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Baby-Blue Marni
Fiche d'identité
Nom Il y a dans cette association, à l'oreille, comme un soupçon de mensonge. Comme un accent, qui vient contredire bien des choses. Mademoiselle Marni, ce n'est ni le nom du père, ni celui de la mère. Celui d'un inconnu, d'une marque pointée au détour d'une magasine : le vrai restera inconnu.Prénom(s) Là aussi, car c'est ridicule on pourrait croire que c'est faux. Factice, comme une blondeur qui naît dans un salon de coiffure et scintille au soleil comme celle de l'enfance. Il est, à demi-vrai : Baby-Blue, c'est Marie-Blue en vrai. Baby, ce n'est rien d'autre que le surnom.Âge Petite fille de dix-neuf ans, avec ses paupières lourdes et sa silhouette malingre. Mademoiselle qui dort même pas depuis quelques semaines. C'en est presque dix-neuf ans de fuite, et d'insomnie, si on exagère comme le font tous les autres. La fuite en tout temps, et l'angoisse à chaque instant.Date de naissance Car il n'y a de meilleure farce qu'une naissance au sein du chaos, et de meilleur jour que le premier avril. Elle en rit encore, quand elle y pense.Lieu de naissance L'Autriche connue pour une seule seconde. Quelques mois, où les sens s'embourbent dans la complexité de la vie. Quelques mois sans cœur, où tout à été froid et sans parole. Il y a encore quelques images, quelques scènes qui restent impossible à sa mémoire, mais implantée dans son cœur.Statut amoureux Rien, depuis longtemps. Rien, depuis qu'elle s'en est échappée, et rien encore depuis qu'il est lui-même sorti. Rien qu'une fois dans ses bras, elle jure. Mais ils l'ont fait tant de fois par le passé, que ça compte pas ce soir-là. Même l'amour est en fuite, avec elle.Orientation sexuelle Jamais la question ne s'est posée, et elle a pas envie de savoir. Elle a déjà trop de choses à penser.Classe sociale Papa était pauvre, et maman l'était aussi. Chacun de leur côté, mais même ensemble ça n'aurait jamais fait une belle somme. Mademoiselle Blue l'est moins, car c'est une petite souris. Elle sauve, et cache : toujours un billet qui sauver quand il le faut. Modeste petite souris qui, le soir, s'allonge sur des liasses entamées.Études majeures Car elle a eut le temps d'apprendre, car elle est pas conne : elle s'éprend des Mathématiques appliquées, par amour pour la rigueur et les abstractions. Il n'y a pas meilleure.Études mineures Et l'astronomie, car il n'y a rien de plus beau que les étoiles. Job En fuite, à moitié en recherche. Mademoiselle a été un bandit, autrefois.Choix de groupe #1 CABOTChoix de groupe #2 DUNSTERCABOT.
Car Mademoiselle est belle, avec ses longueurs blondes. Mademoiselle sait séduire, avec la tête penchée sur le côté, et la bouche qui s'ouvre en un grand sourire. Elle sait qu'il y a quelque chose dans son rire rauque de merveilleux : ce sont les ricochets entre le rire, et la féminité exacerbée. Baby, elle se fait toujours belle : faut pas la croire, quand elle dit qu'elle est négligée. Elle a toujours l'impression de ne jamais être assez bien habillée pour la situation. Pour elle, il n'y a pas plus important, car il faut rester parfaite. Que le premier regard d'un inconnu soit forgé de respect et d'admiration. Elle cache les problèmes sous un tapis millénaire, qui voit sans cesse son ventre gonfler. Tous les moyens sont bons, pour maintenir l'illusion. Elle a peur de l'abandon, en plus de ça. Elle veut pas être seule, elle peut pas. Alors, elle s'accroche aux autres, et veut toujours être avec eux. Pour ceux qu'elle juge comme elle, pour ceux qu'elle accepte. Sinon, elle a encore plus peur.
DUNSTER.
Car elle a l'intelligence pour elle, et ce depuis toujours. Le cerveau qui marche plus vite, le cerveau qui s'active et se jette sur la moindre chose à sa portée. Des livres compliqués, des livres par pour elle. Mais c'est pas grave, car elle dévore tout. C'est une faim qu'elle n'arrive à s'expliquer, et qui l'éloigne des affres du passé. La tête se calme, quand elle se plonge dans la rigueur et les abstractions des mathématiques, ou quand elle s'abandonne au ciel, et à toutes les étoiles. C'est encore plus efficace pour ses nerfs que le câlin d'une mère. Après, elle n'a que des ambitions raisonnables, quant aux études.
Car Mademoiselle est belle, avec ses longueurs blondes. Mademoiselle sait séduire, avec la tête penchée sur le côté, et la bouche qui s'ouvre en un grand sourire. Elle sait qu'il y a quelque chose dans son rire rauque de merveilleux : ce sont les ricochets entre le rire, et la féminité exacerbée. Baby, elle se fait toujours belle : faut pas la croire, quand elle dit qu'elle est négligée. Elle a toujours l'impression de ne jamais être assez bien habillée pour la situation. Pour elle, il n'y a pas plus important, car il faut rester parfaite. Que le premier regard d'un inconnu soit forgé de respect et d'admiration. Elle cache les problèmes sous un tapis millénaire, qui voit sans cesse son ventre gonfler. Tous les moyens sont bons, pour maintenir l'illusion. Elle a peur de l'abandon, en plus de ça. Elle veut pas être seule, elle peut pas. Alors, elle s'accroche aux autres, et veut toujours être avec eux. Pour ceux qu'elle juge comme elle, pour ceux qu'elle accepte. Sinon, elle a encore plus peur.
DUNSTER.
Car elle a l'intelligence pour elle, et ce depuis toujours. Le cerveau qui marche plus vite, le cerveau qui s'active et se jette sur la moindre chose à sa portée. Des livres compliqués, des livres par pour elle. Mais c'est pas grave, car elle dévore tout. C'est une faim qu'elle n'arrive à s'expliquer, et qui l'éloigne des affres du passé. La tête se calme, quand elle se plonge dans la rigueur et les abstractions des mathématiques, ou quand elle s'abandonne au ciel, et à toutes les étoiles. C'est encore plus efficace pour ses nerfs que le câlin d'une mère. Après, elle n'a que des ambitions raisonnables, quant aux études.
APRÈS LA BOMBE.
C'est le matin. Le lendemain d'un drame qu'elle ignore, et elle est assise, prenant son petit déjeuner sur la table en formica de la cuisine. Il y a une pâle lumière, et c'est une adolescente qui n'a pas fermé un œil de cette sainte nuit qui verse son lait dans ses céréales. Manquant le bol, sans que ce ne soit remarqué. Les paupières sont lourdes, et la cuillère retombe mollement au fond du bol. Un premier bâillement, avant que le poste de télévision le fasse. C'était une télévision carrée, comme on peut en voir dans les films datant déjà de quelques années. Les chaînes se passent, tandis que d'une main moins distraite, et plus experte, elle extirpe d'un paquet de Camel une cigarette. Sans filtre. Coincée entre deux dents pour le plaisir de la faire rouler, d'une dent à l'autre, Baby-Blue arrête de zapper. Les yeux s'ouvrent ne grand, et la flamme reste en suspend : elle a toujours été très fascinée par les informations de la veille. "Hier, sur les lieux de l'éminente université d'Harvard..." La cigarette est rougeoyante, et la lycéenne tousse. C'est pas drôle, faut bien qu'elle y arrive un jour. "Que nous connaissons tous comme un des piliers de l'Ivy League, a connu une atrocité..." Une bouffée, qui reste en suspend : elle écoute, et en oublie presque le monde. "Une explosion que les experts ont confirmé comme étant le fruit d'une bombe a causé... " Quelqu'un entre en trombe dans la cuisine. "Marie, dépêche-toi! Tu traînes!" Sans en entendre davantage, et manquant le bilan des horreurs, et dans une panique qu'il est inutile d'écrire, Baby-Blue laisse tomber la cigarette empruntée dans son bol encore plein. Aucune protestation n'aurait eut le moindre effet, et même en quittant la cuisine avec le pas lent et lourd, elle n'a rien entendu de plus sur l'explosion.
C'est le matin. Le lendemain d'un drame qu'elle ignore, et elle est assise, prenant son petit déjeuner sur la table en formica de la cuisine. Il y a une pâle lumière, et c'est une adolescente qui n'a pas fermé un œil de cette sainte nuit qui verse son lait dans ses céréales. Manquant le bol, sans que ce ne soit remarqué. Les paupières sont lourdes, et la cuillère retombe mollement au fond du bol. Un premier bâillement, avant que le poste de télévision le fasse. C'était une télévision carrée, comme on peut en voir dans les films datant déjà de quelques années. Les chaînes se passent, tandis que d'une main moins distraite, et plus experte, elle extirpe d'un paquet de Camel une cigarette. Sans filtre. Coincée entre deux dents pour le plaisir de la faire rouler, d'une dent à l'autre, Baby-Blue arrête de zapper. Les yeux s'ouvrent ne grand, et la flamme reste en suspend : elle a toujours été très fascinée par les informations de la veille. "Hier, sur les lieux de l'éminente université d'Harvard..." La cigarette est rougeoyante, et la lycéenne tousse. C'est pas drôle, faut bien qu'elle y arrive un jour. "Que nous connaissons tous comme un des piliers de l'Ivy League, a connu une atrocité..." Une bouffée, qui reste en suspend : elle écoute, et en oublie presque le monde. "Une explosion que les experts ont confirmé comme étant le fruit d'une bombe a causé... " Quelqu'un entre en trombe dans la cuisine. "Marie, dépêche-toi! Tu traînes!" Sans en entendre davantage, et manquant le bilan des horreurs, et dans une panique qu'il est inutile d'écrire, Baby-Blue laisse tomber la cigarette empruntée dans son bol encore plein. Aucune protestation n'aurait eut le moindre effet, et même en quittant la cuisine avec le pas lent et lourd, elle n'a rien entendu de plus sur l'explosion.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Mademoiselle est ailleurs, à jouer avec le feu. Car c'est comme ça, car elle n'a rien de mieux à faire. Elle est libre comme l'air, comme elle croit l'être. Elle a dix-sept ans, et est bien loin d'Harvard. Ses oreilles sont sourdes aux agressions sur le campus, car elle n'est plus là le matin pour écouter les informations, et voler des cigarettes à sa mère. Un peu au lycée, un peu ailleurs. Pourtant, penchée sur des dizaines de papiers, en tout genre, du soir au matin. Les mains qui tremblent, car trempées dans une illégalité sans visage, et qu'on n'expose aux enfants qu'en dernier, et n'y pensant parfois jamais. Puis, il lui aurait été impossible d'en savoir plus les tristes événements, un mois après sa prétendue rentrée : car ils sont tombés. Lui et elle, mais pas les autres. Pour une coquille, pour une maladresse : elle se souvient du regard qu'il lui a lancé. Et on se demande presque, si elle n'a pas fait exprès. Car mademoiselle est mineure, et car elle a chargé au maximum son partenaire et amant d'occasion, elle est ressortie début janvier. Quelques mois de prison, quand lui en pris quatre ans : inutile d'insister sur pourquoi elle n'a pas non plus fait attention à cette prise d'otage, dont beaucoup on parlé. Elle s'est enfuit, sans même laisser la radio la distraire.
Mademoiselle est ailleurs, à jouer avec le feu. Car c'est comme ça, car elle n'a rien de mieux à faire. Elle est libre comme l'air, comme elle croit l'être. Elle a dix-sept ans, et est bien loin d'Harvard. Ses oreilles sont sourdes aux agressions sur le campus, car elle n'est plus là le matin pour écouter les informations, et voler des cigarettes à sa mère. Un peu au lycée, un peu ailleurs. Pourtant, penchée sur des dizaines de papiers, en tout genre, du soir au matin. Les mains qui tremblent, car trempées dans une illégalité sans visage, et qu'on n'expose aux enfants qu'en dernier, et n'y pensant parfois jamais. Puis, il lui aurait été impossible d'en savoir plus les tristes événements, un mois après sa prétendue rentrée : car ils sont tombés. Lui et elle, mais pas les autres. Pour une coquille, pour une maladresse : elle se souvient du regard qu'il lui a lancé. Et on se demande presque, si elle n'a pas fait exprès. Car mademoiselle est mineure, et car elle a chargé au maximum son partenaire et amant d'occasion, elle est ressortie début janvier. Quelques mois de prison, quand lui en pris quatre ans : inutile d'insister sur pourquoi elle n'a pas non plus fait attention à cette prise d'otage, dont beaucoup on parlé. Elle s'est enfuit, sans même laisser la radio la distraire.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
№1 parents pauvres, aux pauvres ambitions №2 partie d'Autriche avec sa mère, à l'âge de cinq ans pour le Queens №3 mère serveuse, mère cumulant des millions de petits boulots №4 gamine folle de l'apprentissage, de tout ce qu'il y a à savoir : a décroché une bourse suffisante pour intégrer l'un des meilleurs lycée de New York №5 a fini diplômée un an en avance, et bordée d'excellence №6 s'est découverte, à l'âge de seize ans, un talent pour la falsification en tout genre : imitation de signatures, reproduction de papiers antiques et officiels №7 sa passion pour l'histoire et les détails ne l'a rendu que meilleure encore №8 s'est laissée emporter dans un groupe de faussaires et bandits, faisant passer de la contre-façon pour des originaux №9 est restée avec eux pendant quatre mois, assez longtemps pour avoir une aventure avec leur leader №10 a finit par rester avec eux plus par peur des représailles que par plaisir №11 le leader a bien trop souvent perdu patience, et utilisé ses poings sur la première victime venant - elle en a payé les frais un peu trop fréquemment №12 ils se sont tous deux fait arrêtés à cause d'une d'une de ses erreurs №13 n'a fait que trois mois de prisons pour marquer l'exemple, et lui 4 ans à la base, car mademoiselle est mineure et a affirmé avoir agit sous peur et contrainte №14 dès qu'elle est sortie, elle a tout fait pour pas que le reste du groupe la retrouve, et a vadrouillé un peu partout aux Etats-Unis №15 ce n'est qu'après un an et demi de fuite qu'elle a utilisé son excellent dossier, et ses connaissances pour entrer à Harvard №16 l'ancien leader du groupe est sorti peu après, car bonne conduite №17 il est parvenu à la retrouver, et pour éviter le pire, Baby-Blue a fait comme souvent pour l'adoucir : le séduire №18 ça à si bien marché qu'elle s'en est tiré qu'avec quelques bleus, et un retard de règles qu'elle préfère ignorer №19 fait des efforts pour s'intégrer, et porte à ravir un sourire permanent №20 toujours angoissée qu'il revienne la voir, et sursaute très souvent №21 férue de sensations fortes, n'hésite jamais à en savoir sa dose №22 se sent toujours très honteuse après s'être amusée, de quelque manière que ce soit №23 fume sans arrêt, du matin au soir, et est bouleversée quand elle n'a plus rien à portée de briquet №24 a une sainte peur de l'abandon №25 parle peu d'elle №26 travaille énormément, et ce, avec beaucoup de plaisir
№1 parents pauvres, aux pauvres ambitions №2 partie d'Autriche avec sa mère, à l'âge de cinq ans pour le Queens №3 mère serveuse, mère cumulant des millions de petits boulots №4 gamine folle de l'apprentissage, de tout ce qu'il y a à savoir : a décroché une bourse suffisante pour intégrer l'un des meilleurs lycée de New York №5 a fini diplômée un an en avance, et bordée d'excellence №6 s'est découverte, à l'âge de seize ans, un talent pour la falsification en tout genre : imitation de signatures, reproduction de papiers antiques et officiels №7 sa passion pour l'histoire et les détails ne l'a rendu que meilleure encore №8 s'est laissée emporter dans un groupe de faussaires et bandits, faisant passer de la contre-façon pour des originaux №9 est restée avec eux pendant quatre mois, assez longtemps pour avoir une aventure avec leur leader №10 a finit par rester avec eux plus par peur des représailles que par plaisir №11 le leader a bien trop souvent perdu patience, et utilisé ses poings sur la première victime venant - elle en a payé les frais un peu trop fréquemment №12 ils se sont tous deux fait arrêtés à cause d'une d'une de ses erreurs №13 n'a fait que trois mois de prisons pour marquer l'exemple, et lui 4 ans à la base, car mademoiselle est mineure et a affirmé avoir agit sous peur et contrainte №14 dès qu'elle est sortie, elle a tout fait pour pas que le reste du groupe la retrouve, et a vadrouillé un peu partout aux Etats-Unis №15 ce n'est qu'après un an et demi de fuite qu'elle a utilisé son excellent dossier, et ses connaissances pour entrer à Harvard №16 l'ancien leader du groupe est sorti peu après, car bonne conduite №17 il est parvenu à la retrouver, et pour éviter le pire, Baby-Blue a fait comme souvent pour l'adoucir : le séduire №18 ça à si bien marché qu'elle s'en est tiré qu'avec quelques bleus, et un retard de règles qu'elle préfère ignorer №19 fait des efforts pour s'intégrer, et porte à ravir un sourire permanent №20 toujours angoissée qu'il revienne la voir, et sursaute très souvent №21 férue de sensations fortes, n'hésite jamais à en savoir sa dose №22 se sent toujours très honteuse après s'être amusée, de quelque manière que ce soit №23 fume sans arrêt, du matin au soir, et est bouleversée quand elle n'a plus rien à portée de briquet №24 a une sainte peur de l'abandon №25 parle peu d'elle №26 travaille énormément, et ce, avec beaucoup de plaisir
boté
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle votre maîtresse suprême et j'ai dix-huit. Je suis // et j'ai connu le forum grâce à de toujours. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Cailin Russo comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Soha. Je fais environ 400 au minimum mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ j'espère bien m'intégrer. :meghan:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par VEÏA ALVISIO
Mot de la fin ? ▲ j'espère bien m'intégrer. :meghan:
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par VEÏA ALVISIO
(Invité)