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are you fucking kidding me ? (jaley #5 ♥)

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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
Bon, évidemment, je ne m'attendais pas à ce qu'il arrive tout sourire avec la bonne humeur, vu comment je le traite. Mais quand il se met à me gueuler dessus, je suis choqué. Je ne comprends pas. C'est le monde à l'envers, là. Et qu'il me crie dessus me fout davantage en rage, parce que moi, je ne lui crie pas dessus, du moins, pas comme ça. J'abuse peut-être un peu en voulant lui faire payer ce qu'il m'a fait, mais lui qui me gueule dessus, je trouve ça hallucinant. Surtout que je ne lui avais pas gueulé dessus.. Pas encore. Mais ça ne tarde pas. Je lui lance un regard tellement froid, glacial, et tellement colérique en même temps. « Non mais tu t'fous d'ma gueule là ? Je rêve ! Tu t'permets de m'engueuler, t'es vraiment sérieux ? J'me comporte comme je veux, j'mets la musique si j'en ai envie, et j'gueule si j'en ai envie bordel de merde ! Tu peux t'en prendre qu'à toi même si t'as mal au crâne. » S'il voulait me voir hors de moi, il était complètement sur la bonne voie. Je retourne à ma tâche mais en entendant son ordre, je lâche tout dans un bruit fracassant et me tourne vers lui. « Me donne pas d'ordre. J'suis pas ton chien. » Je lui crache à la figure sans ménagement.

Honnêtement, je ne sais pas tellement comment je me sens. D'un côté je suis tellement en rogne que tous mes membres tremblent. J'ai un peu de mal à respirer, et je sens que si je ne vais pas prendre une pause, je vais tout éclater. Mais d'un autre, je suis blessé. Je n'aime pas le fait qu'il m'ait menti, et encore moins qu'il l'ait fait en face de moi cette nuit. Il était bourré, mais ce n'était pas une raison. Il sait que je déteste les mensonges. C'est le pire truc qui m'insupporte. En soupirant, je passe mes mains sur mon visage, et je sors du micro ondes une assiette pleine de crêpes que j'ai préparé quand je me suis levé. Je la pose en face de lui sur la table, pour ne pas qu'il mange n'importe quoi. « J'ai fait des crêpes et du café, si jamais. Dis pas merci. Et continue d'me gueuler d'ssus. » J'use et abuse de mon ton froid et cassant, et puis je sors sans rien ajouter.

Je prends une cigarette de mon paquet et vais à la fenêtre pour fumer. J'avais pas envie de sortir, même si je suis habillé, peut-être que c'est aussi parce que je n'ai aucune envie de le laisser dans cet état. Même si je lui lance des couteaux et des piques, je ne veux pas qu'il fasse n'importe quoi, qu'il bouffe n'importe quoi à s'en rendre malade. Et puis même, je ne veux pas le laisser seul alors qu'on est dans cette situation. Je tire rageusement sur mon bâton de nicotine, tant qu'il me brûle les doigts, mais je m'en cale un peu. Je me ronge même les ongles, chose que je fais uniquement quand je suis super stressé, que je panique, que je ne sais pas quoi faire. C'est horrible comme situation. Et j'ai vraiment hâte que tout cela s'arrête. Je suis si en colère que j'en verse une larme silencieuse que je prends soin d'effacer très rapidement, et je souffle pour ne plus avoir envie de me vider de toutes les larmes de mon corps. Puis j'écrase ma cigarette.
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Je suis bourré.







Jaley.
J’hallucine. C’est la meilleure que je puisse entendre. Je ne le regarde même pas, ces paroles sont idiotes. Depuis quand je lui donne des ordres ? Je fronce les sourcils lorsqu’il devient tendre, pire qu’une lunatique, pire que moi. Il croit réellement que je vais manger ? Aucunement, je n’en ai pas envie. Je le fusille du regard quand il vint à disparaître de mon champ de vision. Je n’ai peut-être pas été correct avec lui, mais je ne pense pas lui avoir manqué une seule fois de respect. Je me lève. Je m’avance dans le salon là où il vient d’écraser sa clope, et je le scrute de mes pupilles noircies. « Tu te fous vraiment de ma gueule ou quoi ? D’où je t’ai dit que t’étais un chien ?! D’où je te donne des putains d’ordre ?! Je te demande juste de ne pas faire de bruit, parce que nous sommes pas les seuls dans ce putain de bâtiment. Il y a quoi de mal là-dedans ?! » Je soupire, j’essaie en vin de me calmer, de prendre sur moi, ce qui n’est pas évident vu la situation dans laquelle nous sommes. Je détourne le regard, les mains enfouies dans les profondeurs des poches de mon jogging. Je baisse la tête, j’ai tellement les nerfs que mon envie là, tout de suite. C’est de partir, ou de me réfugier dans la chambre pour me reposer. Parce que là, jongler entre les maux de tête et Harley qui me hurle dessus, ce n’est pas vraiment facile. Au moment, je baisse les bras, j’hausse les épaules en plantant mon regard une nouvelle fois dans les siens. « Tu m’emmerdes. Tu comprends là ? Tu m’emmerdes. Je n’ai pas été cool, hier je peux te le permettre. Mais je ne pense pas mériter ça. Je ne t’ai pas trompé. Si tu ne voulais pas dormir avec moi, il fallait que tu me dises. Il ne manque pas de chambre dans cet appartement ! » Dans un geste, soumis par la colère. Qui était l’un des plus douces que je pouvais avoir. Je cogne contre l’un des cadres qui s’échoue brutalement contre le sol et qui se brise en morceaux. C’est à peine si j’ai eu le temps de voir qui était dessus, mais avec ce bruit même le chien se ramène en nous regardant tous les deux. Je passe ma langue entre mes lippes, et je me baisse. Je sais qu’Harley me regarde, qu’il regarde plutôt le cadre qu’autre chose. Au moment où je le redresse, je me plante un bout de vitre dans la main, je n’ai pas mal. Mais c’est une sensation désagréable que j’essaie de repousser en dévoilant que ce cadre avait notre photo. Je me crispe. Tout ça, ne c’était pas arrivé si on s’était calmé, si on avait pris le temps de parler comme nous le faisions comme d’habitude.

Mes nerfs sont près à exploser, et je me lève en sueur en balançant le cadre dans la pièce. Je regarde Harley, droit dans les yeux. Sans bouger d’un seul centimètre. « TOUT ça, on aurait pu éviter. En se parlant, en communiquant ! Mais non ! Tu as voulu jouer au grand et me balancer des choses sur la gueule, de ne pas dormir coller contre moi, parce que je sais ouais, je sais que tu as eu froid ! Et le pire, c’est là. Putain, tu veux quoi Harley ?! Je ne suis pas un saint ! Je fais-moi aussi des erreurs ! » Je lève les bras au ciel. Puis mes mains se posent sur mon crâne. C’est insupportable. Je regarde ma main qui saigne légèrement. Et je loge un regard à Harley, pour finalement disparaître en direction de la salle de bain, où je décide moi-même de me soigner. Le corps ne rejette pas le verre. Alors, il vaudrait mieux que je retire cette merde de ma peau avant de choper un truc.  



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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
Je viens de finir ma cigarette, et pourtant, je ne me sens pas plus apaisé. Et lui qui revient à la charge pour m'engueuler encore plus. Je serre les dents, contracte ma mâchoire pour ne pas hurler, pour ne pas tout balancer à travers la pièce. Pour ne pas tout foutre en l'air. Et jusque là, j'y arrive. Je ne dis rien, je me contente de lui lancer des couteaux avec mes yeux, avec mon regard, et j'espère secrètement qu'il s'en aille dans une autre pièce pour ne pas tomber devant lui. Pour ne pas éclater en mille morceaux. Mais il reste. Et il fait plus que ça. « Tu m’emmerdes. Tu comprends là ? Tu m’emmerdes. » Je l'emmerde ? Sérieusement ? Est-ce qu'il est vraiment en train de dire que je l'emmerde ? Et il continue à croire que je pense qu'il m'a trompé. Il recommence avec ça, et je soupire, j'ouvre la bouche pour répliquer mais un fracas me coupe dans mon élan. Il a fait tomber un cadre dans sa colère, il s'est brisé en mille morceaux, et en voyant la photo dans le cadre brisé, mon coeur, lui aussi, se brise en mille morceaux.

Il balance le cadre à travers la pièce, je suis la trajectoire de celui-ci sans daigner regarder James une seule fois. Il me gueule encore dessus mais je ne l'écoute plus. Je suis juste focalisé sur ce foutu cadre, sans avoir aucune foutue idée de ce pourquoi je tiens tant à lui. Ce n'est qu'une photo. Mais c'est la nôtre. C'est nous deux, là-dessus. C'est notre amour étalé sur nos visages, sur nos gestes, c'est notre passion figée sur du papier glacé. Et encadrée par nos soins. Il est parti dans la salle de bains sans rien ajouter, et je me précipite sur le cadre, tombant sur mes genoux. Je me fous de me faire mal. je récupère ce qu'il reste du cadre, et je regarde quelques secondes la photo sans m'apercevoir des larmes qui me lacèrent le visage. Je me fige, quelques secondes à peine, avant que la rage ne reprenne possession de mon corps. Violemment. Mon regard est rempli de haine, et je vois rouge.

D'un bond, je me remets sur mes pieds. Pour qui il se prend à me crier dessus ainsi ? Pour qui il se prend à me dire toutes ces choses, à me remettre la faute dessus bordel ? D'un pas rapide et décidé, je ne me contrôle plus et je me dirige vers la salle de bains dont la porte est fermée. « Tu n'es qu'un sale con égoïste, James Anderson !! » Ma phrase est ponctuée par mes poings qui s'abattent sur la porte. Je l'ouvre à la volée et plonge mon regard noir de haine dans le sien. Je ne sens même pas la douleur dans mes mains, juste cette haine aveuglante qui me ronge. Ma respiration qui se saccade et qui brûle mes poumons. Mes membres qui tremblent. « Tu te permets de me cacher qu'tu vas à une soirée étudiante ! Ça va tu t'es bien amusé ? T'es au courant que j'me suis endormi sur l'canapé en t'attendant ?? Putain, et cette foutue photo bordel ! C'est agréable t'crois d'se faire réveiller à trois heures du mat avec ça ?? » Je hurle, je hurle à pleins poumons, et s'il m'avait prévenu pour le bruit il y a quelques minutes à peine, je n'en tiens pas plus compte que tout à l'heure. Ma main prend la première chose qui arrive, un verre que j'explose sur le mur derrière lui. Et je pleure de rage. Et je hurle encore. « T'veux que j'te montre à quel point c'est blessant ? Putain, tu veux que j'fasse pareil moi aussi ? Que j'aille à une prétendue fête, pis que tu t'rendes compte qu'en fait j'rigole bien avec des mecs et que j'suis bien bourré ??? » Dans un accès de rage je vire tout ce qu'il y a sur le lavabo, et je continue à tout éclater contre le mur. Ça fait un bien fou, mais ça n'est pas assez. Pas encore. « Et tu te permets encore de m'engueuler putain de bordel de merde !! PUTAIN !! » Mon poing s'abat sur le miroir qui se brise en mille morceaux sur mon poing désormais ensanglanté. « Je.. Je.. Putain James tu.. Merde. » Je fonds en larmes, je secoue la tête et sors de cette foutue salle de bains pour aller m'écrouler sur le sol de la cuisine après avoir fermé la porte à clé. Je me sens tellement mal à cet instant. J'ai juste envie de me cacher sous le lit, ou dans le placard, et de ne plus jamais en sortir. Pourtant, je reste là, et je ne fais que pleurer toutes les larmes de mon corps.
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Je suis bourré.







Jaley.
Tout allait mal. Je ne sais pas comment on est arrivé là. À cause d’une simple soirée… Je suis assis dans la salle de bain, en regardant le bout de verre qui s’était coincé dans ma peau. Je le prenais à l’aide d’une pince mais c’est là où Harley avait décidé de me rejoindre, du moins. Je pensais que nous pourrions discuter. Mais non, c’était peine perdu. Il est davantage énervé, déçu de moi. J’imagine. Je vois son corps gesticuler et d’un seul coup il prend ce qu’il voit pour balancer sur le mur derrière moi. J’eu à peine le temps de redresser mes bras pour me protéger, pour ne rien recevoir sur le visage ni même le corps. Je suis choqué, quasiment traumatisé de la violence qui régnait dans notre appartement. Ce n’était pas nous, cela nous ressemblait absolument pas. Je commence à paniquer, l’adrénaline commence à s’évacuer de mon corps et j’ai juste envie de tout brûler, de tout canaliser en moi. Mais je ne fais rien. Je suis à pieds nus, et je risque honnêtement de me blesser. Mais je m’en fiche. Je n’aurai pas mal, j’ai déjà vécu pire. Bien pire que cela. Je me lève, en prenant néanmoins garde d’où je fous les pieds, l’appartement ne ressemble plus à rien, il y a des bouts de verre un peu partout. C’est affolant. Je me précipite dans une seule pensée : Où est Harley ? Je sais qu’il s’est blessé à cause de moi, je n’eus le temps d’apercevoir ces blessures qu’il venait déjà de quitter la salle de bain. Je tremble. Mon souffle est court, mon cœur palpite comme jamais dans ma cage thoracique. Encore hier, nous étions bien. Le matin, c’était parfait. Dans notre union tout semblant en harmonie. Et là, en me postant devant la porte. Je l’entends pleurer bruyamment. Et je me brise, je me brise littéralement. Je fais le vide dans ma tête, tout est éparpiller, mais je ne veux plus penser à quelque chose. Je veux juste être là. Il ne va pas m’ouvrir, je le sais pertinemment. Il est de nature discrète. Il s’enferme quand il est mal, qu’importe le lieu. Tant qu’il est entouré de mur. Je le connais, je sais qui il est. Alors, je décide d’abord de toquer, une fois, deux fois. À la troisième fois je succombe à la colère une nouvelle fois, je sais que nous avons des doubles clefs partout. Mais au fond de moi, j’aurai voulu qu’il m’ouvre. Et qu’il me laisse le soigner. Quand j’y repense. Je vois Harley étendu dans un lit d’hôpital, lorsque nous nous sommes séparés. Et je m’en veux. Mon corps se contracte et après plusieurs recherches je termine par trouver les clefs des portes. Je les laisse tomber. Mon front se plisse, mes paupières s’abaissaient sur ma vision. Et je prends une grande respiration. Il doit m’ouvrir de lui-même.

Je m’approche de la porte de la cuisine, quelques traces de sang ce sont placé sur la poignet. Je sais que cela vient de lui, et au fond de moi. Mon cœur se serre. Je ne veux pas imaginer les dégâts que ces mains peuvent avoir. Il en n’a besoin, énormément besoin. C’est grâce à elles qui peut se délivrer sur ces toiles. « Ouvre-moi, Harley… » C’est infernal d’attendre ainsi. Je ne sais pas ce que je dois faire pendant ce temps.  Je me déplace jusqu’à la salle de bain où je marche sur les verres en grimaçant. C’est douloureux. Et je devrais soigner cela dès que je le pourrais. Mais rapidement je prends possession de la trousse à soins, et je reviens vers la porte. Je ne sais pas si elle est ouverte, alors à contre cœur, je place le double à l’intérieur de la serrure, et avec étonnement je m’aperçois qu’elle n’est plus verrouillée. Mes yeux sont braqués sur le sol. Je n’arrive pas à le regarder droit dans les yeux, encore moins de voir ces phalanges. Et pourtant, je le dois. Je traverse la distance entre lui et moi, pour me mettre à genoux devant sa personne. Je suis figé par la tristesse et la colère. Je l’entends pleurer. Comment peut-on passer du rire aux larmes en quelques jours ? Comment peut-on douter autant de nous, dans un laps de temps… Je prends le temps de regarder ces coupures, profondes pour quelqu’une. Je sors le tout, et je commence à retirer les bouts de verre de sa peau. Caressant par moment cette peau qui il y a quelques minutes était parfaitement douce.




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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
Je ne voulais pas partir. je ne voulais pas quitter cet appartement, je n'avais aucune envie de le fuir. J'avais juste besoin de me vider un peu, de m'enfermer, de me murer dans un silence assourdissant qui ne serait brisé que par le bruit de mes sanglots, et celui de mes pensées. Quand tout va aussi mal, je me remets en question. Si bien que je trouve que tout va mal. Et après avoir été dans une colère pareille, ça me ronge. Je suis rongé de l'intérieur, mes pensées me bouffent, et elles sont très négatives. Si bien que je me mets parfois à penser que je ne suis pas quelqu'un de bien, que je mérite chaque malheur qui me tombe dessus. Et pourtant.. Je suis l'homme le plus heureux de la terre et ce grâce à James, sur qui je viens de me défouler, de déballer ma haine. Et je me sens tellement minable à cet instant. Tellement, mais tellement minable. Avec ma main ensanglantée. D'avoir foutu le bordel à ce point-là. D'avoir failli le blesser physiquement. De l'avoir fait, parce qu'en cassant ce foutu cadre, il s'était blessé. A cause de moi, parce que je l'ai cherché, que je l'ai poussé à bout.

Mais il y a tant de raisons qui se bousculent dans ma tête pour que je m'en veuille un maximum, pour que j'en vienne à ces pensées sordides que James déteste, qu'il fait tout pour virer de mon crâne et qui reviennent à chaque fois en puissance dans des moments tels que celui-là. Je ne veux plus jamais me sentir ainsi, aussi minable, incapable, trop jaloux, trop possessif, trop colérique, trop têtu, trop tout. Je ne veux pas lui faire de mal, jamais. Et j'ai l'impression de ne pas être capable de lui offrir tout ce qu'il désire. Pourtant, il me rassure toujours à ce sujet-là, en me disant que je le rends heureux.. Mais aujourd'hui, et cette nuit, je ne l'ai pas rendu heureux. Je l'ai rendu en colère. Je l'ai blessé, même mentalement. Je m'en veux, je m'en veux tellement. Et j'ai tellement l'impression d'être.. Juste un monstre qui n'a pas su se contenir. Un monstre qui le blesserait par accident certes, mais qui le blesserait quand même.

J'entends frapper à la porte, trois fois. Mais je n'ouvre pas. Je suis dans une situation tellement minable que je ne veux plus lui faire de peine. Roulé en boule au fond de la pièce. Je n'entends plus rien, j'ai cessé mes sanglots pour tendre l'oreille, mais rien. Pas un bruit. Jusqu'à ce qu'il me demande d'ouvrir. Et j'hésite.. Parce que je ne veux pas qu'il me voit ainsi. Parce qu'il va croire que je suis malheureux avec lui alors que c'est juste moi qui me rends ainsi avec mes pensées terribles. Mais je cède, parce que je ne veux pas qu'il se sente rejeté alors que je l'aime plus que tout, qu'il est l'homme de ma vie, que je n'ai jamais autant aimé quelqu'un de ma vie que lui je l'ai aimé. Alors je me glisse sur le sol lentement et je déverrouille la porte en retournant me poster à ma place, les jambes repliées contre mon torse et mon visage dans mes genoux. Je n'ai pas envie qu'il voit mon visage bouffi de larmes, même s'il a bien dû m'entendre pleurer.. J'entends une clé rentrer dans la serrure, il a dû aller chercher le double. Je ne lui en veux pas, à sa place, j'aurais fait la même chose. Trouver un moyen d'entrer. Et c'est ce qu'il fait, il entre mais je ne relève pas mon visage. Je le laisse faire, je le laisse venir vers moi, comme un petit animal docile, apprivoisé, et apeuré. Je le laisse me soigner, même si ça me rend davantage minable à mes yeux.. « Je.. J'suis tellement désolé.. dé..solé.. James.. Pardon.. Pardon.. Pardon.. » Je m'excuse à travers mes hoquets que je ne peux plus retenir. Je l'aime, il est toute ma vie, je ne veux jamais lui faire de mal. Et je voudrais tellement qu'il me pardonne pour la violence dont j'ai fait preuve aujourd'hui..
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Je suis bourré.







Jaley.
Cela ne devrait pas se passer ainsi, je ne sais quoi faire de plus. Je le regarde à peine, c’est comme si je préfère ignorer son regard. Et pourtant, ces mots résonnent dans ma tête. Je relève doucement mes pupilles foncés pour lui faire face. Il pleure à chaudes larmes, son visage est inondé de malheur, de tristesse où j’en suis coupable. Je prends sûr moi, pour ne pas flancher à mon tour, je ne suis pas ainsi. Il mérite d’être réconforter. En même temps que je soigne ces blessures, je hausse les épaules en prenant une grande respiration. Après deux secondes d’hésitation je prends la parole. « Je suis désolé, aussi… J’aurai dû te le dire pour la soirée. Je ne pensais pas que cela te mettrait aussi hors de toi. » Je ne termine pas de soigner sa phalange, je viens prendre vivement son faciès entre mes mains, je l’oblige à affronter mon regard, ce regard qu’il tente en vain de fuir. « Ne me fuis pas. Regarde-moi. » Je cherche son regard, pour finalement l’avoir. Je ne le lâche plus, je veux qu’il comprenne les choses. À quel point je suis navré de tout ce bordel, que nous aurions pu éviter de débattre d’une telle manière, de nous envoyer une telle violence qui n’était pas nécessaire. Je viens l’embrasser à pleine bouche, j’anime violemment mes lèvres sur les siennes jusqu’à mordre le coin de sa lippe inférieure. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, sans doute par le manque. Le manque de l’avoir contre moi, ce manque insoutenable de ne pas le tenir dans mes mains, de ne pas l’embrasser. Je me recule, et mon regard est doux. La haine, la rage venait de quitter mon corps, et la tendresse venait de me faire céder à cette tentation. « Je t’aime Harley, je t’aime plus que tout au monde. Je ne voulais pas te faire de mal, je sais que j’aurai dû te le dire. » Je le sais au fond de moi, que ma réaction n’avait pas été celle qu’il attendait. Mais peut-être que nous deux, nous avions agis d’une façon exagérée, mais que malheureusement nous n’y pouvions rien, que c’était ainsi, que les choses étaient faites et que nous ne pourrions revenir en arrière. Cette fois, je me concentre bien vite à la tâche de lui retirer tous les bouts de verre qui se sont plantés dans sa chair lorsqu’il a marqué le coup. Je fais très attention, désinfectant les cicatrices, tout en prenant le soin de tout nettoyer et de bander le tout en plantant mes iris sur le visage de mon compagnon. « T’as main n’a rien, c’est juste des petites blessures. Mais ne refais plus jamais ça, parce que ça peut être très dangereux. Et tu as besoin de tes mains. » Pour ton talent, bon sang. Pour vivre, pour absolument tout. Je caresse ces phalanges dans les miennes, en ressentant quelques pressions sous mes pieds. Moi aussi, j’étais blessé, encore la petite coupure au niveau de ma main n’était en rien. Mais les coupures sous mon pied, devaient être pas mal profond. Après tout, j’ai marché dessus sans réalise la chose, bien trop hypnotisé par les événements. Je m’installe face à Harley, je tends mes jambes en avant en regardant mes pieds qui laissaient quelques tâches rougeâtres apparaître. Dans l’ensemble, j’étais assez confiant, jusqu’au moment où je me rappelais qu’un corps humain ne rejette pas le verre. « Il faut que je m’enlève les verres du pied. Il y en n’a pas beaucoup. Lundi, il faudra qu’on aille à l’hôpital pour examiner tout ça, tes mains et mes pieds. » Je haussais les épaules. Je sais que je devrais être contre lui, à le câliner, le rassurer. Mais il faut d’abord que je traite mon problème et pour cela, je ne pouvais lui accorder une intention particulière.

Rapide, ce fut le cas. Je ne sentis plus rien sous mes pieds après les avoir désinfectés et imposer des bandages pour ne pas risquer une quelconque infection. Lentement, en admirant les traits inquiets de mon compagnon, j’imposais mes mains sous ces cuisses pour l’inciter à se mettre sur les miennes et de nouer ces bras autour de ma gorge. « Tu sais, je crois que ce n’est pas pour moi les fêtes d’étudiante. Je fais vieux. Et quand je vois le but de certaines personnes… Je suis fier de toi, de voir qui tu es devenu. Tu es devenu quelqu’un de bien, même si actuellement dans ta tête tu penses le contraire. Tu es formidable Harley, tout de toi, fait que tu me rends heureux. Tu comprends ? » J’incline mon visage sur mon épaule. Je le regarde avec un amour éternel.




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S'il savait seulement à quel point je pouvais m'en vouloir. S'il savait seulement comme ça me ronge à l'intérieur. Je suis tellement bouffé par la culpabilité de ne pas être celui qu'il lui faut, et pourtant il m'assure encore le contraire, encore et encore, de cette façon inlassable qui me laisse sans voix. Je ne voulais pas croiser son regard, je ne voulais pas lui montrer à quel point j'étais.. Dégoûté de moi-même, de lui avoir fait subir mes foudres pour un sujet dont, au fond, on se fout éperdument. Il s'excuse lui aussi, il relève mon visage et m'ordonne de le regarder, ce que je fais bien à contre cœur en rougissant. Mes yeux sont bouffis de larmes, rouges, éclatés d'avoir tant versé de larmes. Et je sais à quel point ça le brise de me voir ainsi. C'est pour cette raison que je ne veux pas qu'il me regarde et pourtant.. Il m'y oblige. Il m'embrasse, même, et à ce moment-là, je me demande comment je peux le mériter. Pourquoi il est toujours là, près de moi.. Alors que, pour moi, je ne le rends pas heureux.. ? Je réponds à son baiser avec un certain désespoir, mes mains venaient s'accrocher à son haut alors que je gémis face à sa morsure qui me fait un bien fou. Ces sensations familières pour lesquelles je pourrais donner tout l'or du monde.

« Je t'aime aussi.. Plus que tout.. Et.. je suis tellement désolé James.. Je voulais pas te faire de mal.. » Je n'arrête pas de m'excuser, mais pour moi, j'ai fait l'une des pires choses que je pourrais lui faire et Dieu que je m'en veux. Je voudrais tellement lui demander pardon un million de fois, le supplier même de me pardonner, mais même si je sais qu'il me pardonnera, je serais toujours rongé. Parce que moi, je ne me pardonnerais jamais. Je le regarde faire sur ma main, mes larmes se sèchent petit à petit et mes hoquets disparaissent au fur et à mesure que je me concentre sur sa tâche. Et puis je hoche la tête à ses paroles, ne sachant tellement pas quoi dire d'autre que pardon. Et c'est ce que je fais, je me confonds encore une fois en excuses, parce que je sais qu'il a raison, que j'ai besoin de mes mains pour peindre, pour étaler mes sentiments dans ces toiles, et aussi pour vivre, pour faire des tâches quotidiennes. Ses caresses me font du bien et je fronce les sourcils lorsqu'il se met face à moi, me montrant ses blessures aux pieds. Et sans le contrôler, mes larmes reprennent. Je l'ai blessé bien plus que je ne l'aurai songé.. « Oh.. James je suis tellement désolé.. » Je prends mon visage entre mes mains pour essayer de me calmer, peine perdue.

Je voudrais bien le soigner comme lui m'a soigné. Mais je tremble tellement que je risquerais de lui faire plus de mal qu'autre chose, je le sais. Et je ne veux pas risquer de le blesser davantage, j'en ai déjà assez fait comme ça. Alors je le regarde faire avec un regard inquiet, et plein de culpabilité, en me mordant les lèvres nerveusement, m'en arrachant les peaux. Jusqu'à ce qu'il me prenne sur lui, et j'entoure son cou de mes bras en ne le quittant pas du regard. Et je l'écoute attentivement, et même si mes pensées noires se bousculent en masse dans ma tête, ses paroles me font le plus grand bien. Je hoche finalement la tête et loge mon visage dans son cou, fermant mes yeux fatigués et murmurant. « Je voulais pas te blesser.. Excuse moi.. Me laisse pas.. » Je le serre contre moi, et fronce les sourcils alors que je soupire doucement dans son cou qui sent si bon. « J'ai tellement peur.. » Peur de tout. De le perdre, qu'il ne me pardonne pas au fond, de ne pas le mériter. De perdre son amour. Sa confiance. De lui faire peur, de le faire fuir. J'ai tellement peur, bordel.
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Je suis bourré.







Jaley.
Je n’aimais pas le voir ainsi, il paniquait à l’idée de me perdre. Ce qui n’arrivera jamais. J’aimerai pouvoir avoir la capacité de le rassurer, mais je ne trouve rien d’autre que de lui dire à quel point je l’aime, à quel point je suis désolé de tout ce bordel, et que plus jamais cela arriverait. Je prends sur moi, pour regarder mes pieds, et sa main qui désignaient à eux deux, la violence de ce moment. Je fronçais les sourcils, ne sachant quoi dire face à ça. Mes bras se serrent autour de lui, je fais en sorte qu’aucune distance ne soit entre nos deux êtres, je le regarde de mes yeux brillant, m’empêchant de céder au chagrin, je voulais être fort et je le devais pour nous deux. Je ne dis plus rien, mais j’essaie de me redresser sur mes jambes en grimaçant. Si lors de la dispute je ne ressentais absolument rien, là ce ne fut guère le cas. Entre les maux de tête qui revenaient me hanter, mais également les blessures sous mes pieds. Mais je gardais tout cela en moi, je ne voulais pas qu’il qu’inquiète encore plus, déjà qu’à ce niveau c’est moi, qui paniquais à l’idée qu’il ne sache plus quoi faire, au point de partir. Même si il venait de me rassurer, je ne cessais de réfléchir aux conséquences. S’il m’avait touché lorsqu’il balançait le tout contre le mur derrière moi, il ne se serait pas pardonné, et je ne sais pas si je serai encore là, pour le prendre dans mes bras. Je fais taire ces pensées absurdes qui me font plus de mal que de bien. Je m’avance auprès du divan en le posant sur ce dernier, tout en lui demandant de patienter le temps que je revienne avec deux serviettes humides, sa phalange allait gonfler et je voulais lui empêcher cela, il en avait besoin. C’est pourquoi il vit, honnêtement. En posant les deux serviettes autour de la main d’Harley, je m’installais auprès de lui en passant un bras pardessus ces épaules. J’entendais au loin mon téléphone vibrer, mais je me disais que cela pouvait certainement attendre. Je tournais mon regard vers le profil de mon compagnon. De ces traits malheureux et gorgés de tristesse, de ces yeux d’un rouge vif et de ces larmes qui laissaient quelques traces sur sa peau pâle. Cela me faisait réellement mal au cœur, et je devais me faire violence pour ne pas craquer, de le secouer de lui dire, pourquoi il avait fait ça. Mais mon regard se braque sur le cadre au sol, sous quelques bouts de vitres qui me brise le cœur. Je décide de me lever, d’embrasser sa joue avant de me pencher en avant et de prendre lentement chaque bout de verre en les posant sur le meuble le plus proche. Histoire qu’aucun de nous ne marche dessus ou ne se coupe. Il y avait assez de blessés comme ça, le mieux était d’éviter.

Alors que je me redressais, j’entendis quelques coups contre la porte. Je me levais de ma position en posant le cadre sur le meuble tout en m’avançant vers Harley où avec un élan d’amour je posais une couverture sur ces épaules. « Ne bouge pas, je reviens. » Je prends possession de son visage pour que nos lèvres se rencontre et s’unissent une nouvelle fois. Je lui disais que je l’aimais, que j’étais dingue de lui, qu’il fallait qu’il se calme le temps d’aller voir qui était derrière la porte. Après quelques secondes je m’arrêtais devant cette dernière et je l’ouvris. Je n’étais pas franchement blessé, peut-être à la main, mais à mon amble avis je peux facilement faire passer ça pour une coupure. Rien de grave. Je voyais le visage de Benji, inquiet. Sans doute. Il s’imposait devant moi en disant qu’il avait entendu du bruit, qu’il ne savait pas s’il pouvait venir ou non. Je n’étais pas vraiment à l’aise, je ne savais pas si j’étais en mesure d’expliquer le pourquoi du comment. « Tu m’attends chez toi ? J’arrive dans quelques minutes. » Je lui fais un dernier signe avant de le voir me tourner le dos pour rentrer chez lui. Je reviens auprès de l’homme que j’aime, et je caresse ces phalanges en l’obligeant à me regarder. « Je vais parler à Benji, je ne veux pas qu’il s’inquiète. Mais je reviens vite, tu devrais te reposer un peu… Reste ici, dans le salon. Si tu as besoin de quoique ce soit. N’hésite pas. » J’embrasse sont front, avant de me lever et de lui lancer un dernier regard. Jusqu’à me résoudre d’aller rejoindre Benji, chez lui pour lui donner les explications qu’il désir.




Zelda pour ILH



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