Invité
est en ligne
Invité
rylie n. coppola
Fiche d'identité
Nom CoppolaPrénom(s) Rylie NoxÂge 25 ansDate de naissance 18 Août 1991Lieu de naissance Rome, ItalieStatut amoureux Célibataire et ça va pas bougerOrientation sexuelle BisexuelleClasse sociale AiséeÉtudes majeures Sociologie - 2ème année de doctoratÉtudes mineures Organizational BehaviorJob Bronzer sur un transatChoix de groupe #1 MatherChoix de groupe #2 DunsterMATHER.
On ne va pas se mentir, l'anticonformisme, ça la connaît. De toute sa vie, elle ne s'est jamais sentie à sa place et a sombré très tôt dans le tabac, l'alcool et la drogue. Joli combo. Même si elle a fini par se sortir de la drogue, l'alcool est toujours un fidèle ami et l'italienne passe son temps à faire la fête pour oublier sa misérable histoire. Elle aime qu'on la laisse tranquille, se faire ses bad quand elle en a besoin et qu'on ne la juge pas quand elle fait la fête un peu trop sauvagement. Et elle aime savoir qu'elle est dans une maison sur laquelle elle sait qu'elle peut compter à 100%, puisqu'elle n'a jamais pu compter sur sa propre famille. Au-delà de ça, elle serait comme un poisson dans l'eau parce qu'étudier les comportements, elle se crève pour en faire son métier et autant dire qu'à la Mather, il y a de quoi se faire plaisir dans ce domaine. Elle a besoin de ces gens qui chamboulent constamment son quotidien, de se réveiller et ne pas savoir ce qui se trame dans la common room, sur quoi elle va tomber et comment elle va pouvoir s'éclater dans toutes les situations que provoque cette maison.
DUNSTER.
La Dunster House, c'est la force tranquille. Ceux qui ont de l'ambition et excellent dans ce qu'ils entreprennent. Et exceller dans son parcours académique, c'est ce que Rylie s'évertue de faire depuis qu'elle est toute jeune. On peut dire que là, elle apprendrait à se contrôler et être moins impulsive. Les Dunster savent faire la fête, et après tout, c'est ce qu'il y a de plus important pour elle.
On ne va pas se mentir, l'anticonformisme, ça la connaît. De toute sa vie, elle ne s'est jamais sentie à sa place et a sombré très tôt dans le tabac, l'alcool et la drogue. Joli combo. Même si elle a fini par se sortir de la drogue, l'alcool est toujours un fidèle ami et l'italienne passe son temps à faire la fête pour oublier sa misérable histoire. Elle aime qu'on la laisse tranquille, se faire ses bad quand elle en a besoin et qu'on ne la juge pas quand elle fait la fête un peu trop sauvagement. Et elle aime savoir qu'elle est dans une maison sur laquelle elle sait qu'elle peut compter à 100%, puisqu'elle n'a jamais pu compter sur sa propre famille. Au-delà de ça, elle serait comme un poisson dans l'eau parce qu'étudier les comportements, elle se crève pour en faire son métier et autant dire qu'à la Mather, il y a de quoi se faire plaisir dans ce domaine. Elle a besoin de ces gens qui chamboulent constamment son quotidien, de se réveiller et ne pas savoir ce qui se trame dans la common room, sur quoi elle va tomber et comment elle va pouvoir s'éclater dans toutes les situations que provoque cette maison.
DUNSTER.
La Dunster House, c'est la force tranquille. Ceux qui ont de l'ambition et excellent dans ce qu'ils entreprennent. Et exceller dans son parcours académique, c'est ce que Rylie s'évertue de faire depuis qu'elle est toute jeune. On peut dire que là, elle apprendrait à se contrôler et être moins impulsive. Les Dunster savent faire la fête, et après tout, c'est ce qu'il y a de plus important pour elle.
APRÈS LA BOMBE.
C'est encore le genre d'événement que tu vis au ralenti. Pourtant, j'avais la chance d'être très loin du campus à ce moment-là. Enfin... J'étais dans un café à Boston, quoi. Mais je n'étais pas là-bas. Et au moment où la nana derrière le bar avait zappé sur la télé pour mettre les "breaking news", j'avais suspendu mon mouvement, mon croissant perdu entre ma tasse de café et ma bouche. Sur l'écran, des forces spéciales en pagaille, de la fumée noire partout, un reporter désarçonné. Et nous, dans ce café. Complètement silencieux. Attendant juste... la bonne nouvelle. Mais il n'y en avait pas. Harvard avait été attaquée et j'avais l'impression de revivre le traumatisme des images des attentats du 11 Septembre. Mon croissant était oublié depuis bien longtemps sur le comptoir et moi, le téléphone en main, je tentais de joindre tous ceux qui étaient importants à mes yeux. Même ceux qui l'étaient moins. Chaque réponse était un soulagement, mais chaque absence était une bouffée d'angoisse qui ne s'apaisait pas. Je perdis mon colocataire ce jour-là, celui que je considérais un peu comme un meilleur ami. Un nouveau décès à encaisser. Et la vie de toutes ces personnes que je croisais souvent sur le campus. Une horreur.
C'est encore le genre d'événement que tu vis au ralenti. Pourtant, j'avais la chance d'être très loin du campus à ce moment-là. Enfin... J'étais dans un café à Boston, quoi. Mais je n'étais pas là-bas. Et au moment où la nana derrière le bar avait zappé sur la télé pour mettre les "breaking news", j'avais suspendu mon mouvement, mon croissant perdu entre ma tasse de café et ma bouche. Sur l'écran, des forces spéciales en pagaille, de la fumée noire partout, un reporter désarçonné. Et nous, dans ce café. Complètement silencieux. Attendant juste... la bonne nouvelle. Mais il n'y en avait pas. Harvard avait été attaquée et j'avais l'impression de revivre le traumatisme des images des attentats du 11 Septembre. Mon croissant était oublié depuis bien longtemps sur le comptoir et moi, le téléphone en main, je tentais de joindre tous ceux qui étaient importants à mes yeux. Même ceux qui l'étaient moins. Chaque réponse était un soulagement, mais chaque absence était une bouffée d'angoisse qui ne s'apaisait pas. Je perdis mon colocataire ce jour-là, celui que je considérais un peu comme un meilleur ami. Un nouveau décès à encaisser. Et la vie de toutes ces personnes que je croisais souvent sur le campus. Une horreur.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Jamais en sécurité, voilà comment on se sentait à cette période de l'année. Il y avait eu tellement de victimes. Et encore, c'était seulement les victimes qui avaient bien voulu se dévoiler. On n'osait plus se balader seule. Et cette histoire de fermeture de maisons... Du grand n'importe quoi. Mais le coup de grâce, ce fut cette prise d'otage. Celle qui m'envoya en thérapie pendant six mois derrière. Parce que, quand à seize ans, tu vis le traumatisme de sentir un couteau sous ta gorge, une main sur ta bouche t'étouffant presque, une balle tirée dans ta hanche et que quelques années plus tard, tu revis la même chose avec la version flingue sur la tempe, je peux te dire que tu pars illico en thérapie. J'aurais aimé avoir la même chance que pour les explosions et être loin de là, mais non, j'étais dans l'amphithéâtre malheureusement. En fait si j'avais eu à choisir, j'aurais préféré que ça ne se passe pas, tout court. Mais voilà, une blessure de plus pour Harvard, ses étudiants, et pour moi.
Jamais en sécurité, voilà comment on se sentait à cette période de l'année. Il y avait eu tellement de victimes. Et encore, c'était seulement les victimes qui avaient bien voulu se dévoiler. On n'osait plus se balader seule. Et cette histoire de fermeture de maisons... Du grand n'importe quoi. Mais le coup de grâce, ce fut cette prise d'otage. Celle qui m'envoya en thérapie pendant six mois derrière. Parce que, quand à seize ans, tu vis le traumatisme de sentir un couteau sous ta gorge, une main sur ta bouche t'étouffant presque, une balle tirée dans ta hanche et que quelques années plus tard, tu revis la même chose avec la version flingue sur la tempe, je peux te dire que tu pars illico en thérapie. J'aurais aimé avoir la même chance que pour les explosions et être loin de là, mais non, j'étais dans l'amphithéâtre malheureusement. En fait si j'avais eu à choisir, j'aurais préféré que ça ne se passe pas, tout court. Mais voilà, une blessure de plus pour Harvard, ses étudiants, et pour moi.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Le premier truc à savoir sur moi, c'est que je voue une confiance aveugle à personne. J'ai une cicatrice de balle sur la hanche et si tu me demandes ce que c'est, je te dirai que ça te regarde pas. Si t'insistes, il est probable que soit tu t'en manges une, soit je te descende plus bas que terre par de simples mots. J'ai un tatouage sur le biceps où Hemera et Nox sont entrelacés, avec un soleil et une lune. J'avais une sœur jumelle, mais je n'en parle pas. Il est possible que tu me connaisses depuis un sacré moment et que tu sois même pas au courant de ça. Je ne suis pas lunatique mais par contre, je suis souvent en colère. C'est comme ça, je suis en colère contre le monde entier depuis ma plus tendre enfance. Remerciez ma génitrice. Je suis un peu une gamine et si tu mâches un chewin-gum à côté de moi et que par malheur tu t'amuses à faire une bulle, je pourrais pas résister à te l'écraser contre le visage. J'aime l'alcool, le sexe, les cigarettes et encore un peu plus de sexe. J'aime les femmes comme les hommes et si t'arrives pas à le comprendre, je t'expliquerai pas, parce que je m'en tape de ton avis. La glace au café c'est ma préférée, je partage pas. Quand je m'exprime dans la vie courante on dirait pas, mais je prépare un doctorat et c'est sûrement ma plus grande fierté.
Le premier truc à savoir sur moi, c'est que je voue une confiance aveugle à personne. J'ai une cicatrice de balle sur la hanche et si tu me demandes ce que c'est, je te dirai que ça te regarde pas. Si t'insistes, il est probable que soit tu t'en manges une, soit je te descende plus bas que terre par de simples mots. J'ai un tatouage sur le biceps où Hemera et Nox sont entrelacés, avec un soleil et une lune. J'avais une sœur jumelle, mais je n'en parle pas. Il est possible que tu me connaisses depuis un sacré moment et que tu sois même pas au courant de ça. Je ne suis pas lunatique mais par contre, je suis souvent en colère. C'est comme ça, je suis en colère contre le monde entier depuis ma plus tendre enfance. Remerciez ma génitrice. Je suis un peu une gamine et si tu mâches un chewin-gum à côté de moi et que par malheur tu t'amuses à faire une bulle, je pourrais pas résister à te l'écraser contre le visage. J'aime l'alcool, le sexe, les cigarettes et encore un peu plus de sexe. J'aime les femmes comme les hommes et si t'arrives pas à le comprendre, je t'expliquerai pas, parce que je m'en tape de ton avis. La glace au café c'est ma préférée, je partage pas. Quand je m'exprime dans la vie courante on dirait pas, mais je prépare un doctorat et c'est sûrement ma plus grande fierté.
Mel
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Melissa et j'ai 25 ans. Je suis gauloise et j'ai connu le forum grâce au fait que j'ai déjà été dessus . Ça me manquait et j'ai enfin le temps pour RP alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sophia Bush comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par avengedinchains. Je fais environ (ça dépeeend complètement) 300-700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée
Mot de la fin ? ▲
- Spoiler:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée
(Invité)