COKY | Septembre 2016.
i want you back my evil boy | Lucky donne rendez-vous à Cole dans la forêt à l'abris des regards en prétextant une urgence alors que c'est uniquement dans le but de lui faire des avances. Elle veut le faire craquer et donc elle est prête à tout pour y arriver. Ce dernier lui résiste, mais vraiment difficilement.
« C'était donc ça l'urgence ? Je ne suis pas venu pour me faire insulter par toi Lucky… Et puisque je suis chiant et faible, je ne vais pas t’imposer davantage ma présence… » fis-je en essayant d’échapper à son regard perçant. Ca sentait le piège à plein nez et me voilà, faisant un pas en arrière pour chercher à reculer et ne pas me prendre dans ses filets.
« T'sais bien que tôt ou tard le vrai Cole reprendra le dessus, alors vaut mieux qu'elle pleure maintenant, plutôt qu'après qu'elle se soit bien entiché de toi. » On ne change pas sa vrai nature au fond n'est-ce pas ?. Et elle voulait le lui prouver aujourd'hui.
« Et si je t'embrassais là, tu ferais quoi ?. » "Arr..." Peut être que j'aurais du être plus ferme, plus autoritaire, plus décidé... Parce que mon troisième -arrête ça- mourrut sur mes lèvres avant que je ne puisse le prononcer car ses lèvres étaient venues se poser dans mon cou... Contact furtif mais suffisant pour me troubler et surtout pour me faire paniquer... « Pourquoi tu me fuis comme la peste ?. Avoue que t'essayes juste de mettre une distance entre nous parce que je suis un danger pour ton couple et que tu pourrais très bien craquer si je te tente. » Plus que certaine de son hypothèse, la mather plaça son beau visage devant celui de Cole, mais elle ne l'embrassa pas, soutenant juste son regard pour voir sa réaction. "Lucky que les choses soient claires : même si je n'étais pas en couple, je ne t'embrasserais pas, je ne te toucherais pas..." Mon ton était ferme et décidé malgré ses yeux de braises et le souvenir de nos nuits enflammées. "Je me présente aux élections de la Eliot House. Je ne devrais même pas être ici.." Si on me voyait discutailler avec l'ennemie, j'étais sur de perdre.
"Dégage de là Lucky." Que je tentai encore de la chasser, malgré sa main sur mon torse, sauf que l’instant d’après, c’est possessive qu’elle m’attira à elle, contre sa poitrine, provoquant une réaction humaine qu’il n’était guère possible pour moi de maitriser plus longtemps. Faites qu’elle ne le remarque pas… J’eus à peine cette pensée qu’elle l’avait sentie, mon érection… [...]Je n’eus pas le temps de répliquer quoi que ce soit que je me retrouvais contre l’arbre, la jambe de la jeune femme remontant entre mes jambes, stimulation qui fit s’accélérer un peu plus mon pouls alors qu’elle me soufflait de l’embrasser, et je finis par la faire taire, de la façon dont elle me l’avait demandé, mes lèvres s’écrasant sur les siennes quelques instants. Un nœud de culpabilité me tirailla aussitôt le ventre malgré tout. Mes mains s’ancrèrent alors sur sa taille pour, d’un geste, faire s’inverser nos positions, la plaquant à son tour, et sans ménagement contre l’écorce de l’arbre....[...] En gros, Cole a été à deux doigts de commettre l’irréparable, mais elle le laissa s'en aller avec la promesse de le traquer.
COKY | Septembre 2016.
folie psychopathe | Lucky s'introduit en sous-vêtements dans la chambre de Cole à la Eliot House à 2H30 du matin. Il est profondément endormi et croit qu'il est en train de rêver d'une Lucky qui se glisse sous ses draps pour un moment intense. Hors, c'est bien réel, mais la blonde s'amuse à lui faire croire le contraire. Ce qui marche très bien puisqu'il se laisse toucher, embrasser et y répond même.
« Les rêves sont faits pour ça, assouvir une frustration sexuelle. Alors prends-moi Cole, je sais que tu m'desires ardemment. Arrache-moi de nouveau cette culotte avec tes dents. » Sans lui laisser un instant de répit, elle attrapa l'une de ses main qu'elle glissa de son bas ventre remontant lentement sous son soutif histoire de lui voler un frisson plus grand que le précédent. -
Un soupir de plaisir s’échappa de mes lèvres alors qu’elle descendait un peu plus bas sur moi, se frottant de manière calculée sur mon boxer qui ne cachait rien de l’érection qu’elle avait provoqué en se glissant dans mon lit. Et l’argument de sa présence ici, dans cette tenue, à la EH, en pleine nuit, ça suffit à convaincre mes petits neurones endormis. Si c’était qu’un rêve, quel mal y avait-il à profiter ? J’étais bien trop en manque, surement. J’allais me réveiller le calbut tout mouillé, pire qu’un ado, mais au moins j’aurais un peu pris mon pied, fantasmagoriquement parlant. Et puis peut être que de la sauter en rêve, ça me rendrait plus apte à repousser ses avances lorsque l’on se recroiserait sur le campus non ? Alors quand ses lèvres plongèrent sur les miennes, je choisis de savourer ce baiser, de le prolonger, laissant jouer ma langue contre la sienne dans un balai passionné.
-Ses yeux s'encraient dans les siens, le regardant, l'admirant.
« T'es beau Wildingham. » Sayez, elle se perdait dans son propre jeu, ce n'était plus elle, c'était la Lucky de son pseudo rêve. « Mais j'trouve que t'as quand même un nez qui toucherait presque ta bouche. » Dit-elle en riant. Chieuse jusqu'au bout. Elle plaque une main contre sa joue et glisse doucement jusqu'à son menton qu'elle attrape du bout des doigts pour venir une nouvelle fois, épouser ses lèvres. Un baiser plus doux, plus tendre, plus chaud et qui venait de lui faire prendre conscience d'une chose. L'Anglaise ne devait pas aller plus loin. Elle ouvra soudainement les yeux et retira rapidement ses lèvres. « C'est toi l'danger Cole... » Elle lui pinçait la joue pour qu'il prenne conscience que tout ceci n'était pas un rêve. Il fallait qu'elle s'en aille, qu'elle en reste là avant qu'il ne soit trop tard. Il avait fallu qu'il se mette en couple pour réaliser que ce n'était pas elle le danger, mais lui. Elle comprenait pourquoi elle refusait de le savoir en couple, pourquoi elle avait besoin de se retrouver dans les bras de ce serpent, pourquoi elle avait besoin de sentir la chaleur de son corps contre la sienne, pourquoi elle avait besoin des baisers sur sa peau. Pitié qu'on lui donne une corde pour qu'elle se pende. Elle en était devenue accro, la blague de l'année. Cole prend alors conscience qu'il ne rêvait pas et s'en suit des questions sur sa venue dans cette chambre, elle lui répond clairement qu'elle veut faire voler son couple au éclat parce qu'elle n'est pas encore rassasier de ses coups de reins. Peut-être trop fière pour lui avouer qu'elle était devenue accro. Après une avalanche de sous-entendu un :
« Réfléchis bien à ce que nous pourrions être tous les deux...[..] Toi et moi pouvons être tellement d'choses sans règles, sans prise de tête et surtout sans frustration. » Furent ses dernières paroles, suivit d'un baiser et d'un "bonne nuit" avant de s'en aller...
"Va-t-en, vite…" Vite parce que je ne veux plus te voir… Vite parce que je serais surtout capable de te retenir et que non, je ne pouvais pas faire ça…
COKY | Fin Septembre 2016.
je ne suis pas l'antidote, je suis le poison | Cole vient rendre visite à Lucky dans le seul et unique but de se défouler sur elle et de la bombarder de menaces, mais ça ne se passe pas comme prévu, car à la minute où elle est apparue devant lui, il en oublia le pourquoi du comment de sa venu. Tout le contraire de ce qu'il a prévu, puisque cet entrevu se termina en cours de cuisine.
"J’ai jamais fait ça de ma vie…" Un gâteau. Quand on avait une armée de cuistot à son service, forcément on était pas coutumier de ce genre de choses. Alors c’est avec un œil intrigué que je l’observais un instant mélanger sa pâte avant de me reprendre, fermant le robinet, ma brûlure étant bien soulagée : "Je devrais y aller.." Je faisais déjà un pas vers la sortie d’ailleurs… « Et puis merde ! Cole !. » Cria-t-elle un peu trop fort comme si sa vie en dépendait.
« Ahem... J'voulais dire, Cole... » Elle se reprenait d'une voix plus petite en grimaçant. T'es Grillée. La demoiselle se rapprocha de lui et glissa sa main dans la sienne. « Reste. » Un simple mot, mais pas d'objection. Elle était vraiment sérieuse et ce n'est pas son regard qui prouverait le contraire. Et puis ce cours de cuisine se transforma en cours particulier, car il ont fini par coucher sur le plan de travail, ne pouvant plus résister longtemps à cette attirance, cette pulsion qui les renvois toujours l'un vers l'autre. [...]
« Tu regrettes ?. » D'être là ? De m'avoir embrassé, de m'avoir touché ? De me donner du plaisir au point d'en perdre toi-même la boussole ?. Tu regrettes Cole ? C'est pour ça que tu me regardes comme ça ?. Ou c'est simplement par peur de te dire que tu ne pourrais plus vraiment te passer de moi ?. Que je laisserais un vide...Un petit manque... Une étincelle...Un feu d'artifice brûlant, très brûlant à t'en faire presque mal au fin fond. Toutes ces suppositions, Lucky n'en n'aura peut-être jamais les réponses. Elle posa son pouce sur ses lèvres qu'elle caressa brièvement. [..]
Je n’avais aucunement envie de penser à tout cela, à réfléchir à cet attachement, ce truc qui me faisait inévitablement revenir vers elle toujours, pas là, pas maintenant, alors qu’il n’y avait qu’une chose qui comptait c’était son corps contre le mien, ma peau contre la sienne, nos souffles qui s’emmêlaient… Alors pour toute réponse, je murmurai : "Pourquoi ? J’ai l’air de regretter ?" Et comme pour illustrer le fait que je voulais profiter pleinement de cet instant, l’une de mes mains se détacha du plan de travail pour saisir ses deux grosses aubergines (no comment :giggle:) pour lui soulever les hanches et entrer plus profondément en elle. Je n’eus aucun mal à exécuter sa demande suivante, celle de l’embrasser. Ma bouche vint s’emparer de la sienne, un baiser d’abord doux et qui s’emporta rapidement, fiévreusement… Tout comme mes va-et-vient en elle. Mes coups de reins s’accélèrent à mesure que le plaisir montait. Assez de retenue. Assez de questions. Du plaisir, juste du plaisir. Et nos regards accrochés, je m’enfonçai plus profondément en elle, la sentant se contracter un peu plus sur moi, me laissant guider par son souffle, sa respiration, ses gémissements. Je m'agrippai finalement à sa taille et me libérant en elle avec un gémissement rocailleux, fondant ensuite sur ses lèvres pour essayer d’étouffer ce son… Cole s'en alla ensuite, laissant une Lucky toute retournaillée, chamboulaillée ouaich ouaich.
COKY | Fin Octobre 2016.
quand on veut, on peux. Je te veux, donc je peux. | Lucky recoit un message de Cole lui donnant rendez-vous dans une ruelle sombre. Le vice-président à perdu les pédales depuis l'incendie, déjà qu'il l'accusait d'être l'hauteur de l'incendie qui a touché la Eliot et maintenant, il l'accuse d'avoir kidnappé Noah. Elle a été choqué sur le coup, en colère aussi, mais face à sa détresse, à son appel à l'aide, à sa mine complètement déterré, elle a craqué.
"Où est-il ? Où est Noah ?" Le pire c'était peut être que j'y croyais, à mes théories farfelues de complot. Y'avait pas besoin de beaucoup, quelques infos distillées par la radio, des paroles malheureuses de quelques uns de mes amis, et je sautais à pied joint dans la mare. L'idée que la MH soit impliquée dans tous les cafouillages de ma vie du moment, ça me donnait un but, une énergie : la réduire à néant. J'avais un grand ennemi contre qui me battre, quelques têtes à abattre, et ça anesthésiait un peu tout le reste... « Je ne l'ai pas kidnappé, aucun mather ne l'a kidnappé. Noah est juste parti pour oublier son chagrin, car je n'vois pas d'autres raisons à sa disparition. » Et tu comprenais son chagrin, tu comprenais que ça n'avait pas été facile parce qu'il avait vraiment aimé Sage, tout comme il aurait aimé son gosse, tout comme Sage l'avait vraiment aimé et tout comme il aura toujours une place importante dans sa vie. Tu le sais, tu connais très bien ta meilleure amie. « Maintenant, si t'as fini, je m'en vais... » Sans vraiment attendre, tu inspires et reprends ton chemin, dépassant Cole, dépassant cette nouvelle prise de tête. Vous ne vous étiez pas parlé tout un mois, alors vous pouvez très bien continuer à vous ignorer non ?. [...]
Cole le cœur de pierre. Ou non mieux, Cole le sans cœur. Alors ça devrait rien me faire, qu’elle me tourne le dos là, qu’elle annonce qu’elle s’en allait, et qu’elle s’éloigne, pas vrai ? Je ne devrais pas ouvrir la bouche pour l’appeler. "Lucky !" Je devrais encore moins la retenir : "Attends !" Je ne devrais pas non plus réduire la distance entre nous et me saisir de son bras pour qu’elle fasse volte face vers moi. Je ne devrais pas, et pourtant c’est ce que je fis. "J’ai pas fini…" Mon regard la sondait, la détaillait, la dévorait, cherchant toute trace de mensonges. Dans le déni total, je ne voulais pas intégrer l’idée que Noah était juste parti, qu’il nous avait simplement abandonné, qu’il m’avait juste abandonné… Je m’accrochai à l’idée d’un bourreau, je m’accrochai à Lucky, ne relâchant pas son poignet… Suites à des échanges, des pétages de plombs made by Cole, ils font le deal de ne plus se revoir, ni s'écrire, mais avant, elle clos ce dernier rendez-vous par un baiser. Elle lui demande aussi de lui promettre de faire attention à lui.
Ma phrase mourut sur mes lèvres lorsque les siennes s’en emparèrent, me coupant dans ma phrase, mon souffle, mon délire… L’espace de quelques secondes, il n’y avait plus de persécuteurs, je n’étais plus poursuivi, je ne devais plus m’enfouir. Ma tête n’allait plus exploser. Il n’y avait plus que Lucky. Ses fesses contre mon bassin. Ses doigts contre ma joue. Sa bouche dévorant la mienne. Je finis par me détendre, après quelques secondes de ce surprenant baiser. Mes mains allant se poser dans le creux de ses reins, mes paupières se fermant, ma crispation diminuant… Quelques secondes et le contact prit fin. Les pseudos assaillants dans la rue avaient disparu, s’étaient dissipés de mon esprit, désormais reconnecté partiellement avec la réalité. On était seuls, elle et moi, dans cette voiture, dans cette rue. Ses prunelles accrochèrent les miennes et ses doigts glissèrent sur le tissu de sa chemise alors qu’elle formula cette étrange demande : ne pas l’oublier. Puis elle me demanda d’être prudent, me lâchant avant de carrément me faire promettre de faire attention. "Promis… " soufflai-je avant de la relâcher, ma main voyageant jusqu’à la poignée pour lui ouvrir la portière. "Va-t-en… Vite…" Et cette fois, mon ton était différent. Parce que ce n’était clairement plus elle la menace. Dans un accès de lucidité, en voyant son regard apeuré, en sentant son inquiétude sincère, je pris conscience du danger que je pouvais être, pour elle, pour moi même, pour nous deux… Et sur ces dernières paroles, Lucky s'en alla avec une prise de conscience qui allait totalement chambouler son monde.
COKY | Fin Novembre 2016.
de l'amour à la haine... inversons le processus !. | uc
COKY | Début janvier 2017.
Appel en mp Cole ► Lucky | Cole vient de terminer son opération qui consiste à lui retirer sa tumeur et la première personne qu'il appelle, c'est Lucky. Elle le rejoint immédiatement et c'est à se moment là qu'ils officialisent secrètement leur couple.
« Ça été vraiment un calvaire de rester loin de toi et de ne pas pouvoir te toucher. Un calvaire de te voir au bras de miss parfaite et l'embrasser... Je te veux Cole. Je te veux sérieusement et entièrement, corps et âme. Je veux faire un bout de chemin à tes côtés, je veux pouvoir penser à un futur à tes côtés, qu'il soit long ou bien court, je veux pouvoir faire des projets avec toi. Je veux que nous ayons un chez nous et peu importe si nous devons nous y rendre une fois par semaine dans le plus grand des secrets et inventer des excuses bidons pour nous absenter. » Bordel voilà, ça recommence, je suis poussée par mes pulsions et mes envies. Mais que ce soit moi qui fasse ce premier pas, changerait de la bonne vieille habitude, car Cole et Lucky ne ressembleraient à aucun autre couple. « Sois à moi et ne m'oblige à pas te le supplier. » Que je murmure sur un ton amusé vers la fin de ma phrase, parce qu'elle avait été dite précédemment par mon amant et j'osais espérer qu'il me le rendra aussi bien. Mais, il pouvait toujours rêver s'il me demandait de le supplier. "Je…" C’était le moment où je devrais m’excuser encore peut être ? Mais pas le temps de placer quelques mots, puisque mon interlocutrice enchainait, et je ne l’interrompais pas, la laissant poursuivre. Elle me révéla alors ses envies, ses souhaits concernant l’évolution de notre relation. Si ces mots auraient pu me faire fuir avant, il me paraissait désormais évident que ce qu’elle formulait, c’était aussi ce que je voulais. La preuve, même en couple, même à moitié dingue à cause d’une tumeur, même en la pensant maîtresse d’un complot de grande ampleur contre ma personne, j’avais toujours fini par la chercher, la vouloir, la retrouver… Alors quand elle finit son speech sur un murmure, s’amusant à reprendre ma réflexion précédente, ce n’est pas un air effrayé qui apparut sur mon visage. Je ne bougeais pas, et rien à voir avec le scope ou la perf qui me maintenaient de toute façon cloué au lit. Non, je n’avais pas envie de m’échapper, bizarrement, la déclaration de la brune ne me faisait pas peur. Parce qu’elle me connaissait, qu’elle avait su mettre le ton, saupoudrer le tout d’un peu d’humour pour que ça ne tourne pas à la mièvrerie qui débordait habituellement de ce genre de discussion. Un petit sourire se dessina donc doucement sur mes lèvres. Je savais dans quoi je m’engageais, je savais que ça allait être compliqué, et pourtant… Me rapprochant un peu, nos regards connectés, mon front s’accolant en sien, je lui soufflai : "Je suis déjà à toi…" avant de venir sceller de nouveau mes lèvres avec les siennes, pour assouvir ma soif d’elle. Et qu’importe les bips du moniteur cette fois…COKY | Fin mars 2017.
et tu comprendras finalement pourquoi les tempêtes sont nommées comme les gens | Deux mois de couple et les disputes ne font que se multiplier à causes des conneries de Cole. Il a d'abord menti sur le fait qu'il ait quitté les Eliots pour que Lucky quitte les mathers. Ensuite il a fait un pari stupide de coucher avec sa bizut. Résultat, il est mise à pied et Lucky ne supporte plus de se faire avoir. Alors elle refuse catégoriquement la proposition de Cole qui consiste à la larguer devant tout le monde. Une promesse qu'il avait fait d'ailleurs à Ayma. Une dispute s'en suit et Lucky se glisse sous la douche pour évacuer. Elle est aussitôt suivie de son petit-ami.
"Moi aussi j’ai besoin d’une douche froide." Pas pour calmer ma colère, mais pour calmer mini Cole frustré après ces baisers et frustré devant cette scène de Lucky complètement nue sous l’eau… J’ôtai mes habits pour m’avancer jusqu’à la douche : "Tu me fais une petite place ?" Mon petit-ami me rejoins dans la salle de bain et demande à avoir une petite place. Les yeux fermés, je tourne discrètement le contrôle de température vers le froid uniquement et je me pousse pour lui laisser le passage. « Vas-y. » Avant qu'il s'en aperçoive, je le pousse carrément sous l'eau glacée. « Ça va ? Elle est assez froide pour toi ? » Demandais-je en croisant les bras contre ma poitrine. Je le fixe, il était de dos et mes yeux se lassaient un peu égarés sur ses fesses musclées. Non tu ne craques pas Lucky ! C'est vrai que t'as plus envie de sexe que de Nutella depuis ta grossesse, mais craque pas ! Non non non... Le regarde pas...
« Et puis zut ! » Pffff, comment le voir nu et ne pas lui sauter dessus ein ? M'approchant de lui, je laisse mon corps épouser le sien, poitrine contre son dos, mes mains glissent et se plaquent contre son torse. « J'te déteste au point de t'aimer, crétin. » Pas très compréhensible comme phrase, mais osef. Je m'étire sur la pointe des pieds afin de poser mes lèvres contre sa nuque, descendant lentement mes baisers vers son épaule. "C’est une déclaration d’amour ou de guerre que tu me fais là ?" demandai-je, souriant, sourire qui s’élargit en sentant ses lèvres contre ma nuque, descendre sur mon épaule, contact qui permit au mini Cole de retrouver un peu de sa vigueur malgré la douche froide qu’il venait de prendre… J’attrapai ses mains toujours sur mon torse, les amenai à mes lèvres, embrassant ses doigts avec tendresse alors en reprenant : "Depuis quand tu te sens menacée par Ayma Lucky ? Depuis quand tu te sens menacée par qui que ce soit ?" Depuis quand Lucky Burberry laissait-elle quelqu’un se mettre sur son chemin ? Relâchant ses mains, faisant volte face vers elle alors, mon regard plongea dans le sien. Mes doigts remontèrent le long de ses courbes, jusqu’à venir caresser son visage avec délicatesse. Mon front se posa sur le sien, et dans un souffle je lâchai, imitant ses mots mais en les détournant un peu : "Je t’aime au point de te détester…" [...] Ces mots sortaient de sa bouche, ces fameux mots magiques que j'attendais depuis toujours. Mon cœur cogna ma poitrine, mes yeux s'ouvraient grand malgré l'eau qui coulait sur nous. J'eusse un petit geste instinctive de reculer pour plonger mon regard dans le sien tellement la surprise était grande. Je ne retiens pas le reste de sa phrase, juste le "Je t'aime" que je me repasse en boucle ne pouvant sortir un mot après cette déclaration. Mais parle, dis quelque chose, ne reste pas planté là ! Pauvre de moi, c'est ce que j'ai toujours voulu entendre et je suis incapable de dire un mot de plus. Alors, je devrais me pincer pour voir si je ne rêvais pas. Oui voilà et au lieu de me pincer, je pose mes doigts sur le bras de Cole que je pince assez fort avant de me rendre compte que je venais de me tromper de cible. « Oh pardon... J'voulais pas... C'est moi... » Ta gueule Lucky ! Je me rattrape en me pinçant la joue suffisamment fort pour ressentir la douleur et me rendre compte que... « Je ne rêve pas... » JE NE RÊVE PAS PUTAIN ! Il venait enfin d'avouer qu'il m'aimait et il ne le dit jamais comme ça, sans le penser, sans être sûre de lui. J'étais mieux placée pour savoir ce qu'il pensait de ces mots magiques. J'ai galéré pour les entendre, mais ils sont enfin là. Je ne pouvais rêver mieux comme moment. Moment que j'allais peut-être rêver ce soir encore et encore et puis demain et les autres jours. J'étais excitée comme une puce et regardez mon sourire. « Tu en as mis du temps... » Que je balance enfin, vaut mieux tard que jamais non ? Je pose mes mains sur ses joues, sourire qui ne me quitte plus. Je le regarde quelques instants, me noyant dans ses prunelles, battant des cils à cause de l'eau. « C'est toi et moi... » Contre le reste du monde. Mes lèvres se posent amoureusement sur les siennes, un baiser remplis de tendresse. Un baiser mouillé, aussi bien au contact de nos langues à l'intérieur qu'à l'extérieur au contact de l'eau. Je grimpe sur lui me sentant presque munis d'ailes. On dit que l'amour donne des ailes, why not ? Mes jambes se croisent contre ses fesses musclées, mes lèvres s'activent un peu plus fougeusement, tandis qu'une main glisse contre sa nuque pour agripper son cuir chevelure. "Toi et moi…" répétai-je contre ses lèvres avant que l’ambiance ne se réchauffe un peu plus avec nos bouches qui se réunirent, ses jambes qui s’enroulaient autour de moi, et nos langues qui se mirent à danser un balai endiablé. La plaquant contre la faïence de la douche alors, mes lèvres délaissèrent quelques secondes les siennes, reprenant mon souffle pour commenter : "J'aime mieux cet effet là en fait..." Déposant des baisers tout le long de son cou, venant mordiller son lobe d’oreille, c’est au creux de cette dernière que je répétai alors dans un souffle : "Je t’aime, je t’aime, je t’aime…" Cette fois sans blabla autour… Ce spring break restera à jamais gravé dans le coeur de Lucky.
COKY | Mi-juillet 2017.
la guerre est déclarée | Pour le summer camp, Lucky se retrouve à participer à une croisière qu'a organisé Cole. Elle se montre alors, en faux couple avec Alix, un homme avec qui elle essait d'oublier son ex. Ce dernier partage un secret avec Cole que Lucky en est au courant. L'ancien Eliot, gardant un oeil sur elle, finit par la croiser devant la porte de chambre de son meilleur ami. Croyant ainsi qu'elle allait tout lui révéler, il l'empêche d'eller plus loin. Amusée par le pouvoir qu'elle avait sur lui, brunette l'attire dans la salle de spa du bateau, lui demandant de lui faire un massage ou sinon, elle irait tout balancer. Si au départ, la belle voulait juste le faire chier, ils ont fini par déraper et coucher ensemble. Comme à chaque fois qu'ils se trouvent dans la même pièce, ils ne peuvent se résister.
COKY | Mi-septembre 2017.
tout ce que vous pourrez dire sera retenu contre vous | Après avoir appris pour la paternité de son ex, Lucky le félicite en étant un peu blessée par le fait qu'il prenne mieux la grossesse de sa meilleure amie. Et après des sms échangés, Cole se retrouve chez elle dans le but d'enquêter sur sa candidature troller, pour la présidence de sa maison. Seulement, il se rend compte que la brune lui manque terriblement et se laisse aller à le lui avouer....
en cours...
COKY | Fin septembre 2017.
Dis ? Je peux te poser une question ?
Qu'est-ce que tu veux savoir ?
Le soir où t'es venu me voir, c'était dans l'unique but de blesser ton ex ? Car elle a dit à Ashleigh que tu t'en ai vanté auprès d'elle...
Je suis honnête simplement. Et Lucky, quelques jours après être venu chez toi, je suis parti à Porto Rico pour affaires familiales, et j'ai passé une nuit avec elle, avec Cléolya...
Et cette nuit que t'as passé avec elle, ça voulait dire quoi ? Si c'est elle que tu veux, pourquoi tu ne retournes pas avec elle ?
Ca veut dire que qu'importe à quel point je peux tenir à elle, je suis aussi tout à fait capable de la blesser, comme je l'ai fait lui révélant notre moment. Et je suis aussi capable de le faire avec toi, en te parlant de ma nuit avec Cléo.
Tu devrais surement me bloquer à nouveau Lucky.
Bien... tout ce que je te demanderai, c'est d'arrêter de m'utiliser... Et aussi, d'oublier que j'existe comme ça, tu ne reviendras pas à chaque fois m'embrasser et me dire que je te manque pour ensuite me blesser... Retourne avec elle et laisse moi tranquille une bonne fois pour toute.
TU m'énerves ! Même en ayant quitté Harvard, je n'arrête pas de penser à toi... Faut que je fasse quoi ? Que je quitte Boston aussi ?
Comment ça t'as quitté Harvard ? Je peux rester en Belgique si ça t'aide.
J'ai quitté l'université... Et tu claques tes études comme ça, c'était pas ta dernière année en plus ? Je te rapelle aussi que t'as un futur gosse en route... Tu sais ce que j'aurais dû faire ? Te prendre aux mots et t'attacher à mon lit...
J'ai pas besoin de diplôme je m'appelle Cole Smythe Wildingham, j'ai une place dorée qui m'ait déjà toute réservée... Mon gosse aura le même destin que son père.
Et puis tu sais que quitter la Eliot, c'était déjà un peu partir. Alors oui, peut-être que je ne vais pas revenir...
Retourne à la fac, finis tes études Lucky.
Eh oh, tu ne m'as jamais habitué à un Cole qui fuit, c'est toujours moi qui prends la fuite... À ce point tu veux que je sorte de ta vie ? Si c'est à cause de moi que tu décides de ne plus revenir, reviens et je te promets de ne plus faire partie de ta vie et tu sais que je tiens toujours mes promesses.
Quant à mes études, c'était ma dernière année de toute façon et j'compte reprendre ma place de mannequin chez Burberry.
Je ne fuis pas. Je suis bien en Belgique, j'ai toujours aimé ce pays. Je ne veux pas que tu sortes de ma vie, je veux que tu me sortes de la tienne...
Ça revient au même, te sortir de ma vie, c'est sortir de la tienne. Alors, dis-moi que c'est ce que tu veux ! Dis-moi que tu veux que je te sorte de ma vie et je t'en ferais la promesse.
C'est pas ce que je veux. Mais c'est ce qu'il faut Lucky
Tu sais que se lier avec toi c'est sauter dans le vide sans parachute ? Parce que tu ne sauras jamais ce que tu veux réellement. Moi, je sais ce que tu veux et ce que tu veux, c'est pouvoir m'embrasser, me toucher, me caresser, me sentir tout proche sans rien me promettre parce que tu sais que tu ne pourras pas t'empêcher de voir d'autres filles. Tu les veux, mais tu ne peux pas te résoudre à ne plus me vouloir également. C'est pour cela que tu reviens toujours vers moi... Peu importe avec quelle fille tu seras, tu me voudras toujours et tu espères que je n'en demande pas plus que ce qu'on partage lorsqu'on se retrouve. En fait, il te faudra toujours une dose de moi et tu ne veux pas au fond que je te sorte de ma vie, parce que ça signifiera qu'il ne te sera plus possible d'avoir cette dose. T'as besoin de moi, je suis un peu comme ta bouffée d'air... T'auras toujours besoin de moi...
J'ai raison ou pas ?
Arrête Lucky. Interprète pas. Ne parle pas de ce que je veux. Tu sais très bien que c'est toi que je voulais. Tu sais très bien ce qu'on avait, tu te rappelles sûrement ce que je t'ai dit cette fois là sous la douche au Spring break. C'est toi qui a mis un terme à tout ça. C'est peut-être toi au final qui veux pouvoir m'embrasser, me toucher, me caresser, me sentir proche sans promesse parce que c'est toi qui ne peux pas t'empêcher de voir d'autres mecs.
Si je t'ai quitté, c'est parce que j'ai lu des choses qui m'ont fait partir au quart de tour... J'ai agi sous la colère et tu es bien placé maintenant pour le savoir, puisque toi aussi tu a agi sous la colère... on fait tous pareil... mais après on le regrette. Je m'en suis mordue les doigts, vraiment... Et jamais au plus grand jamais j'aurais imaginé vouloir retourner dans les bras d'un ex, mais toi, t'es l'exception... Tu crois que si je t'avais quitté à cause des hommes, je serais là à te dire que je pense à toi ? Et si ce sont les hommes que je voulais, je t'aurais trompé ou bien même à peine rompu, j'aurais sauté dans les bras d'un autre... Je me serais mise en couple, on n'aurait jamais recouché ensemble Cole. Je ne t'aurais plus laissé m'approcher, je t'aurais oublié depuis des lustres, je t'aurais remplacé. Mais ça n'a jamais été le cas. Je t'ai toujours voulu dès notre première rencontre, j'ai continué à te vouloir et je te veux toujours. Et oui, je me souviens de tes mots sous la douche, j'en ai même encore des frissons et justement pour ces mots-là, j'pensais que tu nous donnerai une chance. Mais tu sais quoi ? Cessons de parler du passé. Je veux qu'on parle du présent et j'ai envie d'être égoïste pour une fois à te proposer un pacte, si tu veux l'entendre...
Ok. Parlons présent, je t'écoute.
Lucky égoïste pour une fois ça donne ça... je veux que tu rentres d'abord ensuite, on peut continuer à se voir, à se toucher, à s'embrasser uniquement si, t'acceptes de faire le pacte de rester tous les deux... célibataire. Si je ne peux pas t'avoir pour moi toute seule, alors je ne veux pas que t'appartiennes à une autre... On ne mettra jamais de nom sur ce qui se passe entre nous. On écoutera juste que nos pulsions. Tu marches ?
J'aime bien Lucky égoïste... Je marche. Pacte accepté.
COKY | Fin septembre 2017.
Si l'amour est brutal avec vous, soyez brutal avec lui, écorchez l'amour qui vous écorche et vous le dompterez | Cole étant de retour de Belgique et Lucky ne pouvant plus attendre, lui fait la surprise en allant elle-même le chercher à l'aéroport. Elle avait aussi prévu une liste d'activité pour toute la journée et connaissant l'esprit tordu de la demoiselle, c'était tout sauf banale. Uc...