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CALAGE • Burn.

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T'es écœuré de toutes ces vérités, t'as qu'une envie c'est d'aller t'foutre en l'air, d'te planquer au fond d'un bar et de boire jusqu'à ne plus connaître ton prénom, jusqu'à n'plus savoir qui tu es ni d'où tu viens. Tu veux tout changer, tout recommencer et pourtant tu sais bien que c'est impossible, tu sais bien que peu importe à quel point tu te détruiras, ça n'changera rien, rien ni personne ne pourra changer qui tu es. Mais t'es perdue, tu sais plus, tu sais plus rien, tu pensais avoir retrouvé quelqu'un d'important, quelqu'un que tu croyais serait là pour toi, avait pu être là pour toi dans le passé mais ce soir t'apprend que non. T'es bel et bien toute seule, la petite orpheline, abandonnée de tous, la tâche noire sur un tableau bien trop beau, et bordel c'que t'as envie de chialer. C'que t'as bien de vider toute c'que tu tentes de garder au fond d'toi depuis le début de ses aveux. Un flot d'émotion qui te submerge, Alors tu prends la fuite, comme d'habitude quand t'as mal. Tu t'barres. Mais sa voix t'en empêche, ses mots résonnent et tu marques un arrêt net dans le sable. Il t'interpelle, une partie d'toi t'ordonne de décamper, de ne plus y penser mais l'autre partie, la plus faible t'oblige à rester. Tes jambes ne veulent pas suivre les ordres, les pieds enfoncés dans le sable tu écoutes, dos à lui ne te concentrant que sur sa voix. Sans dire un mot, t'écoute et ses paroles te frappent de plein fouet. C'est un trop plein d'sentiment qui en découle, colère, regret, désir, curiosité.. Tu te retourne finalement petit à petit, le laissant terminé son monologue alors que t'as tellement de chose à dire, que t'as trop de chose sur le coeur et c'est comme si les mots restaient bloqués au fond d'ta gorge. Il se retourne à son tour, lançant un regard bref autour de vous Avant de t'approcher de faire demie tour pour revenir jusqu'à lui. - J'ai pas besoin qu'on m'protège, j'avais pas besoin que tu prennes les décisions à ma place.. Me protéger de quoi ? Tu m'fait pas peur Caleb ! Nan, t'as pas peur. Et encore mieux, t'aime le danger, t'en as toujours était attiré, c'est l'truc que t'aimait le plus chez lui. - Certains diront que j'suis folle mais moi la vérité c'est que j'aime ta folie. C'est c'que t'as toujours aimé depuis que vous êtes gosses. - T'es qu'un gros connard Caleb ! Le pire même.. Mais je t'aimais vraiment bien moi.. Vraiment. T'insiste, tu sais pas pourquoi tu dis ça ni même si c'est une bonne idée mais tes mots dépassent tes pensées et franchissent le fin portail qu'est ta bouche. T'aimerais les retenir, la fermer et juste partir comme t'as voulu le faire quelques secondes plus tôt mais c'est impossible, tu reviens à lui comme un aimant. Malgré toi. - Regarde le résultat.. T'es partit et c'est pas pour autant que j'me suis pas brisé toute seule. Que tu lances dans un soupire, croisant les bras sur ta poitrine et tu reviens t'appuyer sur ce même rocher du début. - Si t'as aucune raison valable de pas me laisser partir alors oublie moi comme je t'oublierais. Un ton froid limite glaciale avant de te redresser, avancer vers lui pour capter son regard. Tu veux lire dans ses yeux, tu qu'ils te parlent, qu'ils te racontent la vérité parce que tu sais très bien que sa bouche ne le fera jamais. - Alors ? Que tu demandes impatiente sans quitter son regard.





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— with @J. Sage Lewis

Tu comprends plus rien. T’as l’impression que quelqu’un d’autre parle à ta place. Ton monologue ne se montre même plus hésitant, t’as une vague de confiance, comme si t’étais destiné à dire ces mots ici, ce soir. C’est quand tu te retournes vers elle que tu te sens beaucoup moins audacieux sur la direction qu’t’as envoyée la discussion. T’as comme l’impression que tu devrais lui donner certaines réponses, mais t’as même pas idée de ce que les questions sont vraiment. T’esquisses un sourire froid lorsqu’elle t’informe qu’elle n’a pas besoin de ta protection. T’as jamais cru qu’elle avait besoin de protection autre que face à toi. Tu l’a toujours vu différente de comment les autres la voit et en fait, voir même différemment de comment elle s’interprête elle-même. Tu peux pas t’empêcher de croire ton propre constat ; face à toi se tient une femme blessée, détruite, incertaine d’avoir la force nécessaire pour passer au travers des épreuves présentes, mais t’y vois une étincelle. Une force inexploitée que t’aurais pu l’aider à maîtriser si t’aurais fait le choix contraire le jour où qu’t’es parti. Tu savais qu’Sage avait rapidement pris goût au danger dans lequel tu l’amenais sans remord. T’as commencé à avoir une de ses frousses au moment où tu t'inquiétais. Ou du moins, quand t’as commencé à te soucier de c’qui pouvait lui arriver quand elle se tenait avec vous, les jumeaux. Tu pouvais rapidement voir que Sage était née pour ce mode de vie, qu't'aurais pu faire d'elle une complice à long terme, mais t'aurais brisé cette partie d'humanité en elle qui t'avais toujours intrigué. Cette humanité que t'avais jalousé, qui t'avais attiré à certaines reprises, une attirance que t'avais rapidement chasser de ton esprit vu le fait qu't'avais toujours cru la considérer comme une petite soeur.

Ton regard se dépose au fond du sien au moment où t’entends le mot vraiment s'écraser deux fois au fond d’ton oreille. T’as probablement jamais entendu le mot vraiment suivi du verbe aimer dans ta vie. Ça te fout les jetons encore une fois parce que t’as l’impression qu’ces mots te font un de ces biens. Tu sais pas quel genre de bien, tu sais juste qu’une chaleure distinguée t’recouvre. Tu veux même pas savoir pourquoi, parce que tu t’en fous, pas vrai? « T’as pas envie d’m’oublier Sage. » Tu murmures, reprenant une confiance tant attendue. T’agrippes son haut de ta main droite, l’approchant un peu plus, comme si t’étais à la recherche de proximité. « Comme t’as t’as pas envie d’me voir partir non plus. » Ton regard se dispute ses lèvres et ses yeux quelque fois avant de se recentrer à nouveau. « Tandis que moi, j’ai pas envie d’te donner de raisons valables à rester, parce que j’ai vraiment pas envie d’parler avec cette merde ce soir. » Tu viens de te vendre, de donner ton âme au diable. T’es discret dans tes propos, mais au moment où tu dis cette “merde” tu déposes une fraction de seconde ta main sur ton coeur, expliquant qu’les raisons pourquoi tu peux pas la laisser partir se cachent probablement au fond d’ce truc que tu préfères utiliser qu’pour pomper ton sang. Tu laisses les sous-entendus planner ce soir, t’sais pas trop pourquoi t’as le coeur foutu sur la main, t’as l’impression qu’tu dois laisser sortir un peu d’ce que tu t’empêches de ressentir depuis toujours. Ce que tu redoutes le plus, c'est qu'tu sais qu'tes pas bon pour elle. Tu sais qu'tu t'ouvriras jamais plus parce que c'est déjà voué à l'échec. « Laisse moi une chance d'te laisser une dernière impression de moi moins amer. » Tu dis, comme si t'es toujours prêt à c'que ce soir soit votre dernière soirée ensemble, bien que ce soit vos retrouvailles. « Et j'ai pas envie d'être seul. » T'espère que cette vérité, si futile soit-elle, soit suffisante pour faire comprendre à Sage que t'es plus là pour te foutre de sa gueule et qu't'es plus en mode attaque. « Viens chez moi. Une bière au chaud et on pourra décider si on s'catégorise d'ennemies à vie rendu là. » T'étouffes un léger rire, t'espères que tu pousses pas trop ta chance, il fait juste vraiment froid ; c'est pourquoi tu prends ton téléphone et commande un Uber, parce que sérieux, tu t'vois pas marcher 30 minutes jusqu'à chez toi.




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C'est comme si c'soir tu venais d'rencontrer une nouvelle personne, comme si c'était quelqu'un de différent de ton passé, comme si tu venais à le réapprendre de nouveau. Tu l'voyais différemment, d'une façon dont t'as sûrement pas envie, une façon qui causerait trop de torts, trop de problèmes, trop de maux. Alors tu balayes les pensées d'un nouvel élan de sentiment qui te travaille l'estomac, d'un nouveau fracas qui te donnerait le coup de grâce. Il a cette lueur diabolique dans le fond de ses yeux, le brasier de l'enfer qui y règne et bordel ce que t'aime t'y perdre. Ce que t'aime plonger dans ce regard de feu, ce regard qui vient enflammer ta peau. Putain c'Que tu peux détester ça aussi, ce sentiment absurde que tu n'connait pas. Et il reprend de plus belle, puant l'assurance à plein nez ou une hypocrisie cachée, tu doutes encore. Tu ne peux t'empêcher de rire à sa remarque, arquant un sourcil provocateur. - J'ai p'têtre pas envie mais je le ferais. Que t'affirme avec conviction alors que vos regards se battent dans un duel épineux. Il attrape ta veste, te ramenant à lui et vos corps s'entrechoquent. Ta peau réagit à cette proximité, contre ton gré, y'a un truc qui s'forme dans ton bas ventre sans comprendre quoi. Et ses yeux t'hypnotisent encore. - T'sais.. T'es partit une fois, je m'en suis remise alors si tu pars à nouveau.. Je m'en remettrais plus vite. Cruelle. Tu te met au même niveau que lui, sous ton faux air JE m'en foutiste, au fond d'toi tu sais qu'il a raison et comme pour échapper à la vérité tu lui vole sa clope pour la placer entre tes lèvres. Ton regard se baisse vers l'organe qu'il désigne, tu souris encore, froissant la bouche. - Ah parce qu'il existe vraiment "ça" chez toi ? Tu pointes sa poitrine du doigt, tirant les dernières bouffées sur ce qu'il reste de sa clope avant de la balancer à la mer. Tu sais pertinemment que t'auras aucune raison valable d'sa part, probablement qu'il en a pas, que ce qu'il a dit juste avant c'était vrai. Que tu serais jamais une exception, qu'il en a rien à battre d'toi, qu'il tente de te retenir parce qu'il s'emmerde. Qu'il a besoin de fuir la solitude. - Un deal est un deal.. T'as oublié à quel point j'suis têtue ? Tu te dégage de son emprise en repoussant ses mains, sourire aux lèvres tu marches lentement à reculons les mains derrière le dos. - Ou p'têtre que t'as tout oublié de moi puisque j'étais pas importante pour toi.. Tu le tacle, lâchant un soupire en levant les yeux au ciel. Tu faisais comme si ça n'avait aucun impact sur toi mais si. Ça en avait, les effets se feront ressentir quand tu seras au fond d'ta couette, quand le noir viendra te bercer. - J'ai toujours pas eu de raisons valables d'rester alors.. Les doigts contre ta tempe, tu lui fait un dernier salut de loin. - Appelle une pute elle te tiendra compagnie plus facilement qu'moi. Au revoir Caleb. Les mains au fond d'tes poches, le ventre sans dessus dessous, le coeur et ses multiples questions, tu prends la route en direction de chez toi, sans te retourner, dans le regarder parce que ça ferait trop mal.





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— with @J. Sage Lewis

T’esquisses un sourire agacé au moment où tu comprends qu’t’as perdu depuis l’début, qu’tes efforts vont se ramasser aux oubliettes. Que peu importe c’que tu lui donne comme information -bien que tu fonctionnes sur les sous-entendus depuis le début-, tu sais que si t’es pas plus précis, que si tu lui donnes pas une raison authentique de rester, qu’elle va partir. D’un côté, t’es rassuré qu’elle te considère comme un moins que rien. De l’autre, t’es pas sûr qu’c’est le choix le plus bénéfique à ta santé mentale. Mais t’es déjà qu’un gros boulet sans émotion, ou du moins, c’est ainsi qu’t’es considéré depuis toujours, aussi bien faire comme si tu t’en foutais vraiment. Tu réalises que t’y as été trop fort avec les mots et qu’ça non plus tu peux pas les effacer. Ça fait six ans, tu peux pas t’attendre à ce qu’elle te pardonne tout comme elle le faisait si bien auparavant. T’es plus qu’un fantôme du passé, poussières au travers de ses souvenirs les plus douloureux.

Ton visage arbore un air beaucoup plus sombre que franc au moment où elle se défait de ton étreinte forcée. Tu détestes perdre, t’as pas l’habitude et tu sais qu’en ce moment tu perds sur toute la ligne. Parce que tu t’es ouvert plus que jamais, même si ça semble n’être qu’un rien pour elle. « Arrêtes de dire ça.. » répliques tu à ses propos répétitifs comme quoi t’as jamais tenu à elle.  Mentalement, t’es sur le point d’être vraiment agressif. T’essaies de cacher cette rage qui monte en toi, parce que tu veux tout sauf empirer ton cas. T’as envie de partir, d’abandonner parce que tu sais qu’tu peux rien changer à la situation. Que c’est pas normal pour toi d’vouloir te battre bien que ce soit vraiment pénible d’le faire.Tu déposes les armes au moment où elle choisit de vraiment partir. « Sage… » Tu dis, sentant le goût amer que son nom te laisse dans la bouche. Quand tu sais pas comment réagir, t’as juste plus les mots. Tu perds toute capacité sociale. Tu t’allumes une nouvelle cigarette, à l’attente de ton taxi. Tu la vois s'éloigner, et tu sais qu'c'est pas c'qui devrait se passer en ce moment.

Ton Uber arrive, tu réalises que t’es sur le point de vraiment tout laisser tomber. Encore une fois. Tu regardes Sage au loin, acceptant ta défaite. Ou ta victoire. Tu sais plus c’que tu veux vraiment. Tu ranges ton téléphone dans tes poches, ouvrant la portière de l’auto, t’y installant enfin. Tu déclares ton adresse au chauffeur, te dirigeant automatiquement vers chez toi.

Tu réalises sur quelle pente tu fais glisser ta tête en ce moment. Celle que t’as jamais pris en compagnie de Sage. Tu peux pas partir, tu peux pas te résoudre à être un lâche à nouveau. T’as pas le droit de répéter les mêmes erreurs toute ta vie. Tu ordonnes au chauffeur de suivre cette dernière ; le temps que t’ouvres ta fenêtre, tu commences à t'exprimer, la voyant marcher au côté du taxi. « J’ai pas oublié qu’t’es bornée. » T’utilises pas le terme têtue parce que tu trouves que bornée s’affilie beaucoup mieux avec elle. Ton regard noir se dépose sur elle, alors que tu demandes au chauffeur de ralentir un peu plus. « J’ai pas oublié c’que je ressentais non plus. » Tu déglutis, tu sais pas c’que tu veux dire par “ressentais”. Tu sais qu’c’est pas une déclaration d’amour ou quoi que ce soit, c’est probablement ta façon à toi d’lui dire qu’elle a compté d’une façon que très peu de gens ont compté pour toi. « J’ai rien oublié Sage. » Tu refermes la vitre par laquelle tu parlais, t’es en direction d’chez toi. T’auras été honnête ce soir. Pas d’la façon qu’elle voulait, mais tu lui auras fait comprendre que t’es pas le connard le plus insensible sur Terre.

HJ : on termine le susu comme ça?  CALAGE • Burn.  - Page 2 2474380249

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