ENFIN Roman se réveillait. Happy le vit se lever tel un beau diable pour tremper des serviettes dans la salle de bain avant d’en donner une à Carter et une à l’américain. De son côté, le futur véto s’empara des quatre chiots pour les mettre dans un grand sac de couchage - puisqu’ils étaient petits, ils tenaient tous dedans et pouvaient respirer - car il n’était pas question de les abandonner. Il enfila ensuite la serviette donnée par son coloc autour de sa bouche et de son nez pour mieux donner un coup de main pour réveiller tout le monde. Une fois fait, il suivit la cadence de Roman et de Carter, découvrant avec horreur que le hall d’entrée était définitivement condamné. « NON PAS LES FENÊTRES ! Cela fera entrer de l’oxygène qui ne fera qu’aggraver le feu ! »

J'ai bu, j'ai bu, j'ai bu, j'ai bu. J'ai bu jusqu'à en avoir mal au coeur et on est pas rentré tard avec @Maxence Atwoodth de notre petite sortie entre meilleurs amis. Il n'a pas voulu me laisser rentrer à la maison et... je suis bien contente qu'il l'ait fait parce que lorsque je vomis mes tripes dans les toilettes et que je retourne au lit, je me dis que si Isaiha avait été là, il m'aurait cassé les bonbons et bien comme il faut. Glissée sous les draps, je grelotte. Et puis, je commence à avoir chaud, très chaud. J'entends des bruits et je pousse mon meilleur ami. " Putain, va leur demander de se taire Max, j'suis pas bien " Ronchonnais-je comme une enfant, pleurnichant à moitié alors que ma tête me fait mal et mon estomac... N'en parlons pas. Et puis rapidement, je ne grelotte plus, je meurs de chaud et j'enlève la couette et le tshirt qu'il m'a préalablement prêté, me retrouvant en culotte, les seins à l'air. Et j'ai encore super chaud...

Je papille légèrement les yeux, réveillé par des cris dans le couloir . Une odeur de brûlé amplifiant déjà la pièce . Je fronce les sourcils me redressant légèrement. Toujours personne dans la chambre à part moi . Je tousse malgré moi en me levant du lit, dans la pénombre , me dirigeant vers la porte restée fermée. L'odeur devenant de plus en plus insupportable et me faisant craindre le pire . Je souffle un coup avant de poser mes doigts sur la poignée de la porte et de l'entre ouvrir, découvrant un hall ampli de flamme, écarquillant mes yeux avec horreur, tournant ma tête de l'autre côté du couloir, qui se trouve être un cul-de-sac sans fenêtre. Je reporte de suite mon attention vers la chambre, où il n'y a aucune fenêtre également. Merde c'pas possible ! Je mets la main devant ma bouche en sortant de la chambre. Impossible de rester ici, mais impossible également de sortir par l'entrée principale . Une brèche dans les flammes est encore visible pour accéder à l'étage. Je m'y dirige sans hésiter, grimpant rapidement les escaliers, les flammes essayant de lécher mes pieds, tandis qu'il devient impossible de voir dans le nuage de fumée.

Tu restais devant Roman, attendant une putain de réponse, attendant qu’il te dise qu’il n’était pas là, qu’il n’était pas dans la maison, mais aucune réponse, rien, nada, niet. Tu commençais réellement à avoir peur, à avoir juste l’envie de dégager sa main de la tienne pour courir dans cette maison voir s’il était là, s’il était présent ou pas parce que tu ne pourrais pas sortir sans lui, sans les hommes de ta vie, il en était hors de question. Tu pouvais clairement crever pour eux, tu continuas de regarder ton homme, celui que tu aimais beaucoup trop. Tu tendis la main pour caresser sa joue parce que la peur était réellement en train de te prendre les tripes, parce que tu avais juste peur de le perdre aussi facilement que ça, aussi rapidement. Tu ne regrettais clairement pas être venue le voir pour passer la nuit avec lui, tu avais besoin de ses bras autour de toi et là, tu avais juste besoin de le sauver quitte à risquer ta vie pour une telle chose. Puis tu te remis à tousser comme jamais à cause de la fumée, à cause du fait qu’il avait toujours la serviette que tu lui avais tendue sachant que tu voulais qu’il fasse attention à lui avant de faire attention à toi. « Qu’est-ce qu’on fait alors ? » Tu regardas l’homme qui était avec vous depuis le début, le colocataire de ton copain qui n’avait pas oublié ses chiens, ce qui était normal.

@Happy S. Gainsborough @E. Roman Fawkes

Je suis entrain de dormir, pour une fois que je dors bien je pourrais rester là pendant des heures à dormir, à rêver de pas mal de choses, un peu tous et rien, mes rêves n'ont jamais vraiment de sens, je vois Naima puis Nina, je ne sais pas trop ce que ça peut vouloir dire. Ca faisait longtemps en tous cas que j'avais pas bien dormi comme ça. C'est alors que dans mon rêve qui en était rendu à une nuit torride avec une fille dont je ne citerais pas le nom j'entends Adam qui me dis qu'on doit se lever qu'il y a le feu. Il peut pas me laisser tranquille celui là ? Toujours là au moment où il faut pas oui elle est en feu effectivement mais si il pouvait repasser plus tard. C'est alors que BAM je sens une douleur me sortir de ma rêverie me voilà par terre, il m'a quand même pas poussé je tousse un peu j'ai du mal à respirer je ne comprends pas "Putain mais tu fais quoi avec ton sac ?" je regarde la fumée, putain il y a vraiment le feu ? Faut bouger de là. Je finis par me relever toussotant un peu avant de regarder Adam et reprendre "Pousse toi j'vais l'ouvrir" je prends un peu d'élan et je fonce comme au football américain sur la porte mon épaule percutant ce qui nous empechait de sortir. La voilà ouverte et je tousse encore plus on y voit absolument rien ici. "On reste ensemble ! Vient !" ouais finalement je ne lui en veux pas de m'avoir tiré de ce rêve ça me sauve pas mal la vie.

@Adam C. Rice

Après une longue journée autant le dire, Dante Basini s'écrase dans son lit et s'endore rapidement pour une fois, surtout que Jay ne dort visiblement pas là mais à son appartement. En ce moment l'italien passe du temps à la WH, puisqu'il est VP, entre lui et Jay, c'est quand même bien que l'un d'entre eux dorme à la maison. Mais voila, tard dans la nuit, bien trop tôt le matin, du bruit, des gens qui s'agite visiblement, la panique la plus totale, l'italien se redresse, quelqu'un dans la Winthrop House ? L'odeur de fumée le mène sur une autre piste, le feu. Il attrape un jean qu'il enfile en vitesse et des chaussures avant d'ouvrir la porte de sa chambre et de découvrir les gars en paniquent tous dans le couloir, avec quelques filles Tout le monde sort par deux, on se dépêche les gars ! Il parle fort, histoire que tout le monde entende les instructions et sorte en binome, histoire qu'un puisse soutenir l'autre en cas de problème. En dépit des flammes il va falloir trouver une sortie Mais pour lui, ce n'est pas encore l'heure, il est vice président de cette maison, alors avant de tenter de la quitter, il compte bien faire les chambres, une à une. A travers les flammes,, le bras pour couvrir sa bouche et son nez, il avance au bout du couloir et commence à ouvrir les portes une à une pour vérifier qu'il n'y a personne