Invité
est en ligne
Invité
Kathryna G. Bloom
Fiche d'identité
Nom BloomPrénom(s) Kathryna GillianeÂge Vingt-quatre ansDate de naissance 27.05.1992Lieu de naissance New YorkStatut amoureux CélibataireOrientation sexuelle PansexuelleClasse sociale MoyenneÉtudes majeures HistoireÉtudes mineures //Job Aucun en ce momentChoix de groupe #1 Lowell HouseChoix de groupe #2 Student LOWELL HOUSE
Kathryna chante depuis qu'elle est petite. Elle a participé aux chorales de son école alors qu'elle venait juste d'apprendre à lacer ses chaussures, elle a chanté dans les églises pour le plus grand bonheur des croyants alors qu'elle ne croit pas en Dieu mais qu'elle souhaitait un public, on n'entendait qu'elle aux anniversaires karaoké et aux boom. Kathryna a une capacité impressionnante à retenir les paroles des chansons qu'elle écoute pour la première fois. Elle pourrait travailler pour Beyoncé ou Fiona Apple. Sa voix a une élasticité exemplaire. Vraiment, le chant c'est presque toute sa vie.
Ce qui attire Kathryna à la Lowell House, c'est également le côté pacifique de la maison. En effet, elle trouve les affrontements de camps puérils ; elle veut juste rejoindre un endroit accueillant et pour cela la Lowell House a bonne réputation.
STUDENT
Kathryna ne se voit vraiment pas rejoindre une autre confrérie que la Lowell House. Elle a besoin de points communs pour s'intégrer, ce n'est vraiment pas son genre d'être gentille ou d'impressionner pour se faire accepter quelque part. De plus, elle n'est ni avide de pouvoir, ni leadeuse dans l'âme, ni particulièrement généreuse. Elle préfère encore ne faire partie d'aucune confrérie plutôt que se fondre dans une qui au fond ne lui conviendrait pas.
Kathryna chante depuis qu'elle est petite. Elle a participé aux chorales de son école alors qu'elle venait juste d'apprendre à lacer ses chaussures, elle a chanté dans les églises pour le plus grand bonheur des croyants alors qu'elle ne croit pas en Dieu mais qu'elle souhaitait un public, on n'entendait qu'elle aux anniversaires karaoké et aux boom. Kathryna a une capacité impressionnante à retenir les paroles des chansons qu'elle écoute pour la première fois. Elle pourrait travailler pour Beyoncé ou Fiona Apple. Sa voix a une élasticité exemplaire. Vraiment, le chant c'est presque toute sa vie.
Ce qui attire Kathryna à la Lowell House, c'est également le côté pacifique de la maison. En effet, elle trouve les affrontements de camps puérils ; elle veut juste rejoindre un endroit accueillant et pour cela la Lowell House a bonne réputation.
STUDENT
Kathryna ne se voit vraiment pas rejoindre une autre confrérie que la Lowell House. Elle a besoin de points communs pour s'intégrer, ce n'est vraiment pas son genre d'être gentille ou d'impressionner pour se faire accepter quelque part. De plus, elle n'est ni avide de pouvoir, ni leadeuse dans l'âme, ni particulièrement généreuse. Elle préfère encore ne faire partie d'aucune confrérie plutôt que se fondre dans une qui au fond ne lui conviendrait pas.
APRÈS LA BOMBE.
En janvier 2013, un terrible drame se produisit à Harvard. Kathryna était en cours à ce moment-là, dans un amphithéâtre de l'aile est du bâtiment. La professeur plaisantait sur les particularités d'un roi de France quand un étudiant fit irruption dans la salle pour prévenir ses confrères et consoeurs de la situation qui se déroulait à quelques mètres d'eux. La panique envahit rapidement la salle, même si quelques élèves parvinrent à garder leur sang-froid. Quand Kathryna prit connaissance de ce qui se jouait, elle pensa instantanément à son père et espéra très fort que le bâtiment était dans les normes et ne contenait pas trop de substances toxiques. Pour l'avoir vécu, elle savait qu'une explosion était possible, qu'elle pouvait arriver, que ce n'était pas quelque chose que l'on voyait seulement dans les films. Mais elle n'eut pas le temps de trop penser. La plupart des élèves étaient restés prudemment dans la pièce, obéissant aux ordres de ceux qui parvenaient à garder leur sang-froid. Quelques-uns venaient de sortir quand plusieurs déflagrations se firent entendre en l'espace de quelques instants. Personne n'osa plus bouger. « Qu'est-ce qu'il va advenir de nous ? » se demandait Kathryna qui avait serré très fort la main de son amie mais n'avait pas prononcé un mot depuis que l'alerte avait été donné. Elle était crispée, tétanisée, comme plusieurs autour d'elle. Quelle est la meilleure réaction à avoir dans cette situation ? Kathryna ne le saurait sans doute jamais. Mais comme son père avant elle, le sort l'avait épargné, la mort avait frappé près d'elle sans la récupérer. Elle pensa aussi à sa mère, qui devait être ô combien inquiète en apprenant les évènements à la radio, sachant que sa fille s'y trouvait. L'aile où se trouvait Kathryna fut l'une des premières à être évacuée. Puis on prit conscience de l'ampleur du désastre, ailleurs. Toutes ces vies perdues, à cause de quelqu'un qui avait décidé que prendre la vie de personnes qu'il ne connaissait pas était un acte qu'il était en droit d'accomplir... L'idée que la mort est imminente et que les drames n'arrivent pas qu'aux autres ne quittera plus Kathryna désormais.
En janvier 2013, un terrible drame se produisit à Harvard. Kathryna était en cours à ce moment-là, dans un amphithéâtre de l'aile est du bâtiment. La professeur plaisantait sur les particularités d'un roi de France quand un étudiant fit irruption dans la salle pour prévenir ses confrères et consoeurs de la situation qui se déroulait à quelques mètres d'eux. La panique envahit rapidement la salle, même si quelques élèves parvinrent à garder leur sang-froid. Quand Kathryna prit connaissance de ce qui se jouait, elle pensa instantanément à son père et espéra très fort que le bâtiment était dans les normes et ne contenait pas trop de substances toxiques. Pour l'avoir vécu, elle savait qu'une explosion était possible, qu'elle pouvait arriver, que ce n'était pas quelque chose que l'on voyait seulement dans les films. Mais elle n'eut pas le temps de trop penser. La plupart des élèves étaient restés prudemment dans la pièce, obéissant aux ordres de ceux qui parvenaient à garder leur sang-froid. Quelques-uns venaient de sortir quand plusieurs déflagrations se firent entendre en l'espace de quelques instants. Personne n'osa plus bouger. « Qu'est-ce qu'il va advenir de nous ? » se demandait Kathryna qui avait serré très fort la main de son amie mais n'avait pas prononcé un mot depuis que l'alerte avait été donné. Elle était crispée, tétanisée, comme plusieurs autour d'elle. Quelle est la meilleure réaction à avoir dans cette situation ? Kathryna ne le saurait sans doute jamais. Mais comme son père avant elle, le sort l'avait épargné, la mort avait frappé près d'elle sans la récupérer. Elle pensa aussi à sa mère, qui devait être ô combien inquiète en apprenant les évènements à la radio, sachant que sa fille s'y trouvait. L'aile où se trouvait Kathryna fut l'une des premières à être évacuée. Puis on prit conscience de l'ampleur du désastre, ailleurs. Toutes ces vies perdues, à cause de quelqu'un qui avait décidé que prendre la vie de personnes qu'il ne connaissait pas était un acte qu'il était en droit d'accomplir... L'idée que la mort est imminente et que les drames n'arrivent pas qu'aux autres ne quittera plus Kathryna désormais.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Kathryna était bien placée pour savoir qu'il n'est pas toujours évident de s'intégrer lorsque l'on arrive dans un nouvel endroit. Quand elle avait déménagé à Boston au début de son adolescence, elle n'avait pas été particulièrement accueilli à bras ouverts. Dans certains environnements, il peut être compliqué de se faire une place. En plus, on ne peut pas forcer les affinités ni s'inventer des atomes crochus : ça peut marcher un moment de prétendre que l'on est quelqu'un de différent que ce que l'on entend intérieurement, mais ce n'est pas vraiment possible dans la durée de tenir. C'est encore plus difficile de jouer un rôle auprès de personnes que l'on côtoie tous les jours : on finit bien par se trahir, le masque subit des brèches. Et les gens qui n'arrivent pas à se fondre dans la masse peuvent développer un désir de vengeance. Alors les agressions sexuelles ont commencé. Kathryna n'était pas étonnée. Elle savait que ça arrivait. Par contre, ça, elle se disait que ça n'arrivait qu'aux autres. Comme si s'il arrivait quelque chose de négatif à quelqu'un, c'est parce que cette personne y était un peu pour quelque chose quand même. C'est ce raisonnement qui amène à blâmer les victimes en voulant se rassurer soi-même : « moi ça ne m'arrivera pas ». Kathryna avait également conscience que dans la majorité des agressions sexuelles, la victime connaissait son agresseur et lui faisait même confiance. Mais elle ne voulait pas trop y penser non plus, parce que laisser grandir cette paranoia reviendrait à scléroser ses relations. Kathryna n'a pas été victime de ses agresseurs là, et elle était absente lors de la prise d'otages : elle s'était recluse chez elle pour étudier, coupant tout moyen de communication, apprenant ainsi ce qu'il s'était passé plusieurs heures après que le dénouement ait eu lieu. En revanche, elle fut victime d'une agression sexuelle par quelqu'un qu'elle connaissait, peu après l'arrestation de ces jeunes-là. Oui, elle fut agressée sexuellement par une personne qui avait été pris en otage et qui avait clamé sur la place publique que c'était vraiment horrible et inacceptable, ce que ces jeunes-là avaient fait. Mais il faut faire attention à ceux qui gueulent très fort, au risque d'être persuadée que leurs mots suivent leurs actes.
Kathryna était bien placée pour savoir qu'il n'est pas toujours évident de s'intégrer lorsque l'on arrive dans un nouvel endroit. Quand elle avait déménagé à Boston au début de son adolescence, elle n'avait pas été particulièrement accueilli à bras ouverts. Dans certains environnements, il peut être compliqué de se faire une place. En plus, on ne peut pas forcer les affinités ni s'inventer des atomes crochus : ça peut marcher un moment de prétendre que l'on est quelqu'un de différent que ce que l'on entend intérieurement, mais ce n'est pas vraiment possible dans la durée de tenir. C'est encore plus difficile de jouer un rôle auprès de personnes que l'on côtoie tous les jours : on finit bien par se trahir, le masque subit des brèches. Et les gens qui n'arrivent pas à se fondre dans la masse peuvent développer un désir de vengeance. Alors les agressions sexuelles ont commencé. Kathryna n'était pas étonnée. Elle savait que ça arrivait. Par contre, ça, elle se disait que ça n'arrivait qu'aux autres. Comme si s'il arrivait quelque chose de négatif à quelqu'un, c'est parce que cette personne y était un peu pour quelque chose quand même. C'est ce raisonnement qui amène à blâmer les victimes en voulant se rassurer soi-même : « moi ça ne m'arrivera pas ». Kathryna avait également conscience que dans la majorité des agressions sexuelles, la victime connaissait son agresseur et lui faisait même confiance. Mais elle ne voulait pas trop y penser non plus, parce que laisser grandir cette paranoia reviendrait à scléroser ses relations. Kathryna n'a pas été victime de ses agresseurs là, et elle était absente lors de la prise d'otages : elle s'était recluse chez elle pour étudier, coupant tout moyen de communication, apprenant ainsi ce qu'il s'était passé plusieurs heures après que le dénouement ait eu lieu. En revanche, elle fut victime d'une agression sexuelle par quelqu'un qu'elle connaissait, peu après l'arrestation de ces jeunes-là. Oui, elle fut agressée sexuellement par une personne qui avait été pris en otage et qui avait clamé sur la place publique que c'était vraiment horrible et inacceptable, ce que ces jeunes-là avaient fait. Mais il faut faire attention à ceux qui gueulent très fort, au risque d'être persuadée que leurs mots suivent leurs actes.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Kathryna a eu un petit-ami pendant un an l'année de ses quatre ans et elle aimerait bien savoir ce qu'il devient • Elle a découvert qu'elle pouvait être attirée sexuellement aussi bien par des hommes que par des femmes à dix-huit ans après avoir eut des rapports avec une fille rencontrée dans un bar pour sortir de sa zone de confort • Kathryna n'est pas souvent timide, comme beaucoup de monde il y a des situations qui l'intimident mais ce n'est pas sa dominante • Elle a tendance à dire tout ce qui lui passe par la tête et peut ainsi se montrer blessante sans avoir eu l'intention d'être méchante • Elle avait de l'acné à l'adolescence, et franchement c'était pas beau à voir • Elle voudrait devenir professeur et pour cela s'entraîne à être autoritaire, même si les résultats escomptés ne sont pas au rendez-vous • Elle n'a pas l'impression d'être une adulte et ressent souvent le syndrome de l'imposteur • Elle sait préparer à merveille les cocktails, grâce à son ancien métier de barwoman.
Kathryna a eu un petit-ami pendant un an l'année de ses quatre ans et elle aimerait bien savoir ce qu'il devient • Elle a découvert qu'elle pouvait être attirée sexuellement aussi bien par des hommes que par des femmes à dix-huit ans après avoir eut des rapports avec une fille rencontrée dans un bar pour sortir de sa zone de confort • Kathryna n'est pas souvent timide, comme beaucoup de monde il y a des situations qui l'intimident mais ce n'est pas sa dominante • Elle a tendance à dire tout ce qui lui passe par la tête et peut ainsi se montrer blessante sans avoir eu l'intention d'être méchante • Elle avait de l'acné à l'adolescence, et franchement c'était pas beau à voir • Elle voudrait devenir professeur et pour cela s'entraîne à être autoritaire, même si les résultats escomptés ne sont pas au rendez-vous • Elle n'a pas l'impression d'être une adulte et ressent souvent le syndrome de l'imposteur • Elle sait préparer à merveille les cocktails, grâce à son ancien métier de barwoman.
pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle // et j'ai vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un forum de pub. Le forum a l'air cool et actif alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de Kathryna G. Bloom de la Lowell House :giggle: . J'utilise Nicole Anderson comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Obsession27. Je fais environ ? mots par RP (je ne saurais vous dire, ça fait super longtemps que je n'ai pas RP et je n'ai jamais vraiment eu l'obsession de compter le nombre de mots, ce n'est pas ce que je privilégie ) et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? J'ai hâte de vous connaître :La:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par Oksanna T. Petrova (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? J'ai hâte de vous connaître :La:
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par Oksanna T. Petrova (voir la liste des parrains)
(Invité)