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Tu m'ouvres ? je suis à poils Les jours s’enchainaient et je prenais petit à petit mes marques dans l’appartement de Boris. Les choses s’étaient enchaîne successivement depuis la soirée improvisé de Sloan. Ma relation avec l’étudiant était aussi tangible et instable d’un fil électrique. Cette décision ne lui avait pas plus et pour une fois, je ne m’étais pas cantonner au bon vouloir de monsieur. J’avais fait ce qui me paraissait le mieux pour nous et pour moi. Vivre ailleurs me semblait être la solution adéquate. Même si tout poussait à croire que je me cachais de sloan. La bonne humeur de Boris était bonne à prendre. Seule dans l’appartement, je m’étais dirigée vers la salle de bain pour prendre une bonne douche. Mes pensées vaguaient dans tout les sens et j’avais besoin de canaliser tout sa. Les rares discutions que j’avais avec Sloan, ne me permettaient même plus de répondre à mes questions. Mes mains se posèrent sur le robinet de la douche et l’actionna. L’eau coulait sur mon corps et mes yeux se fermaient à ce simple contact. La solitude était parfois bonne à prendre même si elle ne réglait pas toute les questions. J’aimais être seule pour pouvoir réfléchir calmement. Une habitude que j’avais mis de côté depuis quelques temps et qu’il était bon de reprendre. Les minutes s’enchainaient et une fois finit. Je sortis de la salle de bain. Les cheveux mouillés, le corps trempé, je ne pris pas le temps de me sécher et partie à la porte de l’appartement persuadé d’avoir entendu quelqu’un frappé. Complètement nu, j’ouvris la porte et bascula mon visage sur le côté pour ne pas me montrer. Personne n’était la. « Y a quelqu’un ?» dis-je d’une voix hésitante et tremblante. Bordel qu’il faisait froid. J’ouvris un peu plus la porte en prenant soin de regarder si personne n’était là et sortie de l’appartement nu comme un verre de terre. Mon regard vadrouillait avant d’être violemment rattraper par la réalité. La porte se referma derrière moi me laissant seul moi et ma nudité au pas de la porte. « NOOON». gêner et morte de honte, mes mains se portèrent sur ma féminité et sur ma poitrine. Difficile de cacher tout sa avant de prendre le tapis qui se trouvait au pas de ma porte. Complètement gênée, je m’avançais résigné vers la porte de mon voisin pour frapper délicatement à la porte. Allez charline ! c’est rien, t’es nu et tu demandes de l’aide. Tout vas bien ! " hé hoooooo "
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