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(lisoan) when anger has no limits

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La nuit est tombée depuis un petit moment sur les rues de Boston et tu quittes finalement l'appartement de Tate, après avoir passé la soirée avec ce dernier. Une soirée paisible avec ton meilleur ami, autour d'un bon plat de spaghettis préparé par ses soins et de la bonne bouteille de vin blanc que t'avais ramené pour l’occasion. Tu resors de chez lui rassurée quant à votre relation, vous êtes toujours aussi proches et t'es heureuse d'avoir pu partager ce moment avec lui. C'est la tête pleine de pensées heureuses, un sourire un peu niais sur le visage que tu prends la route pour rejoindre ta voiture à quelques pâtés de maison. T'es complétement insouciante de ce qu'il se passe autour de toi et si t'avais fais un petit peu plus attention, t'aurai pu remarquer ce type louche qui te suis depuis le moment où t'as quitté l'immeuble de Tate. En quelques minutes, tu te retrouves dans la petite rue où ton moyen de transport est garé, prête à prendre le volant pour retourner sur le campus. Mais à peine tu tournes dans la rue que t'entends : Hé toi, la blondasse ! Tu te retournes légèrement pour voir qui est-ce qui t'as appelé comme ça avant de reprendre ton chemin, sans rien dire. T'es pas assez folle pour répliquer et tenter le diable. Tu veux jouer à ça petite conne ? Tu pourras pas m'échapper t'sais. La voix se fait plus présente, plus agressive et tu commences à flipper un peu, redoublant de vitesse pour atteindre ta voiture avant que ce mec n'arrive à ta hauteur. Sauf que lui aussi à pressé son pas et au moment où tu te croyais saine et sauve, le voilà qu'il t'attrape le bras et qu'il te retourne contre ta voiture. J't'ai dis que t'allais pas m'échapper petite pute. Qu'est ce que tu vas faire maintenant ? Rien ne peut m'empêcher de te faire ce que j'veux... Il presse son corps contre le tien, te fixe d'un regard lubrique et ta voix reste bloquée dans ta gorge. Qu'est ce que t'es censée faire ? Appeler à l'aide, te débattre, lui cracher à la figure ? Bonne idée. C'est ce que tu fais, tu lui craches en pleine figure, espérant pouvoir lui échapper. Sauf que sa réponse ne se fait pas attendre et il te retourne une gifle à t'en décoller la mâchoire. Tu perds rien pour attendre, tu vas me le payer petite conne. Il pose ses mains sur ton corps, t'as envie de gerber rien qu'à cette sensation. T'as vraiment peur de ce qu'il va te faire ce type. T'es tétanisée sous ses gestes et préfère te laisser faire plutôt que de crever ici, dans une petite rue merdique de Boston. Sympa la fin de soirée.

@Sloan Bushnell
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Adossé contre le mur d'une maison, Sloan terminait son joint. Le silence régnait en maître dans les rues de Boston. Il était avec un ami d'enfance de passage dans cette ville. Franchement, ça lui faisait un bien fou de renouer avec son passé, même si ces mecs-là n'avaient pas très bonne influence sur lui. Ce n'était pas des fréquentations recommandables mais clairement, il n'en avait rien à foutre. Fumer un joint sur le rebord d'une fenêtre, tranquille, discutant de tout et de rien ils ne faisaient rien de mal. La capuche de son sweat sur la tête, il ne voulait pas forcément se faire repérer. La drogue était interdite chez les Eliots, il n'avait pas vraiment envie de quitter cette confrérie, son beau-père ne lui pardonnerait jamais une telle trahison. Il était tard et la soirée fut mouvementée, ils avaient bien fumés mais pas bu. En réalité, ces potes du Bronx partaient dans deux jours, il profitait un peu de leur présence avant le retour au calme. Son passé lui manquait tellement, il donnerait n'importe quoi pour remonter le temps et revenir quelques années en arrière. Où il avait encore sa mère, où il vivait à New York avec sa famille et où il pouvait être réellement lui même. « Vas-y moi je rentre. » dit-il d'une voix rogue. Il se racla la gorge pour s'éclaircir un peu la voix. Sa trachée était toute sèche à cause de la weed, il avait soif mais boira chez lui, la flemme de bouger. « J'te ramène ? » lui demanda alors son pote. C'était l'hôpital qui se foutait de la charité. Son pote était encore plus défoncé que lui et il se proposait de prendre le volant pour le raccompagner à son appartement. Cela n'avait juste aucun sens. L'Eliot rigola faiblement avant de lever les yeux au ciel. « Nan, un peu d'air me fera le plus grand bien ! » lâcha-t-il en essayant de se persuader de sa connerie. Il se décolla du mur avant de tirer une dernière fois sur son joint pour le terminer. Il inspira profondément dedans pour en extraire un maximum de drogue. Il garda l'épaisse fumée blanche dans ses poumons avant de la recracher délicatement. Le temps semblait fonctionner au ralenti pour lui. Son pote s'avança vers lui et posa sa main sur son épaule. « Ca va aller vieux ? » le questionna-t-il d'un air désespéré. Sloan fronça les sourcils et se tourna vers lui, les deux hommes éclatèrent de rire, ils étaient tellement minables ce soir. « Ouais t'inquiète, au pire j'dors dans le caniveau. » lança-t-il un peu bêtement. Il lui serra la main, lui lança un sourire amicale avant de fourrer ses mains dans ses poches et de se mettre à avancer en direction de son appartement. L'Eliot n'avait pas très loin à aller, le reste de sa soirée était déjà tout tracé. Il allait s'affaler dans le canapé et ne plus bouger jusqu'au lendemain midi. Il ne faisait pas chaud, il mit toute son énergie pour accélérer le pas. Autrement dit, il marchait au ralenti. Prions pour qu'il ne lui arrive rien sur la route. Le jeune homme tourna dans une petite ruelle, c'était censé être un raccourci son truc. A croire qu'il n'avait pas saisi le principe d'un raccourci car il s’apprêtait à prendre un chemin qui le rallongeait d'une bonne dizaine de minutes. Quoiqu'il en soit, il tourna dans cette ruelle et leva la tête, le regard attiré par une situation peu normale. Même lui, dans cet état là, vint se rendre compte que quelque chose clochait. Un mec posé contre une fille, elle même posée contre la voiture. Rhaa franchement, y'en a qui ne se faisaient pas chier et baisaient n'importe où. Un léger sourire apparu sur ses lèvres en les voyant faire. Sloan continuait son chemin. Plus il se rapprochait d'eux et plus cette situation était bizarre. Une fois à leur hauteur, il croisa le regard de la blondinette et plissa les yeux. Elle semblait lui implorer de l'aide. Sans chercher à comprendre quoi que ce soit, l'Eliot s'avança vers eux et lança un « Eh ! » Le mec en question se retourna vers lui. « Qu'est-ce-que t'as toi ? » lui lança-t-il. Et là, comme une illumination, Sloan replaça le contexte dans lequel il était et compris ce qui se déroulait sous ses yeux. Il en aura mit du temps avant de comprendre que cette fille était en train de se faire violer. Le beau brun enleva sa capuche et s'avança vers lui, il lui lança directement une droite. L'adrénaline monta directement en lui, ne laissant aucun doute à la suite des événements. Autant il était défoncé, autant sa bipolarité prit le dessus sur lui et ne lui laissa pas le choix. Une rage sans précédent vint l'envahir et pénétrer chacun de ses membres. L'Eliot n'était plus maître de ses faits et gestes et assistait, impuissant, à sa double personnalité. Le mec se redressa et se jeta sur lui. Les deux hommes en vinrent aux mains et se battaient sans le moindre scrupule. Enragé, Sloan le maîtrisa rapidement et l'explosa au sol. Il lui donna des coups de pied dans les côtes, ne lui laissant même pas le temps de se relever. Se défoulant sur ce pauvre mec incapable de s'attaquer à quelqu'un à sa taille, l'étudiant s'en donnait à coeur joie. Et lorsque ce gars ne bougea plus au sol, l'Eliot s'arrêta de le frapper. Il se tourna vers la blondinette et la regarda sans un mot. Les traits de son visages étaient froids et tirés. « T'as rien ? » lui demanda-t-il agressivement. En réalité, il aurait voulu lui demander si elle allait bien, si il n'avait pas été trop loin mais il en tait incapable. Son énervement était tel qu'il ne pouvait pas se canaliser pour paraître normal. Il fit un pas dans sa direction, franchement dans la pénombre, il faisait flipper. Il sentait bien que la fille n'était pas plus rassurée face à lui, il venait de faire preuve d'une telle violence. Un bruit sourd se fit entendre, Sloan se retourna et vit le mec partir en courant. « Barres-toi sale fils de pute ! J'te recroise j'te fume ! » hurla-t-il à l'attention du mec, de ce lâche. L'Eliot se retourna vers la fille et passa ses mains dans ses cheveux. « Allez Sloan, calme toi ! » grogna-t-il, d'un air hyper mauvais. Il fit quelques pas avant de taper de toutes ses forces dans la première fenêtre venue. La vitre s'explosa en mile morceaux.
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Il aura suffit de quelques minutes pour que la situation t'échappe complétement. Quelques petites minutes où tu pensais pouvoir échapper à ce type louche qui venait de t'accoster, t'insultant gratuitement. Quelques petites minutes où la seule chose à laquelle tu pouvais penser c'était de marcher plus vite, rejoindre ta voiture et déguerpir. Il faut croire qu'il en avait décidé autrement puisqu'en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, tu te trouves bloquée contre ta portière. Totalement à sa merci. Tu réfléchis pas vraiment et tu lui craches à la figure. Très mauvaise idée puisque sa réaction ne fait pas attendre et qu'il te colle une baffe qui a le don de te refroidir direct et de laisser couler quelques larmes sur tes joues. Te voilà maintenant tétanisée par la peur, ne sachant plus quoi faire pour lui échapper. T'essayes bien de te débattre mais il a rapidement le dessus sur toi, collant violemment son corps contre le tien et attrapant tes poignets pour t'éviter de bouger. T'as envie de vomir, t'as envie de crever. T'as juste tes beaux yeux bleus pour pleurer et c'est ce que tu fais, silencieusement, alors qu'il se fait un malin plaisir à te chuchoter à l'oreille tout les trucs salaces qu'il te resserve. Les larmes coulent sur tes joues à mesure que ces mains se font plus entreprenantes, qu'elle voyage sur ton corps qu'il s'apprête à souiller. Tu te débats même plus, paralysée par la peur, paralysée par ce qu'il va t'arriver. Tu te laisses faire, tu parles plus, tu ne bouges plus. C'est à peine si tu respires en fait. Tu ne fais que laisser tes larmes couler silencieusement tout en essayant de fixer quelque chose. N'importe quoi tant que ça peut t'aider à oublier ta situation, à oublier ton corps et ce qu'il est sur le point d'en faire. Tu te perds dans le vide, tu penses plus à rien. Tu veux juste que ça se termine, qu'il en finisse. Qu'il fasse ce qu'il a à faire et qu'il te foute la paix. Sauf que tes yeux finissent par croiser un regard. Tu crois presque rêver à ce moment, comme si ton esprit te jouait un tour. Mais t'as envie d'y croire et tu supplies ce regard de tes yeux, tu le supplies de te venir en aide. Maintenant, tout de suite. Le regard devient une voix forte qui fait se retourner ton agresseur qui lâche tes poignets sous la surprise et puis une silhouette qui s'interpose entre vous deux en lui décollant une droite. Bien plus puissante que celle que tu venais de prendre quelques minutes plus tôt. Il en tombe même par terre, c'est pour dire, mais se relève bien vite pour lui sauter dessus. Mauvaise idée. Tes yeux fixent la silhouette qui semble comme posséder par une rage soudaine, qui ne semble presque plus maîtriser ce qu'elle fait. T'es hypnotisée par ce déversement de colère, par toute cette haine qu'il fait passer à travers chaque coup qu'il donne. Hypnotisée et apeurée, parce que s'il est aussi taré que ces yeux semblent l'être, qu'est ce qui te dis qu'il va pas aussi s'attaquer à toi après ? Les coups n'arrêtent pas de pleuvoir jusqu'à tant que le corps de ton agresseur ne bouge plus. Est-il mort ? Tu te figes alors que la silhouette se retourne vers toi. Est-ce que c'est ton tour maintenant ? Tu l'observes et ne vois plus la folie qu'il l'animait dans ses yeux. Tu ne fois plus rien, juste quelque chose de froid. Il résiste tout de même une certaine agressivité dans sa voix alors qu'il s'adresse à toi, te demandant si tu n'as rien avant de s'avancer légèrement vers toi. Tu secoues la tête, incapable de parler alors que ton agresseur part en courant et que la silhouette l'insulte et le menace de recommencer si jamais il recroise son chemin. La colère fait à nouveau son apparition alors qu'il se parle à lui même et qu'il éclate une de tes vitres. Tu sursautes à nouveau avant de te retourner vers lui et de faire un pas en sa direction, pour mieux l'apercevoir. Pour voir enfin les traits que dessinaient sa silhouette. Tu l'observes quelques secondes sans rien rien dire, détaillant de tes yeux chacun de ses traits. L'observant tout en entier. A la fois fascinée et apeurée par tout ce qu'il dégage. Tu captes son regard et finis par te placer face à lui, tes yeux dans les siens. Tu sais pas trop ce que t'es en train de faire mais t'attrapes ses mains dans les tiennes, les serrant doucement. Tout va bien Sloan... que tu chuchotes doucement, ne lâchant pas son regard. Concentres toi sur ma voix, sur mes yeux et essayes de te calmer... Tu te perds au fond de ses yeux, tu te perds dans la folie et la complexité de son regard. T'as vraiment aucune idée de ce que t'es en train de faire mais t’espère vraiment que ça aura l'effet voulu.

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