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We were born to be real, not to be perfect pv Milan

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We were born to be real, not to be perfect
@Milan Agopian
Comment était-il possible de rester aussi insensible ? C’était une question que je me posais tandis que j’étais confortablement assise sur les marches de l’université. Un vent frais berçait mes cheveux et mon regard restait fixé sur l’étudiant. Il était assis sur un des tables de jardin qui était à disposition dans le parc de l’université. Aveugler par le poison qu’il apportait à ces lèvres, il ne m’avait pas remarqué. Pourtant loin d’être discrète, je laissais mon esprit vadrouiller pour trouver une énième idée. L’idée qui lui donnerait envie de s’énerver, l’idée qui lui ferait perdre ce self contrôle. Ma solitude se faisait remarqué et plusieurs regards d’étudiants s’attardèrent sur moi. Je ne leur prêtais aucune attention. Mon attention s’était focalisé sur Milan. Ce mec était aussi étrange que gentil. La fumé s’échappait sans nul gêne de ces lèvres. L’étudiant était en pleine inégalité et j’avais presque l’impression d’attirer plus le regard sur moi que sur lui. Les mystères qui m’entouraient les esprits mal placé. Beaucoup de chose se disait sur moi et peu de chose restait avérer. Le mystère était une chose que j’aimai entretenir. Ma vie privée ne regardait personne et bizarrement rare était les personnes qui me connaissaient véritablement. Je me levais du haut de mon escalier pour aller le rejoindre. Je m’approchais de lui rapidement pour ne pas attirer l’attention sur moi. Une fois à sa hauteur, une de mes mains recouvra son champ de vision tandis que mon autre main tirait sur le lobe de son oreille. J’approchais mon visage et fis délicatement. « C’est qui ?» dis-je simplement en essayant de masquer ma voix par une voix un peu plus rauque. Un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres tandis que je tirais toujours un peu plus sur son oreille. Sa tête se pencha sur le côté comme pour atténuer la douleur et je lui fis en lui susurrant cette fois ci ces mots « T’as mal hein ? énerve toi et j’arrête ! »
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Les cours, les cours, les cours. Quel est le con qui s’est fait chier dans sa vie au point d’inventer ce calvaire. Sérieux, il n’y avait rien de mieux à faire au Moyen-âge ? Y’avait pas de meufs, pas de teufs, pas de weed ?  Quand j’suis là, assis à mon pupitre à fixer l’horloge qui semble s’être figée, j’me rends compte que je ne me suis jamais fait aussi chier de toute ma vie. C’est pas que c’est inintéressant. C’est juste que … p’tain, il fait beau dehors, pourquoi se torturer à regarder le soleil par la fenêtre ? J’ai envie d’aller dans le parc, de me caller dans l’herbe et de rien branler. Mon coude sur la table, ma tête appuyée dans ma main et qui me fait une joue bouffie, j’pique du nez. De plus en plus. Le prof l’a déjà remarqué, il m’a même dit de me ressaisir. Mais je n’y peux rien. Et tout à coup, sans que je ne puisse le contrôler, je trébuche de mon siège et me retrouve à moitié par terre. Bruit tonitruant dans le silence de la classe, et tout le monde se met à rire. Le professeur m’hurle dessus : « Agopian ! Je vous avez prévenu, sortez de mon cours ! ». Ouai, ok, pas la peine de crier. J’avoue, je ne peux pas m’empêcher de sourire, trop heureux de quitter cette morgue. J’embarque mes affaires et me dirige vers la porte : « Et pour l’amour du ciel, remontez-moi ce jean ! ». Quoi, t’aime pas mon caleçon ? J’fais mine de m’exécuter et disparait dans les couloirs, tout sourire et sifflotant. Il fait beau, il fait bon, le parc sera parfait. J’me calle sur une table, balance mes affaires à côté, et j’ai ces yeux d’enfant qu’ouvre son cadeau de Noël quand j’sors mon pochon d’herbe. J’me roule un petit pétard, c’est le gouter, c’est normal. Et j’reste là à fumer, mattant les filles qui passent, m’amusant à faire des ronds au vent. J’me marre tout seul parfois, pour rien, comme j’rigole tout le temps. Et y a cette main qui se pose sur mon visage et ce doigt qui tire mon oreille. J’ai le joint calé au coin des lèvres, j’penche la tête pour que ça me tire moins. Et j’finis par sourire en comprenant qu’il s’agit de Charlie. Non, toujours pas, s’énerver j’connais pas. J’retire mon joint et souffle en plein sa gueule avant de me marrer comme un gamin : « J’suis passé de deux millimètres à six d’un coup pour mes écarteurs, c’est pas tes petits doigts de princesse qui vont me faire mal ». Et j’e retire sa main de sur mes yeux avant de la fixer, garnement, la narguant légèrement : « T’as de beaux yeux tu sais », comme on est toujours presque face à face et que j’attends qu’elle retire ses doigts de mon lobe.  



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@Milan Agopian
La fumée empoisonnée s’écrasse contre mon visage avant qu’il ne libert ces quelques paroles. « J’suis passé de deux millimètres à six d’un coup pour mes écarteurs, c’est pas tes petits doigts de princesse qui vont me faire mal.» j’affichais une grimace, finalement peu satisfaite par son manque d’entrain. Il ne s’énervait pas et sa bonne humeur m’iritait déjà les tympans. Ces doigts chassèrent ma main de sur ces yeux avant de planter son regard dans le mien. « T’as de beaux yeux tu sais.» mes épaules se baissaient, attendant cette petite étincelle dans ces yeux mais rien ne venait. Toujours assis sur la table, les pieds sur le banc. Il ne bougeait pas. Debout devant lui, son sourire était presque contagieux. Résigné, je finis par desserrer ma prise pour ensuite me rapprocher de lui. Une main de chaque côté de son corps, mon visage était suspendu face au sien. Le regard plissé, je finis par ajouté d’une voix suave : « Attention que la prochaine fois ce ne soit pas autre chose que le lobe de ton oreille que j’agrandi !» mon sourire s’étendit pour finalement me mettre à rire en voyant la surprise se lire sur son visage. Mon visage se recula pour finalement reprendre ma place d’origine. Face à lui, je croisais mes bras contre moi et finis par lui dire plus sérieusement. « Tu fais chier ! Agopian...» dis-je dans un soupire. Je ne voulais pas de son sourire. Je voulais sa fureur, celle qu’il était impossible de contrôler. Je ne croyais pas en son bon état d’esprit. « Tu sais... tu arrangerais tout le monde si tu t’énervais un peu.» dis-je de manière subtile avant de finalement venir m’asseoir à côté de lui. Mon regard le fusillait. Son joint à la bouche, il tirait comme si sa vie en dépendait. D’un geste rapide et vif, mes doigts prirent le joint coincé entre ces lèvres pour le mettre derrière mon dos. « T’aurait le droit à une partie de baise mémorable et en plus de sa tu retrouverais ton joint. On sait tout les deux que c’est les deux choses qui t’importent à cet instant.» dis-je en le poussant un peu dans ces convictions. « Énerve toi et tu les auras.»
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Charlie, Charlie, Charlie. Aussi bonne que cruelle. Vraiment bonne. Vous avez vu la paire de loche qu’elle a ? Non sérieux, à chaque fois que je louche dessus j’ai l’impression que j’pourrais bander sur le coup. Mais voilà, Charlie s’est mis en tête de me faire péter les plombs. Moi ? Milan ? Peter les plombs ? Autant attendre qu’il s’mette à neiger au printemps. Puis j’comprends pas pourquoi ça l’offusque autant, pas ma faute si j’m’en branle d’à peu prés tout, si j’veux juste m’éclater et si je ne fais cas de rien. Elle tire sur mon lobe, j’la congratulais d’un compliment sur ses yeux, toujours sourire aux lèvres, à moitié entrain de me marrer. Elle devrait voir sa tête dépitée, c’est trop drôle, on dirait un chat qui vient d’prendre une douche. Puis elle s’calle face à moi et j’continue de tirer des lattes sur mon pétard. Ouuuuh, j’manque de m’étouffer à sa remarque sur l’élargissement de certaine de mes parties intimes, c’est presque excitant : « Oh oui, élargis moi Charlie », répondis-je avec un air malicieux. Et j’explose de rire à sa gueule quand elle me dit que je l’a fait chier, pas ma faute, tu réussiras pas à m’énerver : « T’es quand même vachement plus bonne quand tu souris Charlton Heston ». Et ouai, c’est plutôt marrant que son nom ressemble à celui du célèbre acteur président de la NRA, soit, le mouvement de défense du port d’armes aux USA, un vrai tyran : « Mais pourquoi tu veux que j’m’énerve ? Il fait beau, y a une meuf bonne qui vient me tripoter les trous, et j’ai un bon pour une pizza gratuite », haussant les épaules, la laissant s’asseoir à côté de moi. J’tirais de nouveau sur mon joint, pas le temps de savourer, elle me le retire de la bouche. J’me tournais vers elle, ahhh j’vois, elle veut jouer à ça. J’me mets à me marrer en la regardant : « M’oblige pas à venir le chercher ». Et j’me penche sur elle sans vraiment aucune forme de délicatesse, à plat ventre sur elle, mes pieds qui battent dans le vide, l’écrase presque sur la table tandis qu’elle tend le bras pour éloigner le joint de moi : « On peut baiser en se marrant aussi », dis-je tandis que dans l’élan, voulant attraper mon joint, on roule sur la table et BOUM. Tombés par terre, moi sur le dos, elle sur moi : « Aouuuuuuuuuch », ouai, j’me suis bien fait mal pour le coup.



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@Milan Agopian
La conception de la vie était un sujet à laquelle il m’arrivait de réfléchir. La vie méritait d’être vécu mais bordel qu’il était dur de se confiner dans un même état d’esprit. Vivre paisiblement et gaiement toute notre vie, était pour moi impossible. Les contraintes ou bien même les mauvaises nouvelles s’ajoutaient à notre existence. Rendant notre vie moins paisible. C’était le ressenti que j’avais après vingt cinq-ans d’existence. A une époque, j’étais aussi joyeuse que Milan. Aujourd’hui, cette illusion de la vie parfaite n’existait plus. « Oh oui, élargis moi charlie.» son air malicieux m’étira un sourire que je ne pouvais plus retenir. Qu’il était con surtout qu’en soit, il n’avait rien à élargir. C’était lui le mec, pas moi. Son rire m’arracha un plus grand sourire. Je ne pouvais pas nier que sa bonne humeur était contagieuse mais je ne pouvais pas croire qu’il n’y avait pas un soupçon de colère chez ce mec. C’était impossible. «T’es quand même vachement plus bonne quand tu souris Charlton Heston.» mon visage se pencha sur le côté l’air dépité. Mon sourire se perdit dans un semblant de sérieux avant de venir poser mes mains sur son visage. Mes caresses étaient loin d'être douce. A distance, on aurait pu croire deux gamins en train de ce chamailler. J'avais envie de l’embêter tout comme j'avais envie de lui parler. C'était une sensation étrange que de vouloir l'énerver et le faire rire. « Charlton Heston hein ? tu as des fantasmes assez étrange et arrête de me dire ça, ça me donne plus envie de sourire » mon doigt habile appuya sur la pointe de son nez avant que je ne retire mes mains de son visage m’approchant finalement de la table pour m’y asseoir. Assise en tailleur sur la table, plusieurs regards curieux s’arrêtèrent sur nous. Son joint ne semblait pas vraiment attirer l’attention, c’était notre attitude qui suscitait autant de regard curieux. « Mais pourquoi tu veux que j’m’énerve ? Il fait beau, y a une meuf bonne qui vient me tripoter les trous, et j’ai un bon pour une pizza gratuite.» je me mis à soupirer. Sa joie de vivre était tellement agaçante. Mes épaules se baissèrent dépité par autant de joie dans ce si petit corps. Je ne lui laissais pas le temps de dire autre chose que je m’en prenais à la seule chose qui semblait avoir de l’importance. Son regard se plisse avant de finalement le voir rire. Même mon audace le faisait rire ? putaiiiiiiiiiin. « M’oblige pas à venir le chercher.» mes yeux se plissent presque contente de déclencher en lui quelques choses. Même si sa n’avait rien à voir avec la colère. « Ce joint m’appartient ! vient donc le chercher ! » dis-je en le provoquant. Un sourire au coin des lèvres, il s’approcha maladroitement de moi pour venir carrément s’allonger sur moi. Allonger sur la table de jardin, ces regards indiscrets se retournèrent sur nous. Mon bras se tend pour ne pas qu’il prenne l’objet tant convoité. « Tu l’auras pas... et t’as beau t’allonger sur moi. Sa changera pas la fin finalement ! Il est a moi.» dis-je en approchant mon visage du sien. Un sourire sadique sur les lèvres. Il sempressa de dire : « On peut baiser en se marrant aussi.» je levais mes yeux au ciel et lui fis : « On peut... ma...IIIIIIIS» il ne me laissa pas le temps de répondre que sa maladresse venait de nous conduire tout droit par terre. Mon corps s’était écrasé lourdement sur celui de l’étudiant contenant ma chute. Une grimace se lisait sur son visage. Il semblait s’être fait mal. Mes mains se plaçèrent par terre à chaque extrémité de son visage relevant délicatement le haut de mon corps. « C’est sa de jouer au super héro, on s’écrase et on se fait mal.» je me mis à rire avant de tourner mon visage sur ma main. Mon sourire disparue en voyant que le joint avait disparue. Je ne l’avais plus. Putaiiiiiiiiiiiiin ! Mon visage se releva délicatement comme pour regarder le monde qui m’entourait. A vrai dire, je ne faisais pas attention à toute ces personnes. Je cherchais juste l’objet tant convoité. Milan ne semblait pas avoir remarquer l’absence du joint entre mes doigts. Il restait étonnement figé. Il était là, non loin au dessus du visage de Milan. « On dirait que tu as l’air bien.» rusé pour mieux l’embrouiller. Mon objectif était de reprendre ce joint tombé non loin de sa tête. Mon visage se rapprocha et se nicha dans le creux de son cou. Ma respiration caressa sa peau tandis que mes mains cherchaient à s’approcher un peu plus du joint. « Ni prend pas trop gout et maîtrise le bâton que tu as entre tes jambes tu veux bien !» dis-je en rigolant contre sa peau. Mes lèvres se posèrent délicatement en de petit baisé. Approchant toujours un peu plus mes mains du joint. Bordel, j’allais réussir à l’attraper plus que quelque centimètre.
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J’suis dans ma bulle, tout le temps, petit papillon sans état d’âme. J’comprends pas ces trucs que Charlie veut m’apprendre, du genre la colère, la nervosité, même la tristesse. J’m’en branle, j’me prends jamais la tête, les choses arrivent comme elles arrivent, on les attrape, et basta, y a pas à chercher plus loin. Ça doit tellement être compliqué d’être cérébral, de toujours réfléchir à tout. Voilà, rien qu’en me disant ça, j’ai déjà mal à la tête. Et moi j’comprends pas que ça puisse agacer, j’sais pas, j’m’en fou, j’souris parce qu’il fait beau, j’souris parce que j’aime bien Charlie même quand on se chamaille, j’souris parce que j’suis Milan, j’suis content, j’suis juste le mec le plus content du monde, un peu genre imbécile heureux. Quand elle pose ses mains sur mon visage elle me rappelle un peu ma maitresse, du genre « Mais quand est ce que la leçon va te rentrer dans la tête Milan ! ». J’sais pas, j’ai juste envie de rire quand j’la vois dépitée, puis j’sens bien qu’elle peut pas résister à l’envie de rire, et quand elle s’met à sourire c’est aussi contagieux pour moi. Cercle vicieux de la bonne humeur, coucou : « t’es jolie, t’es jolie, t’es jolie, quuuuuaaaaand, tu souries », dis-je en chantonnant, faisant bien exprès de la narguer comme elle m’en avait défendu. Elle s’assoit à côté de moi, j’ai un peu l’esprit qui s’éclipse, comme tout le temps. J’me demande qu’elle pizza j’vais commander ce soir. La quatre fromages ? Ouai, non, mais j’aime bien celle avec plein de pastrami aussi. Hmmm, encore un énorme dilemme. Et j’sors de mes pensées ultra constructives quand elle m’arrache mon joint. J’éclate de rire, elle est trop mignonne à vouloir m’embêter comme ça. J’prête zéro attention aux gens autour, parce que pour moi, c’est comme si ça n’existait pas. J’suis dans ma bulle, y a Charlie à côté, et tout c’que j’veux là de suite, c’est récupérer mon pétard. Ses réticences, et moi allongé de tout mon être sur elle, mon bras qui se tend et BADABOUM. On s’retrouve par terre comme deux cons, elle allongée sur moi, j’me suis bien fait mal au dos, un cri de douleur m’échappe. Et quand j’reprends mes esprits j’me mets à rigoler, parce que franchement, c’était quand même tordant, on aurait dû nous filmer : « C’toi qui me fait mal avec tes cuisses, t’appuie sur mes roublignoles ! ». Et je gigote un peu pour qu’elle décale sa jambe, histoire de préserver ma virilité. Et là, j’dois admettre que je ne pense plus du tout au joint. En fait, le fait d’avoir son corps sur le mien et une vue ultra calée sur son décolté me rend … toute chose. J’souris niaisement, écoutant à peine ce qu’elle dit, mes yeux figés sur ses seins : « Oh ouai, j’suis carrément bien ». Dis-je tout sourire avant de relever les yeux vers elle. Et là, elle fait ce truc qui m’rend un peu fou. Elle a son souffle dans mon cou, et instinctivement mes mains se posent sur ses hanches, elle m’donne chaud. Encore plus quand elle lâche quelques p’tits baisers. J’ferme les yeux tout heureux : « J’maîtrise, j’maîtrise … ». Non non, j’maîtrise rien du tout. Mais j’sens qu’elle bouge ou j’sais pas trop quoi, alors sans réfléchir, je la retourne, de manière à ce qu’elle soit allongée sur le dos, et moi à demi sur elle. Avec ce regard un brin provocateur, ce sourire malicieux : « Sérieux, tu veux pas qu’on aille dans un coin et qu’on bai…. ». Mes yeux ripent au dessus de sa tête, j’remarque le joint, j’ouvre grand la bouche, genre offusqué : « Oh la mauvaiiiiise ». Et avant qu’elle ne puisse esquisser le moindre mouvement, je m’étale de tout mon corps et l’attrape, avant de me relever aussi vite, la regardant encore au sol : « T’es trop nulle, t’aurais mis tes seins sur mon visage, t’aurais eu plus d’amplitude ». Et j’ris encore en rallumant mon joint histoire de bien la taquiner.



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