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Indiana&Caïn - Climat polaire, cacahuètte et gousse d'ail

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"Vas'y bouge tes gros doigts de pieds là ! J'vois pas la télé !" C'est peut-être la seule chose qui est gros chez elle, ces doigts de pieds. Loin d'être glamour d'ailleurs. Elle fait comme chez elle, elle fout les pieds sur la table, limite elle va s'allonger sur moi comme si j'étais son petit copain, comme si j'étais ce mec qui allait passer mes nuits en sa compagnie, qui n'allait vivre que pour elle. Je n'étais pas ce mec, je ne l'étais plus. Mais je l'aimais bien, je continuais d'être attaché à elle, de passer du temps en sa compagnie, quelques nuits à ces côtés, par la même occasion, mais c'est pas pour autant que j'étais son copain, cette période était révolue. Alors je me servi de mes pieds encore plus grand que les siens, j'fais du quarante quatre si l'envie de m'acheter une nouvelle paire de chaussures vous intéresse au passage, pour dégager les siens de la table, histoire d'avoir une meilleure vue sur la télé, et sur je ne sais quelle émission de merde que je regarde même pas en fait. "T'as pas payé ta facture ou quoi ? On se caille ici !" Je regardais partout autour de moi, cherchant du regard une couverture ou une connerie du genre, parceque putain, c'est loin d'être la côte ouest dans son appartement, moi qui était habitué au soleil, en arrivant ici, j'avais été servi. Pluie, bordel, tempête, brouillard et autre conneries qui te donnent envie de crever au milieu de la route, devant tout le monde tellement ce temps de merde te donne une vie de merde. Bref, j'ai froid moi, faut qu'elle pense à aller allumer le chauffage si elle veut pas que je clamse sur son canapé. •


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est-ce que le réconfort d’un pote ou celui d’une femme séduisante
pourrait m’éloigner ou même me guérir d’un passé qui m’hante ?


le crépuscule avait signé sa mort et laissait place à la nuit froide des temps pluvieux. la chaleur fictive de l’appartement planait autour d’eux comme un coin hors du temps, hors de l’espace, loin de l’agitation de la ville. il était là. encore. inlassablement, il venait bousculer de nouveau son quotidien, venait froisser ses draps et repartait comme un courant d’air que l’on peut à peine apercevoir. fantôme d’un passé encore trop proche. ses paroles étaient cassantes, franches et l’habitude l’avait poussé à ne plus faire attention, à ne plus relever ce qui pouvait être blessant ou vexant. il était comme ça et quelque part, c’est son honnêté qui l’avait en premier lieu attiré, après son cul et ses mains. bien après ça, c’était les sons qu’il lui arrachait la nuit qui l’avaient conquise. « arrête j’entends rien là. » elle le pousse de son épaule et il bouge à peine mais elle a la sensation d’avoir riposté comme elle le pouvait. elle fronce légèrement ses sourcils et son visage prend des airs de gamine à qui on aurait volé un moment. elle soupire, longuement, avant de se décidé à se relever. « sérieux, t’es chiant. il fait bon là. y a pas besoin de chauffage. » dit-elle d’une voix faussement agacée, trahit par son sourire en coin qu’il provoque en étant provoquant lui-même. elle pousse ses jambes d’un coup sec pour passer et attrape un plaide sur un fauteuil pas loin avant de lui balancer. y a rien de descriptible dans leur relation, y a pas de comparaisons possibles. il a beaucoup été pendant un temps, et il n’est plus rien, et pourtant, quand il vient frapper à sa porte, elle lui ouvre et le laisse entrer dans son appartement, dans sa vie, dans sa tête. son regard se perd quelques secondes sur l’extérieur et au travers de la vitre couverte de goûte, elle aperçoit la pluie qui s’abat sur boston de manière spectaculaire. « il pleuvait pas autant tout à l’heure quand t’es arrivé. c’est fou. c’est presque flippant. »
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• Pour être un modèle, il faut déjà en avoir eu un. J'ai jamais eu de modèle, de personne à suivre, de père à idolâtrer. Je l'ai renié comme j'ai renié ma famille, comme j'ai renié la personne que j'aurais pu devenir. J'ai sombré dans l'alcool, la drogue et toutes ces mauvaises choses qui ont fait de moi le mec que je suis aujourd'hui. J'ai jamais cherché à être quelqu'un d'autre, à être une personne respectable avec des mocassins dans les pieds. Je mets des baskets et je bottes des culs. "Bah toi t'entends rien mais moi, j'vois rien j'te dis !" Je nne cherche pas à voir, à m’intéresser à ce qu'il y a à la télé, je m'en moque, c'est juste pour avoir un fond, et occasionnellement, la faire chier. Si on me demandait de décrire cette relation qu'on a, je ne pourrais pas le faire, aucun mot ne pourrait le faire. Nous étions juste deux personnes avec des points en communs qui passaient du temps ensemble. J'aurais pu la laisser, disparaitre de sa vie et lui permettre par la même occasion de s'éloigner de toutes ces conneries que je pourrais lui offrir, mais je ne l'avais pas fait, il y avait toujours cette attirance pour elle au fond de moi, cette envie de passer du temps en sa compagnie. "J'suis un mec du soleil moi, j'ai l'impression d'être en Norvège là !" Et sans plus attendre, je reçu un plaid en pleine gueule. C'est pas ça qui va me faire mal, ça ne peu que me faire du bien. Je le pose sur moi comme une couverture, pour essayer d'avoir un peu plus de chaleur. "Tu dis quoi miss météo ?" J'étais bien trop occupé à chercher de la chaleur à l'intérieur de ce plaid, je n'avais pas trop écouté ce qu'elle venait de me dire, j'avais juste entendu le mot pluie et flippant... •


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it was a big big world but we tought we were bigger.


elle s’était habituée à la fraicheur du pays, à ses couleurs parfois ternes et ses vents glaciales d’hiver. elle, l’australienne au sang chaud et à l’esprit inflammable. elle connaissait les chaleurs d’été, les rayons de soleil qui brûlent. elle avait vécu cette vie où l’on a jamais froid, où l’on se plait sur les plages et sur le bitume. elle leva les yeux au ciel et secoua la tête. « tu ne veux pas que je vienne te chauffer aussi pendant que j’y suis ? » question rhétorique qui ne sous entendait aucune attente de réponse. parce que même s’il lui avait demandé elle aurait refusé. pas par égoïsme, ni pour le jeu du refus qui les fait tous courir. elle savait qu’il n’était pas de ceux avec qui ce genre de démarche fonctionne. mais elle le connaissait par cœur et se connaissait encore plus. ça commence par une caresse et ça finit par des gestes érotiques. elle s’était promis de ne jamais recommencer. mais comme une alcoolique a qui l’ont offre une bouteille, elle était incapable de résister. « je disais qu’il pleut vr.. » elle eut à peine de temps de finir sa phrase qu’une rafale de vent s’éclata contre la vitre créant un sifflement presque inaudible et ils furent plongés dans le noir. un sentiment de malaise s’installa en elle, comme une femme qui a cessé de grandir, elle était terrifiée par l’obscurité, par ce qu’il pouvait y avoir et qu’elle ne pouvait pas voir. « putain. » lâcha-t-elle au milieu du silence qui s’était installé quelques secondes. les yeux toujours rivés sur la vitre, elle scruta le bout de rue qu’elle était capable d’apercevoir. son pire cauchemars. « caïn. c’est tout noir dehors. je crois que y a plus d’électricité. »
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"Tu pourrais si, même avec tes quarante kilos, j'pense que tu dois tenir chaud." Et je le savais, qu'elle pouvait tenir chaud. Je l'avais déjà vécu, notre histoire et notre rencontre ne date pas d'aujourd'hui. Devant sa fenêtre, elle me parlait de la pluie et du beau temps, comme si nous étions des vieux enfermés dans une maison de retraite avec pour seul occupation une télé diffusant toute la journée les feux de l'amour ainsi qu'une fenêtre donnant sur un endroit que nous ne devions pas découvrir, dehors. Je la taquinais, je la faisais chier, comme à mon habitude, je me moquais d'elle, mais d'un coup, tout se coupa. "WHO !" J'avais sursauté et gueulé, perdant toute crédibilité. Bon, j'pense pas en avoir énormément mais bon, si j'en avais, là je viens de tout perdre et de redescendre au rang de petite fillette apeuré par l'orage. "T'as touché à quoi?" Elle n'avait touché à rien, je ne sais même pas pourquoi je venais de poser cette question, je ne savais pas ce qui m'était passé par la tête en fait. "J't'ai dit que t'as pas payé ta facture, du coup pour te punir tout le quartier n'a plus d’électricité ! T'as bien couillé cette fois ci !" Je m'étais levé et je l'avais rejoins vers la fenêtre. Dernièrement, le beau temps n'était pas présent, mais j'pensais pas que ça allait couper toute électricité en fait. Sérieusement, si on doit s'éclairer à la bougie, j'vais me sentir mal. •


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