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you're my sister and family's always there for each other (oswald)

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— with oswald sisters.

L’annonce de la tumeur de Charlie la prenait comme un coup de poing dans la figure. Jamais n’avait-elle cru pouvoir perdre la personne avec qui elle s’était liée d’amitié si vite, quelqu’un qui la comprenait si bien et avec qui il y avait une telle complicité. Et maintenant, on lui disait qu’elle pouvait peut-être partir? Mourir? Feryel ferait quoi après? Hier soir, son monde s’était petit à petit désintégrée quand Charlie lui annonça pour sa malade. Feryel n’avait rien vu venir, se préoccupant « blatently » de ses propres affaires, ne faisait pas attention au signe. Elle avait bien vu que Charlie était plus fatiguée, plus pale, mais Feryel avait mis cela sur le coup des études et de ses heures à l’hôpital, pas a une possible maladie qui pourrait l’arracher a un moment inattendu. La présidente Quincy avait carrément viré l’intrus chez elle pour la nuit, ayant eu besoin de la passer avec sa meilleure amie. Aujourd’hui, Feryel allait voir sa soeur, qu’elle n’avait pas vu depuis quelques temps. Bien que la jeune afghane était habituée a ne plus trop avoir sa soeur autour d’elle, pouvoir lui parler lui faisait du bien. Elle l’avait de ce fait invité pour manger avec elle sur son heure de midi. Feryel avait besoin de conseil. Trop de choses se passaient dans sa vie en ce moment, qu’elle ne savait plus du tout où mettre la tête. Entre son rencard avec Cole, l’incendie des maisons, le relogement des eliots et lowell au sein de sa confrérie, ainsi que la colocation avec Cole, et maintenant le cancer de Charlie, elle avait besoin de conseil, de pouvoir parler avec quelqu’un ouvertement de ses problèmes, et pour cela, il n’y avait que sa soeur. Elle avait donné rendez-vous à cette dernière dans un petit café non loin du campus. Il n’y avait pas beaucoup d’étudiants qui s’y rendaient, et elle savait donc qu’elle pourrait être tranquille avec sa soeur. Feryel s’assit à une table près de la fenêtre, attendant l’arrivée de sa soeur.

© LOYALS.
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Romy & feryel

Je marche d'un pas sûr, les écouteurs dans les oreilles. Je dois me dépêcher car je vais être en retard et c'est pas vraiment le moment pour moi de faire un pas de travers. Je dis pas que Feryel va me fouetter si elle m'attend deux minutes de trop, mais j'ai vraiment pas envie de donner à qui que ce soit une nouvelle raison de m'en vouloir ou de me faire ne fut-ce qu'une petite remarque. Fatiguée de toujours être la méchante de l'histoire, j'essaye de faire des efforts. De me comporter comme une adulte auprès de mes proches. C'est pas tellement pour leurs beaux yeux que je le fais, mais plutôt pour préserver la paix. Ils savent très bien au fond d'eux que j'ai pas changé, que je ne compte pas changer. Ils me connaissent alors ils se contentent de vivre l'instant présent, de profiter de ma présence, jusqu'au jour où je disparaîtrais à nouveau. Je sais pas encore si Feryel l'a compris, ça. Je suppose qu'elle aussi est fatiguée de m'en vouloir. Qu'elle a eu peur que je meure cet été et qu'elle s'est décidée à me pardonner pour que nous puissions reprendre une vie normale et une relation de soeurs normale. Sa proposition de brunch m'a donc fait plaisir car c'était à mes yeux comme cela que nous allions repartir sur de bonnes bases. J'esquisce un sourire alors que je la vois à la fenêtre du café où elle m'avait donné rendez-vous. Je reste deux secondes à l'observer réfléchir, jusqu'à ce que son regard croise le mien et que je lui fasse un petit geste de la main, avant de venir pousser la porte du café pour y entrer. Je longe les tables et me laisse tomber sur la chaise en face d'elle en lâchant un soupire. « Quel temps ! » je lâche en faisant référence au climat qui ne cessait de faire des siennes ces derniers temps. Des tempêtes, des orages, puis des incendies à Harvard. On aura presque tout vu. « Ca va, je t'ai pas trop fait attendre ? » je lui demande avant de prendre la carte pour y jeter un coup d'oeil. Je meurs de faim. Et de soif.

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CODES © LITTLE WOLF.
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— with oswald sisters.

La relation entre Feryel et sa soeur, Romy était très conflictuelle. Elles s’aimaient et étaient proches, et pourtant elles vivaient totalement à l’opposée. Une était posée, réfléchie, alors que l’autre ne rêvait que de s’échapper et de prendre son envol. La jeune présidente en voulait toujours à sa soeur ce qu’elle lui avait fait enduré l’année passée, mais au final, elle ne pouvait pas lui en vouloir éternellement. De plus, avec l’incident au Summer Camp où la jeune blonde avait presque vu sa soeur mourir, elle se disait que la vie était bien trop courte pour être rancunière. C’est pour cela que Feryel avait proposé à Romy de se rejoindre dans un petit restaurant pas loin du campus. Elle avait du temps libre devant elle, et vu qu’elle s’était déjà bien avancée dans ses devoirs, elle pouvait prendre quelques heures pour les passer avec sa famille. Avec l’annonce d’hier, Feryel se rendait compte que la vie était bien trop courte. Elle avait cru qu’après avoir échappé à la mort en quittant l’Afghanistan, mais celle-ci lui courait encore derrière, lui arrachant peu à peu les personnes qu’elle aime. Il fallait absolument que Feryel mette de côté sa fierté, afin de passer plus de temps avec sa soeur. Elle attendait patiemment à cette table, en regardant les piétonniers passer sous ses yeux, se demandant bien ce qu’ils pourraient faire, quel était leur but. C’est là qu’elle la vit, sa soeur, franchir le pas de la porte en s’approchant de la jeune blonde. Un sourire illumina son visage, soulagée qu’elle soit venue. « Non non, t’en fais pas. Je venais aussi à peine d’arriver. » Ce n’était pas un mensonge, vu qu’elle n’attendait que depuis quelques minutes. « Comment vas-tu? »

© LOYALS.
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Romy & feryel

J'ai jamais osé l'admettre et encore aujourd'hui je n'y arrive pas complètement. Mais l'avis de ma soeur est certainement celui qui compte le plus à mes yeux. Elle ne s'en rend certainement pas compte, mais tout ce que j'ai toujours souhaité, c'était de représenter quelque chose à ses yeux. Dès notre première rencontre, Feryel a signifié le monde pour moi, tout ce que je n'avais encore jamais eu. Une soeur, une famille, une amie. Quelqu'un qui sera toujours là pour moi, qui me pardonnera quelles que soient mes erreurs. Alors si j'ai pas toujours été facile avec elle, j'espère qu'un jour elle comprendra que j'ai fait ça par amour. Drôle de façon de montrer mon amour, mais c'était ma façon d'attirer son attention, de lui donner l'occasion de jouer le rôle que je voulais qu'elle joue. Le rôle de la personne qui devait prendre soin de moi, vouloir le meilleur pour moi. Rôle qu'elle a toujours joué avec brio. Je lui souris de soulagement alors qu'elle me dit qu'elle me dit qu'elle ne m'avait pas attendue. Tant mieux car je m'en serais voulue et je suis clairement pas d'humeur pour ressentir de la culpabilité. « Ca va. » je dis. Ma voix reste en suspens quelques secondes. Puis je finis par lui retourner la question. « Et toi ? » je demande, sourire aux lèvres. Depuis qu'elle est devenue présidence de confrérie à Harvard, Feryel peine à trouver du temps à consacrer à ses propres passe-temps, à sa vie privée, voire même à moi-même. Je la comprends et à la fois pas tellement. Je comprends qu'elle soit débordée, mais je comprends moins son intérêt pour ces histoires de confréries, de boîtes en cartons dans lesquelles les gens aiment se mettre. Bref, je vais pas argumenter sur la question car on connait déjà bien mon avis. Je finis par relever les yeux de ma carte pour les plonger dans ceux de la blonde. « Faut que je te parle d'un truc. » je finis par dire. Car je peux pas attendre plus longtemps. Car je sais que j'aurais du lui en parler depuis des semaines, des mois, mais que je l'ai pas fait. Car je sais que si j'en parle pas maintenant, je vais finir par oublier, et lorsqu'elle l'apprendra de la bouche d'un autre, elle m'en voudra. Mieux vaut prévenir que guérir.

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CODES © LITTLE WOLF.
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