  Il a toujours ce don de me faire revenir à la charge alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Christian Bale comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Whorecrux. Je fais environ 300-800 mots par RP (la fourchette bien trop fat, hey) et mon personnage est un personnage inventé.

       Mot de la fin ? ▲  :excited: .

       Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

     
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Once upon a time

"Quand on prend conscience de toute l'énormité de cette galaxie, de l'univers tout entier ; on réalise que l'impact de notre vie n'a pas plus d'effet qu'un pet de mouche dans le ciel pollué de New-York. Il fait écho à son échelle, agace peut-être même quelques unes de ses congénères. Mais cette créature puisse-t-elle être responsable de la disparition totale de notre Terre, et l'on en distinguera à peine le dernier cri d'agonie dans le vide lointain et sidéral qui nous sépare de la prochaine forme de vie."

"C'est trop badant, man." Lucas - c'est l'un de mes étudiants - tire sur son joint, consume l'herbe qui se fond en fumée acide jusq'au plafond de ma chambre. Nappe l'espace d'un voile épais et blanchâtre. Oui, on est... dans ma chambre. Tous deux allongés sur le lit, et sans qu'il ne reste quoi que ce soit des vêtements ou de la pudeur.
"Non. Justement. C'est relativiser." Je fronce les sourcils, peste, agacé. Devant trop de bêtise. J'ai celle de m'entêter. "Ça peut pas être badant. L'univers se fout que tu bades. Tu comprends ?"
"Ouais, peu importe. Ça annule mon F ou pas, m'sieur Ledford ?" Dit-il, l'insolent, en me léguant sa cigarette épicée. J'aspire, inspire, sature les poumons. "Ne compte pas là dessus." J'articule, d'une voix étranglée. Avant de relâcher, expirer. Longuement. Bruyamment. Alors le blond se redresse, s'approche sur ses genoux plantés dans mes draps. De toute évidence très déçu par cette nouvelle. "Quoi ?"
"Mais vous aviez-" Je lui  coupe la parole ; le pouce sur ses lèvres pâteuses, la main qui s'enroule contre la mâchoire de l'ephèbe. Pour l'attirer vers moi, sentir à nouveau le contact des peaux. "Tu vas devoir me convaincre mieux que ça."

▲▲▲▲▲

Octobre 1988
Eglise protestante du Saint-Esprit, Manhattan.

J'ai onze ans. Ma mère me traîne par la main le long de la nef, l'autre bras encombré par une petite soeur d'un an à peine. Je hais ces vêtements qui me contraignent le cou. Mais il faut être bien présentable pour la messe. C'est la règle. On prend place. Un silence pieu s'installe, chacun baisse la tête vers le texte écrit qui sera bientôt prononcé. Moi, j'y tarde, et c'est ma génitrice qui me rappelle à l'ordre d'une tape sur le crâne. Alors, le menton se relève plus discrètement. Deux rangs en arrière, de l'autre côté de la travée, il y a cette fille dont les deux yeux céruléens m'hypnotisent, me captivent bien plus que le pasteur articulant son latin. Ses joues sont roses, rondes, ses lèvres étirées en un sourire mutin. Elle aussi, est enserrée dans une robe ridicule à replis trop amples. Aux côtés de son père. Celui-ci pose une main sur son dos pour l'inviter à plus de concentration. Je vois la moue de la fillette se déformer en un air boudeur. Rompre notre échange complice pour en retourner à sa lecture. Alors, je souffle et fais de même.

A la sortie de la prière, je parviens à semer l'attention de ma mère. Je me faufile entre les fidèles, chacun bien occupé à venir serrer tour à tour la main de notre Père. "Soren !" Elle m'appelle, dans ce chuchotement crié qu'elle maîtrise si bien. Mais elle ne se risquera pas à l'embarras de me courir après. Ma mère, encore jeune et si belle, si bien entretenue, est bien trop portée sur sa propre fierté. Jusqu'à chaque mèche de ses cheveux châtains est bouclée au fer en de belles anglaises frôlant ses épaules. Les yeux acides dont elle n'assombrit que les cils d'un peu de maquillage. Toute en retenue, toute en décence. Ses efforts n'auront pas su retenir son homme, apparemment incapable de se satisfaire de ces apparences.

J'atteins le parvis, cherche du regard celui dont l'azur perçant aura happé le mien. Ralentissant ma course pour tourner sur moi-même, comme un pauvre chien perdu. Et je l'aperçois finalement. Mais ça n'est que de loin, déjà proche d'une belle voiture noire et brillante. A la main crispée de son père, occupé à s'enflammer les nerfs sur sa femme. Lui, est un homme grand et fin. Les cheveux bruns tirant presque vers le noir, les traits sévères mais à peine vieillissants. Il doit avoir trente ans. La femme semble du même âge. Blonde, plus ronde, les mêmes iris claires et le ventre gonflé d'un prochain enfant à venir. Je n'entends pas, mais devine une dispute. La petite pourrait se renfrogner, mais elle a surtout l'air lassée. Lorsqu'elle me voit encore, je lui avise un sourire maladroit. Mais elle l'ignore, se laisse porter et s'en va.

▲▲▲▲▲

Le lendemain.

Les braillements du chiard. Ils m'empêchent de me concentrer, de correctement travailler. J'ai d'excellents résultats à l'école, sans doute parce que rien d'autre n'a vraiment capté mon attention. J'ai peu d'amis, de loisirs. Si bien que cela en inquiète parfois ma mère, qui y trouve l'occasion de vouloir me mettre dehors pour quelque après midi. Pour se faire des copains, comme elle dit. Mais il aura fallu se rendre vite à l'évidence. Les gamins du quartier et moi-même ne partageons pas les mêmes préoccupations. Je suis tout de même descendu de ma chambre, pour la rejoindre. Pour me plaindre. "Fais la taire." C'est froid, bien trop ferme sans doute. Ce morceau de chair fripé n'a le droit à rien de mon affection. Puisqu'elle a fait fuir mon père, je me suis toujours attaché à en faire la meilleure coupable. Après tout, elle n'aura pas les mots pour s'en défendre. "Soren, voyons…” Ma mère sort l’enfant de son couffin, la berce contre sa gorge. Mais cela ne suffit pas à calmer les hurlements douloureux et stridents.

“Tu t’y prends mal.”
“Parce que tu sais y faire ? Va jouer dehors, si tu tiens à être tranquille.” Elle n’a d’attention que pour sa fille. Sa précieuse petite fille. L’être fatal et maudit. Dieu que je la déteste. Je peste, dévale les dernières marches de l’escalier, attrape une veste et m’engouffre dans le froid.

Nous habitons à Staten Island, sur la Sheridan Avenue, dans un quartier résidentiel. La maison, c’est celle que nous a laissé mon père. Seule, ma génitrice n’aurait jamais eu les moyens nous loger si bien. Il n’a fallu que très peu de temps pour se rendre compte de sa cupidité. Elle lui tire chaque mois plus de sous qu’il n’en faut pour vivre. Lui, tient sa fortune d’une entreprise florissante en informatique. Toujours en avance sur son temps, il aura su se faire une place dans la course folle au progrès. Il a ce mérite. Je tiens plus de considération pour l’homme que pour la femme. Mais puisque le juge en a décidé ainsi, je suis condamné à ne le voir que le temps de quelques congés, de vacances scolaires.

La maison mitoyenne à la notre était encore inhabitée, il y a quelques semaines. Mais aujourd’hui, comme une évidence qui m’aurait échappé, je remarque les affaires qui y sont installées. Les jardins ne sont séparés que par une haie dont la pousse est si laborieuse qu’elle ne cache pas toujours les regards curieux. Jouant dans l’herbe, avec un chiot blanc et sa balle, je reconnais la fille d’hier. Elle ne porte plus le vêtement ridicule qu’elle arborait pour la messe. Non, elle paraîtrait presque ordinaire. Je me perds en contemplation, quelques instants. Pris par surprise et hésitant. Avant d’avancer, timide, me faufiler entre deux branchages. C’est le chien qui me remarque le premier, se met à abboyer. La peur aux tripes, je recule, mais la fillette le rassure, et prends les devants. “Bonjour.” Je déglutis, bien maladroit. “Salut.”

La conversation s’est résumé à nos présentations respectives. Du fait de son accent très prononcé et sa difficulté à énoncer une simple phrase, j’ai rapidement conclu qu’il s’agissait d’une famille immigrée. Il n’aura fallu que quelques jours pour comprendre qu’ils étaient français. Le temps passant, les semaines emportées dans le même élan, nous avons continué à nous parler. Lui arrachant, d’une journée sur l’autre, un mot de plus à son vocabulaire en pleine construction. J’étais ravi de lui apprendre à parler. Pour une fois, je me sentais utile, et au grand bonheur de ma mère, je venais de me faire une amie.

▲▲▲▲▲

Passons sur les détails. Vous vous en doutez, elle est rapidement devenue l’objet de tous les fantasmes de l’enfant, de l’adolescent que je devenais en grandissant. Cette famille est restée six ans à côté de la mienne. J'avais donc dix-sept ans - elle en avait seize. Nous sommes sortis ensemble durant toute la période du lycée. La dernière année fut la plus tourmentée, puisque nous ne faisions plus que nous écrire, d’un bout à l’autre du globe. Finalement, les lettres se sont espacées. Et avec elles, les souvenirs de son visage se sont estompés. Les désirs acharnés ne trouvaient plus à se satisfaire de quelques mots d’amour, et je l’ai trompée. Nous nous sommes quittés.

Elle reste pourtant ma plus belle histoire. Car celle-ci, malgré le silence, ne s’est jamais vraiment finie. Ses mots conservaient leur écho au plus profond de mon coeur. Sa passion pour les étoiles anima tout mon être à la fois, me poussa à poursuivre quelques rêves nouveaux. Au cours de mes études en physique et mathématiques, j’ai passé un an en France, à ses côtés dans le sud de Paris. Les retrouvailles furent telles qu’à mon retour sur le nouveau continent, c’est un anneau de platine qui me cerclait l’annulaire. Elle emménagea avec moi peu de temps après la fin de ses études en arts. A Boston, où je finis les miennes avec la tranquillité d’esprit d’une femme à retrouver chaque soir.

Alors où ce bonheur s’est-il évanoui ? Penserez-vous. Il avait la fille, le diplôme, le boulot, et même une gosse malgré tout le dégoût imaginable qu’il avait pour les enfants. Oui, j’avais fait cette ultime concession. Une erreur, sans doute. Car voyez-vous, le bonheur a trouvé sa fin entre les cuisses de la belle Maria. Puis de l’insolent Léo, et du joli Sacha. Et de la sulfureuse Anya, et puis de ce salopard de Ken, de ce bon vieux Ryan, de cette enquiquineuse de Samantha, de la trop peu farouche Chloé, de l’énergique Alexander, du gros Robert, du petit aussi, de Laëtitia, de Cameron, de Luke, Lucie, Lucette, et tous ces autres insignifiants dont j’ai oublié le nom. Je n’avais rien pour être malheureux, et pourtant, je retrouvais toute la fureur que j’avais pour mon imbécile de mère. La jalousie, peut-être, de ne plus être son seul centre d’intérêt. Que cette crevette ose me voler la vedette. Comme l’avait fait ma pute de soeur en bouffant le sein auquel je n’avais plus droit. Je n’étais plus entier, non, je ne l’avais plus qu’à moi. Un caprice, un magnifique désarroi. Et puis, elle a su. Je ne lui en ai pas épargné la liste. Je l’aimais pourtant, et Dieu que je l’aime toujours. J’eus aimé plus encore qu’elle ne soit pas si naïve, pas si simple.

▲▲▲▲▲

Octobre 2016
Introduction au cours d’Astonomie 101

Les dernières diapositives défilent derrière moi, sur les animations lentes d’un univers qui gonfle à la manière d’un simple ballon de baudruche, écartant sur sa toile les minuscules galaxies déjà trop isolées. Le silence est dérangé par quelques trousses qui se referment, les attentions volages des étudiants qui abandonneront ce cours avant la fin du premier semestre. L’amphithéâtre n'en sera que moins étouffant. Je soupire, adossé à mon bureau, tapotant la pointe de mon stylo sur le bois de bonne facture. Je reprends mon discours.


“C’est le principe de l’entropie. La tendance de l’univers tout entier à évoluer vers un état croissant de chaos.”


Tout se dissipe. Tout se détruit. Beaucoup m'écoutent, bien peu entendent.
Je croise le regard d'un blond plus patient que les autres, au premier rang. Assis là, toujours, sans bouger, bien sagement. Un sourire aigri sur mes lèvres, une idée bien précise, et les songes qui s'emportent à la prochaine consolation.
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CHRISTIAN SOREN LEDFORD ► Christian Bale 4205929361
Re-Bienvenuuuue sur ILH, et bon courage pour ta fiche ! hanwii SOREN LEDFORD ► Christian Bale 1365124802
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : crédit: thv1@tumblr
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
SOREN LEDFORD ► Christian Bale 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : SOREN LEDFORD ► Christian Bale O4O8rlbd_o
RPS en cours :
04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
RPS : 119
Messages : 63637
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Rhys Ackerman
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165819-rhys-ackerman-kim-taehyungRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166603-rhys-ackerman-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t166159-meetsachussets-rackerman
MALVENUUUUUE ! Que tes entrailles soient donnés en pâté aux chiens des enfers :hanhan:
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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Bienvenue sur ILH et bon courage pour ta fiche !
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rebienvenuuuue SOREN LEDFORD ► Christian Bale 3850463188
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Rebienvenue SOREN LEDFORD ► Christian Bale 3850463188
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