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Fuckin' problems + Clemow

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YOU KNOW I'M THE BOSS BABY
feat. Willow S-Prada
Le soleil venait de se lever et je plissais déjà le nez. L'odeur florale qui avait envahi l'appartement ne me plaisait pas. Et lorsque j'ouvrais les yeux, la première chose que je voyais c'était ses affaires. Je poussais un soupire, faisant tomber d'un geste rageur son petit déshabillé au sol. Non, ce n'était pas un rêve, ni même un cauchemar. C'était la réalité. Depuis l'incendie de la Eliot House, ma chère et tendre femme avait découvert l'attrait d'un contrat de mariage et du fameux principe : tout ce qui est à toi est à moi. Ma signature ne semblait plus l'obséder. Chaque matin, j'espérais que ça ne soit qu'un mirage et qu'elle se hâterait de retrouver ses amis. Mais non. Elle avait décidé autrement. Mes muscles me faisaient encore mal de la vieille et Morphée semblait vouloir me reprendre dans ses bras fins et soyeux. D'un geste ample, je soulevais la couverture pour la poser sur mon visage afin d'éteindre la lumière solaire, mais c'était sans compter les lubies féminine de Willow. Un long soupir s'échapper d'entre mes lèvres lorsque le bruit métallique du mixeur se répercutait avec amplitude contre les murs. Elle est bonne, mais qu'est ce qu'elle est conne. laisse-moi un peu de répit, je t'en pris  La douce voix chevrotante de la belle blonde prenait le relais.  Bordel, mais ferme-la ou alors casse-toi une bonne fois pour toute criais-je à travers la pièce. Mais rien à faire. D'un bon, je me relevais, l'humeur au fond du boxer. L'espace d'un instant, je laissais mes yeux trainer sur le galbe de son fessier, de ses jambes. Cette femme était une emmerdeuse, mais personne ne pouvait nier ses atouts. Tu comptes me faire le coup tous les jours ? Si je dois être fatigué chaque matin, je préférerais que se soit parce qu'on a baisé la vieille  soufflais-je entre mes dents, le regard sur la machine à café. Fais du café au moins. J'en veux pas de tes conneries de jus vert

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Fuckin' problems
feat. Clément S. de Beauvoir
Clément était le pire des connards en ce moment, il voulait tout faire pour que ma vie devienne un véritable enfer sauf que malheureusement pour lui, j'avais plus d'un tour dans mon sac. Mon cher mari ne savait pas à qui il s'était frotter puisqu'il est sûr que j'allais avoir mon dût tôt ou tard... Bref, comme Athena m'avait jetée dehors de la Cabot House et que cette dernière ne voulait en aucun cas que je puisse remettre les pieds dans sa petite maison de peur que je puisse m’attaquer à elle. Non mais sérieusement, elle voulait me faire rire ? Moi qui avais fini par oublier cette histoire, voilà que la petite brunette remettait ce sujet sur le tapis. C’est presque pathétique. Étant normalement matinale pour faire ces exercices afin de garder mon corps naturel, je me suis réveillée vers 5h du matin rien que pour emmerder mon mari qui dormait à mes côtés. Je pensais souvent à ce qui s’est passé à l’hôpital avec Tate et il fallait que je puisse faire signer Clément sur ce fichu papier de divorce. Me redressant donc dans le lit, je pris peine de faire exprès pour poser mes pieds contre le sol de sorte à faire le plus possible de bruit qui pourrait faire réveiller le jeune homme. Sans succès, tant pis, j’allais avoir d’autres occasions de me reprendre. Après avoir fait ces exercices, je revins donc dans la cuisine pour sortir le mélangeur et pouvoir faire mon smoothie comme j’avais l’habitude à la Eliot House. « Bordel, mais ferme-la ou alors casse-toi une bonne fois pour toute » Ayant ce même sourire presque diabolique sur les lèvres, je continuais sans vraiment me préoccuper de ce qu’il osait dire comme merde de sa bouche. Comme si ça allait me faire arrêter ce que j’étais en train de faire. Lorsque j’entendis un bruit de pas dans la chambre, j’arrêtais mon chantier avant de me retourner et poser l’une de mes mains contre le comptoir. « Tu comptes me faire le coup tous les jours ? Si je dois être fatigué chaque matin, je préférerais que se soit parce qu'on a baisé la vieille » Je laissais échapper un petit rire tout en haussant les épaules. « Arrête de te plaindre, ta femme a bien besoin de se garder en forme. Je ne crois pas que tu serais content d’apprendre que je suis rendu à presque 200 lbs parce que tu ne me laisses pas faire ces smoothies protéinés. » Versant donc un premier verre du liquide vert, j’en fis un second pour Clément. Pauvre chou, il allait être en rogne mais que voulez-vous, c’est le prix à payer. Prenant le verre, je me suis approchée du Winthrop avec ce même sourire sur les lèvres. « Fais du café au moins. J'en veux pas de tes conneries de jus vert » Je arquais un sourcil. « Tu en est sûr ? À ce que j’ai remarqué tu as pris beaucoup de poids puis ça pourrait t’aider à te mettre en forme tu crois pas… » Dis-je d’une voix sensuelle lorsque mon corps se collait à celui de Clément, faisant donc exprès de lui poser le liquide sous son nez.

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YOU KNOW I'M THE BOSS BABY
feat. Willow S-Prada
Le bruit assourdissant du mixeur parvenait jusqu'à mes oreilles. S'infiltrait à travers les draps pour envahir mes tympans. Je poussais un soupire, un grognement. Depuis que la blonde avait posé ses valises ici, mon quotidien était un enfer. Elle s'était attaquée à mes habitudes, prenant une place grandissante dans mon quotidien. C'est d'un pas paresseux et encore endormi que j'allais dans la cuisine pour faire taire la machine et avec un peu de chance, ma femme. « Arrête de te plaindre, ta femme a bien besoin de se garder en forme. Je ne crois pas que tu serais content d’apprendre que je suis rendu à presque 200 lbs parce que tu ne me laisses pas faire ces smoothies protéinés. » sa voix m'irritait. Elle parlait trop. Beaucoup trop. Elle n'avait pas mon attention. Ou du moins, ses paroles ne m'importaient peu, mes yeux et mon envie était rivé sur ses longues jambes découvertes. En cet instant, je me félicitais d'avoir passer la bague au doigt de cette femme, jusqu'à ce qu'elle ne parle à nouveau. C'est parce que tu veux pas faire d'exercice avec moi ça. T'aurais pas besoin de cette merde sifflais-je en la bousculant pour regarder son smoothie.  puis personne te force à rester ici. Mon appartement, mes règles  ajoutais-je en redressant mon regard dans le sien. Mon bras frôlait sa poitrine et c'est d'un coup sec que je tirais sur la prise. « Tu en est sûr ? À ce que j’ai remarqué tu as pris beaucoup de poids puis ça pourrait t’aider à te mettre en forme tu crois pas… » l'ondoiement de son corps me faisait vibrer. Ses humeurs avaient beau m'exaspérer, ma vision quant à elle était ravie. Le timbre de sa voix me fit sourire. Je posais mes mains sur ses frêles épaules, enfonçant doucement mes doigts dans ses clavicules. C'est parce que tu me satisfait pas. Je suis obligé de combler le manque, puis t'as pas l'air de t'en plaindre .. je faisais glisser mon index contre le satin de sa peau, la manche de son déshabillé glisser sur sa peau laiteuse. Je suivais le mouvement pour apprécier chacun des aspects de son anatomie.  la prochaine fois, tournes au moins la tête, tu sens le céleri je tournais la tête en me défaisant de l'emprise de son corps pour faire couler du café. Tu sais bien que c'est pas ce genre de petite conneries qui vont me faire signer les papiers. Je suis amoureux et toi tu veux me briser le corps terminais-je par dire plein d'ironie, une main sur le coeur, la moue qui va avec.

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Fuckin' problems
feat. Clément S. de Beauvoir
En gros, c’était la faute à Clément si je me trouvais chez lui présentement. La Eliot House avait cramée et comme Athéna ne voulait pas ma somptueuse personne, je me suis dit pourquoi pas. Peut-être qu’avec peu de chance, le beau Winthrop allait céder sous les pulsions et signer ce papier que j’attendais depuis tant de mois. De nature emmerdante, j’allais tout faire en mon pouvoir pour qu’il puisse tellement être désespéré de m’avoir dans ses pattes qu’il puisse retourner sur sa décision pour me lâcher un peu les baskets et que je puisse avancer dans ma vie sentimentale. Cette soirée à Las Vegas, je la redoutais depuis pas mal d’années déjà et ce n’est pas aujourd’hui que j’allais baisser les bras. Rien qu’à voir comment il était ce matin, j’avais gagné un point. Le coup du mélangeur tôt dans la journée, c’est un coup immanquable. « C'est parce que tu veux pas faire d'exercice avec moi ça. T'aurais pas besoin de cette merde » Il ne manquait pas de me rappeler toutes ces choses, comme si nous étions un couple amoureux alors que ce n’était pas le cas. « C’est parce que ça serait une honte de faire mes exercices en ta compagnie. Va falloir que tu comprennes ça. » Prenant donc une gorgée du liquide qu’il détestait le plus au monde, j’avais toujours ce même sourire sur le coin de mes lèvres. « Puis personne te force à rester ici. Mon appartement, mes règles » Je fis semblant d’être apeurée par ce qu’il venait de me sortir. « Ouuuh comment j’ai peur maintenant. Tes menaces ne m’ont jamais affecté mon petit mari adoré. » Dis-je pour lui faire un clin d’œil avant de poser mon verre que j’avais dans les mains sur le comptoir. Comme nous étions mariés tous les deux, il fallait bien que l’on passe pour un couple fou amoureux et même s’il y avait cette tension sexuelle entre nous, jamais je n’allais céder sous la pression de ses mots ou de ses gestes. Tandis que ses doigts se posaient contre mes épaules, je pouvais sentir qu’il les enfonçait dans mes clavicules mais malgré tout, je restais bien droite en face de Clément, sans broncher rien. « C'est parce que tu me satisfais pas. Je suis obligé de combler le manque, puis t'as pas l'air de t'en plaindre.. » Je laissais donc échapper un rire. « Tu ne m’appelle jamais alors je n’ai pas besoin de venir te satisfaire. Je suis sûre que tu t’en sors très bien sans moi. » Clément en profitait pour glisser ses doigts contre ma peau et de laisser descendre le déshabillé que je portais. Nous avions toujours eut ce genre de conversation tous les deux. Toujours à s’envoyer promener dans les secondes qui suivent. « Tu sais bien que c'est pas ce genre de petite conneries qui vont me faire signer les papiers. Je suis amoureux et toi tu veux me briser le corps » Suite à ses paroles, il s’est retourné afin de se faire un café lui-même. J’aimais bien son ironie mais ce n’est pas quelque chose qui m’emballe. « Oh arrête de jouer la comédie, c’est juste parce que tu veux m’emmerder plus qu’autre chose… Puis tu sais, des filles y’en a pleins dans tout Boston alors je ne vois pas pourquoi je devrais continuer à te supporter encore des années. » Dis-je en roulant les yeux pour faire tomber mon déshabillé en face de lui, l’air innocente et marcher vers la chambre afin d’enfiler une robe.

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YOU KNOW I'M THE BOSS BABY
feat. Willow S-Prada
L'air inhalait la saveur de Willow. Celle que j'avais pu chérir le temps d'une soirée à Las Vegas. Mais elle n'avait plus la même saveur. Elle m'énervait. Me rongeait de l'intérieur. Le Jasmin avait perdu de sa délicatesse. L'ambre de sa chaleur. La rose des bois de son enchantement. Peut-être aurais-je pu me laisser aller à des sentiments moins virulents à son encontre. J'aurais pu m'attacher à la perfection de ses traits, aux courbes de son corps et aux arrondis de ses lèvres, mais sa personnalité était un vrai désastre. Piquante et sèche. Arrogante et Egoïste. Têtue et insupportable. Aucune lumière ne traversait son épaisse chevelure dorée. Willow s'amusait depuis quelques jours à me mener la vie dure, à penser que ses petites tentatives seraient de celles qui pouvait me faire baisser les bras. A l'usure comme on dit. Mais c'était mal me connaître. Très mal. L'usure était mon allier et la colère mon pêché. « C’est parce que ça serait une honte de faire mes exercices en ta compagnie. Va falloir que tu comprennes ça. Ouuuh comment j’ai peur maintenant. Tes menaces ne m’ont jamais affecté mon petit mari adoré.»  mes pupilles se dilataient sous la colère. Je posais les poings de part et d'autre de corps, contre le plan de travail.   Tu fais la maligne, mais tu devrais avoir peur. Aujourd'hui j'arrive à me contenir, mais je te garanti rien pour demain. Faut savoir jouer avec les limites sans les dépasser. mes yeux s'étaient dans les siens, ma voix n'avait plus aucune once de plaisanterie ou de quelconque ironie. J'essayais de ma calmer, de prendre sur moi et de contrôler ma respiration. Mais ses frasques matinales ne faisaient qu'accroître la fatigue de jour en jour. Heureusement que t''as quelques atouts pour toi. Suffise que tu les mattes un peu plus en valeur pour que je me calme. Tu pourrais faire un effort pour ton humble mari j'haussais une épaule en allongeant le bras pour attraper le verre qu'elle s'était préparer et le balancer dans l'évier, sans me soucier grandement des éclats de verre qui se cognaient contre l'inox. Mes doigts longeaient ensuite ses frêles petites épaules. Il serait si facile de la casser. Willow était une poupée. Une poupée de porcelaine. Mes doigts enviaient la douceur de sa peau, l'éclat de ses seins. « Tu ne m’appelle jamais alors je n’ai pas besoin de venir te satisfaire. Je suis sûre que tu t’en sors très bien sans moi. » je ne répondis pas de suite parce que j'étais occupé. Occupais à me calmer en regardant la soie glisser contre sa peau. Elle me devait bien ça. Mais soudain, l'aigu de sa voix vint me ramener à la réalité et mes doigts quittaient leur terre d'accueil. Encore une fois, ses commentaires acerbes venaient gâcher le doux moment que nous aurions pu vivre. Alors je préférais me retourner vers la seule dose de plaisir que j'aurais ce matin : la machine à café. « Oh arrête de jouer la comédie, c’est juste parce que tu veux m’emmerder plus qu’autre chose… Puis tu sais, des filles y’en a pleins dans tout Boston alors je ne vois pas pourquoi je devrais continuer à te supporter encore des années. » Elle avait raison. La seule chose qui me motivait était l'agacement qui naissait dans ses yeux. La douleur qu'elle ressentait en sachant qu'elle ne pouvait pas se libérer de cette fausse convention sans mon accord. Les bras tendus contre le plan de travail, je tournais le regard vers cette dernière pour suivre sa démarche. Pour me languir du balancement de son fessier. Et même si elle m'agaçait, je ne pouvais m'empêcher de sourire. De sourire parce que je savais qu'au fond, ce n'était pas ce qu'elle voulait. La tension sexuelle qui nous unissait tous les deux n'était pas nouvelle et de jour en jour elle ne faisait que grandir par nos jeux malsains. Par nos paroles déplacées. Prise d'une envie soudaine, je ramassais son déshabillé au sol, le serrant entre mes doigts pour la rejoindre dans la chambre Je t'en pris, on sait très bien tous les deux pourquoi tu supportes tout ça. Au fond, ça te déplais pas soufflais-je en enroulant mes bras autour de sa fine taille pour la poser contre la commode. Mon corps se collaient au sien, tandis que mes doigts glissaient contre sa mâchoire pour s'étaler contre sa poitrine rebondis. Mon souffle se dessinait contre son épiderme, alors que ma bouche traçait des sillons dans son cou jusqu'à ce que d'un coup sec je cassais une première bretelle.  Ce matin, y'a qu'une fille de Boston que je veux ...  je levais mon visage vers le sien avec ce petit sourire en coin. Je replaçais l'une de ses mèches derrières son oreille tout en approchant mes lèvres des siennes alors arrêtes moi si tu veux plus supporter tout ça la deuxième bretelle venait de claquer sous l'assaut de mes mains. Mes ongles glissaient le long de ses bras, de son ventre pour rouler sur ses cuisses.  Je te laisse 3 secondes de réflexion

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