AARENA, friends means work together.

Jour quatre. Qu’est-ce que ça veut bien dire. Simplement que c’est le quatrième jour de mon dévouement au sport. Oui, quatre jour que j’y allais sans cesse pour me défouler et ne penser à rien. Sauf qu’aujourd’hui, c’était différent. Différent, parce que j’avais invitée quelqu’un à me rejoindre sur le terrain de basket. Il était minuit. J’avais peur qu’il ne vienne pas, qu’il me laisse en plan, mais en même temps j’avais confiance en lui. Confiance en mon ami le plus fidèle. Mais, par simple précaution, je composais son numéro sur mon cellulaire. Quand il finissait par décrocher, je ne lui laissais même pas le temps de parler. « Aaron si je ne vois pas tes fesses dans une minute sur le terrain de basket ball je te promet de mettre à sac ta chambre et d’écrire sur le mur, je t’avais prévenu, à la manière des serial killeur. » Raccrochant tout de suite après, je me posais au sol. Me couchant pratiquement pour attendre ce garçon si précieux à ma vie. « aaaaaaaaaaaaaron dépêche toi. » Grognant presque contre la balle retenue par mes mains. J’aurais pu m’échauffer en priant pour sa venue, mais ce serait plus drôle de le faire ensemble. Quand j’entendais des bruits de pas se faire dans le couloir, j’en serais presque à remercier le seigneur. Sauf que voilà, je restais muette. Une hâte au ventre de le voir débarquer pour de vrai.