Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityles étoiles bleues (milan)
Le Deal du moment : -50%
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX ...
Voir le deal
49.99 €


les étoiles bleues (milan)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
le sms disait viens. ni plus, ni moins. alors judy elle est venu, parce que judy c'est une bonne copine, sympa. elle a abandonné sa douzième études de la bible aller retour, laissant le livre sacré surligné et rempli de post it coloré au milieu de son lit. de toute façon, si elle bougeait à la mather, elle finirais surement par voir jesus en personne au plafond après un buvard. peut être même moïse. ou un tgv, comme la dernière fois. vachement moins drôle pour le coup. quoi de mieux pour étudier que de parler à la personne concernée en face en face. judy cogne son poing contre la porte. elle assène encore trois coups violents de la paume de la main contre le bois qui tremble. « POLICE D'ETAT ! Ouvrez ! » elle a une dégaine de merde, un jean troué, un chemisier blanc, les cheveux en chignon vrac. même ses chaussures tirent la gueule de la soirée de la veille. son cerveau encore plus. dans sa main gauche elle a son attirail. pot de tabac -parce qu'avec milan on déconne pas-, blunt, feu rose avec des pâquerettes. pourquoi si moche ce feu ? pour le reconnaitre en cas de vol.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Judy&Milan




JUKEBOX
J’sais pas ce qu’il s’est passé hier, mais j’crois que c’était dément. D’abord parce que j’me souviens de rien, ensuite parce qu’en me réveillant j’ai trouvé un pochon de champi dans ma poche. J’sais bien que j’ai des tendances kleptomane en soirée, y a qu’à voir ma superbe collection de briquet et le fait que je me mette toujours des races minables sans jamais débourser un centime. Mais d’là à me retrouver avec un genre de Saint-Graal pour mecs heureux … Ouah. Milan, même moi, j’t’aime mon lapin, t’es le champion des champignons. J’me suis réveillé en vrac dans une pièce blindée de monde. J’suis rentré vers 13 heures à la Mather, j’sais pas trop comment j’me suis endormi, mais le fait est que j’me sens hyper bien. J’suis rentré tout penaud et souriant, pressé de gouter à ce nouveau met, plein de bière, d’alcool et de ce qui ressemble à de la pisse sur les vêtements. Et parce qu’il faut bien se forcer un peu, j’fais un tour par la douche, rapide, genre sept minutes. Juste le temps de remarquer que j’ai des lapins dessinés au marqueur sur les fesses, ça me fait marrer. J’aime bien servir de modèle aux Picasso fonsdés. J’retourne dans ma chambre à poil, et sans plus attendre, j’mange un petit bout de champi. Le gout est pas mauvais, plutôt stylé. J’fais le visage du mec un peu trop sérieux, genre « excellent met très cher ». J’aurais été bien salaud de n’pas en faire profiter une âme aussi dévergondée que la mienne, ni une ni deux j’balance un sms à Jud et lui dit de ramener son cul fissa. J’me traine dans ma piaule à la recherche de vêtements, j’choppe un jean noir troué que j’enfile, un débardeur blanc et … Wow. Tout tangue, j’ai ultra chaud dans le ventre, et j’ai hyper envie de me marrer. Et j’me marre sans pouvoir le contrôler. Le délire ! J’profite de cette montée comme elle vient, comme un surfer qui choppe le meilleur des tubes, et au loin dans ma tête j’entends que ça cogne. Il me faut bien quelques secondes pour comprendre que c’est à ma porte qu’on frappe. J’ouvre à la volée, et quand j’vois Jud dans un état au moins aussi sale que moi, j’esquisse un large sourire malicieux : « C’est l’heure de la fouille au corps ? ». Et sans plus attendre une seconde, j’la choppe par le chemisier et la fait entrer dans la pièce. Vérifiant quand même qu’il n’y ait effectivement pas de policier derrière elle. Que voulez-vous, on croit tout quand on est perché : « Jud, faut que tu goute ça», dis-je en revenant vers elle, lui tendant le pochon de champi.

Spoiler:



Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
judy elle hausse un sourcil face à la gueule de milan. « ha ouais chaud ta gueule ce matin. » des mots d'amour toujours. elle se laisse attraper le chemisier et rentre dans la piaule. ouais parce que la chambre de milan, c'est plus une chambre, c'est une piaule. une chambre c'est un mot bien trop noble pour ce bordel. judy attrape le pochon entre deux doigts, inspecte le contenu avec un air suspect. ses yeux valsent entre les champis et la tête d'ahuri de milan. « je suppose que ça sers a rien que je te demande où t'as chopé ça. » judy attrape un bout de champi et le met entre ses dents. elle mastique, fait mine d'approuver en hochant la tête. elle se vôtre dans le lit, entre les fringues sales qu'elle pousse par terre. ça sent le phoque. elle saute sur ses deux pieds, ouvre la fenêtre en grand. avide de fumée, judy entreprend de rouler une clope. elle attrape de quoi faire. le papier et le tabac se fondent, tombent entre ses doigts. elle lève des yeux étonné vers milan, elle rit, un peu, beaucoup, énormément. « énorme ! » elle ramasse la feuille et le tabac par terre, ils ont retrouvé leurs matières originelles. judy s'applique à rouler. elle sort le feu de sa poche, et le montre à Milan. « Milan - MON FEU, mon feu - MILAN ! » les présentations faites, les pâquerettes ont de vrais tiges et de belles pétales blanches. judy secoue le briquet, les fleurs bougent avec le vent. elle allume sa clope. il fait chaud dans tout son corps. les cours de ce soir vont être compliqués.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Judy&Milan




JUKEBOX
Ni une, ni deux, j’la tire à l’intérieur de la chambre, partagé entre ma montée et le fait que j’ai envie qu’elle y goute elle aussi : « C’est pas ma gueule le pire, matte ça », et devant Jud, j’baisse mon futal et mon caleçon pour lui laisser admirer les petits lapins dessinés sur mes fesses : « Ils vont rester là pendant des semaines ! ».  J’m’en branle assez question pudeur, j’suis pas là pour jouer les nones. Puis avec Jud c’est tellement spontané, que j’y réfléchis même pas. Et j’suis là dans ma piaule complètement désorganisé, ouai, j’suis pas le genre à faire le ménage, j’crois que la pizza qui moisit sur mon bureau en atteste assez bien. J’ferme les yeux un bref instant pendant la montée et revient à elle tout excité, un sourire espiègle et cet air enfantin sur le visage : « Ils sont venus à moi tout seuls, comme des grands ». Et j’la regarde amusé avalé son champi avant de récupérer le pochon et d’en prendre un plus gros morceau. J’tourne dans ma piaule à la recherche de ma boite magique, ahhh, la voilà. Mon petit trésor, cette boite à chaussure pleine de substances illicites et de tout ce qui peut rendre un homme heureux. J’laisse Jud faire son petit train train, elle est comme chez elle ici de toute façon, et vient me caller à côté d’elle, le dos appuyé contre le mur, les jambes tendues sur le matelas. J’prends de quoi rouler un pétard, et le toncard au coin des lèvres, j’lève la tête vers elle : « T’es passé où hier soir ? ». Et au même moment, j’la vois faire tomber son tabac et sa feuille et quand elle me regarde avec ces yeux hystériques, j’éclate de rire. Elle est en pleine montée, et comme je ris, le rire entraine le rire et je me mets à grimper loin, très loin moi aussi : « Oh mais ! », j’commence à m’exclamer tandis que plus aucun mot ne veut sortir de ma bouche. Elle me montre un briquet, mais tout ce que je vois, c’est une tâche de lumière. Le toncar qu’était entre mes lèvres tombe sur le matelas, j’pousse d’une main ma boite à chaussure pour la poser à côté de moi et me relève brusquement : « J’ai un truc parfait pour accompagner ça ». Manquant de trébucher, j’vais à ma chaine hifi, enclenche mon Ipod. La musique se lance et j’reviens vers le lit en esquissant quelques pas de danse. Elle est jolie quand elle regarde le briquet comme ça : « Putain, j’te jure, tes cheveux sont trop beaux, ils ont un gout de spaghetti », et j’danse encore un peu avant de me jeter sur le lit, étendu à ses pieds. J’tends la main vers elle : « Fais moi fumer steuplé ». Et j’peux pas, j’peux pas m’empêcher de rigoler, j’ai chaud putain.



Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
judy elle fait tanguer sa tête de gauche à droite sur la musique. elle fume, et quand elle souffle elle a l'impression d'être un dragon. gros lézard qui flambe. un sourire béat est accroché à ses lèvres. milan réclame à fumer. judy, lui tend la flambeau. elle est indienne, un dragon indien. la logique commence à se perdre, son cerveau va trop vite pour elle. elle n'avait jamais remarqué, mais les murs sont violets. pas si sûr. judy prend une mèche de ses cheveux qu'elle met dans sa bouche. elle mâchouille. pas faux. chaleur. judy enlève son pull. elle a presque envie de se mettre en culotte pour danser partout. surtout là, sur la table. ça a l'air génial sur cette putain de table. « hieeeeeeeer soir j'étaaaaaais...» judy, défoncé, étire les voyelles. elle cherche dans sa boite crânienne. « pas loin. haha. si en vrai je suis sortie avec des copains de cours au bar. tranquille, je dose. marre d'être perché en cours » elle rit au éclat, se met à quatre pattes sur le lit. pirate, le lit est un bateau. elle se jette sur ses deux jambes, pointe le sol du doigt. « RANGE TES JAMBES, CROCODILES ! » elle rie encore, tourne sur elle même, bras tendu. le plafond est un ciel d'un bleu parfait.  elle a chaud dans tout le corps, ses joues sont rosies. elle danse en mode égyptien, persuadé d'être dans le thème. « thhooong thong thong thong ! »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

► Feat Judy&Milan




JUKEBOX
C'que j'peux adorer ça. Cette espèce de transe, monter vers les étoiles, l'esprit complètement illuminé de couleur. Et le corps chaud, putain de chaud, ce n'est même pas étouffant, c'est foutrement réconfortant. Comme si l'air et le vide se mettait à nous embrasser, comme si tous nos atomes se mettaient à exploser, à danser frénétiquement aux quatre coins de la galaxie. Je danse moi aussi, j'ai toujours apprécié quelques notes de musique pour accompagner mes ascensions. Sauf que mes jambes sont du chewing gum, j'ai l'impression qu'elles se tordent comme de la pâte à modelé sous le poids de mon corps et j'me balance aux pieds de Jud sans pouvoir m'arrêter de rigoler. Rigoler comme un enfant, comme un putain de demeuré, un génie infernal, toute la joie du monde dans mon regard. J'choppe la clope, enfin j'crois, qu'elle me tend, j'essaye de fumer, mais ça passe pas. Enfin, pt-être que ça passe, mais j'continue de tirer comme un malade parce que j'ai l'impression que mes joues sont percées et que toute la fumée s'échappe. Puis y a un autre truc qu'est encore plus beau. C'est cette espèce d'ahuris perchée sur mon lit qui se met à tournoyer. Pt'ain, j'ai l'impression que j'vais m'envoler, même si mon corps lui s'enfonce dans le matelas comme si j'étais entrain de plonger dans un trou : "Perché, perché, j'sais pas comment tu fais pour supporter les cours sobres. Mais t'aurais dû veniiiiir c'était ouf hier soir. Enfin j'crois. Enfin j'sais plus hahaha.". Et j'éclate de rire en la regardant faire j'sais pas trop quoi, je pirate j'crois, j'ai chaud, putain de chaud, j'me mets sur le dos. Ouai, j'flotte maintenant, sur un putain de lac arc en ciel avec vue sur les étoiles qui ressemblent à des papillons. Elle hurle, j'entends pas ce qu'elle dit, mais par réflexe, j'plie mes jambes et m'redresse dans le lit. Debout, j'suis trop grand, obligé de me courber pour pas toucher le plafond et j'me mets à sauter comme sur un nuage : "La la lalalalalaaaaaaaaaaaaa", que je chante comme un demeuré avant d'prendre sa main et d'la faire danser : "J'ai la bouche sèche, j'ai soiiiiiiiif".



Fiche de réponse créée pour ILH ®



(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)