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something that I'm missing, maybe my head for one ✩ alekseï

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When you feel my heat. Look into my eyes. It's where my demons hide. Don't get too close. It's dark inside

La démence. Les voix qui tape dans ta tête, le silence soudain avant de refaire un vacarme inhumain. Les remarques des autres qui sonnent comme des insultes, l’impression que tout le monde te regarde de travers, que tout le monde te veux du mal. Le cœur palpitant, à deux doigts de faire des gestes incontrôlés et trop brusque pour savoir d’où ils viennent, qui les contrôles. L’envie de bouger, tout le temps, faire un petit dej au beau milieu de la nuit, courir trois kilomètre en talons haut. Qu’est-ce qui t’arrives ? tu le sait très bien, tu ne veux pas te l’avouée, tu es trop bornée pour demander de l’aide. Alors tu t’enferme, dans la salle de bain, à double tour. La porte fermer à clés, des cartons poser devant, personne ne te dérange, personne ne te murmure, personne ne t’aide à sortir de tes idées noirs. Et puis soudain, on frappe, on toque, on hurle, sors de là, dépêche toi, fait la morte, fait quelque chose. Tu te fais couler un bain, tu te laisse sombrer dedans, ton corps se fond dans l’eau et tu n’entends plus rien, plus d’idée noire.

« vous pouvez me redire votre prénom ? » la tête trop lourde assise sur le lit, les chênes qui bloques tes poignez, la voix terne. « Aleyska Lovegood. » bouche pâteuse, lèvres gréser, cheveux encore tremper. Tu remarque que tes pieds ne peuvent pas toucher le sol, que tu peux sentir le regard méfiant de l’infirmière sur toi, qu’elle reste délibérément près de la porte, au cas où tu décides de lui bondir dessus. « Très bien Aleyska, je- » « Ley. Appelez-moi Ley. » ça sonnez plus comme un ordre qu’autre chose, elle te regarde d’ailleurs avec des yeux rond, avant de secouée la tête pour dire oui. Avant qu’elle puisse reprendre la parole, un médecin entre dans la salle. Il te donne un sourire qui est censé être communicatif, mais auquel tu ne réponds pas, avec ce sourire un bonsoir que tu ne lui rends pas. Sur sa blouse il est écris : Voïnov. « Vous n’être pas le docteur Voïnov. » dis-tu de manière affirmative. « Malheureusement oui, j’ai du me tromper de blouse, mais merci de le remarquer jeune fille. Tu peux me dire quand a commencé les hallucinations ? » il te regarde dans les yeux, une technique de médecin pour instauré la confiance, sauf que tu n’as pas confiance en lui, tu n’as confiance en personne. « Je veux le docteur Voïnov. » tout deux semble un peu débité de ta requête, il est impossible d’ordonné avoir un médecin quand on arrive aux urgences, chacun à son domaine et tu le sait, tu le sait un peu trop. Mais loin de toi l’envie de parler de tes problèmes à ce docteur lambda qui sors de nulle part, tu réitère donc ta question ou plutôt ta demande. « Je veux le docteur Voïnov. Ou alors laisser moi pourrir ici, parce qu’il est hors de question que je vous réponde. » docteur lambda fini par ranger sa stéthoscope, toujours les yeux ébahi par ta demande. Il regarde une dernière fois le dossier avant de tapoter sur l’épaule de l’infirmière. « Appel  Alekseï, je lui laisse la folle si ça l’arrange. »


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LEY & ALEKSEÏ.

Alexeï émit des grognements incompréhensibles pour les autres personnes présentes car ils étaient exprimés dans sa langue maternelle. Il était face au porte manteau des vestiaires et il ne trouvait pas sa blouse, celle où son nom était normalement inscrit. La personne qui le lui avait empruntée ferait mieux de venir la reposer lorsqu'il aurait le dos tourné, car le docteur Voïnov n'était absolument pas d'humeur joyeuse aujourd'hui. Comme beaucoup d'autres jours d'ailleurs. Il ne chercha pas plus et prit une des blouses vierges qui étaient là « au cas où ». Pas de nom inscrit dessus, ça lui allait bien car il était hors de question de porter le nom de quelqu'un d'autre toute la journée. Il sortit des vestiaires et pria pour que, dans les couloirs, il tombe sur la personne qui portait sa blouse.
Il se rendait à la salle de pause afin de prendre un grand café avant de se rendre dans les chambres des patients qu'il avait opéré la veille. C'était une routine matinale qu'il ne manquait pour rien au monde. Alekseï avait beau être un handicapé des relations humaines, lorsqu'il s'agissait de son métier, il devenait docteur Voïnov. Même sans sourire, il savait s'occuper de ses patients. Dans la grande salle, il retrouva son grand ami et confrère, Max. Ce dernier était justement en train de terminer son service. Ils discutèrent des patients de ce dernier et la colère d'Alekseï retomba peu à peu. Max était son meilleur ami et aussi la personne qui le connaissait le mieux et le complétait le plus. Il savait apaisé le grand russe qui se laisser souvent aller à ses humeurs. Dans les mauvais jours, il valait mieux aller voir Max avant de demander une faveur à Alekseï.
« - Excusez-moi docteur Voïnov ? Je sais que ça ne relève pas de votre spécialité mais une jeune femme aux urgences réclame votre présence.
- Pourquoi ? Qu'a-t-elle ?
- Démence docteur. Elle ne veut que vous et personne d'autre. »

Alekseï posa bruyamment sa tasse et grommela une nouvelle fois, il exprimait mieux ses émotions en russe. Son ami lui lança un regard de réprimande et lui fit signe de sortir de la pièce. C'est à la trace de l'infirmière qu'il marchait dans les couloirs, en direction du service des urgences. Ils y arrivèrent bien vite et l'infirmière quitta Alekseï devant la porte de la fameuse chambre. Le docteur ouvrit la porte, et découvrit un visage qui ne lui était pas étranger. Il s'approcha du lit où était allongée la jeune femme et prit le dossier qui était posé à ses pieds. Ley Lovegood. En effet, ils se connaissaient. Elle était élève à Harvard. Quelques rares fois, il avait été son professeur. C'était le genre d'élève qui le rendait terriblement irrité. Toujours à poser des questions, toujours quelque chose à redire et toujours une remarque à faire. Il n'avait qu'une seule image d'elle en tête : la rouquine qui avait toujours la main levée lors de ses cours.
Alekseï leva ses yeux du dossier pour les poser sur Ley. Puis il regarda ses mains qui étaient attachées. Il secouement lentement la tête de gauche à droite et se retourna vers l'infirmière qui était restée sur le seuil de la porte.
« Enlevez moi ça de ses poignets et de ses chevilles. Vous n'allez quand même pas me dire que dans le service, personne n'est capable de maîtriser une gamine de 20 ans. »
Sans un mot de plus et sans aucune forme de politesse, il reporta son attention sur la jeune femme. Une crise de démence ? Oui, il avait entendu parler d'elle à ce propos. Mais pourquoi lui ?
« Mademoiselle Lovegood, je ne suis pas urgentiste, ni neurologue et encore moins garde fou. Quel est le problème avec les autres médecins ? » 

© MADE BY LOYALS.


@Ley Lovegood
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Pas de bonjour, pas de merci, pas de formule qui pousse à la courtoisie. Juste des pas sur le sol, une porte qui claque, un grognement de désapprouvassions et un calepin qu’il feuillette. Sa première décision est de retirer les menottes qui te ligotent les bras et les jambes. Tu sens la résistance de l’infirmière qui lui adresse un regard inquiet et désapprobateur, regard qu’il ignore en continuant à lire le dossier.  Elle laisse écouler quelques minutes avant de finalement accepter sa requête, à sa place tu aurais refusé de le faire, après tout cette petite gamine de vingt ans comme il le dit si bien, avait tout de même essayé de lui arracher un œil quand elle est arrivée.  Après avoir fait des théories sur les choses qui sonner dans sa tête. Elle finit par retirer ses menottes, laissant un soupire de soulagement échapper de tes lèvres. tu te redresse la toute lourde, les cheveux encore mouiller tombe sur tes épaules, ce qui t’arrache un frisson. Son regard se pose brièvement sur toi, sans vraiment porter une quelconque importance à ce qui se trouve devant lui, te pose la même question que cette pauvre infirmière t’a demandée il y a vingt minutes de cela. Comme réponse, tu hausses les épaules. « Je n’aime pas être touché par des gens que je ne connais pas. » ce n’est pas comme si vous étiez très proche tout les deux, ni même que vous vous appréciez, après tout il est ton professeur et aussi loin de toi l’idée de le considéré comme un être proche. Il était toujours aussi rigide et froid qu’il l’était en cour, ce qui ne changer pas de d’habitude, ça t’étonne tout de même, car à chaque fois que tu arrives dans un nouvel hôpital, les gens ont tendance à te prendre avec des pincettes, ce qu’il ne fait pas vraiment. Sinon il t’aurait dit bonjour, ou essayer de te rassurer. « Ou peut être que vous me manquiez. » dis tu dans un petit gloussement léger, tu savais très bien qu’il ne pouvait pas te supporter, ou alors c’est son attitude face au reste du monde. Il soupirait tout le temps quand tu lever la main, rouler des yeux à chacune de tes interventions, si il pouvait tirer une flèche dans ton gosier à chaque fois que tu parlais il l’aurait surement fait.  « Les symptômes de démence ont commencé quand j’avais quinze ans, ils appellent ça de la trouble de la personnalité paranoïaque, mais vous devez déjà le savoir, c’est écrit dans mon dossier. Je suis venue quatre fois depuis que je suis arrivée à Cambridge et les quatre fois, j’ai refusée tout traitement. » tu marques une pause à la vu de tes poignets. Rosé comme un morceau de jambon, tu passes un doigt sur la marque laissé par les menottes, la douleur persistante qu’elles ont laissée. Une part de toi avait honte de ça, de devoir être attaché pour être contrôlé, tel une bête. « Mais ce soir j’ai envie d’accepter une solution.. uniquement si ça vient de vous. » tu lèves les yeux vers lui, oubliant la présence de l’infirmière encore dans la pièce. Elle sent ensuite son regard sur toi et pousse son chariot à l’extérieur de la salle avant de s’éclipser. Pourquoi est-ce que tu avais soudainement envie d’intimité avec cet homme, tu ne le connais même pas. Tu le connais autant que professeur Voïnov pas autant que superman. Sa présence été pourtant rassurante, comme une image qui s’attache à quelque chose familier et calme tes maux. « Faite votre travail, rassurez moi, dite moi que je vais m’en sortir, promettez moi de faire de votre mieux même si l’envie n’y est pas. »
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LEY & ALEKSEÏ.

Toujours feuilletant le dossier de sa nouvelle patiente, Alekseï regardait du coin de l’œil cette infirmière qui avait l'air d'avoir réellement peur de l'étudiante. Le chirurgien poussa un soupir exagéré afin qu'elle se dépêche d'enlever ces chaînes qui entravaient les mouvements de Ley. Il secoua la tête, exaspéré, et pria l'infirmière du regard de rejoindre la pas de la porte. Cette dernière, comme curieuse de ce qui allait se passer ensuite, resta là. Ou alors avait-elle peur de faire un mouvement de plus sous peine de subir la mauvaise humeur du russe.
Lorsque Ley répondit au chirurgien qu'elle n'aimait pas être touchée par des gens qu'elle ne connaissait pas, celui-ci émit un bref sourire en coin. Il releva son visage et plongea ses yeux dans ceux de l'étudiante qui était à présent assise dans son lit. Elle était littéralement trempée de sueur et ses joues étaient encore rosées à cause de sa crise. Alekseï se tourna afin de pouvoir s'adosser au lit en croisant les bras. Il n'avait pas quitté des yeux la jeune femme.
« Mais nous ne nous connaissons pas. Je suis professeur et vous une élève, cela ne fait absolument pas de nous des gens qui se connaissent. »
Lança-t-il à l'intention de la jolie rousse. Cinglant, c'était exactement le ton qu'il venait de prendre. Malheureusement pour Ley, son professeur avait beau être habituellement froid, là, il était réellement dans un mauvais jour. Lorsqu'elle termina sa phrase par un « peut-être que vous me manquiez », Alekseï laissa échapper un rire qui était tout sauf d'amusement, mais plutôt ironique. Il se contenta de cela, sans apporter aucune réponse. Il baissa son regard une nouvelle fois sur le dossier qu'il tenait dans une main, sans vraiment le regarder. Mais pourquoi lui ? Tout les deux ne s'étaient jamais réellement bien entendus. Enfin, c'était surtout lui qui avait du mal à la supporter. Non pas qu'elle était désagréable ou hautaine, juste irritante. Et il en fallait vraiment peu pour irriter le professeur.
Elle se mit à lui expliquer son cas, cas qu'il connaissait déjà mais qu'il écouta une seconde fois sans rechigner. Elle s'arrêta en cours d'explication pour baisser les yeux et regarder ses poignets. Sa peau était presque meurtrie par le contact récent avec le métal. Elle devait probablement avoir mal. Après leur entrevue, le chirurgien décida qu'il lui prescrirait des anti-douleurs ou une quelconque crème anesthésiante locale. Il ne l'appréciait pas mais n'était quand même pas du genre à manquer à ses devoirs de soignant. Elle finit par lever ses yeux vers lui et lui annoncer qu'elle accepterait finalement tout traitement s'il venait de lui. Alekseï haussa les sourcils, étonné, et ne répondit rien. Il laissa un silence s'installer pendant qu'il réfléchissait. Gênée, l'infirmière prit l'initiative de partir en profitant que le docteur Voïnov ne fasse plus attention à elle.
« Faites votre travail, rassurez moi, dite moi que je vais m'en sortir, promettez moi de faire de votre mieux même si l'envie n'y est pas. »
Alekseï tourna brusquement sa tête vers la jeune femme. L'étudiante venait d'employer l'impératif et cela déplut au russe qui serra sa mâchoire afin d'éviter de l'envoyer paître instantanément.
« Écoutez mademoiselle, mon travail est de soigner des personnes atteintes de pathologies cardio-vasculaires, pas de m'occuper de petites étudiantes bien trop exigeantes. Je vais vous cherchez un confrère compétant. »
Sur ces mots, il se leva et prit la direction de la porte. Sur le chemin, il pensa à Anna, sa fiancée décédée il y a maintenant 5 ans. Elle n'aurait pas voulu ça. Elle était si douce et malgré qu'elle fut un excellent chirurgien ophtalmologiste, elle s'occupait de tous et de tout le monde. Elle ne faisait aucune différence entre les patients et pouvait parfaitement s'occuper d'une vieille dame atteinte d'une cataracte comme d'un jeune garçon qui venait pour une petite coupure sur le doigt. Alekseï pensa à elle et poussa un énième soupir avant de se retourner et de revenir vers Ley. Debout face à la jeune femme, il se mit à faire glisser de chaque côtés afin de retrouver un semblant de calme.
« Je ne vous ferez pas d'excuses concernant mon emportement, mais c'est d'accord, je vais m'occuper de vous. Mais ne vous attendez pas à ce que je sois le médecin rassurant qui vous dira que tout ira bien, je ne vous ménagerez pas. Je vous dirais les choses franchement, sans prendre de gants, et vous vous plierez à mes traitements. Si vous ne le faites pas, notre collaboration sera terminée. J'espère que c'est clair. Maintenant, quels traitements avez vous déjà prit depuis vos 15 ans ? »
De marbre, Alekseï ne lâchait pas cet anneau qu'il portait malgré la mort de sa fiancée. Un air grave sur le visage et les sourcils légèrement froncés, il attendait la réponse de Ley. 

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@Ley Lovegood
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