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Appel : Harley ► James

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I miss you so.

Aujourd'hui était une longue, très longue journée. Pour le moment, ce n'était que la fin de la matinée, mais cette matinée m'avait parue tellement longue.. C'était dingue. Et James me manquait. Horriblement. Il partait toujours avant moi à cause de son boulot, et passer autant d'heures sans lui parler m'était quasiment insupportable. Alors, à la sortie des cours, et comme j'avais une heure de libre pour manger avant d'aller travailler au starbucks, je marche vers un snack pas très loin, et j'attrape mon téléphone après avoir commandé, assis à la terrasse. Et puis je compose son numéro. Et ça sonne, une fois. J'espère qu'il va répondre, j'ai besoin d'entendre sa voix. Deux fois. Mais il est médecin, il y a quand même peu de chances que.. Trois fois. Ben oui, évidemment, il doit être débordé le pauvre. Quatre fois. Je baisse la tête en espérant très fort qu'il réponde, mais là, un silence s'installe. Répondeur. Ben oui Harley, tu t'attendais à quoi ? Tant pis, je vais lui laisser un message, pour lui raconter un peu ma vie, même si je pense qu'il n'aura peut-être pas le temps de l'écouter avant que je ne reprenne le travail. « Coucou chéri, c'est moi. Enfin Harley. Bon voilà, je sors à peine des cours et j'avais envie d'entendre ta voix. Tu me manques tu sais, cette matinée a été très longue, tu peux pas t'imaginer. Et la journée est pas finie, je dois aller travailler dans une heure à peu près. Puis je voulais profiter de ma pause pour t'avoir au téléphone, mais je suppose que t'es occupé, et j'espère que ça va, que t'es pas trop débordé. Je t'imagine bien courir dans les couloirs, un peu partout avec ta blouse, trop sexy. Je ris légèrement. Mh, en tout cas, appelle moi si tu as un moment, ou envoie moi un texto. Tu me manques. Je t'aime mon lapin. » Je raccroche et pose mon téléphone sur la table. En le regardant, je soupire doucement le sourire aux lèvres. Je suis niais quand même.. Mais je ne peux pas dire que je n'aime pas ça.
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Je venais de termine une consultation auprès d'une jeune femme, en lui annonçant qu'elle n'avait pas à s'inquiété et que je lui donnerai des retours lorsque je recevais les résultats de son examen. En cette journée, c'était tout particulièrement calme, je devais faire mes rondes ainsi que consulter, mais pas d'opération prévu pour le moment. Mes patients étaient hors de danger, et c'était le principal. Alors que je me retrouvais nez à nez avec une infirmière, lorsque je serrais la main de ma dernière patiente de la matinée, celle-ci vint auprès de ma personne, d'un faible sourire elle inclinait son faciès sur l'une de ces épaules. Et je me surprends à danser sur mes deux pieds ne sachant que faire, ni quoi dire à part hausser les épaules afin qu'elle crache son morceau. « Dr Anderson, désolée de vous déranger mais j'aimerais savoir si je peux prendre demain et après-demain comme congé. Je sais que je dois vous demander avant, j'ai des enfants et j'aimerai les emmener dans un parc d'attraction durant deux jours. » Je retroussais le nez, aucunement à l'aise face à cette demande. C'est la première fois qu'une infirmière me demande l'autorisation d'avoir congé. Il ne me semble pas que cela soit nécessaire. D'ailleurs je ne manque pas de lui faire signe pour qu'elle me suivre jusqu'à la réception, fourrant ma main dans ma poche alors que je sentais mon téléphone vibrer sous mes doigts. « Excusez-moi, mais depuis quand les infirmières doivent me demander pour les congés ? » J’étais curieux, et j’espérais…Enfin non, je priais que cela ne soit pas une nouvelle loi des plus débiles. « Et bien... Normalement elles doivent remplir un formulaire et ensuite si cela est accepté elles doivent simplement le signaler aux médecins qui travaillent avec elles. » Je me tourne auprès de l’infirmière qui semble tout autant gênée que moi il y a quelques secondes à peine. « Et bien, c’est réglé. Vous me donneriez la nouvelle lorsque vous saurez si oui ou non vous pourrez prendre congé. » Je ne m’attarde pas, je me réfugie bien vite dans mon bureau, en retirant ma blouse que je suspends par un crochet, et j’happe mon téléphone en écoutant attentivement le message qu’Harley m’a envoyé. Un sourire aux lèvres, je n’hésite pas à l’appeler après dix minutes. À peine deux sonneries après, il parvient à répondre.  « Salut, chéri. Alors comme ça je te manque ? »


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Après cet appel, je fume une cigarette en regardant autour de moi. Il n'y avait pas grand monde sur cette terrasse, mais c'était pour le mieux parce que je n'aimais pas tellement quand il y a du monde. Ca me rend nerveux, je sais pas pourquoi. Enfin si, au final. Je fume assez rapidement, mes pensées dirigées vers James, je me demande bien ce qu'il fait là-bas. Comment ça se passe, ses journées. Bon, je me doute bien qu'il s'agit principalement de consultations, mais peut-être qu'il va aussi dans les urgences. Enfin, je me perds dans ses pensées en terminant mon bâton de nicotine. Entre temps, mon plat avait fini par arriver. Un burger frites, mon repas préféré. Je remercie le serveur, écrase ma cigarette sur le sol, puis me mets à manger goulument. Et c'est à ce moment-là que mon téléphone vibre. Bordel, j'ai les doigts tout plein de gras, j'ai la bouche pleine et c'est à peine si j'ai pas de la mayo au coin des lèvres. J'attrape une de ces serviettes en papier qui n'essuie rien en jurant et fais du plus vite que je peux pour répondre. « Mh Harley ? » Sa voix. J'entends sa voix au bout du fil et mon coeur fait des bonds dans ma poitrine, un sourire se dessine sur mes lèvres et je me hâte de terminer ma bouchée pour lui répondre. « Salut mon amour. Bien sûr que tu m'manques. Tu me manques à chaque seconde qui passe sans toi à mes côtés. » Je m'appuie sur mon dossier en jouant avec mes frites. « Comment c'est, ta journée ? Ca se passe bien ? » demandais-je curieux. Je voulais tout savoir de son boulot, ce qu'il faisait, s'il était débordé ou non, s'il avait des patients chiants.. Parce que ça arrivait. Moi-même j'en étais un avant qu'il ne devienne mon médecin. Mais je ne pouvais pas comparer l'incomparable, avant j'étais vraiment un sale con qui se foutait des gens, mais.. plus maintenant. En tout cas, considérablement moins. « J'suis à un snack à Harvard, je mange et je crois que mon téléphone est tout plein de graisse maintenant. » Dis-je avec un petit rire détendu, juste sa voix me faisait énormément de bien.
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En entendant la voix de Harley, cela me fit rapidement un bien fou. À tel point que je fais voyager mon regard sur les coins de mon bureau, afin de me décontracter. Ciel, que cette journée me semble interminable. Je joue nerveusement avec un stylo que je trouve dans mes affaires. Et je reprends vivement la voix. « Ma journée, ça va… Elle est normale. J’ai des consultations aujourd’hui rien de très fabuleux. Après j’ai eu une infirmière qui m’a limite courue après pour savoir des trucs et finalement c’était pas à moi de lui donner la réponse. » Je lève les yeux, d’un air détaché. Il était au courant que je n’aimais pas discuter avec les gens, surtout quand cela m’appliquerait à être gentil. Pas que je ne le sois pas, mais j’estime ne pas devoir être gentil avec toute la population. « Et toi alors ? Tu manges quoi ? Je meurs de faim. Je n’ai pas encore bouffé. » Il est midi, et je n’ai rien avalé, comme depuis 5h00 du matin. Enfin si, mais le café ne compte pas dans la base alimentaire. Encore moins quand celui-ci est d’un noir profond et sans aucun sucre. « Putain, attend on toc. » Je n’ai pas ma blouse, alors en étant en tee-shirt noir, on pouvait parfaitement entrevoir quelques tatouages qui marquaient ma peau. Rien d’extraordinaire, mais j’imagine que de voir un médecin ainsi cela sort un peu de l’ordinaire. « Dr.Anderson ? C’est pour confirmer mes deux jours de congé… Cependant personne ne peut me remplacer. » Je sens les nerfs me monter, et aussitôt, je pose mon téléphone, afin de me redresser, la main happant ma blouse. « Je vais travailler seul ? Vous savez que j’ai besoin d’infirmières pour les perfusions, ainsi que les gardes. » Elle se recule d’un pas, et je croise mon reflet dans l’un des miroirs accrochés au mur. Ma mâchoire est contractée, mes traits étirés. « Je suis désolée Dr.Anderson. Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne peux pas vous garantir une présence auprès de vous durant ces deux jours. » Je la juge d’un simple regard. D’un regard hautain. Qu’elle n’aille pas d’enfants, si elle ne peut pas s’engager dans un métier de la sorte. « C’est le problème des ressources humaines, ce n’est pas mon problème. Je veux du personnel durant ces deux jours, je ne peux pas être partout. » Merde, ce n’est pas possible. Je sais que les personnes ont besoin de congés, être auprès de leur famille. Mais ce n’est pas mon problème. Je n’ai pas à faire sans du personnel. Elle s’éclipse aussitôt, elle ne manquera pas de le dire dans tous les couloirs comme quoi le médecin Anderson a été le gros enculé de la journée. Je reprends le téléphone, la rage contrôlait ma voix. « Si tu savais à quel point en ce moment, ta présence me ferait du bien… »


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J'étais plutôt soulagé de l'avoir au téléphone. Et content. Rien que sa voix faisait faire à mon cœur des bonds énorme, c'est dingue l'effet qu'il pouvait avoir sur moi quand même. Et j'étais plutôt content de savoir que sa journée n'était pas trop chargée. En revanche, pour le truc de l'infirmière, je lève les yeux au ciel, et comme il ne peut pas le voir, je pousse un énorme soupir d'exaspération. « Elle aurait pu se renseigner quand même. Tu l'as envoyé chier ? » Je le lui demande, mais j'étais quasiment sûr qu'il l'avait fait. Alors je souris au bout du fil en imaginant sa réaction lorsqu'il a su que ce n'était pas à lui de donner la réponse. Et c'est assez marrant. J'étais quand même fier de sa capacité à dire les choses de but en blanc sans passer par quatre chemins. Parfois c'était un peu violent comme façon de faire, mais il n'y a pas plus pur. « Un burger frites ! Tu veux que je te commande un truc et que je te le ramène ? Tu dois manger, tes journées sont longues. » Je m'inquiète, parce que je l'aime, mais aussi parce que même s'il est dans un hôpital et ne risque pas grand chose à faire un malaise, je voudrais bien éviter. Et puis, honnêtement, ça me donnerait une occasion de le voir avant de partir travailler, même pour quelques minutes. Lorsqu'il me dit d'attendre, ben.. J'attends. Et j'en profite pour, à une main, attraper mon burger et mordre dedans avec appétit, au-dessus de la table pour ne pas tâcher mes fringues - d'ailleurs la tomate s'écrase contre le plateau avec un bruit assez dégueulasse, qui me fait grimacer. Mais je me concentre plutôt sur la conversation qu'il a avec l'infirmière, et je fronce les sourcils en entendant son ton. C'est moi ou ils sont incapables dans cet hôpital ? Je relève les yeux au ciel et soupire de nouveau avant d'entendre de nouveau sa voix s'adresser à moi. Une mine attendrie sur le visage, je bois une gorgée de soda pour faire passer ma bouchée. « Je peux venir alors. Comme ça je t'apporte à manger, je finis mon repas avec toi, et je te fais un petit massage pour te détendre ? » Bon, OK, j'essaie peut-être de l'apprivoiser un peu, mais j'avais réellement besoin de le voir et envie de prendre soin de lui. Puis il avait l'air tendu à cause de cette histoire, et je n'aimais pas trop ça.. « Je suis qu'à quelques minutes de marche, j'irai vite et je serais pas en retard au boulot. Et puis j'ai vraiment envie de te voir, moi aussi. La journée est longue sans toi.. »
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J’aimais entendre sa voix, le fait qu’il puisse me calmer dans de simples mots. C’était lui, rien que lui qui avait ce pouvoir. J’hoche vivement la tête, en étant tout à fait d’accord par sa proposition. Mais lorsque je m’inquiète de son horaire, c’est comme s’il entendait ma pensée à travers le téléphone. Et il me rassure, comme il le fait la plupart du temps. Je regarde autour de moi, puis l’heure. J’ai encore le temps, ma pause est dans dix minutes, le temps nécessaire pour qu’il puisse me rejoindre à l’hôpital. Alors, je me penche en avant, je signe rapidement les paperasses le temps d’ajouter, dans une voix remplie de malice et de perversions. « Ouais, d’accord. Je t’attends à l’hôpital. Puis, j’ai très très faim. Au passage prend moi pas un hamburger. Mais plutôt des pâtes bolo. Merci bébé. » J’avais faim de lui, énormément faim de cet homme. Je le voyais déjà étendu dans un lit d’une des chambres de repos. Ce contact me manque, et j’espérais assouvir cela en ce début d’après-midi. « Je t’aime, à toutes. » Puis, je raccroche malgré moi. Au moment même où je me redresse de ma chaise, plaçant ma blouse sur mes épaules. Il me reste encore quelques bonnes minutes pour préparer les choses dans la chambre de repos, et c’est dans des pas élancées que je parviens à une première… Celle-ci était occupée, je ne peux m’imaginer certaines choses, et j’en viens à être davantage excité. Je n’ai pas envie de manger, j’ai envie de lui faire l’amour, violemment contre un lit. C’est ça, que je quémandais le plus au monde. Au bout de deux petites minutes, j’arrive dans un couloir assez peu fréquenté, très calme. La porte de la chambre de repos ne marquait l’occupation, alors je me permettais d’y pénétrer en scrutant de mon regard attentif, malgré la noirceur de la pièce. « Bon, je vais arranger ça. » Je retire ma blouse, mon badge que je cache dans ma poche. Je refais le lit, du moins, j’essaie de le faire correctement pour retirer les plies des draps. Je ne peux pas les changer, c’est évident, puis…Nous avions déjà fait l’amour dans des endroits bien plus insolites que ceux-là. Le lit fait, les volets à peine fermés. J’abaisse mon regard sur mon entrejambe gonflé, qui me fait un mal de chien tant je me sens à l’étroit. Ma main passe dans ma poche, afin d’extraire mon téléphone et de pianoter sur mes touches afin de lui envoyer un message.

« Ne va pas à mon bureau, tu demanderas à une infirmière la chambre de repos 003 à l’étage deux. J’ai pas envie de manger, j’ai envie de te prendre. Alors dépêche-toi. »

Je suis plutôt fier de mon sms, je sais que cela va l’exciter au plus haut point, et c’est justement mon but. Je veux le voir, s’impatienter, accourir en ma direction, suppliant de le prendre ainsi, sans ménagement dans le lieu où je travaille.



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Je voulais vraiment qu'il accepte que je vienne. Car il me manquait, et ma journée me paraissait tellement longue.. J'avais l'impression qu'elle ne terminerait jamais, alors qu'on n'était seulement que le midi. Je suis un peu fatigué en plus de ça, j'avais besoin de l'avoir auprès de moi, ne serait-ce que pour le serrer dans mes bras, respirer son odeur à plein poumons pour me recharger un peu, et l'embrasser à pleine bouche. Mais rien que de le voir me ferait aussi un bien fou, ça, c'était un fait avéré. Alors, lorsqu'il accepte je ne peux que sourire plus largement. « D'accord amour, je t'amène ça tout de suite. Je t'aime. » dis-je en réponse à ses paroles, puis je raccroche. Je pousse un soupir heureux en regardant mon repas que j'emballe rapidement avant de quémander un sac pour le porter. Je m'allume une cigarette et me mets en route, avec le sourire aux lèvres, des étoiles dans les yeux, un air super niais. Mais c'est de sa faute, aussi, il me rend toujours tout chose, rien qu'avec quelques paroles, ce que je trouve assez dingue en soi.

Je passe quand même chez l'Italien pour lui prendre un plat de pâtes bolo, puis je me rends vers l'hôpital. Alors que je marche, je sens mon téléphone vibrer dans ma poche, je le prends, et je lis son SMS. Bordel. L'électricité qui passe dans mon corps est violente, mon ventre se contracte et je commence à avoir chaud. Faut dire qu'il sait comment m'exciter. Je ne prends même pas la peine de répondre et presse le pas en direction de l'hôpital. Je veux juste arriver au plus vite..
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