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are you fucking kidding me ? (jaley #5 ♥)

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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
9:21 PM.

Ca avait été une douce journée, pour une fois. Un samedi sans trop de vagues, j'avais pu faire la grasse matinée - enfin, ce qu'on peut appeler une grasse matinée quand on a un chien qui vient nous réveiller - et j'étais allé travailler l'après midi. On était samedi, et ce soir, je n'avais pas prévu de sortir. En revanche, ce n'était pas le cas de mon fiancé. Ce soir, il devait aller rejoindre un ami à une fête. J'étais content pour lui, qu'il sorte un peu, qu'il se défoule, qu'il décompresse. Mais égoïstement j'espérais qu'il ne rentre pas trop tard. Et c'est dans cette espérance que je me suis posé sur le canapé à me faire un marathon Harry Potter - en VO pour faire bonne mesure, sinon c'est pas drôle - avec du pop-corn et ma bouteille de coca. Une couverture, Lucky installé près de moi, et hop, c'était parti. Je voulais l'attendre pour être là quand il rentrera, mais finalement, c'est au bout du troisième film, vers minuit, que je m'endors un peu en vrac.

3:12 AM.

La sonnerie de mon téléphone me réveille. fronçant les sourcils, je me redresse, baille et m'étire. J'ai mal à la nuque, j'aurais vraiment dû me coucher. J'attrape l'appareil et fais glisser mon doigt dessus pour le déverrouiller. Un ami qui m'envoie une photo, automatiquement je souris, car à mon avis ça doit être une des fêtes auxquelles il participe tous les week ends. Mais en ouvrant la photo, je déchante bien rapidement. James. Et une inconnue. Ils rient tous les deux. Bordel, c'est quoi ça ? En regardant de plus près la photo je constate amèrement qu'il s'agit bel et bien d'une fête étudiante. Il a un verre à la main, les yeux éclatés, il a l'air vachement bien entamé hein. Je regarde l'heure, trois heures du matin. Sérieusement ? Il est bourré, à une fête étudiante où il y a plus de filles en chaleur que dans une boîte de strip tease, en compagnie d'une pouffiasse qui, j'suis certain, rit comme une dinde. Oh bordel. Mon sang ne fait qu'un tour. Ma colère monte en flèche, et j'hésite à l'appeler, le harceler pour lui ordonner de rentrer à la maison. A la place, je fume une clope, et je tasse ma colère. Non, faut pas que je procède comme ça. J'vais pas lui gâcher la fête, après tout. Après ma clope, je vais nettoyer, j'suis maniaque, mais davantage quand j'ai besoin de canaliser ma colère.

5:09 AM.

Deux heures. Deux foutues heures que j'passe à l'attendre. Et Lucky qui comprend rien me suit partout, et je m'énerve contre lui parce que j'me suis bien pété la gueule deux trois fois. Mon téléphone vibre de nouveau, cette fois-ci c'est lui. Fais pas la tête ? Sérieusement ? Mon corps se contracte, ma mâchoire également. Comme une furie, je traverse l'appartement à grands pas et ouvre grand la porte sur un James complètement déchiré. Putain. Je ne dis rien, je le laisse entrer. Je le regarde galérer à retirer ses chaussures et sa veste, les bras croisés contre mon torse. Le regard plus dur que jamais. « J'te préviens, si tu dégobilles par terre, tu nettoies. » Mes mots sont des couteaux que je lui lance dessus sans ménagement, accompagnés des éclairs qu'envoient mes yeux. Je soupire, passe une main sur mon visage, et nerveusement, je vais reprendre une cigarette. « T'étais où ? »
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Je suis bourré.







Jaley.
Bon, je dois avouer que ce genre de fête ne me réussit absolument pas. Je trébuche un peu partout, dans les couloirs du bâtiment c’est juste la galère à tel point que je m’arrête très souvent pour reprendre mon souffle. Je vois trouble, j’ai la bouche sèche et j’ai affreusement mal à la gorge. Je suis bourré, et honnêtement je priais pour qu’Harley soit couché depuis quelques heures et quand rentrant je puisse prendre une douche et camoufler l’odeur de la clope et celui de l’alcool. Ce n’est pas souvent que je me prends des torchés pareil. Mais là, je crois bien que c’est la première fois que je suis dans un tel état. Ce n’est pas ma faute. Dans un sens je voulais me mesurer aux petits jeunes qui eux devaient me prendre pour un vieux, alors dans un sens j’estimais leur montrer le contraire. Ça a bien fonctionné, du moins jusqu’au moment où mon ami me prenne par les épaules et me demande si ça va bien. J’ai crus que je voyais deux types, et l’appartement à mes yeux s’était agrandie sans aucune explication. Je me demandais même s’il n’y avait pas eu des travaux durant le laps de moment où j’étais aux toilettes. Arriver à mon étage, dans un miracle. Je m’approchais des premières porte en fronçant les sourcils. Ce n’est pas compliqué… Il n’y a pas cent appartement dans cet étage. Celui de Benji et le mien, et ceux d’une autre personne. Mais, je reste planté devant les étiquettes qui montrait les prénoms des résidents. D’accord, ce n’est pas ici… Je me retourne et la seule porte que je vois comporte mon prénom et celui d’Harley. Putain, si le chien se met à gueuler. Ce n’est vraiment pas le moment que Lucky m’emmerde. Ouais, j’ai les pensées qui partent un peu partout, mais c’est déjà… Bien, que je puisse presque tenir debout. Enfin bon, jusqu’à m’appuyer contre le porte. La tête sur le bois et mes mains qui essayent en vin d’ouvrir la porte. « Oh bordel de merde… » Je ne vais jamais réussir à ouvrir cette maudite porte. Je dois réveiller Harley. Je ne veux pas trop dormir dehors.

En envoyant les quelques mots qui à mes yeux étaient corrects à Harley… Ce fut que quelques minutes après que j’entendis la porte s’ouvrir et automatiquement je me décalais pour ensuite pénétrer dans l’appartement. Je regardais Harley, avec un petit sourire. J’étais déchiré. Les yeux d’un rouge, et les joues creusées. Je tentais de retirer ma veste et mes chaussures. Le bas était fait, mais j’avais réellement de la peine à enlever cette veste. Donc… Je préfère dormir avec. Mais les mots d’Harley me font me retourner pour le faire face. Il va chercher une clope et j’hausse les épaules en m’approchant de lui. « J’..J’étais à une fête.. » Je me penche pour embrasser ses douces lippes masculines. Mes mains glissent sur son fessier que je maintiens férocement entre mes doigts. Putain, dans ce genre de moment l’excitation monte rapidement, c’est comme si je peine à contrôler mes sens. Je le plaque contre le premier mur qui nous est accès. Et mes lèvres s’appuient sur les siennes à plusieurs reprises. « Tu boudes ? » J’articule très mal. Mais lentement je sens qu’il ne me redonne pas ce que je lui offre. Alors je décide de me reculer, et je trébuche sur le canapé. Au moment où je me crois tomber ma main se retient au tissu du divan alors que j’écarquille des yeux. Je crois qu’il faut que j’aille dormir, non avant… Prendre une douche. Je me tourne vers Harley. L’air de rien, droit… Penché, oui peut-être. « Je dois aller me doucher… Tu veux venir bébé ? »
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C'est une blague ?!
Run, boy, run.
Je n'y crois pas. Qu'il revienne avec autant d'alcool dans le sang, avec ce sourire stupide aux lèvres qui ne fait qu'augmenter ma colère. Et la fatigue exacerbe tout ça. En fait, à sa réponse à ma question, j'avais juste envie de le mettre dehors pour qu'il décuve sur un banc, dans le froid comme il le mérite après le coup qu'il m'a fait. Putain de merde, il est entré, et il pue l'alcool et la clope à des kilomètres. Si j'avais un gourdin dans les mains, il n'aurait déjà plus de tête. « A une fête hein ? Elle était bien ta foutue fête, ça va ? Pas trop de jeunes ? Pas trop de salopes avec qui rire ? » Je me recule pour éviter son baiser puant mais manque de chance, il m'agrippe à lui comme une sangsue à sa proie. Je plisse le nez et grimace. Bordel, non, il faut qu'il recule. Mais il comprend bien vite que je ne suis pas d'humeur, il se recule, jusqu'à presque tomber dans le canapé et je soupire en secouant la tête. « T'es vraiment trop con, putain. » Je tire nerveusement sur ma cigarette plusieurs fois, jusqu'à ce que celle-ci chauffe mes doigts, me brûlant presque.

Je déteste le voir ainsi. Il a bu, et j'aurais pu prendre soin de lui s'il m'avait dit où il était. Enfin, je crois.. Parce que de le savoir entouré de tous ces vagins mouillés d'avance me répugne et me donne des envies de meurtre. Je n'aurais simplement pas supporté. Il se tourne vers moi, me demande si je veux venir dans sa douche. Attends, quoi ? Il est sérieux, là ? Putain. « Tu t'fous d'ma gueule, James ? Est-ce que t'es vraiment sérieux là ? T'crois quand même pas qu'on va baiser après l'coup qu'tu viens d'me faire, si ? » Ah ouais, mais en fait, il est vraiment sérieux. Il se rend pas compte, il est vraiment trop bourré, là. « Putain, j'y crois pas. » Je soupire mes paroles en secouant de nouveau la tête. Mes mains tremblent de colère, et je me retiens pour ne pas le tirer dans la salle de bains pour lui foutre la tête sous l'eau. J'ai aucune putain d'envie de m'occuper de lui. Mais une douche froide, non, glaciale ne pourrait que lui remettre la tête sur les épaules. Alors, rapidement, je termine ma cigarette, la jette presque dans le cendrier.

Je l’attrape par le bras et l'emmène dans la salle de bains en essayant de contrôler ma rage, ce qui est réellement très difficile à ce moment-là. Si je suis totalement compréhensif d'habitude, ma patience a des limites et je commençais très sérieusement à en manquer. Sans attendre, je retire ses vêtements qui doivent coûter la peau du cul puis je le fous dans la baignoire sans ménagement. « Bouge pas, j'vais t'laver. » Dis-je en lui envoyant des éclairs encore une fois. Et puis, dans des gestes rapides et tremblants, je dirige le pommeau de douche droit sur son crâne et allume l'eau froide. Je le vois gesticuler dans la baignoire, il m'éclabousse mais je m'en fous totalement. Je laisse le jet d'eau sur lui pendant quelques minutes, il est assis dedans donc il ne craint rien. Et puis je l'éteins et lui jette une serviette au visage. « C'est bon, t'es revenu ou t'en veux encore ? » J'ai tellement la rage. Je secoue encore une fois la tête et lui tourne le dos pour retourner dans le salon et me retaper une clope. Assis dans le canapé, j'attends qu'il sorte, ma jambe bouge nerveusement. Putain, il va me rendre fou.
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Je suis bourré.







Jaley.
Je ne comprenais absolument rien de ce qu’il vient de se passer. Je regarde avec peine Harley qui me hurle littéralement dessus. Comme si je venais de faire une énorme bêtise mais qu’actuellement je ne savais pas c’était quoi. Il me parle de baiser, puis finalement non. Non, on ne va pas baiser. Je soupire, d’agacement face à cette attitude qu’il emploi. Je n’ai rien fait de mal, alors je ne comprends pas pourquoi il réagit de cette manière. J’allais formuler quelque chose, je voulais parler. Mais ma bouche était bien trop sèche et je n’arrivais à aligner une phrase correctement. Je me laissais tirer, avec une telle violence que je me rattrapais aux murs en jurant entre mes dents. Putain, mais il fait quoi là ? Je suis bourré, et il me traîne au lit ? Je fronce les sourcils à cette idée. Je ne veux pas qu’il vienne me bercer, je ne veux pas qu’il me foute en lit sans m’avoir embrassé correctement… Je ne… Je me retrouve dans la salle de bain, dans la baignoire et il me retirer mes vêtements à uen vitesse que je n’ai même pas le temps de réagir que rapidement le jet d’eau gelée me tombe sur la gueule. Je gémis, je gueule même tant cela me brûle la peau. J’essaie de me dégager mais c’est à ce moment que je me laisse tomber dans le baignoire assis par terre en entourant mes jambes de mes bras pour nicher mon visage dans ceux-ci. Je lui hurle dessus de cesser, d’arrêter ce spectacle qu’il fait sans avoir de raison. Puis tout s’arrête, et les mots d’Harley reviennent aussitôt me frapper au visage. Non seulement ces propos, mais aussi une serviette pour qui je plisse des yeux en essayant de me relever tant bien que mal. « Ma..Put..PUTAIN ! » J’ai la rage qui monte, on sait tous que lorsqu’on est bourrés on sent les sensations se multiplier on ne sait pas comment on réagit. C’est toujours dans l’accès. Je me lève après quelques minutes, je sors de la baignoire en me rattrapant à tous les meubles. J’ai mal dans tout mon corps, et j’ai mal à la tête. J’ai la vue trouble et le fait de m’avoir foutu sous l’eau froide n’as pas arrangé mon état. Loin de là. Je récupère la serviette que je venais de faire tomber, l’enroulant autour de ma taille. J’ai le cœur qui palpite dans ma cage thoracique. La bouche sèche, la sensation d’alcool circulant dans mes veines. Et la difficulté de tenir mes paupières ouvertes. Putain, je n’aurai pas dû boire autant. Je le savais pertinemment.

En tentant de revenir à moi, je traîne les pieds dans les couloirs à la recherche de la cuisine. Dans mes souvenirs elle était ouverte au salon, alors je vagabonde en tenant ma serviette par peur qu’elle puisse tomber à terre. Et il fait froid, très froid. J’hallucine qu’Harley m’aille fait ça. Je comprends rien, il venait de passer une mauvaise soirée ? Ce n’est pas ma faute, ni mon putain de problème. En arrivant vers la cuisine, je le vois installé sur le divan. Encore une clope à la main. « T’as un problème ou quoi ? » À la limite, j’affiche un petit sourire. À l’évidence je ne contrôle plus rien. Et même ma conscience est limite assommée et couchée sur le sol avec des bouteilles vides autour d’elle. Je me penche pour ouvrir le frigo, et en ouvrant la porte je me cogne littéralement la tête. Je m’empresse de mettre ma main sur cette bosse, les yeux fermés. « Tu ne peux pas venir m’aider là ?! Je me suis fait mal putain. » Je me recule, mon cul touche le comptoir. Au moment où j’ai les paupières abaissées c’est davantage pire. Tout tourne autour de moi. C’est à peine si je me souviens de comment je suis rentré, et comment je suis arrivé dans cette cuisine. Et ça m’énerve, qu’Harley ne réagisse pas. Qu’il parle de nana alors que je n’ai rien fait, qu’il parle de baise. De choses que je ne comprenais plus.

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Run, boy, run.
A ce moment-là je me foutais littéralement de comment il se sentait. Parce que s'il se sentait mal, ça ne pouvait qu'être de sa faute. Il n'avait qu'à pas boire autant, et ses hurlements n'y feront rien. Pas un message de la soirée, à part celui qui me demande de lui ouvrir, pas un putain. Et puis merde, il était dans une putain de foutue soirée étudiante de mes deux. Qu'est-ce qu'il foutait là-bas ? Il devait simplement être à une fête, pas entouré de jeunes. Putain mais quel con. J'entends du bruit dans la salle de bains, il a décidé de bouger, c'est bien, au moins il s'est pas endormi. De toute façon, s'il s'était endormi, je l'aurai certainement réveillé à coup de casserole dans la tête. S'il savait à quel point j'ai la rage, j'ai seulement envie de tout casser ici, de lui jeter de la vaisselle à la figure. Putain, il exagère, même moi je ne suis jamais revenu dans cet état. Et surtout pas après lui avoir dit que j'allais à une simple fête alors que le programme n'était pas du tout celui-là.

Mon regard se tourne vers la cuisine, il est là, et il m'adresse la parole. Avec son sourire, là. Mais bordel, quand est-ce qu'il va arrêter de jouer au con ? Il sait pas qu'à jouer avec le feu, il va se brûler ? M'enfin là, il se brûle déjà, il risque juste de finir carbonisé, c'est tout. « Tu devrais franchement te taire, James, parce que là, t'es en train de t'enfoncer. Mais tellement qu'tu pourras plus remonter. » Non, je ne le quitterais pas. Qu'il revienne d'une soirée étudiante complètement déchiré n'est pas un motif de rupture, et puis même, je l'aime bien trop pour être capable de le quitter. Je l'ai peut-être déjà fait une fois dans le passé, mais jamais je n'ai réussi à prononcer ces mots-là. Et jamais je n'en serais capable. Ces pensées me calment un peu, à peine, parce que directement derrière, il y a cette photo qui me revient à l'esprit. Il ne m'a toujours pas dit la vérité. Il ne m'a toujours pas dit qu'en fait il était en train de s'éclater avec des gamins à boire des litres et des litres sans jamais s'arrêter.

Je l'entends se cogner, et je tourne la tête. Il s'est fait mal ? J'ai envie d'aller prendre soin de lui, mais la colère est forte. Je soupire, écrase ma cigarette, et vais le rejoindre. Sans un mot. Sans un regard. Je sors une poche de glace du congélateur et la lui mets dans les mains. « Si t'as faim, bouffe du sucre. Mais compte pas sur moi pour te faire à bouffer. » Je ne quitte pas la cuisine pour autant, je le regarde durement. Je crois que mon regard n'a jamais été aussi dur envers lui. En même temps, jamais il n'est revenu ainsi. Jamais il ne m'avait fait ça, jamais. Je prends mon téléphone, pianote dessus et lui montre la photo. « Maintenant tu peux m'expliquer c'que tu foutais à une soirée étudiante à faire rire une pute ? » Non, je la connais pas, mais j'suis tellement en rogne que sans la connaître, je l'insulte de tous les noms.
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Je suis bourré.







Jaley.
Je me suis fait mal. Même très mal. Mais il s’en fout totalement ce qui a le don de m’énerver davantage. Ma main est posée sur la bosse et je jure brutalement entre mes dents. Je n’ai jamais été ainsi, dans un état pareil. C’est la première fois qu’il me voit de la sorte, il pourrait un peu le comprendre. Lui aussi, est déjà rentré bourré. J’ai la rage qui monte, mais lorsque je voulais me retourner pour lui faire face il arrive et sort une poche de glace qu’il me fout dans la main libre. Alors je fais comme prévu, je pose ce truc sur ma tête et bordel. Mon sang ne fait qu’un tour. J’ai la tête qui tourne, la bouche autant pâteuse et je ne parle pas de l’odeur d’alcool et de clope qui s’est collés à ma peau. Puis à ces dires, je lève les yeux au ciel d’un air exagéré. Et j’en profite pour happer son bras en le relâchant aussitôt. À la vue de ces yeux qui me lançaient des couteaux, de sa voix qui résonnaient comme des balles et qui me touchaient brutalement. C’est quoi le délire là, je n’ai strictement rien fait et qu’il me parle comme si j’avais son âge ? Au moment où il me montre son téléphone, c’est à peine si je vois correctement les personnes. C’est moi, ouais. Avec une nana. Mais je n’en sais foutrement rien. Alors je lève mon regard vers Harley, je lâche la poche de glace pour venir happer son poignet de manière à ce qu’il se foute devant mon visage. « Tu crois que je t’ai trompé ou quoi ?! » Les mots que j’articule me font mal à la tête. Je n’arrive pas à croire qu’il puisse penser ça. Et merde, il était à la soirée ou quoi ?! « J’ai parlé avec pleins de monde, je peux bien parler avec qui je veux non ?! » Je me recule, et je cogne contre le lavabo qui me fait un coup dans le dos. Je grimace, et je relâche la serviette qui m’entoure. Il m’arrive que les pires trucs du monde, en quelques putains de minutes. « T’étais à la fête ?! Je n’ose pas parler avec des gens ?! Tu parles bien avec des connards je me trompe ?! » À l’intérieure de moi, j’avais tout de même peur. Tout était multiplié et au fond de moi, dans un coin de ma tête. Il était en train de rompre avec moi.

Je me tourne pour attraper ma serviette. Je ne tiens pas debout. C’est juste impossible. J’ai trop bu, je n’ai rien fait de mal. Je le conçois que rentrer de cette manière à mon âge cela ne se fait pas. Mais quand même, je n’ai pas dix ans. « J’ai fait quoi de mal ?! » Je hausse les épaules, je lève mes bras vers le ciel. Et ma serviette retombe. Honnêtement si je n’étais pas bourré je ne pense pas que la discussion se passerait ainsi. Dans un élan, je plaque le corps d’Harley contre le frigo. Ma main attrape les cheveux de mon fiancé et je l’incline en arrière en happant sa lippe inférieure. « Tu crois que je suis capable de te tromper putain ? » Mes dents se serrent. Et je me décolle de l’homme que j’aime. Essoufflé. J’ai des remontées. Violemment je me prends l’estomac et je me tourne pour m’appuyer sur le lavabo. J’ai envie de vomir, mais je n’y arrive absolument pas. Je suis pris de panique entre le fait qu’Harley pense que je l’ai trompé, et cette cuite infernale qui ne veut pas sortir de mon corps.

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Quoi ? Si je crois qu'il m'a trompé ? Mais d'où il sort ça, putain ? C'est quoi ces conneries encore ? Attends, il a vraiment cru que je doutais de lui ? Mais il est pas possible, ce gars. Je suis obligé de le regarder, et je soupire lourdement en levant les yeux au ciel. Ses paroles m'exaspèrent. Je ne lui ai jamais interdit de parler à qui que ce soit, qu'est-ce que ça vient foutre là, ça encore ? Et j'ouvre la bouche pour lui répondre, sauf qu'au moment-même où je le fais, sa serviette tombe au sol et il se retrouve nu comme un ver. Je ne sais même pas quoi dire. Il est complètement ridicule, il a perdu toute sa crédibilité, ses paroles me viennent comme du vent dans le visage. Je ne sais même pas comment réagir. En temps normal, ça aurait pu me faire rire, mais vu ma colère, je reste simplement stoïque, sans même le vouloir. Je ne sais même pas quoi lui répondre, juste, je le regarde galérer à ramasser sa serviette sur le sol. Je me demande s'il a froid, comme ça. Je pourrais bien regarder la taille de son sexe, mais il l'a déjà recouvert. Quoique, vu comment elle vient de retomber, je pourrais bien jeter un regard.

Et pourtant, ça n'est pas à ça que je pense. Je soupire, lourdement. Il m'exaspère encore un peu plus. Comme s'il me poussait dans le gouffre de l'exaspération. Je ne l'aurais jamais cru capable d'une telle chose. Qu'il me provoque un tel niveau d'agacement. Encore nu, il me plaque contre le frigo et je fronce les sourcils. Je n'ai même pas le temps de réagir qu'il coince ma lèvre entre ses dents, grognant quelques mots qu'il a déjà prononcé un peu plus tôt. Il me lâche, mais je ne bouge pas d'un poil. Bordel, qu'il est emmerdant. Un vrai chieur. Je le laisse à la cuisine, il m'a tellement agacé que je n'ai plus envie de jouer à ce petit jeu. J'en ai juste marre de le voir bourré à faire n'importe quoi, et je veux juste aller me coucher. Alors je vais à la chambre pour prendre un jogging, boxer ainsi qu'un T-shirt, et retourne dans la cuisine. il est toujours appuyé contre le lavabo et je roule des yeux. Il est vraiment exaspérant. S'il ne voulait pas être malade, il ne fallait pas qu'il boit autant.

Je le tourne pour qu'il soit face à moi, et plonge mon regard encore colérique dans le sien. « T'es trop con, putain ! J't'ai jamais cru capable de me tromper. Et puis même si j'l'avais cru, t'crois vraiment qu'j't'aurai ouvert la porte ?! Je t'aurai sans doute laissé dormir dehors putain ! Maintenant fringue toi et va t'coucher. » Je lui donne les vêtements que j'ai préparé en le flinguant du regard avant de partir dans la chambre. Ouais, j'vais quand même dormir avec lui, mais il n'a pas intérêt à me toucher, parce que s'il le fait, je me tire dans une autre chambre, ou sur le canapé. Je soupire, me déshabille. Je garde quand même mon boxer, puis m'allonge dans les draps, à ma place, en tournant le dos à la porte. Je ne veux pas le voir arriver, je veux juste m'endormir, même si je ne sais pas si ma rage me le permettra. En tout cas, je vais essayer.
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Jaley.
J’arrive à peine à me contrôler, et le pire dans tout ça c’est que je sais que j’ai l’air pitoyable, ridicule. Mais lui alors ? Il me sort des paroles non fondées sur des choses qui n'existent guère. Je n'ai jamais pu le tromper encore moins…  Draguer ? Je sais que j'ai discuté avec plusieurs femmes, même plusieurs hommes mais mon intention n'était pas mauvaise. Juste normale. Mais là, il ne dit plus rien. Je sens encore son regard noir sur ma personne et je me maudis d'avoir été à cette soirée. Je ne regrette pas d'avoir bu, mais peut-être que j'aurai dû le prévenir que c'était une fête étudiante. Ou je n'en sais foutrement rien ! Mes idées se bousculent entre elles, et sont totalement mélanges. Je ne suis pas en état de réfléchir, pas maintenant. J'ai besoin de dormir. Lorsqu'il part, je grogne à travers mes dents en me tournant vers le lavabo. Heureusement pour moi il y avait déjà un verre et je le pris en y versant une bonne quantité d'eau, histoire de boire et de me soulager un peu puisque mon fiancé n'est actuellement pas capable de prendre soin de moi. Honnêtement, ça me bouffe. Je ne cesse de me répéter mais je n'ai rien fait. Et si c'était le cas, il me l'aurait clairement dit. Là il me faisait juste attendre avec plaisir, entre la douche froide et le fait que je perds ma serviette devant lui. D'accord, je ne suis pas totalement libre de mes mouvements et j'espérais en entrant avoir un accueil plus chaleureux que ce dernier. Peine perdue. Il revient assez vite et il me tends les habits. Pourquoi un jogging et un tee-shirt ? Je dors toujours en boxer et… J'ai compris. Je lui arrache des mains et j'enfile le tout adossé contre le mur derrière moi. Si cela ne tenait qu'à moi j'aurais pu très bien dormir avec mes habits de la soirée. Mais quelqu'un m'a jeté dans l'eau froide donc conclusion je ne pouvais me permettre de dormir ainsi. Je le remercie doucement, la tête baissée et qui me lançait des coups tant j'avais mal. Demain, cela allait être une très rude journée. Je ne voulais d'ailleurs pas y penser…

En le rejoignant dans notre chambre. Je vois aussitôt qu'il me tourne le dos. Je m'avance en essayant de me tenir droit, ou en essayant de ne pas tomber grâce aux meubles qui m'entourent. Et je réussis avec difficulté à rejoindre le côté de mon lit. Je n'aime pas dormir autant vêtu. D'ailleurs, je ne manque pas de faire la réflexion à Harley qui d'habite dort sans boxer. « …Je ne vais pas te violer. » C'est l'impression qu'il me donne en étant ainsi. Et au fond, c'était un peu blessant. Qu'il ne veuille pas que je le touche, d'accord. Mais au point de s'habiller comme s'il avait peur que je me jette sur lui. Je l'étais moins. Alors, certes. Précédemment je me suis peut-être comporté comme un gros imbécile qui voulait juste baiser. Quand je suis dans cet état, mon excitation augmente et je peine à garder ça au fond de moi. Je soupire doucement, et je me couche. La tête lourde je ramène les draps sur mon corps en venant ôter mon tee-shirt et mon jogging que je balance dans un coin de la pièce. Il ne veut pas me regarder, alors j'évite de croiser son regard qui me lance des couteaux. Je respire profondément en mettant un pied à l'extérieur. Je suis médecin, et je sais que dans un tiroir il y a des aspirines pour les maux de tête. Mais je préfère mourir avec cette douleur que de demander à Harley de m'en apporter. Il risquerait de m'empoisonner sans que je le sache.


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Run, boy, run.
Je savais parfaitement qu'il n'allait pas me violer. Je n'ai pas pensé à ça en dormant avec un boxer. Du coup, à sa phrase je soupire, et je retire le vêtement. Parce qu'il sait comme moi que je suis davantage à l'aise nu. Je le balance sur le sol un peu plus loin et me blottis dans les couettes. J'ai un peu froid, et c'est bien normal, d'habitude je me blottis toujours contre lui pour m'endormir mais.. Ce soir, j'ai tellement la haine, la rage qu'il soit rentré dans cet état, qu'il ait participé à cette fête étudiante sans jamais rien m'en dire, que je résiste à l'envie d'aller lui faire un câlin. Parce qu'il ne faut pas se voiler la face : j'ai envie d'aller vers lui. Mais en même temps, je ne veux pas le lui céder. Alors, après qu'il se soit installé, j'essaie de m'endormir comme je peux, en serrant mon oreiller contre moi, ainsi que les couettes pour me réconforter un peu.

15:03 PM.

Je suis réveillé depuis environ une heure, et ma première réaction en me réveillant, c'est de me tourner vers lui. Bien sûr, je l'ai regardé jusqu'à me remémorer ses actes de la veille. Et la colère qui avait été éteinte durant le temps de mon sommeil s'est ravivée. Dans un soupir, je m'étais levé et étais parti au salon pour fumer une clope en essayant de penser à tout ça. Mais j'étais quand même assez mal réveillé, alors ce n'était pas simple. Et finalement, j'ai déposé un verre d'eau et des aspirines sur sa table de chevet, et plié ses vêtements que j'avais également posé sur celle-ci pour qu'il ne manque de rien à son réveil. Un réveil plutôt facile, malgré ma colère.. C'est ce qu'on pourrait se dire. Mais en prenant mon petit déjeuner, j'y pensais davantage. Sincèrement, il serait rentré comme ça alors que j'étais au courant de sa soirée, je n'aurais pas réagi de la même façon. Je l'aurais certainement dorloté et aidé comme j'aurais pu. Pourtant, ça n'était pas la même chose. Pas la même situation. Il a juste omis de me dire un truc, et juste ça fait toute la différence.

Une heure après mon réveil, je tends l'oreille. J'entends quelques bruits provenant de la chambre, et je me doute qu'il est en train de se lever. De s'habiller peut-être. Et comme je fais le ménage, j'en profite pour mettre la musique un peu plus fort - bon ok, beaucoup plus fort - et l'artiste n'est pas au hasard. Il s'agit de Kendji Girac, un "artiste" qu'on ne peut voir ni l'un ni l'autre.. Sauf si c'est pour énerver l'autre. Bon, je supporterais pas s'il me faisait ça mais j'étais vraiment en colère contre lui. Peut-être même pire qu'hier soir. Alors, je fais tinter les casseroles dans un bruit insupportable, même pour moi, et lorsque je le vois, je le regarde d'un air colérique, puis lui jette quelques mots innocents, en gueulant plus fort pour qu'il puisse bien bien m'entendre. « Salut chéri, t'as bien dormi ? Pas trop fatigué ? Pas trop mal à la tête ?? »
zelda
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Je suis bourré.







Jaley.
J'avais mal au crâne, j’avais du mal à me reprendre de ce sommeil qui malgré tout, n’était en rien réparateur. Je m’étais endormis éloigné d’Harley, celui-ci n’avait nullement bougé durant ce moment, il ne s’était pas tourné vers moi, une seule fois. Je soupirais, d’agacement. Je le sentis bouger dans le lit annonçant qu’il se levait. C’est avec surprise que je n’entendis pas vraiment de bruit, il déposait même un médicament ainsi qu’un verre d’eau. Le contraire de ce qu’il faisait hier puisque la plupart du temps il m’avait envoyé les choses en pleine tête. En me retournant, je pris dans mes bras son oreiller. Puisque je ne l’avais pas eu dans mes bras durant toute la matinée, je me réservais un petit moment pour humer son parfum qui vint me chatouiller les narines. Je devais descendre, j’avais faim. Et j’avais surtout la bouche sèche. Buvant l’eau avec le médicament je décidais de me lever en enfilant aussitôt un jogging et un tee-shirt simple. La tête dans le cul, ouais cette phrase n’a jamais eu vraiment de sens, jusqu’à maintenant. J’allais m’avancer, avant d’entendre une musique résonner dans tout l’appartement, mais également des bruits fort qui remontaient le long de ma colonne vertébrale jusqu’à ma tête. Bordel de merde, c’est quoi ça ? Il était encore à me faire payer les événements de hier ? Je posais ma main sur mon front qui me faisait tout particulièrement mal. Dévalant le couloir pour pénétrer dans la salle de séjour. Je le voyais, à ces traits qu’il était encore très énervé et que je n’avais aucun moyen pour retirer cette haine qu’il avait en lui. C’était dingue, je ne disais rien. Je ne faisais que soupirer encore une fois par ça question qui me semblait débile, comme cette putain de musique que j’insupporte. Je scrute d’où vient la musique, avant de regarder son téléphone portable en éteignant cette mélodique qui réveillerait les morts. Puis, je plonge mon regard agacé dans celui de l’homme que j’aime. « À quoi tu joues ? Tu sais que j’ai mal au crâne, tu n’as pas besoin de demander, et encore moins de faire autant de bruits. Putain, tu vas continuer à te comporter de cette manière ?! » Je gueule un peu trop. Je me calme ensuite, en fourrant mes mains dans les poches de mon jogging. Hésitant, mais pas trop. Je m’avance vers le frigo où je sors quelques restes en les plaçant sur le comptoir. Je ne sais pas quoi faire d’autre. Je n’ai rien fait de mal à mes yeux. Et encore, si c’était le cas il pourrait tout bonnement discuter pas foutre le bordel dans l’appartement. « On n’est pas les seuls dans le bâtiment. Fais pas trop de bruit. » J’examine du coin de l’œil. Avant de prendre les plats et de m’avancer vers la table ronde où je m’y installais. Regardant la vue que j’avais en ce début d’après-midi.

On ne se parlait quasiment pas. Il faisait exprès de m’énerver davantage en se comportant de la sorte. Le problème, c’était que je ne comprenais pas pourquoi il faisait cela. Je sais que je suis rentré dans un état lamentable hier soir, mais en rien je ne lui ai manqué de respect. Je sors mon téléphone de ma poche, et je commence à regarder les réseaux sociaux en mangeant un bout en même temps. J’ai envie de rester tranquille aujourd’hui, de m’enfermer dans la chambre sans un seul putain de bruit. Pour moi, et ma tête qui me donne l’impression d’exploser à tout moment.



Zelda pour ILH



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