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i didn't know that i was starving until i tasted you (sloan)

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Un texto de Sloan et j'avais longuement hésité à répondre. En fait, pour tout dire, j'ai pas répondu. Mais quand il m'a parlé de son nouveau studio au centre et d'un jaccuzzi, bah... J'ai sauté sur l'occasion. En même temps, j'ai besoin de sortir, de m'aérer l'esprit et de prendre de bon temps. Et je sais d'avance qu'avec Sloan, je risque de déconner bien comme il faut. Enfin, j'espère. Rapidement, je quitte mon pyjama polaire ainsi que mes deux animaux de compagnie pour aller à la douche. Le chat me suit rapidement et passe son temps à marcher le long de la baignoire. Il va finir par se casser la gueule et... ça ne loupe pas. Aspergé, il fait un bond et se cache dans un coin de la baignoire. " Bébé... Fallait pas venir avec... " Ce chat est un putain de pervers, y a pas à dire ! Je le place dans le lavabo juste à côté et me rince avant de le sécher et de faire de même avec moi. Pattenrond file vers le salon et moi, vers ma chambre. J'enfile mon dernier achat de l'été, un beau maillot de bain blanc une pièce et je me glisse dans une robe longue en laine noire avec des manches longues. Le temps est franchement dégueulasse ces derniers temps et je ne voudrais pas tomber malade. Serviette de bain, sous-vêtements propres, je glisse tout dans un sac et le glisse sur mon épaule. Escarpins aux pieds, je ferme bien les portes des chambre, de la cage de Croûtard et je file vers la sortie. Rapidement, un texto arrive et c'est mon chauffeur. Il ne fait pas chaud mais le soleil tape. C'est donc lunettes de soleil sur le nez que j'arrive chez Sloan après une bonne demi heure de trajet. Bushnell, Bushnell, Bushnell.. Je cherche son nom dans la liste qui défile et quand je le vois, je souris largement. Un appel, deux mots et la porte s'ouvre. Bien, j'aime ça. C'est plutôt classe, le quartier et cool et puis, s'il a un jaccuzzi, j'adhère encore plus. En haut, je frappe à la porte et souris largement quand il ouvre. " Salut beau gosse " Soufflais-je en écrasant mes lèvres sur sa joue. " T'habites un petit peu loin de chez moi quand même " Lançais-je avec un large sourire. Un petit peu trop loin même, devrais-je dire. " Tu me fais visiter ? " Demandais-je en lâchant mon sac qui s'écrase sur le sol bien propre de l'appartement.
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Tout s'était enchaîné très vite depuis la dispute avec Charline. Elle avait prit toutes ses valises et avait laissé une chambre d'hôtel oppressante. C'était assez contradictoire d'ailleurs. Sa chambre lui parait désespérément vide mais également remplie de souvenirs qu'il voulait chasser de son esprit. Quitter cet endroit semblait être la meilleure solution possible, du moins pour l'instant. Hors de question qu'il ne parte pour toujours, il chérissait trop cet endroit pour rendre les clés à la réception. Il était chez lui, cette chambre représentait, à coup sur, tous ses repères. Voilà huit ans qu'il y avait élu domicile, il ne pouvait pas quitter les lieux sans se retourner. Sloan avait finement joué son coup. Il avait expliqué à Georges, son beau-père, qu'il avait mit fin à sa relation avec Charline et que par conséquent, il voulait emménager avec sa nouvelle copine. Copine qui n'existait pas mais ça, le vieux n'était pas censé le savoir. Lorsqu'il venait faire une petite virée à Boston, l'étudiant faisait appel à Nienke pour se faire passer pour sa fiancé et le tour était joué. Ni vu, ni connu, je t'encule. Enfin, je t'embrouille. Le voilà donc dans un grand duplex en plein centre ville, c'était un nouvel appartement tout neuf, tout luxueux. Cela faisait deux jours qu'il avait posé ses bagages ici et franchement, il prenait doucement ses marques. Pas évident de passer à une suite dans un grand hôtel, à un appartement. Mais bon, vu l'engin, il pouvait faire un petit effort sur le ménage, c'était pas dégueulasse quoi. L'Eliot avait une vue imprenable sur tout Boston, le soir c'était juste sublime. La pendaison de crémaillère était prévue pour le week-end, le temps pour lui d'investir les lieux. Ce soir était un peu spécial, il ne se voyait pas passer la soirée tout seul dans ce gigantesque duplex mais avait clairement la flemme de bouger. Et puis, il y avait ce monstrueux jacuzzi dans la salle de bain, il lui faisait de l'oeil depuis le début celui-là. Tester un jacuzzi tout seul serait un véritable crime contre l'humanité. Sloan aurait pu inviter n'importe qui mais son choix s'était arrêté sur Kyla. Pourquoi ? Aucune idée, même lui ne savait pas trop. Pourtant son prénom ne faisait pas parti du haut de son répertoire de contact. Une intuition, une envie, une pulsion, appelez ça comme vous le voudrez. Le beau brun la connaissait depuis un moment déjà mais ils n'avaient jamais vraiment prit la peine de discuter ou de se voir en dehors de Cléo. Si bien sûr, il leur arrivait de se croiser en soirée mais ça s'arrêtait là. Il l'avait invité à passer mais ignorait si elle allait venir ou pas. Surprise. Au téléphone avec son meilleur pote depuis une bonne demi-heure, Sloan se dirigea vers la cuisine Américaine. Il se planta devant le frigo qu'il ouvrit à l'aide de sa main libre. A fond dans sa conversation, il attrapa une bière et referma maladroitement la porte. Il apporta la canette à la bouche et, à l'aide de ses dents arrières, décapsula la canette. D'un geste mécanique, il cracha la capsule à même le sol. « Rhaaa putain c'est vrai ! » râla-t-il avant de se baisser de la ramasser. Bah ouais mon con, il n'y avait personne pour passer derrière toi. L'Eliot allait devoir apprendre à faire attention. La bonne blague ! Lui qui était déjà incapable de se gérer lui même, imaginez un peu un appartement. Il ramassa donc la capsule avant la poser sur le bar. Ouais bah, il pouvait pas être parfait du premier coup. Il s'accouda sur le rebord du bar et apporta la bière à ses lèvres. Il bu une grosse gorgée, il commençait à avoir soif le petit. Il faisait tellement froid dehors mais comme il avait trop d'argent, il avait mis le chauffage à fond et se baladait en t-shirt. Ouais c'était quand même plus sympa que de se balader en moufle. Sloan racontait à Dante les derniers rebondissements avec Charline, il venait quand même de passer plus d'une heure au téléphone avec Athéna. Une vraie pipelette ce mec. Quoiqu'il en soit, le bruit de la sonnette le fit sortir de sa conversation, il raccrocha rapidement. Il s'avança jusqu'à l'interrupteur où il écarquilla les yeux et fronça les sourcils. Oh putain, comment marchait ce truc ? Il décrocha le téléphone et parla dans le combiner. Wouah la technologie de nos jours ! Il raccrocha après avoir appuyé le bouton. Il afficha même une mine satisfaite d'avoir réussi tout seul comme un grand. Non mais quel trou du cul. Bref ! L'Eliot fut étonné d'entendre la voix de Kyla, elle était finalement venue. Voilà qui annonçait une soirée des plus intéressantes. Lorsqu'elle frappa, il ouvrit la porte avec un large sourire. « Salut princesse. » lança-t-il, le sourire aux lèvres. La brunette s'avança vers lui et déposa un chaste baiser sur sa joue. Il éclata de rire lorsqu'elle avoua avoir fait tout ce trajet, rien que pour le voir. « Pourquoi t'habite aussi loin là ? T'as qu'à pas te terrer au fin fond de Boston. » lança-t-il bêtement avant de se décaler pour la laisser entrer. « Je t'en prie, fais comme chez toi. » lança-t-il en refermant la porte derrière elle. Sloan la regarda avancer dans l'appartement avec un petit sourire sur son visage. Et lui demanda de lui faire visiter les lieux. « Mais avec plaisir Kyla ! » dit-il sur un ton amusé. Il s'avança dans l'appartement avant de s'arrêter à sa hauteur et lui tendre le bras. Ils commencèrent par le salon qui ressemblait à une énorme pièce très lumineuse avec une cuisine ouverte dernier cri, un coin salon avec deux canapés et une table basse qui trônait en plein milieu. « Salon, baie vitrée avec vue sur Boston. Attends un peu qu'il fasse nuit, ça vaut le détour. Coin salon. » dit-il comme s'il allait lui vendre l'appartement. Voilà que Sloan se mettait à jouer les promoteur immobiliers maintenant. Il éclata de rire face à sa propre connerie. Ils arrivèrent devant l'escalier, il s'arrêta deux secondes. « Escalier, trente quatre marches, béton armé » balança-t-il d'un air faussement sérieux. Il n'y connaissait absolument rien, le pauvre. Il grimpa les escaliers, suivit de prés par Kyla. Une fois en haut, il reprit sa description. « Là, t'as ma chambre, dressing et salle de jeu. » dit-il en haussant les sourcils. Ouais, ouais, salle de jeu, il voulait se la jouer à la Christian Grey alors qu'en réalité, il avait comme une sorte de cinéma privatif. Une pièce moyenne avec un immense écran plat et des consoles derniers cris. Ouais ça vendait déjà moins de rêve. « Mais laisse moi deviner, t'es pas venu là pour ça. La vie de mon hamster t'es juste venue parce qu'il y a un jacuzzi dans ma salle de bain. J'te vois venir à des kilomètres, j'pari même que t'as déjà prévue le maillot de bain en dessous. » dit-il en rigolant. Sloan marcha à reculons jusqu'à buter légèrement contre la porte de la salle de bain. « Et moi, j'y gagne quoi dans cette histoire ? » Un maillot de bain bob l'Eponge ? Un refrain de Libéré, Délivré ? A vrai dire, il s'en foutait un peu, déjà le fait qu'elle soit venue lui faisait énormément plaisir.
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Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. Ouai j'y ai cru à cette phrase. J'y ai cru pendant deux longues semaines puis l'incendie et tout ce qui s'est passé après... Je commence à relativiser. C'est pas grave. J'ai le coeur en miette, je me sens pitoyablement seule le soir dans mon lit mais c'est pas grave. Y a d'autres chats dans la nature et je dois dire que, même si je me l'interdis, Darwin me plait plutôt pas mal. On déconne bien, on passe du bon temps ensemble et puis, quand on a besoin, on discute. Et franchement, discuter y a rien de mieux, surtout pour une fille comme moi qui passe ses journées à parler encore et toujours. Ça peut en insupporter - comme mes soeurs - mais intéresser d'autres personnes. En tout cas, quand je vois le nombre de rencontres que j'ai fais depuis ces quinze derniers jours alors que je ne suis pas sur le campus de la semaine, je me dis que c'est quand même un sacré truc. En fait, j'étais peut être heureuse mais un peu en prison et ça, c'est difficile à supporter. Enfin bon, je n'ai plus envie de penser à tout ça et cette fin d'après-midi/soirée avec Sloan va me faire le plus grand des biens. En tout cas, j'ai hâte de voir son appartement et comment il se débrouille parce que c'est pas facile tous les jours de passer de "j'ai une suite où on me fait tout" à "je suis totalement indépendant du jour au lendemain". Mais je crois en lui et quand je passe la porte de son appartement, qu'il n'y a pas des fringues qui trainent partout et que tout est propre, j'suis choquée. Mais dans le bon sens du terme. Même moi j'étais incapable de garder l'appartement avec Dante aussi propre. Faut dire que je suis une putain de bordélique et que ce n'était pas beau à voir quand l'italien ne rentrait pas de la semaine... « Salut princesse » Je souris légèrement quand il me dit ça. J'aime bien que l'on m'appelle comme ça, on ne va pas se voiler la face... En même temps il faudrait être dingue pour ne pas aimer ça. « Pourquoi t'habite aussi loin là ? T'as qu'à pas te terrer au fin fond de Boston. » J'hausse les épaules et réponds, le plus simplement du monde " Tu demanderas ça à ma soeur quand tu la croiseras " Ouai parce que moi j'ai pas de réponse au pourquoi du comment elle a été se terrer à l'autre bout de la ville. Cette nana est complètement fêlée et je crois qu'elle aime perdre du temps le matin dans les transports en commun. Enfin bon, quand je vois le loyer qu'elle paye, je comprends pourquoi elle a été s'enfermer là haut. Elle n'a pas vraiment eu le choix, en fait. Je demande rapidement un petit tour du logement parce que ça me parait essentiel et que je cherche grandement à acheter quelque chose dans ce style. Un grand appartement avec une belle vue, de grandes pièces et surtout... une lumière comme celle qui traverse l'appartement de long en large. Bras dessus, bras dessous, la visite commence. Mes talons claquent sur le sol et je ne prends même pas la peine des les enlever par respect. Y a pas de temps pour le respect avec Sloan comme agent immobilier. « Salon, baie vitrée avec vue sur Boston. Attends un peu qu'il fasse nuit, ça vaut le détour. Coin salon. » Je regarde partout autour de moi et je dois avouer que cette vue me plait bien plus que celle qu'on avait Cole. En même temps, d'ici, je ne vois pas ce que ses meilleurs amis font. " C'est une invitation pour rester jusqu'à ce qu'il fasse nuit ça ? " Demandais-je avec un sourire taquin sur le visage avant de le suivre vers cet escalier et ses trente quatre marches. Je souris, le suis et me prends au jeu de compter les marches, comme une gamine. J'aimerais bien lui dire "non désolée, y en a trente cinq" juste pour le plaisir de le voir descendre et remonter mais je prends sur moi parce qu'il m'attend en haut. « Là, t'as ma chambre, dressing et salle de jeu. » Je glisse un oeil sur tout ça et lui souris. " J'espère que t'as fais ton lit ce matin " Je me moque de lui mais c'est trop tentant. Le petit prince qui se débrouille tout seul quoi. Je veux voir à quel point il s'en sort, à quel point il gère aussi bien qu'il galère. Je regarde toutes les portes et y en a une qu'il a pas encore ouvert. Un sourire se dessine sur mes lèvres et je crois qu'il a très bien compris que c'était ça le plus intéressant pour moi. « Mais laisse moi deviner, t'es pas venu là pour ça. La vie de mon hamster t'es juste venue parce qu'il y a un jacuzzi dans ma salle de bain. J'te vois venir à des kilomètres, j'pari même que t'as déjà prévue le maillot de bain en dessous. » Je souris largement et hausse les épaules. " J'suis démasquée... " Soufflais-je simplement. " Mais je suis venue pour tes beaux yeux aussi, pas que pour le jacuzzi ! " Oui oui, qu'il ne se dise pas que je suis ce genre de nanas profiteuse hein ! Il sait très bien que c'est pas le cas. « Et moi, j'y gagne quoi dans cette histoire ? » Je le regarde, collé à la porte et souris. " T'y gagnes une vue imprenable sur mon décolleté, sur mes jambes bronzées... " Quoi, ça suffit pas ? " Et puis je sais pas... T'y gagnes tout ce que tu veux. T'es le maître des lieux ici, je ne suis que l'invitée " Invitée de marque mais invitée quand même. Je souris largement, ôte une chaussure - que je balance dans sa chambre - la deuxième à qui je réserve le même sort et je lui souris. " Tu m'aides à enlever cette robe ou il fait vraiment que je fasse tout le boulot moi même ? " Oui parce que cette fermeture éclaire dans le dos est une vraie plaie. Allez Sloan, mets-y du tien un peu...


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Voilà qu'à présent, Sloan se la jouait promoteur immobilier. Il n'y connaissait rien du tout en architecture mais ce n'était pas important. Le ridicule n'a jamais tué et il avait bien compris ce principe. L'Eliot a toujours été très dur à cerner et ça n'allait pas en s’arrangeant. De base, il était un petit délinquant qui aimait faire des conneries, fumer et boire sans limites, quitte à frôler l'overdose. Il se faisait passer pour un mec bien, une bleusaille de première un peu snobinard et particulièrement radin alors qu'en réalité, il n'était pas tout ça. Il avait la main sur le coeur et avait un très bon fond. Le tout agrémenté par une bipolarité omniprésente. Il n’arrivait pas à se gérer, ni à se canaliser et se perdait tout seul. Une rage et une incompréhension sans nom l'habitait et il ne pouvait pas lutter contre ça. Il assistait, la plupart du temps, impuissant face à son autre personnalité. Un Sloan beaucoup plus sombre et plus destructeur que la normale. Ce soir, Kyla avait de la chance, elle allait avoir à faire avec un Bushnell gentil et maladroit. Un tel clivage séparait toutes ses personnalités que cela en était presque absurde. Adossé contre la porte, il regardait son invité avec un large sourire inscrit sur ses lèvres. Il savait pourquoi elle était là et franchement, ça le faisait plus rire qu'autre chose. Qui n'aurait pas envie de profiter d'un jacuzzi privé dans une salle de bain avec une vue imprenable sur tout Boston ? En tout cas, on lui aurait fait une telle proposition, il n'aurait pas su refusé. Il attendait patiemment sa réponse qui ne tarda pas à arriver. La belle brune lui avoua alors être démasquée mais que ses beaux yeux étaient également une des raisons de sa présence ici. A d'autre. Il leva les yeux au ciel, ne pouvant contenir un large sourire. Un vrai gosse je vous dit ! « Mais c'est qu'elle se lâche la petite Carmichael. » lança-t-il en sifflotant légèrement. Rien de tout ça n'était à prendre au sérieux d'ailleurs, Sloan n'hésita pas une seule seconde à lui demander ce qu'il allait gagner en retour. Un jacuzzi contre une paire de nichons et une paire de jambes, le deal était plutôt intéressant. Il fit mine de réfléchir un peu en apportant sa main à son menton et de regarder le plafond. « C'est pas trop dégueulasse comme marché. » dit-il en reportant son attention sur elle. L'Eliot la dévisagea de haut en bas avant d'hocher la tête en signe d'approbation. Il n'y avait pas à chier, cette meuf était bien foutue. Dire le contraire serait pure mensonge. De ses vagues souvenirs, elle était en couple avec Cole, quel chanceux celui-là. Mais sa présence ici ainsi que sa proposition envisageaient clairement une séparation ou une dispute. Un peu comme lui et Charline quoi. Ils étaient donc deux êtres consentant et en froid avec tout ce qui attrait de près comme de loin à de l'amour. Ils voulaient juste profiter et ce jacuzzi allait les mettre d'accord. Comme Kyla le disait si bien, elle n'était que son invité ici, il allait pouvoir en profiter. Néanmoins, Sloan plissa les yeux en la voyant balancer ses chaussures dans la chambre. « Bah vas-y, fou le bordel chez moi ! » râla-t-il sur un ton pas convainquant du tout. Il ne pouvait s'empêcher de rire avant d'hausser une sourcil. Tout ceci lui plaisait beaucoup. Et là, sortie de nulle part, la brunette lui demanda de l'aide pour retirer sa robe. En voilà un boulot intéressant pour lui. La grande fille avait besoin d'aide pour défaire sa robe, pure provocation. « Demandé si gentiment, j'peux pas refuser. » dit-il avant de se décoller de la porte et de s'approcher d'elle. Il la regarda l'air de dire : bah tourne toi, j'vais pas faire tout le boulot non plus. Kyla lui tourna donc le dos, laissant à l'Eliot une vue imprenable sur sa jolie robe. Il se rinça l'oeil sans le moindre scrupule avant de s'approcher encore un peu plus. De sa main droite, il replaça délicatement ses cheveux sur le côté pour avoir le champ libre sur la fermeture éclaire. La nuque de l'étudiante se découvrait tandis qu'il déglutis silencieusement. Sloan ne pouvait ôter son sourire de son visage, tout ça ne faisait qu'attiser un désir surement insoupçonné. De toute la douceur dont il pouvait faire preuve, il plaça ses mains brûlantes sur sa fermeture et la fit glisser, lentement, vers le bas. Il s'humidifia la lèvre inférieur avant d'inspirer profondément. Ce moment semblait être hors du temps. Les courbes de son dos se dessinait pas au fur et à mesure qu'il descendait, de même qu'un maillot de bain blanc en dessous de sa robe. Il avait donc vu juste, elle avait bien son maillot de bain en dessous. Elle était ravagée cette fille. Une fois qu'il eut terminé d'abaisser la fermeture, il passa ses mains sous les bretelles qu'il fit glisser le long de ses épaules, dévoilant toujours un peu plus les courbes de son corps. Ce silence était excitant. Sans chercher à comprendre plus loin, l'Eliot fit un pas vers elle et se colla contre son corps. Il pencha sa tête vers l'avant pour arriver à la commissure de son cou. Malicieusement, il baissa les yeux pour voir le haut de son corps encore couvert avec la robe. Il attrapa le tissu du bout des doigts, au niveau de ses hanches, et tira légèrement vers le bas. La robe glissa le long de sa poitrine et une putain de vue se dessina à lui. Son sourire vint s'élargir, putain elle était bonne. La robe glissa contre son ventre, ses cuisses puis ses mollets avant de s'écraser lourdement sur le sol. Sans un bruit, il remonta doucement sa main sur son ventre et laissa ses doigts effleurer son maillot de bain puis entre ses deux seins, son torse et enfin son cou. Son souffle chaud venait s'écraser sur sa nuque. Prit d'une quelconque pulsion, il vint embrasser son cou avant de se reculer quelques secondes plus tard. C'est bon Sloan, calme toi. Il rigola légèrement et secoua la tête de gauche à droite. « Pas mal le maillot de bain Kyla. » dit-il. Non mais quel con, c'était tout ce qu'il trouvait à dire sur le moment et c'était pas faute de ne pas chercher. L'étudiant ouvrit la porte et la laissa entrer la première dans la salle de bain. « Attends moi là, j'arrive. » lança-t-il en refermant la porte pour pas faire sortir la chaleur. Ouais il avait eu l'intention d'en prendre un donc avait allumé le chauffage une bonne demi-heure avant. Sloan descendit les escaliers rapidement avant d'arriver à la cuisine. Il remarqua sa canette de bière qui traînait encore là. Il l'attrapa et bu la fin de son contenu d'une seule traite. Il ouvrit le frigo et prit une bouteille de champagne dans la porte du réfrigérateur. A parier, il y avait certainement plus à boire qu'à manger là-dedans. Il ouvrit ensuite l'un des placards et y sortit un sceau dans lequel il fit couler de l'eau glaciale et y fourra quelques glaçons. Hop, le champagne dans le sceau, deux coupes et le voilà repartit en haut, montant les trente quatre marches quatre par quatre. C'était plutôt risqué connaissant la nature très maladroite du bipolaire. Mais bon, il arriva en haut sain et sauf. Une fois devant la salle de bain, il hésita un quart de seconde avant d'entrer doucement. Il regarda Kyla, le sourire aux lèvres et vint brandir le champagne tel un trophée. « Bah ouais, un jacuzzi sans champagne, c'est pas un jacuzzi, on est d'accord ? » dit-il bêtement. Il s'approcha de la baignoire pour y poser religieusement son sceau. Un très bon moment les attendait dans cette fameuse salle de bain.
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J’étais quand même bien contente d’être ici et de passer du temps avec Sloan. J’allais pas le nier, le jacuzzi était la raison première de ma venue mais je n’étais jamais contre le fait d’être en bonne compagnie et d’essayer de tout oublier. Surtout pas en ce moment. En ce moment, c’était carrément ce que je recherchais, la fuite, le départ, l’évasion. Tout pour arrêter de penser à ce qui s’était passé il y a une semaine de ça, à quel point ma vie et ma petite routine allait changer du tout au tout. Je m’étais installée dans cette relation comme on s’installe dans son nouveau chez soi et quand j’y avais viré, mon coeur n’avait pas supporté. Depuis, j’errais dans la vie, je n’étais plus qu’un fantôme et dès que je pouvais penser à autre chose, c’était toujours avec joie. Alors ouai, venir chez un Eliot, dans un appartement à la superficie et l’agencement plus ou moins similaire au logement que Cole avait acheté pour nous n’était peut être pas la meilleure idée du monde mais… Mais le proprio était bien différent de mon ex petit ami et je préférais me concentrer sur ça que sur tout le reste. J’avais besoin de vivre, de respirer et d’arrêter d’avoir l’impression de crever à chaque fois que j’ouvre la bouche. « Mais c'est qu'elle se lâche la petite Carmichael. » Je le regarde et souris largement.  " Et encore t’as rien vu " Lâchais-je pleine d'assurance, lui promettant presque qu'il allait en avoir pour son grade le petit Bushnell, qu'il allait se retrouver face à une Kyla bien moins réservée que celle qu'il avait l'habitude de côtoyer. Et c'était le cas. Si je me sentais ensevelit sous les sentiments que j'avais à l'égard de Cole, si je me sentais mal à en crever rien que de penser à lui, je faisais tout pour retrouver mon sourire, pour retrouver cette malice qui me caractérisait tellement par le passé. L'ancienne Kyla a vécu cher mais elle me manque parce qu'avec sa naïveté et son sourire, elle allait bien. Ouai, j'allais bien quand je n'avais pour passion et pour but dans la vie de devenir danseuse. Je vivais de ma passion, je dormais, mangeais et respirais danse et dieu que ça faisait un bien fou. Alors c'est fini, je laisse mes craintes, mes peurs, ma peine et la douleur dehors. Ouai, je les ai laissé sur le pas de porte de Sloan et j'espère que le prochain qui passera la porte se cassera la gueule dedans. Et c'est donc sur cette promesse à moi même que je lui montre ce qu'il va gagner : mon corps à mater. Et je trouve que c'est un bon petit deal quand même. « C'est pas trop dégueulasse comme marché. » Je le regarde et bats des cils à plusieurs reprises. " Attends, tu viens de dire quoi là ? " Demandais-je en le regardant droit dans les yeux. " Que c'était pas trop dégueulasse ? " Lançais-je faussement vexée. Je sais ce que je vaux et je sais aussi très bien qu'il dit ça pour m'embêter et moi, je fonce droit dans le mur. Ouai, je fonce droit dans le mur juste parce que je veux l'entendre me dire que ouai, j'suis carrément à son goût, que je suis carrément canon et tout ce qui va avec. J'ai envie d'entendre ces mots quitter la barrière de ses lèvres et se poser sur moi. J'étais célibataire, il n'y avait personne ici, aucune affaire féminine, aucun parfum fleuri, rien. Alors on était deux solitaires et c'était le moment ou jamais de profiter de la vie, d'oublier. « Bah vas-y, fou le bordel chez moi ! » Je le regarde et éclate de rire, le narguant bien en balançant mon deuxième talon haut. Allez, punis moi, énerve toi contre moi, soulève moi et va me balancer sur ton matelas. Un large sourire a pris possession de mes lèvres et je ne bouge pas, lui demandant de m'aider pour ma robe. J'en ai rien foutre de foutre le bordel chez lui, ça me fait même grand plaisir de balancer mes talons comme ça. Et peut être même qu'il pourra balancer ma robe avec. Ouai, j'ai surement envie de ça, qu'il la prenne et l'envoie valser plus loin. Voir le vêtement voler et choir sur le sol, comme une promesse de folie. La folie, l'oublie, la vie. « Demandé si gentiment, j'peux pas refuser. » Je souris et le regarde se rapprocher de moi. Il a un truc ce petit Sloan, un petit truc que j'avais jamais réellement remarqué parce que trop bien dans ma vie pour observer ce regard malicieux, ces lèvres légèrement entrouvertes quand il s'avançait. C'est qu'il m'émoustillait presque le petit… Je le regarde et soupire en levant les yeux au ciel quand il me lance ce regard, ce 'tourne toi, princesse'. " Faut vraiment tout faire avec vous " Lâchais-je faussement énervée en me tournant. Ouai, s'il veut quelque chose, il n'a qu'à le faire. Qu'est-ce qui l'empêchait de poser ses mains sur mes hanches et de me faire tourner lui même ? Non mais je vous jure ! Il faut vraiment tout leur donner sur un plateau en argent à ceux là. Pourtant je savais que Sloan n'était pas un pourri gâté de naissance et c'était peut être ça le plus perturbant, au final. Il avait bien pris le pli. Ou il voulait se faire désirer, que je sois sienne pour la soirée. Pas de problème, je signe où ? Ses mains dans mes cheveux, je frissonne légèrement. Je regrette qu'il n'y ait pas de glace dans mon champ de vision pour pouvoir le voir dans le reflet. Pouvoir le sentir, l'entendre et le voir. Et là, il n'y avait que le léger bruit de la fermeture éclair qui se faisait entendre. Les lèvres légèrement ouvertes, je fermais les yeux pour profiter de ce moment. Rien d'acharnée, rien de violents, rien que de la douceur et putain que c'était agréable. Ses mains sur moi, je frissonnais légèrement. Encore plus quand il se colle à moi et que je le sens dans mon dos. Ma peau était brûlante sous cette robe et lui, il avait les mains fraîches. Un contraste plus qu'agréable et quand je sentais son souffle sur ma nuque, mon sourire grandissait, mes yeux s'ouvraient légèrement comme si je voulais bien me prouver qu'il s'agissait de la réalité, que ce n'était pas un doux rêve. Non non. Il n'y a pas un bruit dans ce putain d'appartement autre que celui de notre respiration et de ma robe qui glisse sur mon corps découvrant ma poitrine petit à petit. J'avais fais le bon choix de maillot de bain vu l'endroit où il se plaçait. Une vue plongeante sur mon décolleté et la simple pensée qu'il pouvait apprécier la vue me réchauffait le corps. Le tissu à mes yeux, je baisse les yeux pour regarder sa main monter vers moi. Vas-y Bushnell, fais toi plaisir, je veux être ton plaisir aujourd'hui, je veux être cette pâtisserie dont tu te délectes. Ma peau s'électrice à son contact et quand ses lèvres se posent sur ma nuque, je caresse sa main du bout des doigts. Allez, on peut aller dans la chambre dont la porte est ouverte, si tu le souhaites. Mais il s'écarte et je ne réagis même pas plus que ça, encore prise dans le moment. « Pas mal le maillot de bain Kyla. » Je me tourne et souris légèrement, tentant de reprendre mes esprits. " Je t'avais bien dis que tu n'avais encore rien vu " Lâchais-je simplement en haussant les épaules et me laissant guider vers la salle de bain et n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que.. « Attends moi là, j'arrive. » Ah. Ok. Donc c'est à ce moment où il m'enferme dans sa salle de bain et tout ce qui va avec ? Bon. Ok. Pourquoi pas. Ça peut être intéressant. Surtout quand on voit la taille de la chose. Bordel, la moitié de mon appartement avec Méline pourrait limite tenir là dedans quoi. C'est la folie. Je m'approche de la baie vitrée et regarde dehors. Wow. La vue. C'est… Wow. J'ai pas les mots pour décrire la beauté de la chose et ça me fait tout bizarre, je dois bien l'avouer. Mon index glisse le long du jacuzzi qui ne manque plus qu'à être remplie et à voir nos deux corps chauds entrer dedans. J'entends du bruit dans le couloir et je pose mes fesses sur le rebord du jacuzzi, jambes croisées, face à la porte, sourire aux lèvres. « Bah ouais, un jacuzzi sans champagne, c'est pas un jacuzzi, on est d'accord ? » Je souris et acquiesce. " Puis je suis venue pour ça. Pour le jacuzzi et le champagne " Lâchais-je alors qu'il pose le sceau à côté de moi. Je le regarde droit dans les yeux, sourire collé au visage comme si on l'avait figé à la glue ce matin. J'attrape sa main et me redresse rapidement. Face à lui, je glisse les yeux sur son corps. Enfin, plutôt sur ses fringues. " Et sinon tu comptes entrer dedans comme ça ? " Demandais-je en laissant glisser un index entre ses pectoraux, par dessus son t-shirt. Non parce que là ça risque d'être embêttant quand même ! Enfin, le tissu le collera dans l'eau mais je vais pas pouvoir profiter de la vue moi ! Et ça, c'est vraiment très triste je trouve. " Et rêve pas trop mon grand, je vais pas te déshabiller, oust, file ! Va enfiler ton plus beau maillot " Lançais-je comme pour le congédier, pour me remettre de mes émotions. Faut pas que je lui saute dessus mais s'il se déshabille ? Frustre toi Kyla, pense à quelque chose d'horribles. Mais non, y a rien qui vient. Fais couler l'eau, tourne le dos, retourne près de la baie vitrée. Ouai, la baie vitrée ! Je l'ignore et retourne là haut pour apprécier la vue. Qu'est-ce que j'ai l'air grande ici et les passants, on dirait des fourmis, des fourmis que je vais me faire un plaisir à écraser.
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Sloan revenait vers elle en affichant un air triomphant. La soirée s'annonçait plutôt bien pour lui, il avait de quoi être content. Une jolie fille, un jacuzzi, du très bon champagne et toute la nuit pour briser les interdits et s'octroyer une pause bien méritée. La vie n'a pas été très facile avec lui ces derniers-temps. Le pauvre venait de perdre sa mère et maintenant sa copine. Tandis que le sort semblait s'acharner sur sa petite personne, Kyla apparaissait, de nulle part, pour lui remonter le morale et lui rendre un semblant de sourire. Elle savait y faire cette petite, depuis son arrivée, il n'avait pas vraiment pensé à autre chose qu'à ses beaux yeux, ou plutôt à son corps, enfin à elle quoi. Raconter des conneries et faire le pitre pour cacher une profonde sensibilité et un besoin urgent de légèreté. L'Eliot voulait reprendre goût à la vie, il voulait oublier et ce, autrement qu'en fumant des joints à longueur de journée. Il fumait encore régulièrement mais aussi étrange que cela puisse paraître, sa consommation avait diminué avec la rupture. C'était tellement compliqué pour lui en ce moment. La solitude s'installait petit à petit en lui et ne semblait pas vouloir lâcher sa bipolarité omniprésente. Plus que jamais, le beau brun avait du mal à se gérer. Sa détresse n'avait d'égal que la haine qu'il pouvait ressentir à l'intérieur de lui. Une colère inexprimée, inavouée mais surtout, dévastatrice. La moindre petite contrariété pouvait le faire entrer dans un énervement sans précédent. Mais ce soir, il semblait tellement paisible, à des kilomètres même de sa double personnalité. Le maître mot était donné pour la soirée, pas de stup, pas de bipolarité, pas de réflexions. Juste lui et Kyla. Sloan s'avança vers elle et posa le sceau à champagne juste à côté d'elle. Il rigola, amusé par sa remarque. « T'es là pour le jacuzzi et le champagne, j'ai bien compris. » répéta-t-il sur un ton faussement vexé. Sa main lâcha le sceau et il se redressa, ne la lâchant pas du regard. L'Eliot plissa les yeux en la voyant le dévisager de haut en bas. La brunette semblait analyser la marchandise, exactement comme il l'avait fait précédemment. Un petit rictus vint s'installer sur le coin de ses lèvres en sentant son doigt sur son torse. Ce même rictus qu'il arborait dans les moments où des pensées perverses lui traversaient l'esprit. Son regard se baissa alors sur sa main qu'il regarda l'effleurer. Elle lui demanda s'il comptait entrer dans l'eau avec tous ses vêtements, il haussa les épaules bêtement. C'était un peu con comme question. Genre il allait se baigner avec son jean et son t-shit, il n'était pas habitué au luxe mais quand même, il ne sortait pas tout droit d'une cambrousse isolée sans l'eau courante. « Bah ouais. Pourquoi, ça te choque ? Toi tu t'mets à poil et moi j'garde mes habits, c'est comme ça qu'on fait, nan ? » lança-t-il. Qu'il pouvait être con quand il s'y mettait celui là. Le sourire toujours accroché sur le bord de ses lèvres, Sloan se mit à rigoler face à la bêtise de la brunette. Voilà qu'après avoir foutu le bordel dans sa chambre, elle lui donnait des ordres. Bon, certes elle le faisait d'une voix sensuelle des plus excitantes mais elle le faisait quand même. Incroyable cette fille. Et en plus de ça, elle refusait de le déshabiller alors qu'il venait de se coltiner cette corvée cinq minutes auparavant. « Mon maillot de bain ? » demanda-t-il en rigolant. Il fronça les sourcils en essayant de réfléchir à l'endroit où il avait bien pu mettre son maillot de bain. « Il est encore dans ma valise ! » dit-il en la regardant ouvrir les robinets puis s'éloigner vers la baie vitrée. De la merde, il n'allait quand même pas se taper sa valise à ranger juste pour pouvoir mettre un maillot de bain, qu'il enlèvera de toute façon. Inutile de se voiler la face, partit comme c'est là, ils allaient finir par se jeter dans les bras l'un de l'autre. Alors que Kyla lui tournait le dos, l'étudiant s'avança jusqu'aux lavabos où il enleva son portable de ses poches, il retira également son paquet de cloque ainsi qu'un briquet qu'il posa lourdement sur le meuble. Il attrapa le bord de son t-shirt qu'il souleva pour l'enlever. « T'es mignonne, sali pas les carreaux Carmichael ! » balança-t-il pour la taquiner mais aussi pour la faire chier. Sloan était comme ça, il aimait bien taquiner et provoquer les filles, ça avait le don de l'amuser. Alors que la brunette tourna le tête vers lui, il rigola. Lentement, il mis ses mains sur le haut de son jean. Il enleva les trois boutons avant de le laisser tomber le long de ses cuisses. Il n'a jamais été très pudique et si cela ne tenait qu'à lui, il se baladerait les fesses à l'air. Un peu de tenue n'avait jamais fait de mal à personne. Il se résigna, pour le moment, à prendre son bain à poil et laissa ses affaires en vrac. Sans un mot, il vint s'adosser contre le lavabo, croisa les bras et regarda Kyla qui semblait émerveillée par la vue. Faudrait qu'elle arrête de lui tourner le dos, ça allait mal tourner cette histoire. Il s'humidifia les lèvres en la regardant, à son tour, plus en détail. Son petit maillot de bain blanc moulait parfaitement ses fesses rebondies et laissait apparaître une paire de jambes qui n'en finissaient plus. papapapa. De longues jambes aussi fines qu'audacieuses. Un dos cambré et une longue chevelure qui semblait mourir sur sa colonne vertébrale. Attiré vers l'interdis, l'étudiant se décolla du rebord du lavabo et s'avança vers elle. Une nouvelle fois, il colla son corps contre le sien et posa sa main gauche sur la vitre pour avoir un quelconque appui. Il posa son autre main libre sur sa cuisse, se penchant légèrement en avant. Ses doigts caressaient délicatement sa peau froide, laissant le désir monter et la température grimper. L'Eliot se laissa envahir par son parfum et ferma les yeux. Il ne réfléchissait plus, il ne voulait plus penser à rien. Sans chercher plus loin, il vint l'embrasser dans son cou. Ses lèvres vinrent se plaquer sur sa peau nue et sucrée, bafouant toutes les barrières qu'ils s'étaient inconsciemment imposés. Sa langue parcourrait son cou tandis que ses baisers devenaient plus intenses. Sa main, le long de sa cuisse, se faisait plus entreprenante, il prenait un malin plaisir à la découvrir. Remontant délicatement sa main, il la releva pour la poser au niveau de son ventre. Saloperie ! Bordel qu'il pouvait maudire son putain de maillot de bain de merde. Sa main se voulait baladeuse, à tel point qu'il la fit passer sous le tissu pour venir caresser son sein. Les baisers au creux de son cou n'avaient rien d'anodin, il avait envie d'elle et lui faisait clairement comprendre. Son corps contre le sien, il l'empêchait de se retourner, profitant de cette proximité envoûtante. Sloan attrapa sa peau du bout des dents et tira légèrement dessus. Il avait envie de la bouffer. Cette situation était un peu déplacée, surtout connaissant l'amitié de ces deux-là. Il se recula de quelques centimètres et la fit se retourner. Il afficha un léger sourire en croisant son regard et avant même qu'elle ait pu dire ou faire quoique ce soit, il déposa ses lèvres sur les siennes et l'embrassa langoureusement, obligeant Kyla à se plaquer contre la baie vitrée. Bah tiens, ses fesses allaient tenir compagnie aux vicieux de voisins. Prit dans l'euphorie du baiser, l'Eliot lui agrippa la cuisse. Prit d'une pulsion malsaine, il lui attrapa ses deux cuisses et la souleva légèrement. Il vint littéralement se coller à elle pour éviter qu'elle ne glisse. L'échange était passionnel et les baisers, excitants. Il ne pensait plus à rien, juste à l'image qu'elle lui renvoyait. Ses mains resserraient leur emprise sur ses cuisses tandis qu'il donnait plus d'intensité aux baisers. Son rythme cardiaque s'accélérait sous de légers coups de bassins. Brusquement, il fronça les sourcils et mit fin aux baisers. Il se recula doucement et permit à Kyla de toucher le sol mouillé. Mouillé ? « Putain le con ! » grogna-t-il en baissant la tête. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, il se précipita vers la jacuzzi qui, aussi improbable que ça puisse paraître, avait débordé. On avait affaire à du Bushnell tout craché là. Il explosa de rire en coupant les robinets. Un fin filet d'eau s'était déposé sur le carrelage et était arrivé jusqu'à ses pieds. Heureusement pour lui, il y avait un système d'évacuation qui permettait, en temps normal, d'éviter les débordements. Disons qu'il avait mit les robinets à fond et qu'il était absorbé par autre chose. Une minute d'inattention avait suffit à inonder sa belle salle de bain. Inonder était là, un bien grand mot. Et alors que l'eau baissait petit à petit, il éclata de rire. « Le bain de madame est prêt. » dit-il, amusé par la situation. Quand je vous dit qu'il n'arrive pas à se gérer lui-même. Rien que la responsabilité d'un bain, c'était trop lui demander.
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« T'es là pour le jacuzzi et le champagne, j'ai bien compris. » Je le regarde et souris largement. Si j'avais envie de pousser le vice à son paroxysme, je glisserais une main dans ses cheveux alors qu'il est à côté de moi et lui dirais que c'est bien, il écoute. Mais je n'ai aucune envie de brusquer le beau brun et de lui montrer ce côté 'contrôle' de ma personnalité. Avec le temps, j'avais pris grand plaisir à ce que les hommes m'écoutent, retiennent ce que je dis et me mangent dans la main, je deviens bien l'avouer. Ça n'arrivait pas souvent mais quand c'était le cas, j'étais toute émoustillée et j'en profitais comme pas possible. En même temps, si ça me permettait d'oublier les désastres de ma vie personnelle, ça ne serait pas de refus. J'étais usée, fatiguée de me retenir sans arrêt, de me sentir coupable de ressentir un quelconque désir à l'égard de n'importe quel homme alors que lui ne devait pas se gêner. Mes pensées glissèrent quelques peu sur Cole, sur ce qu'il devait faire à ce moment. Lui ne devait pas être entrain de chauffer gentiment une nana. Non, il devait surement être entrain de la sauter et c'était à ce moment que je prenais compte que je n'avais pas à me retenir, à me réserver, à refuser de l'affection, telle qu'elle soit pour un homme qui ne devait pas se gêner. Alors je revenais dans cette salle de bain aussi chaude que moi et mes yeux le reluquaient. Ouai, je ne prenais pas de gants. Sloan était tout à fait à mon goût sous ses vêtements. « Bah ouais. Pourquoi, ça te choque ? Toi tu t'mets à poil et moi j'garde mes habits, c'est comme ça qu'on fait, nan ? » J'éclate de rire et secoue la tête de droite à gauche. " Si tu crois que je vais me mettre à poil mon grand, tu fais erreur sur toute la ligne " Lâchais-je simplement. Ouai non, on va peut être pas pousser mémé dans les orties non plus. Et puis ça va, je n'ai qu'un peu de tissu sur le corps... Et je tendais à croire que puisqu'il m'avait retiré ma robe, il allait se faire un plaisir à enlever le reste, si ça le chantait. En tout cas, il manquait cruellement quelque chose pour compléter sa tenue 'jacuzzi'. Une chose plus qu'importante : le maillot de bain. Mais ça semblait être presque trop lui demander. « Mon maillot de bain ? » Je dodeline de la tête et lui adresse un léger sourire. Allez Sloan, va enlever ce jeans qui couvre des parties de ton corps - ou plutôt anatomie - que je souhaite voir, que je veux pouvoir imaginer de la plus belle des manières qui soit, avec mes yeux et surement avec ma main. Juste histoire de confirmer ou d'infirmer mes fabulations complètement dingues. « Il est encore dans ma valise ! » Je le dévisage et me demande s'il est là depuis longtemps ou s'il n'a pas défait ses bagages depuis le Summer Camp et là je dois dire que ça me fait flipper et en même temps... " Ouh, je suis la première nana que t'invites dans ton jacuzzi alors " Soufflais-je avec un sourire aguicheur. Privilégiée ? Petite élue pour la soirée ? Moi ça m'allait et pas qu'un peu, je devais l'avouer. J'étais presque flattée. Non, j'étais carrément flattée qu'il pense à moi pour ce moment ensemble et j'avais la vague impression que cette soirée n'allait pas finir comme celles que l'on a déjà passer ensemble à s'amuser, s'éclater et à rester très respectueux l'un envers l'autre. Jamais de gestes déplacés, de mains baladeuses... Mais là, quand je filais devant lui, j'avais des tas d'idées et cette vue n'arrangeait rien. J'allais peut être même avoir envie de me faire regarder, rêver qu'un homme de l'autre côté se dise que 'putain la chance qu'il a le petit Bushnell de se taper une bombe comme moi'. Mes yeux sur la ville, je ne le regardais même pas se déshabiller. Je ne l'avais même pas entendu bouger à vrai dire. Ce n'est que lorsque j'entends sa voix que je me rends compte qu'il n'est pas loin. « T'es mignonne, sali pas les carreaux Carmichael ! » Je me tourne vers lui avec un sourire en coin. Je glisse mon pouce entre mes lèvres pour l'humidifier et le défie du regard. " Et tu vas me faire quoi au juste ? " Soufflais-je en dessinant un S sur la grande baie vitrée, mon regard perdu sur son torse musclé. Et je reprends ma position d'il y a quelques secondes, lui offrant une jolie vue sur mes fesses et moi, regardant dehors. Ouai, je préfères ça, j'ai tellement envie de l'entendre râler, de le faire réagir d'une manière ou d'une autre. Un bruit lourd et j'en conclus que son jeans vient de retrouver le sol de la salle de bain. Allez plus qu'un bout de tissu et c'est toi qui est nu, mon grand... Et l'atmosphère commençait à devenir pesante. Pas à cause d'un quelconque malaise mais parce que je rêvais de me retourner pour avoir tout le luxe de le regarder, de le détailler, de lui montrer qu'il avait donc - comme le disait la légende - tout ce qu'il avait là où il l'avait. Je zieutais chacun de ses mouvements dans le reflet de la vitre et un large sourire prit possession de mes lèvres quand il s'approchait de moi. Je mords légèrement ma lèvre inférieure et fais mine de sursauter quand sa main s'écrase sur la baie vitrée. Vas-y, colle moi contre cette dernière, je crois que j'en rêve. Et ce n'est pas ses lèvres que je sens sur ma peau mais sa main sur ma cuisse. Je glisse mes yeux sur cette dernière et ne parle pas, rien. Je suis une grande pipelette en temps normal mais là, pour le coup, je me contiens. Pas la peine de parler, de gâcher ce moment. En tout cas, je pouvais dire qu'il avait garder son boxer, sentant légèrement le tissu contre mes fesses. Dommage. Quoi que... Ça maintenait le désir, l'inconnu, l'imaginaire et j'en avais bien besoin. Fermant les yeux au premier contact de ses lèvres sur ma peau, je frémis. Sa main caressant ma cuisse, ses lèvres s'occupant de moi, j'étais au paradis. Tout oublier. Oublier quoi ? Je suis perdue. Et je veux pas retrouver le chemin, non non. Sa main sur mon ventre, je souris. Le plus grand soucis avec le une pièce, pas touche. Mais c'était, bien entendu, fait exprès. Oh non Sloan, ça ne sera pas si facile de me toucher, de me caresser, de me faire frissonner. Quoi que... Je dois dire que l'audace avec laquelle il passe sa main sous le haut du maillot me fait retenir un léger gémissement. Je ne m'y attendais pas et je suis pire que réactive et il le sent, c'est obligé. Je souffle légèrement et mes doigts se posent sur les siennes, sur cette main baladeuse alors qu'il me mord, sensuellement, qu'il me donne envie de lui dire de recommencer. Mais rien. Je la ferme, je me mure dans un silence envoûtant et c'est surprise, que je me retrouve face à lui. Que c'est malsain. Bordel que c'est mal ! Mais putain que c'est agréable. Le goût de l'interdis, l'envie de se laisser aller, de laisser tomber toutes ces putains de barrière et de tout envoyer valser, ensemble. Comme une danse orchestrée à la seconde près, je ne prends que plus de plaisir à le regarder, à sentir ma peau très légèrement douloureuse, pas habituée à ce genre de marque. Pas le temps de réagir et ses lèvres étaient sur les miennes, il me plaquait contre la vitre et je souriais, échangeant ce baiser de feu qui faisait augmenter ma température corporelle et mettait tout mon corps en ébullition, pour tout dire. Une main puis deux, je glissais mes bras autour de son cou alors qu'il me soulevait et me plaquait définitivement contre la baie vitre. Oh oui. Encore. Déshabille moi, déshabille toi et fais moi l'amour à la vue tous. J'en crevais d'envie et ses légers coups de bassins n'étaient que plus excitants, me faisant encore plus réagir, soupirant contre ses lèvres alors qu'il me posait par terre. Haletante, je le regardais, ne remarquant rien. Non, je remarquais rien mais lui oui. « Putain le con ! » Je pose mes yeux sur lui et suis son regard. Oh merde ! Je le laissais gérer ce léger contre temps en profitant de la vue. Mais plus celle que al ville m'offrait, je n'en avais plus grand chose à foutre à ce moment là. Il pourrait faire nuit, tous les bâtiments pourraient briller et rendre Boston encore plus belle qu'elle ne l'est déjà que... J'en aurais rien à carrer ouai. « Le bain de madame est prêt. » Je le regarde et me glisse à côté de lui. " Un bain ? Et c'est à ce moment que tu me frottes le dos ? " Je lui souris, embrasse ses lèvres et le contourne pour glisser dans l'eau, dans le jacuzzi. Je passe mon index sur la peau qu'il a mordu toute à l'heure et lui souris. " Et les bulles là dedans ? Tu m'as pas vendu du rêve pour rien j'espère Bushnell " Claquais-je, défiante comme jamais. Allez, dis moi que tu n'as pas tenté de m'avoir, de me faire rêver et puis... rien. Je me mets à genoux dans le jacuzzi et m'approche de lui, le haut de mon corps sortant de l'eau, ruisselant. En tout cas, on voit que c'est un bon maillot de bain, il n'est pas transparent et aucune marque de mon désir pour le jeune homme transparait sur ma poitrine. Tant mieux. " Madame a envie d'un peu de compagnie, dans son bain " Soufflais-je en rapprochant mon visage du sien, rapprochant mes lèvres de son oreille. Chaque fois que mes lèvres bougent, je frôle le lobe de son oreille. " Et la seule compagnie que Madame veut, c'est toi " Je souris et écrase mes lèvres sur la jointure de sa mâchoire avant de me replacer à ma 'place' et de glisser mon index le long de mon décolleté pour l'inviter à faire de même. Allez Sloan, rejoins moi et fais nous tout oublier... Et j'étais persuadée qu'il y arriverait très bien. S'il était encore habillé, je l'aurais tiré par le t-shirt mais là c'était différent... Et puis, je voulais qu'il vienne de lui même. On aurait tout le loisir de rire et de déconner plus tard. L'ambiance était tellement tendue, chargée qu'on allait exploser. Moi j'allais le faire, je le savais très bien. Impossible de lui résister, en quelque sorte.
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C'était une situation peu banale mais tellement digne de lui. Sur ce coup-là, Sloan n'avait vraiment réfléchis et avait agit sous le coup de l'impulsivité et de l'excitation. A aucun moment ses gestes n'étaient calculés, il se laissait bercer par l'euphorie du moment. Son corps collé contre le siens, ils se laissaient aller dans les bras l'un de l'autre. Il n'y avait aucun mal à ça, tous deux fraîchement célibataires, ils prenaient du bon temps en tout bien tout honneur. En aucun cas il ne la forcerait à faire quoique ce soir avec lui. Kyla avait de la chance car monsieur Bushnell ne flirtait pas avec n'importe qui. Les coups d'un soir avec une illustre inconnue ne l'intéressait pas vraiment. Bien loin d'être un connard fini, il choisissait minutieusement ses proies et lorsqu'il en avait choisi une et qu'un bon feeling s'opérait entre eux, il mettait tout en oeuvre pour l'avoir. La brunette s'était un peu imposée à lui, en aucun cas il n'avait prévu ce qui venait - et allait - se passer. Un rapprochement inévitable et une baignoire qui débordait. Lorsqu'il sentit l'eau lui chatouiller les pieds, il laissa la belle en plan pour aller rectifier la situation. Non mais quel trou du cul, je vous jure. L'eau commençait à baisser, le surplus s'échappant par l'évacuation. La situation revenait à la normale, l'Eliot en profita pour inviter la petite Carnichael à grimper dans le jacuzzi. Cette dernière ne se fit pas prier et s'approcha de lui d'une démarche féline. Il arqua un sourcil en la regardant s'avancer vers lui. Kyla déposa un chaste baiser sur ses lèvres avant de pénétrer dans la baignoire. Une jambe puis une deuxième, il ne ratait rien de son enjambement. Elle posa délicatement son doigt sur son cou, pure provocation. Le petit sourire pervers sur le coin de ses lèvres, ça l'amusait plus qu'autre chose. « Il est où le malaise là ? Si ce truc fait pas de bulles tu t'casse ? » dit-il avant de rigoler. Il savait bien qu'elle était là juste pour le jacuzzi, ça l'amusait de jouer avec ses nerfs. C'était de bonne guerre, elle le défiait du regard, il ne faisait que répondre. Debout devant le jacuzzi, il la regarda s'installer non pas sans une lueur de malice dans les yeux. Elle s'approcha de lui, l'eau ruisselait le long de son buste. Sloan aurait juré avoir vu une goutte d'eau glisser sensuellement entre ses deux seins pour venir mourir sous son maillot de bain. Il se racla la gorge en essayant de se concentrer sur elle. Et lorsque la brunette s'approcha de lui, il se pencha légèrement vers l'avant. Elle vint lui murmurer quelques mots au creux de l'oreille. Son sourire vint s'élargir au fur et à mesure qu'elle avança dans ses explications. Elle voulait qu'il la rejoigne et clairement, il n'allait pas se faire prier. « Madame sait ce qu'elle veut. » lança-t-il avant de se pincer les lèvres. Putain, Kyla était sexy à souhait dans son maillot de bain là. Le décolleté laissait apparaître une poitrine parfaitement dessinée, une poitrine qu'il avait pu effleurer un peu plus tôt dans la soirée. Il ne demandait qu'une seule chose, qu'elle fasse péter le maillot. La brunette se plaça confortablement dans le jacuzzi, mouillant les pointes de ses cheveux. Sans chercher à comprendre quoique ce soit, l'Eliot entra dans le bain, à l'opposé d'elle, il ne pouvait ôter ce sourire de ces lèvres. Ils se défiaient du regard, c'était amusant. Il s'installa confortablement et laissa ses jambes frôler celles de Kyla. La baignoire était grande mais quand même, lui aussi était grand. « Il s'passe quoi si c'est pas un jacuzzi mais juste une baignoire ? » dit-il, juste pour la taquiner. Était-elle vraiment juste là pour le jacuzzi ou un peu pour lui quand même ? Il fallait s'attendre à tout avec les femmes, ça il l'avait bien compris. Sloan s'avança lentement de l'étudiante, ne la lâchant pas du regard. « Et il s'passe quoi si ce truc fait des bulles, hum ? Il n'y a que ça qui t'excite ? Des bulles. » lança-t-il en rigolant légèrement. La folle aux bulles. Qu'il pouvait être con. Il s'approcha dangereusement de Kyla et se plaça au dessus d'elle. Il se pencha sur le côté et attrapa le sceau à champagne qui traînait juste à côté de sa tête. L'Eliot se replaça, il avait envie de la taquiner, de la chercher, de la provoquer. Il prit la bouteille qu'il déboucha d'un geste presque habituel. Il versa le contenu dans la première coupe et lui tendit, le sourire aux lèvres. Il se servit également une coupe avant de remettre la bouteille dans le sceau. Sloan la regarda et plissa les yeux. « Prête pour l'orgasme ? » dit-il en actionnant le mécanisme du jacuzzi. Elle était là pour des bulles, il allait lui en donner. Un léger bruit sourd se fit entendre et le système se mit en marche pour venir buller la baignoire. « Fais toi plaisir Carnichael. » lança-t-il. Sloan mis ses bras sous l'eau et posa ses main sur les chevilles de la jolie brune. Il tira dessus pour l'approcher de lui, il éclata de rire lorsqu'elle manqua de basculer en arrière. « Moi aussi j'vais me faire plaisir. » dit-il faiblement en laissant ses mains glisser jusqu'à ses cuisses. Il la regarda avec une lueur de perversion dans ses yeux et s'approcha d'elle pour l'embrasser dans le cou.
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Je ne sais pas trop ce qui me prenait de réagir de la sorte mais j'en avais envie. J'en avais marre de me contenir, de me dire "oh non Kyla, ne fais pas ça, c'est mal, penses à ta réputation" alors que je n'en avais plus de réputation et ça, depuis longtemps. De plus, je ne voyais vraiment pas Sloan parler de cette petite soirée à qui veut bien l'entendre. Ça ne sert à rien et lui, n'a sûrement pas la langue aussi pendue que ce cher petit Wildingham. C'est même sûre, sinon on en saurait plus sur sa relation avec Charline et ce n'est pas le cas. Bon, je ne suis pas forcément la personne avec qui il a envie d'en parler et tant mieux. Parce que je veux m'amuser, je veux profiter et pas ruminer. Et ça se voit sur mon visage, sur le sien et sur la façon dont on se regarde, dont on se comporte. C'est presque si mon corps l'appelle, si j'ondule un peu plus à chaque fois qu'il pose ses yeux sur moi. C'est comme si, tel un cowboy, j'avais passé mon lasso autour de lui et que je tirais sur la corde petit à petit. Je l'aguichais, faisais tout le contraire de ce qu'il me disait de faire et j'y prenais un grand plaisir. C'était tellement fun de brûler les interdits de cette façon et ça me faisait tout oublier, ça me faisait me sentir vivante et c'était quand même fou. Et même si je faisais tout pour le faire venir à moi, quand ses mains se posent réellement sur moi et qu'il me soulève, je suis surprise et j'arrête de penser, de réfléchir. Que mon corps prennent le relai, c'est à lui de kiffer un peu et ça permettra à mon cerveau d'aller mieux. Ouai, y a pas à dire, ça me fera un bien fou et quand je touche le sol, je suis presque durée que ces quelques secondes en 'apesanteur' n'ont pas duré plus longtemps. Je lui souris et une fois qu'il a réparé sa 'bêtise', j'entre dans le jaccuzzi, le taquinant sur le chemin, l'aguichant un peu plus, mon regard perdu sur son corps, sur ce caleçon que j'ai bien envie de retirer. Parce que oui, pour le coup, je ne pense plus qu'à ça, à ce que j'ai frôlé tout à l'heure. « Il est où le malaise là ? Si ce truc fait pas de bulles tu t'casse ? » Je le regarde, arque un sourcil et croise les bras au niveau de ma poitrine. " Ouai ça serait très gênant parce que j'irais te chercher une paille et tu feras les bulles toi même avec ton souffle " Et je dis ça avec le plus grand des sérieux, un large sourire sur le visage avant d'éclater de rire et de revenir vers lui. En fait, s'il n'y a pas de bulles ce n'est pas très grave tant qu'on s'amuse tous les deux parce que c'est tout ce dont j'ai besoin à ce moment même : m'amuser avec le jeune homme, passer un bon moment et me prouver que je ne suis pas un vieux déchet. Et quand je vois les yeux de Sloan glisser sur moi, j'en suis persuadée : je ne suis pas un déchet. Putain que ça fait du bien à l'égo. Mais ce n'est pas tout ce que je souhaite. Et je me fais presque autoritaire. « Madame sait ce qu'elle veut. » Un rictus se dessine sur mes lèvres alors que je ne le lâche pas du regard. Oh oui, Madame sait ce qu'elle veut et ce qu'elle veut, c'est toi mon grand. Alors bouge ton postérieur et rejoins moi. Enfin, c'est sur qu'en restant planté au milieu du jaccuzzi de la sorte, je bloquais un peu le passage et… Ce n'est pas très agréable de rester à genoux pour ce genre de chose. Il y avait des choses bien plus agréable à faire à genoux et ça, je doutais fortement qu'il le nie. Bien installée, je le suis du regard et hausse les épaules quand il me demande « Il s'passe quoi si c'est pas un jacuzzi mais juste une baignoire ? » Je ne sais pas trop ce qu'il se passera, il faudrait que je cherche une punition pour m'avoir menti et m'avoir fait me déplacer pour rien. Oui, mais là je ne sais pas trop alors je laisse planer un silence qui se veut chargé de bien des choses. Allez Sloan, trouve toi même ta punition, facilité moi la tâche. « Et il s'passe quoi si ce truc fait des bulles, hum ? Il n'y a que ça qui t'excite ? Des bulles. » Je le regarde et ne bouge pas. Peut être que ouai, il n'y a que ça qui m'excite et le duo champagne-jaccuzzi c'est ce qu'il me faut. Totalement faux. C'est juste que c'est ce dont j'ai envie, d'un jaccuzzi, j'ai envie que le mécanisme se mette en route et pouvoir faire la sourde d'oreille si je n'ai pas envie de parler mais juste de profiter. Oui, du style 'désolée j'entends rien'. Le paradis sur terre. Je suis chacun de ses mouvements quand il se glisse au dessus de moi et souris légèrement. Allez Sloan, craque. Craque, embrasse moi, montre moi que y a pas besoin de foutre le mécanisme en route pour que j'entende plus rien. Fais moi profiter. " Si ce truc fait pas de bulles, j'vais devoir te punir… Et te faire chier jusqu'à la fin de l'année, jusqu'à ce que tu te fasses pardonner d'avoir menti sur la marchandise " Je souris alors qu'il attrape le champagne et se remet à sa place. Ok. Bon. Ça va vraiment pas le faire là, pour le coup. Je suis carrément frustrée, je dois bien l'avouer. Mais le voir me fuir ne me donne que plus envie de l'embrasser, d'aller vers lui mais non, je refuse. Au lieu de ça, je me redresse dans le jaccuzzi et sursaute quand le bouchon pète. Je ramasse ce dernier qui flotte dans l'eau et attrape ensuite la coupe que Sloan me tend. « Prête pour l'orgasme ? » Je le regarde droit dans les yeux et souffle " T'as pas idée " Je souris légèrement avant de faire tinter nos coupes de champagne et d'en boire une gorgée. Je n'ai pas le temps de dire 'ouf' que je me sens tirer sous l'eau et je sursaute, glissant à moitié sous l'eau. " Sérieusement ? " Soufflais-je avec un sourire taquin avant de poser la coupe de champagne sur le bord de la baignoire. « Moi aussi j'vais me faire plaisir. » Je le défie du regard et le laisse glisser ses mains sur mes cuisses alors que je ne bouge pas réellement. Je ne fais aucun mouvement vers lui, je le laisse venir à moi, je le laisse venir chercher ce qu'il souhaite. Et ses lèvres trouvent rapidement le chemin de ma nuque. Je ris légèrement et penche doucement la tête en arrière alors que je bascule en avant pour me placer sur lui, à califourchon. Mes mains glissent sur sa nuque, dans ses cheveux et je soupire. Je soupire comme s'il venait de me libérer d'un énorme poids. " Évite de me mordre cette fois-ci " Soufflais-je au creux de son oreille alors que je me baisse légèrement. Et je ne lui laisse pas de le faire pour me faire criser, je tourne le visage pour que mon cou soit inaccessible et ce sont ses lèvres que j'attrape. Et c'est lui que j'embrasse fougueusement, passionnément. Mes mains sur la faïence du jaccuzzi, je tente de me contenir mais c'est impossible, je suis lancée, je suis complètement dingue, j'ai envie de lui et d'un peu plus de choses que ces quelques baisers échangés. J'ai envie de ses mains sur mon corps. Maintenant, fais moi me sentir vivante Bushnell. Et plus vite que ça ! Je me détache légèrement de lui, haletante et soupire, un sourire dessiné sur les lèvres " J'avais peut être pas besoin des bulles pour kiffer en fait " Soufflais-je en glissant mes yeux sur lui, mes mains fraîches glissants sur son torse bien musclé. C'est qu'il est bien foutu le petit… Grr… Et sauvageonne comme je peux l'être, j'attrape ses mains pour les poser sur mes cuisses, devant. Mes doigts glissent sur ses bras puis ses avant-bras. Pour finir sur ses mains, contre ma peau. Je le mange du regard, littéralement et quand je l'embrasse, je mords doucement sa lèvre inférieure. Tout ça avant de poser mon index sur ses lèvres. C'est moi qui décide de la cadence et là, je veux que ce soit avec tes mains que tu me fasses sourire, rire, prendre mon pied. Mais ça, je ne le dis pas. Mon regard dans le sien, mon pouce qui caresse ses lèvres. Quelle oeuvre d'art ce type…
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