Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySLOALINE • “Love is so unpredictable. That's what makes it so great.”
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SLOALINE • “Love is so unpredictable. That's what makes it so great.”

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Sloan n'en pouvait plus. Il venait d'atteindre son point de non-retour. Cette situation avec Charline le rendait complètement fou, il était obsédé par elle et prendre du recul n'était visiblement pas la solution à ce problème. Il l'aimait, comme jamais il n'avait aimé une femme auparavant. Cela défiait toutes les limites qu'il s'était fixé au départ. L'impression que la brunette faisait parti de sa vie depuis des années, il ne pouvait clairement plus s'en passer. Accro à cette fille, toute cette mise en scène n'avait absolument aucun sens. Lui faire croire qu'il avait couché avec Biddie alors qu'il était clairement incapable de trouver une autre femme attirante. L'Eliot ne voyait qu'elle et vivait très mal cette pseudo amitié. Ils n'étaient pas les meilleurs amis du monde mais c'était le seul moyen qu'ils avaient trouvés pour continuer à alimenter leur relation malsaine. Son deuxième portable dans la main, il envoyait des messages à Charline depuis deux bonnes heures. Il lui parlait par le biais de Marvin, un gars qu'il avait inventé dans l'unique but de continuer à lui parler. C'était stupide et pas très malin de sa part. Ils apprenaient à se découvrir depuis environ trois semaines et passaient parfois des nuits entières à se parler. La petite Granger avait certainement capté que c'était lui mais il s'en foutait complètement, il continuait à le faire. « Mais qu'est-ce-que j'fou bordel ! » marmonna-t-il en passant sa main dans les cheveux. Sloan n'arrivait plus à se contenter de lui parler par le biais de messages ou de rencontres vite fait. Non, il en voulait plus, il la voulait sans devoir se cacher et se mentir à soit-même. Il aimait cette meuf, il en était raide dingue et avait l'impression de la perdre un peu plus chaque jour. C'est bon, il avait perdu assez de monde dans sa vie, il ne voyait pas ce qu'il deviendrait sans sa princesse à ses côtés. Le jeune homme se leva brusquement en regardant le portable, il plissa les yeux en voyant qu'elle ne répondait pas. Un élan de rage vint le submerger et il balança le portable, de toute ses forces, contre le mur. Le portable s'écrasa en milles morceaux sur le sol de sa chambre d'hôtel. Sans chercher plus loin, il prit le premier sweat à capuche qui traînait là et quitta précipitamment la chambre. Le beau brun traversa le couloir, la démarche rapide et énergique. Il passa devant l'ascenseur mais pour aller plus vite, il dévala les escaliers deux par deux. Il manqua de se casser la gueule à un moment mais se rattrapa sur la rampe d'escalier. « Putain ! » jura-t-il. La drogue ainsi que sa bipolarité omniprésente l'avaient énormément affaiblie et c'est tout juste s'il tenait sur ses deux pattes. Sloan avait besoin de changer de mode de vie, cela devenait urgent. Une fois en bas, il traversa le hall d'entrée, fit un signe au réceptionniste au passage et sortit de son hôtel. Il monta dans le premier taxi venu. Hors de question pour lui de prendre la voiture, pas tant que son problème de drogue ne s'était pas arrangé, il en avait presque perdu confiance en lui. Quoiqu'il en soit, le taxi le mena directement devant l'appartement de Charline. L'Eliot sortit de la voiture après avoir tendu un billet au chauffeur. Il leva la tête par pure réflexe, histoire de voir si quelqu'un était présent dans l'appartement. Visiblement oui. Le jeune homme s'approcha de la porte et, à sa grande surprise, remarqua qu'elle n'était pas correctement fermée. Ravi de pouvoir débarquer à l'improviste, il poussa la porte et entra dans l'immeuble. Il grimpa les escaliers et toqua à la porte de son appartement. Sloan baissa la tête en attendant une quelconque réaction de l'autre côté. Il inspira profondément avant de relever la tête en voyant la poignée se tourner. Il ignorait comment il allait s'y prendre, il ne savait pas quoi lui dire ou quoi faire. Il sentait le stress monter en lui. C'était pas vraiment évident pour lui de tout lui avouer. Il ignorait s'il allait tout lui balancer de but en blanc, il ne savait pas comment réagir et se mettait la pression tout seul. Lorsque la porte s'ouvrit, il fut surpris de voir la colocataire de Charline. Ses sourcils se froncèrent, il n'avait pas forcément envie d'avoir un public, c'était déjà assez difficile comme ça. « Elle est où ? » demanda-t-il sur un ton légèrement agressif. Sloan n'aimait pas cette meuf et visiblement c'était réciproque. Il ne prit même pas la peine de la saluer ou quoique ce soit, il n'était pas venu pour être gentil avec sa colocataire. Cette dernière haussa les épaules et répondit « Dans la salle de bain » sur le même ton que lui. L'Eliot ne chercha pas à comprendre plus loin et se dirigea vers la salle de bain, pas de merci, rien du tout. Il connaissait cet appartement pour y être déjà venu quelques fois. Il se stoppa devant la porte et tendis l'oreille. Il n'entendit rien et commençait à douter de sa présence ici. Néanmoins, il ne se dégonfla pas et enclencha la poignée pour entrer dans la salle de bain. Il ne toqua pas, il ne prit même pas la peine d'annoncer sa présence. Lorsqu'il entra dans la pièce, il vit Charline complètement nue dans son bain. Un large sourire vint alors orner son visage lorsqu'il capta son regard. Elle semblait tellement surprise de la voir débarquer ici. Et lui dont ! « Je passais dans le coin. » dit-il subtilement. Sloan vint fermer le taquet derrière lui et s'avança vers la baignoire. Il enleva ses chaussures une par une, les balançant dans le coin de la pièce. « Et j'ai eu envie de venir te voir. » continua-t-il en enlevant son sweat et par la même occasion son t-shirt. « J'sais pas, faut croire que tu me manquais ! » Le beau brun la regarda, amusé par son propre discours qui n'avait aucun sens. Une fois devant la baignoire, il éclata de rire et entra dedans, avec le jean. En s'asseyant, l'eau du bain déborda, noyant la salle de bain. Il s'en foutait, il n'était pas chez lui. Heureusement pour eux, la baignoire était grande et ils passaient largement à deux. Sloan allongea ses jambes contre les siennes et la fixa intensément. C'était là où était sa place, avec Charline et nulle part d'autre. « Faut qu'on se cause princesse. J'veux que tu écoutes attentivement ce que j'ai à te dire et seulement après tu pourras te jeter sur moi. » dit-il sur un ton anormalement neutre. Il déglutit en essayant de rester concentré sur son regard. La vue presque parfaite sur sa poitrine était troublante mais il n'était pas là pour ça, pas de suite du moins. Ses avants-bras délicatement placés sur le rebord de la baignoire, il prit son courage à deux mains pour lui avouer tout ça. « Déjà, je tiens à m'excuser pour le Summer Camp. J'ai complètement merdé à la dernière soirée. J'sais pas ce qui m'a prit, un surplus d'alcool et de drogue, j'ai péter un câble. Le voir te draguer, ça m'a rendu dingue. J'suis pas d'une nature jaloux mais là, mais j'étais fou ! Je ne me contrôlais plus, j'avais l'impression que quelqu'un d'autre agissait à ma place. C'est facile de dire ça, je n'ai aucune excuse, tout est de ma faute. J'suis parti sans te le dire parce que c'était surement plus simple ainsi. Je ne voulais pas t'affronter, j'ai préféré fuir plutôt que de m'expliquer avec toi. C'est lâche et stupide. Je m'excuse pour ça. Ensuite, pour mon comportement odieux envers toi. Je n'ai pas couché avec Biddie mais c'est la seule excuse que j'ai trouvé pour te tenir à l'écart de moi. Je voulais que tu me déteste, que tu m'en veuilles et que tu tire un trait sur moi. J'ai pas rompu avec toi parce que j'me suis tapé une vulgaire meuf mais parce qu'on me l'a demandé. » commença-t-il sur un ton parfaitement calme. Sloan se livrait, à coeur ouvert et parlait droit dans les yeux. Il se voulait le plus sincère possible, tant pis pour les conséquences, le mensonge avait assez duré. Machinalement, il mit sa main droite dans l'eau et le posa sur le mollet de Charline. C'était plus fort que lui, il avait besoin de la toucher, de la retrouver. Même si dans le fond il ignorait sa réaction, il profitait peut être, une dernière fois de son corps si parfait. « Georges a eut vent de cette altercation et j'ai failli me faire virer des Eliots. Le deal avec mon beau-père consistait à me calmer et à finir Harvard chez les Eliots. Il a dû mettre le prix pour me faire rester chez les bleus mais à côté de ça, il m'a demandé de ne plus te fréquenter. J'sais pas ce qui m'a prit Charline ! J'ai cru que je pouvais m'éloigner de toi mais j'en suis incapable. Regarde moi, j'ai même été jusqu'à me faire passer pour Marvin pour continuer à te parler. J'ai fait n'importe quoi les dernières semaines, j'me suis drogué plus que de raison, j'ai bu jusqu'à plus soif. J'ai tout essayé pour t'oublier ... » dit-il. Sloan déglutit avant de conclure par un « ... Mais je n'y arrive pas Charline. Je t'aime et je ne peux pas lutter contre ça. » sincère et émouvant. L'Eliot se surprit lui-même dans son discours. Il venait de parler avec son coeur et n'avait rien calculé avant. Et voilà, la bombe était lancée, il lui restait plus qu'à croiser les doigts pour qu'elle lui pardonne et qu'elle lui donne une seconde chance. Il s'en remettait à elle.
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La journée venait enfin de ce terminer. Éprouvante du début à la fin, j’arrivais à mon appartement avec un terrible mal de tête. Mes doigts s’enroulaient sur la poignée de la porte pour l’ouvrir. Mon visage se releva et croisa le regard fuyant de ma nouvelle colocataire. Abby. C’était son prénom. Un fille au allure de garçon manqué. Un furtif sourire s’installa sur mes lèvres. « Salut Abby.» dis-je machinalement avant de laisser tomber mon sac de cours prêt du canapé. « hey.» dit-elle d’un ton neutre et plat. Pour tout vous avouez, je ne savais pas si elle m’appréciait véritablement. Il était difficile de percevoir quelque chose  en cette fille. Ces émotions et sentiments étaient à peine descriptible. Mon regard la détaillait avant de finalement me mettre à soupirer. J’avais besoin de repos et de calme aussi. « Je vais me poser un peu dans ma chambre Abby et je risque aussi de me faire couler un bain. Je ferai le repas de ce soir, si tu veux.» Mon ton était neutre et son silence pesant. Elle était étrange et d’un naturel renfermé. Elle ne parlait que très peu. Son silence ne me déplaisait pas mais il était loin de combler le vide qu’avait créer Sloan à la fin du Summer Camp. Mes pensées étaient continuellement dirigées vers l’étudiant. Ces quelques semaines n’avaient rien changé au tableau. Je continuais à penser à lui et à nourrir cet espoir qu’un jour, il change d’avis. Mes sentiments ne changeaient pas et augmentait de jour en jour. S’en était parfois douloureux. Je l’aimais. J’en étais aujourd’hui certaine. Je ne mis pas longtemps à rejoindre ma chambre. Je m’approchais de ma commode et en sortis mon téléphone que je déposais délicatement sur le meuble. Un dernier petit regard furtif sur mon écran d’accueil et je décidai d’aller dans la salle de bain me couler un bain. J’avais besoin d’être coupé de tout.   Un sourire presque incontrôlé s’afficha sur mes lèvres lorsque je remarquai sa brosse à dent. Elle était restée ici et trônait avec la mienne dans ce verre. Je me mis à rire avant de finalement m’abaisser pour faire couler l’eau. Mes doigts passèrent sous l’eau pour en juger sa température. Enfant, j’avais toujours eu l’habitude de prendre des bains très chaud. Les bonnes habitudes ne changeaient pas. Je me redressais et finis par retirer délicatement mon pull ainsi que mon débardeur.  Le reste de mes vêtements tombèrent par terre et mon regard fixa mon reflet pendant quelques secondes. Mes doigts se posèrent délicatement sur mon visage caressant ma peau. Je pouvais y décerner de profond cerne. Mes nuits étaient courtes et difficiles. Je fis une grimace et finis par me dire : « Allez on va arrêter de ce regarder.» j’avais envie de rire mais en vérité mon désarrois était largement visible. Je faisais pitié et je m’en rendais compte. Je me dirigeais vers la baignoire et mis un premier pied dans l’eau chaude. Je m’installais confortablement déposant ma nuque contre son rebord. Mes yeux se fermaient tandis que mes pieds jouaient avec le robinet. Ce moment était juste parfait. La chaleur de l’eau m’aidait à décompresser et à ne plus penser. Pendu dans un semblant d’apaisement, je me mis à sursauter quand la porte s’ouvrit. Mon corps se redressa dans un soubresaut de panique. Mes sourcils se froncèrent alors que mes épaules se décontractaient. Ce n’était pas Abby, seulement Sloan, je lâchais un soupire de soulagement avant de me rappuyer contre la parroie du bain.Je n’eu pas le temps de lui demander ce qu’il faisait ici, qu’il ajouta. « Je passais dans le coin.» Surprise, je restais anormalement silencieuse. Je le laissais continuer alors qu’il retirait ces chaussures. « Et j’ai eu envie de venir te voir.» un léger sourire s’afficha sur mes lèvres alors qu’il retirait le haut de ces vêtements. « J’sais pas, faut croire que tu me manquais !» je me mis à rire nerveusement et finis par dire : « Mais qu’est-ce que tu fais Sloan...» dis-je en me redressant une nouvelle fois et en détaillant chacun de ces gestes. Mes yeux se baladaient sur son corps. Un corps que je rêvais de pouvoir toucher à nouveau. Il m’appartenait et je lui appartenais. Je me mordis délicatement les lèvres. Il était magnifique toujours aussi beau que dans mes souvenirs. Le manque provoquait des choses étranges en moi. Plus attentif au détaille, je le scrutais sans grande gêne m’arrêtant sur des endroits que je n’avais encore jamais vraiment regardé. Son jean mordaient son bas ventre. Un léger V se dessinait sur son corps. Il se mit à rire et dans un mouvement brusque et précipité il rentra dans la baignoire alors qu’il était encore habillé. L’eau déborda de tout les coté lorsqu’il s’installa. « Sloaaaaaaaan mais tu es malade. Abby va me tuer !» dis-je en rigolant. Il s’allongea et se posta à l’opposé de moi. Son regard était doux et intense. Cette audace lui valait là toute mon attention. « Faut qu’on se cause princesse. J’veux que tu écoutes attentivement ce que j’ai à te dire et seulement après pourras te jeter sur moi.» mon expression devenait plus sérieuse. Ma tête se pencha sur le côté et je lui fis calmement. « je t’écoute Sloan.» Tout d’un coup, un stress monta en moi. Et si il me disait qu’il ne voulait plus de cette amitié ? s’il me repoussait une seconde fois ? ma gorge se noua et ces aveux me faisaient peur. Son regard était insistant. Ces lèvres, ces yeux. Écoutant avec attention les mots qui sortaient de sa bouche. Il était désolé. La vérité que je connaissais déjà sortait enfin de sa bouche. Ni la drogue, ni l’alcool ne l’aidait cette fois ci. Sa lucidité était frappant. Il en avait marre comme j’en avais marre. Mes muscles se détendirent à mesure qu’il parlait. Presque soulagé de ne pas faire face à un nouveau refus de sa part. Je le laissai parlé, approchant une de mes mains à ma bouche pour en mordiller le bout de mon doigt. L’entendre dire tout cela me faisait du bien. Un bien qu’il était impossible à décrire. Il se stoppa laissant ensuite un silence s’installer. Mes mots ne sortaient pas encore, profitant du soulagement pour apaiser cette petite tension qui restaient enfouis en moi. La main de sloan se posa lentement sur mon mollet, laissant vadrouiller ses doigts sur ma peau. Son contact me faisait du bien. Il inspira bruyamment et reprit son récit. Mon visage se figea en entendant ces paroles. George ? voilà ou les choses avaient débuté. Il était la source de toute ces emmerdes. Mes sourcils s’étaient froncés et mon regard s’était durcis. Un parfait connard qui finalement ne valait pas mieux que mon père. George était une étrange métaphore de mon père, en plus vieux et un peu plus civilisé. Ces coups, il les portait à distance. Rusé, il avait été la cause de mon malaise. Mon regard se baissa, comprenant bizarrement l’étendu qu’avait prit cette histoire. Sloan avait été manipulé du début à la fin. Prisonnier, il s’était laissé dicter par son beau père. Mon visage se releva lorsqu’il prononça ces mots : « J’ai tout essayé pour t’oublier...» son regard était sincère. « Mais je n’y arrive pas Charline. Je t’aime et je ne peux pas lutter contre ça.» partager entre l’hostilité que j’éprouvais pour George et le soulagement, un soupire fébrile et incontrôlé s’echappa d’entre mes lèvres. Un silence s’installa. Sans que je ne puisse me tenir une seconde de plus éloigné de lui. Je m’approchais de lui rapidement renversant sur mon passage encore un peu plus d’eau. Mon corps se positionna au dessus du sien et mes bras s’enroulaient autour de son cou. Mon visage se nicha dans le creux de son cou, humectant son odeur. « T’imagine même pas combien de fois j’ai rêvé que tu viennes ici et que tu me déballes le fin fond de l’histoire.» dis-je fébrilement avant de serrer un peu plus ma prise. Je le voulais contre moi. Soulager, je laissais mes craintes s’envoler. Il m’aimait et finalement c’était la chose la plus importante. Mon visage se recula et mes mains venaient encadrer son visage. Le caressant délicatement. « j’étais au courant pour Biddie, pour Marvin et je savais que tu me mentais. Tu m’en avais parlé à la soirée ou tu m’as rejoins au billard.» dis-je en faisant parcourir mon regard sur son visage. Je me redressais pour pouvoir m’asseoir sur lui, une jambe de chaque côté. Je l’encadrais parfaitement. « j’ai cru que tu viendrais jamais... j’ai cru que tu finirais par t’y faire alors que moi.» mon ton était fébrile et menaçant. Les larmes menaçaient et je laissais mon mal s’exprimé. « J’ai eu peur. Tu n’imagines même pas. J’ai eu peur que tu partes, que tu couches vraiment avec cette fille, que tu m’oublies et que tu prennes gout à la seule situation que je pouvais t’offrir. Je veux pas être ta meilleure amie sloan. » dis-je avant de finalement me laisser guider par la seule chose qui saurait me rassurer totalement. Mes lèvres s’écrasent douloureusement contre ces lèvres. Ma langues caressa la sienne et mon corps se colla contre lui tellement fort que je n’arrivais même plus à respirer. Mes mots se frayaient un chemin sur ces lèvres quand je lui dis : « Je t’aime Sloan Bushnell, je t’aime tellement » ouvrant grand la bouche pour l’embrasser passionnément. Guider par ce plaisir enfin avouer. Je me mis à rire alors que je l’embrassais « excuse moi je voulais dire Marvin enchanté, moi c’est Charline.» mes lèvres se décolèrent et je lui fis en le regardant dans les yeux.
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Sloan n'osait pas bouger, il n'osait même plus lui caresser son mollet. Suspendu au silence qui s'était installé entre eux, il attendait une quelconque réaction de sa part. N'importe quoi, un oui, un non, un je t'emmerde, il était prêt à tout entendre. Il s'en remettait à son jugement, après tout, c'était lui en faute. Comme un gamin avouant sa bêtise, il s'était livré dans l'espoir d'une éventuelle réconciliation. Charline ne s'était pas éloignée de lui durant ces dernières semaines, elle était restée anormalement proche de lui. Pourtant, il lui avait avoué l'avoir trompé avec Biddie. La brunette ne l'avait pas cru et elle avait eu raison. C'était stupide de sa part mais ce fut la seule issue possible. Et malgré tout, la petite Granger était restée à ses côtés, en tant que meilleure amie, la bonne blague. Même eux n'arrivaient pas à croire à ce mensonge. Ils se voulaient la face pour ne pas faire face à leur sentiment. C'était compliqué pour l'Eliot qui ne pouvait pas vraiment tenir tête à son beau-père. En famille il n'avait plus que lui, sans Georges et son argent, il n'était rien. Il ne se voyait pas se retrouver à la rue sans diplôme. Il avait besoin de finir son cursus universitaire, il en avait besoin pour pouvoir rebondir et se lancer tout seul. Être autant dépendant de quelqu'un le rendait fou mais il ne pouvait pas faire autrement. Ne serait-ce que pour sa défunte mère. Prit aux tripes, Georges l'avait mit au pied du mur et l'avait manipulé sans le moindre scrupule. Prit entre deux feux, Sloan n'eut pas vraiment d'autre choix que de coopérer et de se soumettre. Il venait de débarquer dans le bain de sa belle, sortit de nulle part, sur un coup de tête. En fait, il ne supportait plus cette situation et donnerait n'importe quoi pour une trêve. Il voulait lui faire comprendre qu'il avait fauté mais qu'il était prêt à tout pour se faire pardonner. Comme le dit le proverbe : vivons heureux, vivons cachés. Pour elle, il était prêt à faire des concessions et des sacrifices, il était à sa merci. Son regard rivé vers celui de Charline, il ne parlait plus, il n'avait plus rien à rajouter. Sa respiration s'accélérait légèrement tandis qu'il attendait une réaction de sa part. Il haussa les sourcils lorsqu'il la vit pousser une soupire sans précédent. Incapable de savoir à quoi cela pouvait bien signifiait, il ne bougea pas, attendant le premier pas de sa part. Et comme une délivrance, elle s'approcha de lui et vint coller son corps au dessus du sien. Le regard de l'Eliot vint se radoucir à vu d'oeil. Il afficha un léger sourire sur le coin de ses lèvres. Le besoin de retrouver cette proximité avec elle l'obsédait, il posa rapidement ses mains dans son dos. Il inspira profondément, il était soulagé. Ses mains mouillées vinrent se poser délicatement au milieu de son dos. Il la regardait intensément, en oubliant presque ces dernières semaines de souffrance. Charline enroula ses bras autour de son cou. Machinalement, il remonta ses mains pour les poser sur ses bras, les rapprochant toujours un peu plus de lui. Bordel que c'était bon de la retrouver. Elle avait cette petite lueur enfantine dans son regard. Elle était sublime, putain ce qu'il pouvait aimer cette meuf. La brunette vint nicher sa tête dans le creux de son cou. Instinctivement, il posa sa joue contre son crâne et vint l'embrasser tendrement dans les cheveux. Il caressait tendrement, amoureusement ses cheveux humides. Sloan ferma les yeux lorsqu'elle vint lui avouer que ses paroles étaient un véritable soulagement pour elle. Prenant son visage entre ses mains, Charline lui avoua ensuite qu'elle était au courant de toute l’histoire et ce, depuis le début. En fait, après réflexion, ce n'était pas si étonnant que ça. N'importe qui se serait barré et l'aurait laissé avec ses mensonges mais pas elle. Charline savait tout et l'avait laissé mariner tout seul. Bordel, cette fille était incroyable. « Ouais en fait, je passe pour un con. » dit-il en rigolant légèrement. Sloan ne se rappelait pas du tout avoir déballé toute la vérité à cette soirée. C'était légitime, il ne se rappelait pas vraiment non plus comment il s'était retrouvé avec un nouveau tatouage sur le bras. Quoiqu'il en soit, il passait pour un couillon mais c'était mérité. Charline vint s'asseoir sur lui, l'Eliot retrouvait petit à petit son sourire pervers. La femme de ses rêves était complètement nue et ne trouvait rien de mieux que de le chevaucher. A cet instant précis, il en regretta presque de ne pas avoir enlevé son jean. Mais l'heure était aux confessions. Les mains baladeuses du beau brun descendirent le long de son dos pour venir ensuite caresser sensuellement ses fesses. Il reprenait ses droits avec elle. Ses mains vinrent dériver sur ses cuisses lorsqu'elle prit la parole. Un peu de tenue Sloan. Charline se livra à lui, il l'avait fait souffrir, c'était le moment où jamais de mettre au clair leur sentiment et leur ressenti sur la situation. Il la sentait fébrile et légèrement hésitante. Lui non plus ne voulait pas être son meilleur ami, il voulait bien plus que ça. « Je ne pouv... » bredouilla-t-il mais Charline le devança et vint plaquer ses lèvres sur les siennes. Prit de court, il ne mit pas longtemps avant de se détendre et finalement, accepter l'issu inévitable de leur relation. Ces deux là étaient fait pour être ensemble. Rapidement, la passion se mêla à ce baiser de plus en plus torride. Sloan laissait ses mains caresser ses cuisses, c'était plus fort que lui. Elle lui avait tellement manqué. La brunette lui avoua qu'elle l'aimait, elle en avait presque le souffle coupé. Le soulagement fut intense pour l'Eliot qui ne pouvait cacher sa joie, il avait le sourire jusqu'aux oreilles et même les baisers torrides ne pouvaient pas lui ôter. « Je t'aime aussi. » dit-il entre deux baisers. Sloan posait ses mains sur son corps, dans son cou, sur sa tête, n'importe tout. Il avait besoin de la sentir contre lui, il la voulait rien que pour lui. Ce moment de retrouvaille était leur moment, il n'y avait personne pour le gâcher alors autant en profiter. Pas de Biddie, pas de Georges, pas de colocataire, personne. Ils étaient seuls au monde. Charline mit fin aux baisers mais il gardèrent néanmoins cette proximité si convoitée. Rapidement elle vint le taquiner sur le rôle qu'il avait joué, sur le personnage qu'il avait inventé pour continuer à garder un minimum de contact avec elle. « Enchanté Charline ! Non mais sérieux Marvin Smith, j'avais du bien fumer ce soir-là. » répondit-il en éclatant de rire. En réalité, il se sentait con et particulièrement honteux d'avoir fait ça mais visiblement, elle ne lui en voulait pas. La brunette semblait même amusée par la situation, tant mieux. « Oh si tu savais c'que tu m'as manqué, j'veux plus jamais qu'on revive ça ! » lança-t-il avant de venir capturer sauvagement ses lèvres. Ils échangèrent un baiser des plus hot mais rapidement, Sloan se recula. « Attends, j'ai un autre souvenir de cette soirée au bar mais j'sais pas si c'est ma mémoire qui me joue des tours ou si ça s'est réellement produit ! » dit-il subtilement. L'Eliot se redressa pour venir s'asseoir dans la baignoire, il fit reculer Charline en même temps. Il leva la tête et, attiré comme un aimant vers sa peau, l’embrassa langoureusement dans le cou. Sa langue parcouru sa peau mouillée. C'est bon, il avait la gaule depuis que la brunette s'était approchée de lui. Il passa ses mains dans son dos avant de finalement attraper le bouchon du bout des doigts. Rapidement, l'eau vint s'échapper par le siphon et le niveau du bain diminua à vue d'oeil. Occupé à la faire frémir et à renouer le contact charnel avec sa princesse, Sloan attendit que l'eau descende à hauteur des fesses de Charline avant de remettre furtivement le bouchon. L'évacuation se stoppa net et l'eau se stagna au niveau de ses fesses, autrement dit, il n'en restait plus beaucoup. La petite Granger devait se demander ce qu'il foutait. Voilà un peu moins d'une semaine qu'ils avaient passés cette fameuse soirée au billard et ne s'étaient pas parlés depuis. L'Eliot avait des brides de souvenirs mais n'était pas sur, il voulait vérifier par lui même. Il stoppa les bisous dans son cou et sans prévenir, baissa la tête. Il avait une vue vertigineuse sur la poitrine de Charline. Par pure réflexe, il vint palper son sein droit, retrouvant ainsi le petit grain de beauté qui lui avait terriblement manqué. Il se recula légèrement pour laisser une certaine distance entre leurs deux corps. Le ventre de Charline se dessina et un large sourire vint orner son visage. Il se pinça les lèvres. Alors d'ici, il avait vu sur sa féminité mais fatalement, ce n'était pas ça qui l’intéressait pour le moment. « Je m'en doutais ! » dit-il faiblement, presque dans ses dents. Il se parlait à lui même. Délicatement, il enleva sa main de son dos et vint toucher, du bout du doigt, le bas ventre de sa princesse. A la limite de son pubis, se trouvait là un tatouage très récent. Il y était inscrit trust me, fais moi confiance en anglais. Il cligna des yeux avant de déglutir. « Putain ça, ça m'excite ! » grogna-t-il avant de relever la tête et de la regarder dans les yeux. Il hésita un instant à se jeter sur elle mais ne le fit pas. Ils avaient énormément bus à cette soirée et Sloan ignorait ce don Charline se souvenait. Il haussa les épaules avant d'éclater de rire. « Non mais tu crois qu'on est bien ... Sérieux Charline, on a craqué notre slip là. » dit-il, sans vraiment pouvoir s'arrêter de rire. La brunette ne semblait pas comprendre. Délicatement, l'Eliot tourna son propre bras gauche et à l'aide de son autre main, lui montra une partie de son tatouage. On pouvait y voir le trust me écrit de la même manière, même écriture, même taille. A cette soirée, ils avaient fait le même tatouage. Tout le déroulement de la soirée lui revenait en tête, la peur de Charline, le fait qu'il l'ait fait en premier pour la rassurer, la chaleur du billard. Tout, absolument tout.
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Mes lèvres enveloppaient celles de Sloan dans un supplice presque perceptible. Ma langue caressait la sienne et mon corps se pressait contre celui de l’étudiant. Déblatérer mes peurs ne servaient à rien. J’avais, à cet instant, besoin d’être rassuré. Son corps se détendit et les mains masculines de l’étudiant vadrouillaient sur mes cuisses. Notre respiration se mêla l’une à l’autre avant de rester quelques secondes immobiles. Lèvres contre lèvres, mon regard se perdait dans celui de Sloan tandis que mes mains venaient caresser son visage puis ces cheveux. Parfaitement rasé, sa peau était douce. C’était un vrai régale. Je l’admirais comme jamais je ne l’avais fait. L’absence et la frustration de ces derniers jours rendaient les choses encore plus intense. Je l’aimais. Je l’aimais tellement qu’il en était presque effrayant. Mes mains se mirent à trembler contre sa peau comme si je venais de me rendre compte de la véritable importance de Sloan dans ma vie. Il m’avait ouverte l’esprit comme jamais personne n’avait su le faire auparavant. Il m’avait apprivoisé et rendu accroc par la même occasion. Vivre ma vie sans lui relèverait du véritable supplice. J’étais amoureuse et incroyablement faible face à lui. Un silence s’était installée tandis que nos souffles se mêlaient l’un à l’autre. « Je t’aime aussi.» ma respiration se coupa et mes yeux se mirent à briller menaçant une nouvelle fois de déverser ces larmes de joie. C’était tout ce dons je voulais savoir. J’avais été apeurer ces derniers temps d’être la seule à éprouver encore des sentiments pour l’autre. Ces mots n’étaient plus sortie de sa bouche depuis le summer camp et les réentendre me faisait un bien fou. Ces mots qui m’avaient fait peur aujourd’hui me rassuraient. Mes lèvres s’appuyèrent une nouvelle fois contre celle de l’étudiant. La passion se mêla très rapidement à ce baisé. Notre respiration s’accéléra, nos caresses étaient contrôlées et insistantes. Mes mains se perdaient dans son dos musclé. Son corps était parfait et ces jours d'abstinences rendaient les retrouvailles très particulières. J’avais l’impression de tout recommencer à zéro et de revenir subitement dans ce lac chilien. Cette douce nuit ou nous avions couché ensemble pour la première fois. Ce souvenir titillait mes pensées. Une sensation étrange se produisait dans le bas de mon ventre. Je le voulais prêt de moi, en moi pour le reste de ma vie. Je me mis à sourire en pensant à cette simple idée. N’importe quoi Granger. Mon visage se recula délicatement du sien imprimant ce moment comme si j’allais en être privée. « Enchanté Charline ! Non mais sérieux Marvin Smith, j’avais du bien fumer ce soir-là» je me mis à rire en repensant à la misérable tactique qu’avait eu sloan pour garder le contact avec moi. Ma main droite caressa sa joue pour venir perdre mes doigts sur ces lèvres. Mon regard vacillaient entre sa bouche et ces yeux. « Je dois t’avouer que Marvin aurait été le seul que je me serai bien tapé. » dis-je en le provoquant légèrement. Je me pinçais les lèvres en voyant son visage surpris et finis par lui dire en rigolant : « Je plaisante... c’est toi et seulement toi.» dis-je en affichant une petite grimace. Caché mes sentiments n’étaient aujourd’hui même plus envisageable. Je ne pouvais plus me caché et je ne le voulais plus. « Oh si tu savais c’que tu m’as manqué, j’veux plus jamais qu’on revive ça !» ma bouche s’ouvrit, prête à répondre avant d’être coupé par son baisé. Ma respiration s’accéléra à mesure que nos bouche s’entrelaçaient. Je me perdais littéralement en lui. Profitant de cette alchimie pour assouvir ma frustration accumulée. Son visage se recula tandis que mes yeux étaient encore fermé. Je ne voulais pas que sa s’arrête. Non. « Attends, j’ai un autre souvenir de cette soirée au bar mais j’sais pas si c’est ma mémoire qui me joue des tours ou si ça s’est réellement produit !» Mon visage se crispa en une petite grimace. Parlait-il de mon récent tatouage ou de cette partie de billard ? cette soirée avait été aussi hippique que étrange. Brouiller par l’alcool, je n’avais pas réussi à me souvenir de toute cette soirée. « De quoi tu parles ? de la partie de billard ? » il resta anormalement silencieux et s’approcha de moi pour se redresser. Assis lui aussi. Ses lèvres et sa langue venaient titiller la peau de mon cou. Un soupire d’extase s’échappa de ma bouche avant de basculer la tête en arrière. C’était si bon de le retrouver que mon corps en tremblait de partout. Ma gorge était sèche et ma tête tournait dans tout les sens. Mes repères venaient d’être mises à mal. Il n’y avait que lui et seulement lui. Je n’accordais aucune attention à l’eau qui descendait avant que la fraîcheur de l’air extérieur vienne me déranger. L’eau s’était échappée et le visage de Sloan s’était abaissée. Mes sourcils se froncèrent ne comprenant pas vraiment ce qu’il cherchait à faire. Sa main se posa délicatement sur ma poitrine, qu’il serra et caressa. J’avais du mal à contenir l’onde de plaisir qui parcourrait mon corps. Mes lèvres se posèrent sur son front que j’embrassais. Inspirant et expirant contre sa peau. « Je m’en doutais !» mon visage s’écarta douloureusement de lui en affichant une mine d’incompréhension. J’avais chaud terriblement chaud même si l’air frais venait titiller ma peau mouiller. Son doigt se posa sur la peau irrité de mon tatouage. Un frisson s’empara de mon corps. Il s’en souvenait. « Putain ça, ça m’excite !» Je me mis à rire à sa bêtise apportant mes mains à son cou. Son grognement raisonnait dans la pièce et me fit frémir. Ce mec me rendait folle par ces caresses et ces mots. Il ne me restait que des lambeaux de cette soirée. Je sais pas ce qui m’avait pousser à franchir le pas. Une chose était sur, je ne le regrettais pas. Nos regards se croisèrent une nouvelle fois « Non mais tu crois qu’on est bien... sérieux Charline, on a craqué notre slip là.» Son rire était contagieux mais à vrai dire. Je ne comprenais rien à ce qu’il disait. J’affichais une petite grimace et lui fis : « Sloan... je comprend rien du tout. Va falloir m’expliquer» dis-je en souriant. Mon corps semblait se calmer tandis que mon attention se porta sur le bras qu’il me montrait. Mon regard se fronça à la vue de ces quelques lettres. Il avait le même tatouage. Ma bouche s’entrouvrit. « On a le même tatouage ?» surprise, j’apportais délicatement mes doigts sur la peau irrité de son tatouage. Mes doigts se laissèrent tenter par cette révélation. Caressant et touchant, les mêmes lettres qui étaient tatoué sur le bas de mon ventre. Je me reculais de lui et lui fis : « Je m’en souviens même pas...» dis-je d’un ton calme. En réalité, j’étais déçue comment avais-je pu oublier ce moment ? ma gorge se serra et mes yeux se plissèrent. « J’ai oubl... » lui dis-je sincèrement avant d’être couper par de violent bruit sur la porte. Abby tapait à la porte comme une furie. Elle marmonnait et baragouinait quelques insanités. L’eau venait sans doute de dépasser les barrières de la porte. Mon visage se tourna sur le côté. Je me levais dans la baignoire et lui fis en me penchant en avant: « ne bouge pas.» Mes lèvres se portèrent aux siennes dans un furtif petit baisé. Je n’arrivais pas à croire que j’avais oublier ce moment. Sloan avait le même tatouage que moi. C’était une sacré surprise et j’étais partagée entre la joie et la déception. Mon regard était évasif et finalement Abby tombait à point nommé. Je sortis de la baignoire puis attrapa une serviette que je mis autour de moi. Il y avait de l’eau partout. J’ouvris légèrement la porte pour apercevoir le visage irrité de ma colocataire. « On a eu un petit problème... je vais nettoyer t’inquiète pas !» mon ton était neutre et Abby s’empressa de me gueuler dessus. « Tout à intérêt d’être impeccable avant ton départ.» Elle était mauvaise aussi mauvaise que la peste. Alors que je m’apprêtais à répondre. La porte se referma violemment sous notre nez. Mon regard se tourna et la main de sloan était appuyé contre la porte. Je me retournais et il me regarda sérieusement. Le genre de regard qui voulait dire : parle. « elle m’énerve...» dis-je en levant mon visage. Sloan avait toujours été beaucoup plus grand. Prisonnière, mon dos était plaquée contre la porte tandis que le corps de sloan se trouvait devant moi. Ses mains au dessus de ma tête. Je laissais mon regard se perdre une nouvelle fois sur son tatouage. « Je suis juste déçu de ne pas me souvenir de sa... c’est tout.» une de mes mains fit descendre son bras et délicatement mes lèvres se pressèrent contre son épaule pour aller jusqu’à la peau irrité de son tatouage. « Raconte moi comment sa c’est passé.» dis-je dans un soupire étouffer. Ma langue venait titillé ces instincts animal descendant le long de son bras pour finalement venir embrasser sa main. Mon regard se releva et fixa celui de l’étudiant. Ma tête se calla contre la porte de derrière et dans un geste furtif. J’enroulais mes lèvres autour de son doigt, allant et venant dans un mouvement lents. Je me dégageais quelque secondes et lui fis : « Je t’écoute sloan... raconte moi. J’y tiens.» ma voix était suave et super sexy. Je repris mes doigts en suçant son doigt. Fait moi oublier cette folle Sloan mais promet moi de toujours me rappeler comme c’est bon d’être avec toi.
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