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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
Bon, évidemment, je ne m'attendais pas à ce qu'il arrive tout sourire avec la bonne humeur, vu comment je le traite. Mais quand il se met à me gueuler dessus, je suis choqué. Je ne comprends pas. C'est le monde à l'envers, là. Et qu'il me crie dessus me fout davantage en rage, parce que moi, je ne lui crie pas dessus, du moins, pas comme ça. J'abuse peut-être un peu en voulant lui faire payer ce qu'il m'a fait, mais lui qui me gueule dessus, je trouve ça hallucinant. Surtout que je ne lui avais pas gueulé dessus.. Pas encore. Mais ça ne tarde pas. Je lui lance un regard tellement froid, glacial, et tellement colérique en même temps. « Non mais tu t'fous d'ma gueule là ? Je rêve ! Tu t'permets de m'engueuler, t'es vraiment sérieux ? J'me comporte comme je veux, j'mets la musique si j'en ai envie, et j'gueule si j'en ai envie bordel de merde ! Tu peux t'en prendre qu'à toi même si t'as mal au crâne. » S'il voulait me voir hors de moi, il était complètement sur la bonne voie. Je retourne à ma tâche mais en entendant son ordre, je lâche tout dans un bruit fracassant et me tourne vers lui. « Me donne pas d'ordre. J'suis pas ton chien. » Je lui crache à la figure sans ménagement.
Honnêtement, je ne sais pas tellement comment je me sens. D'un côté je suis tellement en rogne que tous mes membres tremblent. J'ai un peu de mal à respirer, et je sens que si je ne vais pas prendre une pause, je vais tout éclater. Mais d'un autre, je suis blessé. Je n'aime pas le fait qu'il m'ait menti, et encore moins qu'il l'ait fait en face de moi cette nuit. Il était bourré, mais ce n'était pas une raison. Il sait que je déteste les mensonges. C'est le pire truc qui m'insupporte. En soupirant, je passe mes mains sur mon visage, et je sors du micro ondes une assiette pleine de crêpes que j'ai préparé quand je me suis levé. Je la pose en face de lui sur la table, pour ne pas qu'il mange n'importe quoi. « J'ai fait des crêpes et du café, si jamais. Dis pas merci. Et continue d'me gueuler d'ssus. » J'use et abuse de mon ton froid et cassant, et puis je sors sans rien ajouter.
Je prends une cigarette de mon paquet et vais à la fenêtre pour fumer. J'avais pas envie de sortir, même si je suis habillé, peut-être que c'est aussi parce que je n'ai aucune envie de le laisser dans cet état. Même si je lui lance des couteaux et des piques, je ne veux pas qu'il fasse n'importe quoi, qu'il bouffe n'importe quoi à s'en rendre malade. Et puis même, je ne veux pas le laisser seul alors qu'on est dans cette situation. Je tire rageusement sur mon bâton de nicotine, tant qu'il me brûle les doigts, mais je m'en cale un peu. Je me ronge même les ongles, chose que je fais uniquement quand je suis super stressé, que je panique, que je ne sais pas quoi faire. C'est horrible comme situation. Et j'ai vraiment hâte que tout cela s'arrête. Je suis si en colère que j'en verse une larme silencieuse que je prends soin d'effacer très rapidement, et je souffle pour ne plus avoir envie de me vider de toutes les larmes de mon corps. Puis j'écrase ma cigarette.
Honnêtement, je ne sais pas tellement comment je me sens. D'un côté je suis tellement en rogne que tous mes membres tremblent. J'ai un peu de mal à respirer, et je sens que si je ne vais pas prendre une pause, je vais tout éclater. Mais d'un autre, je suis blessé. Je n'aime pas le fait qu'il m'ait menti, et encore moins qu'il l'ait fait en face de moi cette nuit. Il était bourré, mais ce n'était pas une raison. Il sait que je déteste les mensonges. C'est le pire truc qui m'insupporte. En soupirant, je passe mes mains sur mon visage, et je sors du micro ondes une assiette pleine de crêpes que j'ai préparé quand je me suis levé. Je la pose en face de lui sur la table, pour ne pas qu'il mange n'importe quoi. « J'ai fait des crêpes et du café, si jamais. Dis pas merci. Et continue d'me gueuler d'ssus. » J'use et abuse de mon ton froid et cassant, et puis je sors sans rien ajouter.
Je prends une cigarette de mon paquet et vais à la fenêtre pour fumer. J'avais pas envie de sortir, même si je suis habillé, peut-être que c'est aussi parce que je n'ai aucune envie de le laisser dans cet état. Même si je lui lance des couteaux et des piques, je ne veux pas qu'il fasse n'importe quoi, qu'il bouffe n'importe quoi à s'en rendre malade. Et puis même, je ne veux pas le laisser seul alors qu'on est dans cette situation. Je tire rageusement sur mon bâton de nicotine, tant qu'il me brûle les doigts, mais je m'en cale un peu. Je me ronge même les ongles, chose que je fais uniquement quand je suis super stressé, que je panique, que je ne sais pas quoi faire. C'est horrible comme situation. Et j'ai vraiment hâte que tout cela s'arrête. Je suis si en colère que j'en verse une larme silencieuse que je prends soin d'effacer très rapidement, et je souffle pour ne plus avoir envie de me vider de toutes les larmes de mon corps. Puis j'écrase ma cigarette.
zelda
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