Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHardilia || Le contraire de l’amour n’est pas la haine ; c’est l’indifférence.
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Hardilia || Le contraire de l’amour n’est pas la haine ; c’est l’indifférence.

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Le contraire de l’amour n’est pas la haine ; c’est l’indifférence.
feat. Hardin
 La tempête a fort heureusement pas touché le bar dans lequel je travaille, le drink. Et j'ai beau avoir extrêmement mal aux côtes, je ne prendrai pas de congé, j'ai besoin de ce travail. Enfin, besoin, pour moi, pour mon bien être, financièrement quand on connait mon nom de famille, on sait de suite que je n'en ai pas besoin mais travailler me permet de rester qui je suis, de garder les pieds sur terre. Alors comme d'habitude, j'arrive dans le bar, souriante en dépit de la douleur et je passe derrière le bar pour faire les cocktails, comme tous les samedi, il y aura du monde, ça sera une longue soirée. Mon patron m'adresse un sourire en passant du bar à son bureau et les verres s'enchainent sans trop de problème. Boston a reprit sa vie. Elle a été touché par la tempête, certaines habitations sont dégradées, des commerces fermés, mais show must go on comme on dit, les gens ont repris leur quotidien et moi tout autant. Même si les choses ont quand même changés : maintenant, dans ma sororité, des gens de d'autres maisons vivent comme mon copain qui a vu une partie de sa vie partir en fumée dans les flammes quand la WH a pris feu. Tout le monde s'en remettra de ça, mais les choses seront vraiment normal quand les maisons détruites seront reconstruites quand le Tpaintbar réouvrira ses portes. Là tout redeviendra normal. M'bref, il doit être 22 heure à peut près et je m'active derrière ce bar qui est pour moi un endroit connu par coeur. Il y a du monde et comme d'habitude, il y a un lourdeau qui vient. Un long soupire en l'entendant me parler alors que clairement tous mes gestes montrent que j'ai pas le temps ni l'envie, mais non, monsieur s'accoude au bar et me sors des phrases de beauf. Mon dieu, j'ai hâte que la journée se termine. Si seulement quelqu'un pouvait venir lui dire de se la fermer, ça serait tellement chouette.


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LE CONTRAIRE DE L’AMOUR N’EST PAS LA HAINE ; C’EST L’INDIFFÉRENCE.
— with @Emilia S. de Bourbon

Ma journée a vraiment été compliquée, j'ai enfin pris la tête de l'entreprise sans être materné par mon oncle qui rêvait d'être à ma place. D'ailleurs c'est très certainement ce qu'il a cru quand mon père est devenu incapable de s'en occuper, il ne pensait pas que je reviendrais d'Omaha, jamais il aurait pensé que mon grand-père qui est son père, m'autoriserait à prendre les rênes avec le peut d'expérience que j'ai. Mais il s'est bien trompé, parce que je suis l'héritier et lui passe en second plan. C'est assez drôle comme situation, donner des ordres à l'oncle que je n'ai jamais vraiment pu voir en peinture risque de m'éclater. Ce soir j'ai décidé d'aller fêter ça en me dirigeant au seul bar que la tempête à laisser intacte, j'arrive seul parce que comme à mon habitude je compte bien en partir avec une femme. Je regarde autour de moi essayant de trouver le bar enfoui par tous ces gens et m'en approche une fois en vue. Je pose mon regard sur la serveuse pour observer ses courbes qui même a travers les vêtements me rappelle ceux de mon amour nocif. Pour en être sur j'arrête de regarder son cul et pose mon regard sur son visage et là pas de doute, il s'agit bien d'Émila. Mon coeur s'emballe sans que je comprenne pourquoi et j'avoue que ça me fais vraiment chier qu'il se mette dans cet état. Je pensais que c'était derrière moi tout ça, d'ailleurs quand je remarque le mec au bar qui a l'aire de la draguer, je sens comme une vague de jalousie en moi alors qu'il n'y a plus lieu d'être. Je souffle un coup et m'approche de l'abruti en question. "Si tu continues à draguer ma nana comme ça, je te fais bouffer ton verre par le cul." J'ai le regard noir, prêt à bondir comme un lion sur une gazelle.

© SEAWOLF.
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