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JE SUIS LE MÉTRONHOMME.
« Celui qui s'empare de ce truc appelé musique et qui l'aligne sur ce truc appellé temps. Je suis le tic-tac. Je suis le pouls. La moindre seconde de ce moment. »
♪ ♫ ♩
T'entends ce truc qui pulse ? Qui monte, qui grandis en toi, qui t'bouffe ? C'est la musique. Tu la r'ssens cette sensation ? Celle du délicieux coup de poing dans le ventre, à chaque riff de guitare. Cette sensation d'euphorie totale, à chaque solo de batterie. C'est la musique. Qui pulse. Pulse. Pulse moi en moi. Pulse en nous. Elle me transperce. Me transcende. Elle me fait vibrer, m'envoler. T'entends le rythme ? Tu ressens l'tempo ? Ton corps bouge tout seul, mué par une force mystérieuse. Tu as envie de danser. D'accompagner le rythme. De devenir le rythme. Tout ça c'est la musique. Et moi je suis au milieu de tout ça. De cette force qui se déchaîne, et qui nous emporte tous dans une vague de l'incontrôlable. Je contrôle le rythme. Je suis le gardien. Celui qui veille à ce qu'on respecte l'ordre établi. Le bordel a besoin d'organisation pour être harmonieux. J'me sens puissant. Moi, sur la scène. Surplombant la foule déchaînée. Mes doigts contrôlent leurs humeurs. Un simple ralentissement, et tout s'écroule. La musique, s'infiltre dans mes veines. Me parcoure de l'intérieur. Je saute, je hurle dans le micro. Des paroles que j'invente au fur et à mesure. Rythme. Batterie. Basse. Guitare. Clavier. Bordel organisé. Ondes sonores qui me crèvent. Me mettent à nu. Me saignent à blanc. Je me donne à fond. Je balance mes tripes, elles s'envolent en notes. En musique. Je suis bien, je me vide la tête. Tout est meilleur, tout est amplifié avec la musique. Je colore le temps avec ma mélodie imprévisible. Puis je l'aperçois. Et je me désagrège. Je trébuche sur les notes. Je ne suis plus le pilier. Les autres ont perdu le rythme. Mon chanteur a pété un câble et a arraché sa chemise. Mon guitariste va un peu plus vite qu'il ne le devrait. J'essaye de les rattraper. De restructurer tout ça. Mais je ne peux pas. Ses prunelles dorées sont posées sur moi. Et ses mains sur les hanches d'une autre. Une pouffe, ramassé dans un bar sordide. Sans doute. Il l'embrasse, passionnément. Et je le jure, il me regarde. Comme pour me faire plus mal. Et là, je n'ai qu'une envie. C'est de lui reprendre toute la musique. Et de ne lui laisser que le silence. Il ne mérite pas ce don, cette offrande que sont les notes. Il faut que je me ressaisisse. Un énième gémissement à la Ramone de mon chanteur me perce les tympans. Il faut stopper ça. Je me lance dans un solo de basse. J'y met toute mon âme. Tout mon cœur. Je veux qu'il soit mémorable. Qu'Il comprenne qu'il aura beau m'ôter ma fierté, mon amour ou mon bonheur, il ne m'enlèvera jamais la musique. Un silence appréciateur règne sur la foule. C'était le dernier solo. C'était la fin. Puis la foule crée à son tour son propre vacarme, et nous abreuvent d'applaudissements. Je n'ai même pas le cœur à me réjouir. Je commence à ranger les instruments, seul, dos à la foule. J'ai encore l'esprit dans l'Ailleurs. Je me regarde bosser sans réellement y participer. Ce sont juste des gestes mécaniques. C'est toujours moi qui nettoie après les autres. J'ai l'habitude.
Mais être dos à la foule, c'est assez chiant un moment donné. Même si je sais que dos aux autres, je ne le verrais pas. Je ne le croiserais plus. Mais faudra bien que j'y retourne un jour. Faudra bien que je me mêle à la foule. Pitié. J'ai pas envie de revoir ses putains de prunelles dorées, ou je sais très bien que je ne vais pas résister. Que je lui demanderais de me pardonner. De me donner une deuxième chance. Je dirais, retourne avec moi dans la voiture. On suivra la route. Il y a rien de plus beau, rien de plus infini que la Route. Tu t'rappelles ? Tu t'installeras sur la banquette arrière. Je t'écrirais des chansons. Beurk. Si je fais ça un jour, jurez moi de m'euthanasier. La scène est rangé, en attente du prochain groupe. Et moi je n'ai plus rien à faire. Je me tourne vers le bar. J'ai conscience de ne pas réellement passer inaperçu. Mais j'ignore les remarques ou les gens qui m'accostent. Je continue d'avancer. J'ai besoin d'un verre. De deux de même. Adossé sur le bar il y a un mec. Enfin, ils y en a une centaine d'autres. Mais lui se distingue de la foule. Je sais pas si ce sont ses cheveux décolorés et complètement ébouriffés. Ses piercings. Ou encore ses yeux. Qui percent l'obscurité ambiante. J'irais sans doute lui parler, si j'étais quelqu'un d'autre que moi même. Je commande un verre et m'assied sur l'un des rares sièges vides, observant la foule. Puis je le revois. Il ne peut pas feindre la surprise. Il savait foutrement bien que je serais là. Il me lance un sourire et chuchote quelques mots à sa pouffe. Merde. Il s'approche. Panique. Panique. Putain. Son but dans la vie c'est de gâcher la mienne ? Ou est-ce que ça l'amuse simplement ? Voilà pourquoi moi, Isaac, connard notoire et complet désespéré, je me tourne vers monsieur-aux-cheveux-décolorés et lui demande d'un ton implorant :
- Alors oui c'est totalement zarbi, étrange, et je sais que j'ai sans doute l'air d'un psychopathe en puissance. Mais accepterais-tu d'être mon copain pour les cinq prochaine minutes ?
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Kiss kiss, bang bang. You are dead.
La rentrée. Elle arrive bien trop vite. Le Summer Camp est terminé. Finit cette collocation plutôt calée avec ses types inconnus en début d'été et qui s'étaient avéré devenir comme tes meilleurs potes une fois les valisées pliées. Tu regrettes pas d'avoir été bouffé par les moustiques, tu regrettes pas d'avoir reçu le dard d'une abeille dans la nuque et tu regrettes pas d'être tombé dans les orties en déconnant avec ce type là, avec les cheveux bouclés qui cherchait toujours à te faire chier. T'es en un seul morceau, c'est déjà pas mal. Tu t'es préparé mentalement, ses derniers jours, à l'idée de retrouver la solitude et ta chambre d'étudiant ainsi que les cours et les profs qui cherchent à te pousser à bout. Dans l'bon sens. Toujours dans l'bon sens. C'est jamais négatif pour eux, Ô grand dieu, jamais. Ils font toujours tout pour leurs élèves chéris, même si ceux-ci ne répondent pas toujours positivement à leurs encouragements un peu trop " brutes ". Tu t'en fous, au fond, de retrouver ses profs qui te soûlent pas mal à la longue. T'as la chance c'être à Harvard, chance que peu de gens ont. Tu devrais être honoré, t'es pas tellement un raté. Même si tes parents s'entêtent à te faire comprendre le contraire. Pour eux, tu n'es qu'un triste looser qui n'a absolument rien pour lui. C'est sur, t'as rien pour toi hein. Une bonne moyenne, ça compte pas. T'es insupportable c'est vrai, surtout avec eux. Méritent-ils que tu sois sympa avec eux? Bonne question.

L'une de tes dernières soirées avec tes potes du SC, tu décides de la passée dans un bar. Quoi de mieux? De l'alcool, des mecs, des meufs, du bon son. Tout pour être pleinement heureux. T'as décidé de t'habiller assez voyant ce soir, un jeans jaune fluo et un t-shirt banal bleu. Tes potes te charrient, on te voit à dix kilomètres à la ronde. Tant mieux, on te perdra pas au moins. Tes cheveux blonds décolorés font encore une fois sensation. lls se foutent tous de toi, tant pis. Ca te fait rire. Tu t'avances dans le bar alors qu'un groupe passe sur scène. Tu t'arrêtes cinq minutes, les bras croisés sur ta poitrine. T'analyses la moindre note, t'essayes de comprendre les paroles. C'est plutôt pas mal. Tu vas t'installé au bar. Une bouteille de Gin, aller. Tu cherches pas à savoir ce que tes potes d'été veulent boire. Une fois que t'es dans un bar, tu fais gaffe à rien d'autre qu'aux gens qui t'entourent. T'aimes bien observer ses corps, tous collés les uns contre les autres qui ondulent en rythme avec la musique. Les ivrognes en mal d'amour, assis au bar, déjà à moitié bourrés en début de soirée te font rire. Tu finiras surement comme eux, un jour. T'auras vraiment toucher le fond ce jour là.

Tu finis par t'accouder au bar. Tu tapes la causette à une blonde, une idiote sans cervelle qui rit à chaque fois que tu ouvres la bouche. Elle le cache où son cerveau.? Elle a beau être bien foutue, c'est tout ce qu'elle a. Tu cherches du regard quelqu'un de plus intéressant, quitte à passer pour le gros lourd qui a trop de conversation. Tout sera mieux qu'elle. Elle commence à te draguer, à envisager une fin de soirée dans ta chambre. Tu lui as sortit une immense bobard comme quoi tu étais le fils d'un célèbre disquaire, que tu avais de la thune plein les poches et que tu venais tout droit de France. Ton accent français laisse, néanmoins, à désirer. Elle n'y voit que du feu, tant mieux. Elle est idiote. Tu souris. Elle y croit dur comme fer, c'est ça le pire. Tu jubiles. Tu es le meilleur, un mythomane hors pair. T'en es fier. Elle s'excuse et se tire aux toilettes. Surement pour ôter sa petite culotte avant de me la passer discrètement sous le bar dans l'espoir de m'attirer. Ca me fais ni chaud ni froid.

- Alors oui c'est totalement zarbi, étrange, et je sais que j'ai sans doute l'air d'un psychopathe en puissance. Mais accepterais-tu d'être mon copain pour les cinq prochaine minutes ? Tu te retournes aussi tôt. Tu fixes quelques secondes le beau jeune homme en face de toi qui te demandes un service. Tu sens qu'il panique. Son ex est surement dans le coin. Un sourire se dessine sur tes lèvres. Tu lui fais un clin d'oeil. T'as suffisamment bu pour faire n'importe qu'elle connerie qu'on te demanderait de faire. Danser à poil sur le comptoir? Sans problèmes. Tu le regardes, et tu penses à la blonde qui te draguait il y a quelques minutes. Tant pis. Elle verra bien que t'es pas intéressé. « C'est le type là bas? Avec les piercings? Ok, ça marche. Il est pas si beau hein, il est même carrément moche. Pas mon gout. » Voilà que l'ennemi s'approche de toi et du bel inconnu. Tu lui roules tout bonnement une pelle alors que l'autre vous fixe. Tu passes tes bras autour du cou du bel inconnu, te collant contre lui de manière assez sensuelle. T'es bourré. Tu vas pas te laisser prier, il est beau, autant profiter. Tu dévies tes lèvres des siennes avant de glisser à son oreille. « J'm'appelle Trevor mec. Et toi, c'est quoi ton nom? Histoire qu'on fasse plus vrai... » Soirée très intéressante dis donc. Tu vas ramener un beau étalon à la place d'une idiote sans cervelle.
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CAN I MAKE LONGER THE NIGHT ?
« Bonsoir, Personne. »
♪ ♫ ♩
Il me fixe quelques secondes. Bordel, ma fierté est entre ses mains. Puis ses lèvres s'étirent en un délicieux sourire, il me lance un clin d'œil enjôleur. Ça doit l'amuser tout ça. « C'est le type là bas? Avec les piercings? Ok, ça marche. Il est pas si beau hein, il est même carrément moche. Pas mon gout. » Il m'embrasse sans crier gare. Nouant ses bras autour de mon cou, de manière possessive. Je ne m'attendais pas à ce qu'il accepte si facilement. Non. En réalité, je pensais qu'il allait sans doute me rire au nez et tourner les talons. Pour une fois que cette pute de bonne étoile de ne m'a pas lâché. Je ne m'attendais pas non plus à ce qu'il embrasse aussi bien. Nos langues bataillent. Tournoient. Se mêlent. Je me laisse aller. Savourant ces quelques minutes de flottement. Je lui mordille la lèvre inférieur, avant de reprendre possession de sa bouche. Je ne fais même pas attention au regard qu'Il me lance. Je me sépare de ses lèvres à regret pour répondre à sa question, lui chuchotant à l'oreille :
- Isaac.
Je n'avais qu'une envie, retrouver l'endroit que mes lèvres venaient d'abandonner. Mais manque de bol. Il était planté devant nous, un sourire crispé sur le visage, resserrant son étreinte à la taille de sa pouffe. Probablement pour lui vider du peu de vie qu'il lui reste. Du peu de vie que cette sangsue au masculin ne lui a pas encore pris.
- Ah Isaac ! Ça fait un baille hein ?
Ouais un baille. Très exactement 4 semaines. 3 jours. Et 22 heures. Avant ça on était heureux. On était bien. Avant c'est 4 semaines. Ces trois jours et ces 22 heures. On était ensemble. Puis t'as tout cassé. T'as tout brisé. Avec juste quelques mots. Quelques phrases bien tournées. En quelques secondes. Aussi rapide qu'un souffle. C'était terminé. T'en avais assez. Je t'avais juste fait promettre de ne plus venir aux concerts. Mais comme à ton habitude, t'as rompu la promesse. Comme à ton habitude. T'es pas fait pour être ici. La manière dont t'es fagoté le prouve. Ton brushing savamment décoiffé laissant deviner une école chic et cher, même si t'as essayé d'en atténuer les effets avec un bombe de peinture laquée. Tes fringues pseudos-punk, d'une marque griffé. Ou alors tes foutus Docs Martens, qui n'ont rien connu d'autre que les sols marbrés et les routes toutes tracées. Ils laissent vraiment rentrer n'importe qui dans ce bar. Ou plutôt n'importe quoi, pensais-je en regardant le cocker affamé qui lui sert de copine. Sans savoir pourquoi je glisse mes doigts sur la nuque de Trevor. Dessinant le contour de ses mèches folles. Je sens sa chair se hérisser à mon contact. J'éprouve une satisfaction sadique à voir Sa mâchoire se décrocher et ses poings se serrer. Oh merde. Et dire que j'envisageais de supplier ce type de me reprendre. Que j'allais me jeter à ses pieds et l'implorer. Dire que j'étais prêt à aller aussi bas. Pourquoi ? Pour un crétin manipulateur et narcissique. Je suis trop attiré par mes semblables, c'est très mauvais comme penchant. Je continue à caresser la nuque de Trevor, à balader mes doigts entre ses mèches couleur paille, Il regarde ce spectacle passablement enragé. C'est le problème -parmi des centaines d'autre- de ce mec. C'est qu'il ignore la subtilité. Mais ça marche quand même et il tourne les talons rageusement. Coup d'oeil à ma montre. Cinq minutes se sont déjà écoulé. Mais j'en ai pas eu assez. J'ai bien envie de passer un peu plus de temps avec un mec compliqué. Cinq minutes, qui s'étireraient en une nuit. C'est possible non ? Je me tourne vers Trevor et lui sourit.
- Bonne nouvelle, j'accepte les heures sup', Ça te dit d'aller quelque part ?
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Kiss kiss, bang bang. You are dead.
Agir sans penser aux conséquences. Ta spécialité. Agir sans réfléchir, aussi. La vie est bien trop courte pour réfléchir pendant 10ans pour savoir si oui ou non nos actes sont positifs ou négatifs. Après tout, le jeune homme que t'as en face de toi n'est pas désagréable à regarder, pourquoi tu devrais te priver d'une bonne soirée ? Tes lèvres contre les siennes... Une sorte de frisson qui te parcours. Ce contact est agréable. Il est loin d'avoir ce gout de familiarité que lorsque tes lèvres frôlent celles d'une personne connue. Tu ne sais rien de ce jeune mâle contre qui tu te blottis, celui que tu embrasses comme si ça faisait des mois que vous étiez ensembles. La faute à l'alcool. Tu ne sais pas trop ce que tu fais là, tu sais pas non plus pourquoi tu fais ça, mais tu le fais. - Isaac. Un sourire se dessine sur tes lèvres alors que tu te retournes en direction de ce type qui s'approche. Tu le regardes de haut en bas. Rien pour plaire. Absolument pas ton genre d'homme. Tu regardes Isaac, curieux de voir sa réaction alors que son ex ouvre la bouche. Des paroles remplies d'air. C'est toujours comme ça quand un ex s'adresse à nous, la haine qu'on ressent envers lui remplace tout et ses paroles, aussi rassurantes ou autres, soient elles, elles n'ont aucun sens, vides. La main de ton faux amant vient caressé ta nuque. Tu frissonnes violemment. Ca fait bien longtemps qu'on ne t'a pas toucher de cette façon. De la douceur signe d'amour. Bentley a été la seule personne à te caresser de cette façon. Les autres, aucun sentiment. Des mains nues, sans amour. Tu cherches du réconfort, blottit contre ce bel inconnu. A croire que te mettrais presque à ce mensonge plus gros qu'une maison. Il n'y a pourtant absolument rien entre vous. Il s'en va, vous laisse tous les deux. Tu ne bouges pas, tu restes là, contre lui. Une sorte de chaleur t'envahit. Une sorte de bien être. C'est tellement rare.

Il regarde sa montre. Il veut déjà se barrer? Bah... Qu'il le fasse. Ta gorge se serre légèrement alors que tes bras retombent le long de ton corps. Finit les papouilles de faux couple, retour à la dure réalité et au célibat. La blonde est surement revenue des toilettes. Tu le regardes, tu l'interroges du regard. Tu ne cherches pas à le supplier. Si il veut continuer ce petit jeu fort intéressant, tu n'es absolument pas contre. Si il veut que tu partes, alors tu partiras. Tu n'es qu'un objet, une façon comme une autre de faire fuir les parasites. - Bonne nouvelle, j'accepte les heures sup', Ça te dit d'aller quelque part ? Tu ne parviens pas à cacher ta joie, tes lèvres s'étendent en un large sourire alors que tu lui fais un clin d'oeil. Pourquoi tu refuserais? Il est beau, il semble bien vouloir de ta compagnie et tu n'as rien de mieux à faire qu'à jouer l'amant transit d'amour. Jouer, encore et toujours. La réalité te rattrape toujours. Tu n'es pas amoureux. Tu fais juste semblant. Tu le sais. Tu passes une main dans tes cheveux. « Si tu m'payes à boire, j'veux bien te suivre. Et puis même, j'suis un fou, j'te suis. » Tu ris légèrement alors que la blonde avec qui tu étais, pose sa main sur ton épaule. Tu te retournes, tu lui sors que tu dois partir pour une urgence, elle ne cherche pas à en savoir plus et décide d'aller voir ailleurs. Le pauvre homme qui va se la coltinée après toi va comprendre sa douleur en restant avec elle. Tu ris à nouveau.

« C'était ton ex? » Question idiote. Bien sûr que c'était son ex. Tu veux juste en savoir plus. La curiosité, juste ça. Tu t'avances dans la boite, tu te colles à ses corps ondulants en rythme, dans l'espoir d'atteindre la sortie. Tu revois ce type, celui qui s'était approché de toi et Isaac. L'idée que ton beau Roméo d'un soir ai eu une relation avec lui te scotche. Il est trop beau pour sortir avec un truc comme ça. Pas possible. M'enfin, le coeur a ses raisons que la raison ignore. On ne choisit pas qui aimer. T'as pas choisi d'aimer Bentley, mais tu l'as aimé. De tout ton être. Et aujourd'hui encore, il te le fait regretter. T'étais pas assez bien pour un type comme lui. Il t'a largué, il a bien fait. Bien fait pour ta gueule. Toi le menteur, l'infidèle qui pourtant crevé d'amour pour lui s'est retrouvé complètement seul après avoir été habitué à être toujours entouré. « Celle avec lui.. C'était sa meuf? » Tout un tas de questions. Tu peux pas garder ta langue dans ta poche, non. Il a surement pas besoin d'en parler, surtout pas à un inconnu comme toi. « Sinon, t'embrasses plutôt bien. » Tu souris dans l'espoir de lui faire oublier cet idiot. Après tout, il allait pas passer la soirée avec lui, mais avec toi.
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CAN I MAKE LONGER THE NIGHT ?
♪ ♫ ♩
- Bonne nouvelle, j'accepte les heures sup', Ça te dit d'aller quelque part ?
Ses lèvres s'étirent en un sourire. Je suppose que je dois prendre ça pour un oui ?
- C'était ton ex?
Je comprends son incompréhension. Moi non plus je sais pas trop pourquoi j'ai fréquenté ''Ça''. Il a sans doute verser du LSD dans mon verre. Ou de la magie vaudou. J'en sais rien. Ce mec est flippant
- Comprends moi. Il avait de belles fesses.
Oui, c'est sans doute le seule explication plausible. J'devais être vraiment désespéré.
- Celle avec lui.. C'était sa meuf?
- J'en sais rien. Peut-être. J'veux dire. Elle est pas moche. C'est juste qu'elle fait pas humaine.
- Sinon t'embrasse plutôt bien.
- J'te retourne le compliment.
J'ai l'impression que lui non plus n'est pas bien. J'ai l'impression que lui aussi traîne un boulet derrière lui. Moi aussi j'ai envie de le bombarder de questions. J'ai envie de le connaître. J'suppose que je l'aime bien. Les corps ondulants se serrent, se pressent autour de nous. Le groupe qui passe est plutôt pas mal. J'aurais aimé rester, si je n'avais pas eu la totale non-envie de Le revoir m'accoster. A la porte je dis au revoir au batteur du groupe et je me retrouve dehors, Trevor sur les talons. Le trottoir est bondé de fumeurs qui prennent la pose en secouant leurs cendres. Quelques personnes qui me connaissent vaguement me lancent un signe de tête. Je cherche mes clés à tatons. Il ne m'attendra pas à l'intérieur de la voiture. Il ne m'attendra plus nulle part. J'ai beau avoir terriblement envie de le frapper et me demander pourquoi je suis sorti avec ce type, il me manque un peu. Je suis pathétique. Nous sommes arrivés à ma bagnole.
- Je te présente Lucenda !
Et oui, je suis le genre de mec à donner un nom à sa voiture. Je sais pas pourquoi, mais je l'aime beaucoup Lucenda. Même si il n'y a pas de quoi être fière d'elle. Sa peinture jaune criarde s'écaille et elle semble proclamé ''Regardez moi, j'étais sous LSD quand je l'ai acheté !''. Ce qui est sans doute la vérité. Mais je l'aime moi. Ce tas de boue. Je l'invite à monter. Ma voiture elle sent les vieux livres et la fumée. Elle sent le Vrai. Lucenda elle me plaît plus que toutes les Mercedes du monde. Je met la clé dans le contact et... Et rien du tout. Pas de bruissement de moteur. Rien. Je retente. Encore et encore. Je n'aurais jamais cru que Lucenda aurait pu me trahir comme ça. Moi qui pourtant l'ai toujours aimée, respectée. Qui l'ait toujours défendu quand on la traitait d'épave. Je pensais que cette pute serait reconnaissante. Mais non. Voilà qu'elle me lâche. Elle reste muette, j'ai beau tournée la clé encore et encore. Je n'ai jamais été aussi mal de toute ma vie. Même ma putain de bagnole a décidé de m'abandonner.
J'aimerais pouvoir céder la colère. Taper du poing sur le capot et tout bonnement péter un câble. Mais je ne peux pas. Tout d'abord il y a un témoin. Et en plus ce témoin est quelqu'un de plutôt mignon. Puis je suppose qu'un seul coup trop violent sur cette caisse la ferait complètement tomber en poussière. Dire que je commençais à croire en ma foutue bonne étoile. Trouver une idée, vite vite.
- Taxi ? Il paraît qu'il y a un concert dans un bar à côté, ça te dis ? C'est un peu de la merde, mais la chanteuse à pour habitude de montrer ses seins à chaque fin de chanson.
Plutôt s'arracher les ongles un à un.
- Ou une partouze avec E.T ça te dis ?
C'est dingue. Même la perspective d'un concert de country pourri me paraît une bonne idée avec lui.
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Kiss kiss, bang bang. You are dead.
La soirée te plait bien. La solitude n'est plus au rendez-vous, c'est un bon point. Tu peux en profiter pour penser à autre chose, pour faire autre chose. Les cours seront bientôt là, tu ne pourras plus penser à toi, à ton bien être et à tes envies de sorties. Tu ne pourras plus sortir le soir sans penser au lendemain où il faudra que tes yeux s'ouvrent difficilement très tôt l'matin. Finit les jeunes filles en fleur dans tes draps, finit les beaux mecs bien virils qui s'amusent avec toi. Oubliés ses petits moments, simples, mais impossibles en période scolaire. Tu sortiras toujours, le vendredi et le samedi. Tu te foutras des caisses monstrueuses pour arriver en mode zombie en cours. Peu importe. Tu es jeune, les études ont beau être importantes, elles sont secondaires pour toi. Tu n'as qu'une jeunesse. Les cours ça peut toujours attendre. Si tu te loupes, tu peux reprendre dès le début. Les fêtes et tout ça, faudra que t'y mettes fin un jour, t'auras plus l'âge pour sortir jusqu'à pas d'heure et coucher à droite à gauche avec des inconnus. Tu seras trop vieux pour y accorder une telle importance. Tu préfères en profiter quand tu le peux encore, tant que tu gardes un poil de charme plutôt que d'être horriblement laid avec des cernes montres sous les yeux, des poches dues à la fatigue du boulot. Tu n'as pas encore ce bide qui s'affirme un peu plus avec le temps. T'as d'la chance, au fond. Tu es plutôt bien foutu, même si tu passes ton temps à bouffer. - Je te présente Lucenda ! Tu ris légèrement en voyant la bagnole de ton ami. A vrai dire, c'est pas le genre de caisse que tu apprécies, mais tu avoues qu'elle a une certaine classe et puis... Quel prénom ! Une vraie bombe. Elle doit avoir un succès fou. Tout comme lui. Tu t'installes côté passager, sans faire gaffe à ce qu'il y a par terre, derrière etc. Tu t'installes et tu te contentes de jeter un coup d'oeil à la route puis à Isaac qui s'installe. Tu le vois galéré. Sa chère Lucenda ne souhaite visiblement pas démarrer, tu ris. Tant mieux, tu peux passer plus de temps avec lui. Qui sait? Tu le ramèneras peut-être chez toi ce soir. Non, c'est même sur. Tu ne le laisseras pas filer entre tes mains de cette façon. Tu vas t'accrocher même si tu ne penses pas que ça mène à quelque chose. Une soirée, une nuit, une matinée et peut-être plus si le courant passe vraiment bien. - Taxi ? Il paraît qu'il y a un concert dans un bar à côté, ça te dis ? C'est un peu de la merde, mais la chanteuse à pour habitude de montrer ses seins à chaque fin de chanson. Tu ris à nouveau. L'idée de voir des seins n'est pas franchement quelque chose qui t'emballe, tu t'en fous à la limite. Tu veux juste passer du temps avec lui plutôt que de rejoindre Solitude, assise sur ton lit, prête à t'enlacer alors que la nuit commence à s'échappée pour laisser place au jour. « Soyons fous. Tant qu'à y être. On s'bouchera les oreilles si c'est si nul. Ou alors on se soule et on trouve ça cool. » Tu sors de la voiture en riant avant de te poser contre la voiture, le regard posé sur Isaac. Tu sais pas pourquoi tu fais tout ça mais au fond tu t'en fous, tu regretteras surement pas d'être passé dans le lit d'un si bel homme. Tu pourras même t'en venter, après tout. Prendre ton pied, prendre du bon temps. T'as le droit toi aussi. - Ou une partouze avec E.T ça te dis ? Tu exploses de rire. Ce type est fou. Il en a pas l'air comme ça mais il est plutôt drôle. E.T? Trop moche pour toi. Et puis non... Tu partages pas, jamais. « J'préférerais encore me taper Mario et Luigi en même temps t'vois. Et puis jpartage pas mes conquêtes. » Un clin d'oeil. « Sinon, j'ai ma bagnole tu sais? Elle a pas d'prénom mais elle au moins, elle avance. » Et bim, grand sourire.
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