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Retrouvailles (Sara)

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Retrouvailles
feat. Sara
Après avoir passé une heure en cours à être assis et a faire une interro surprise j'avais bien besoin de me détendre un petit peu. J'avais ramener avec moi dans mon sac mes affaires de sport, ne voulant pas embêter les autres garçons du campus qui étaient en train de faire un match de foot je pris la direction du terrain de basket. Je me changea dans les vestiaires puis pris un ballon qui était à ma disposition. Je jouais seul certes mais au moins cela me détendait et je me sentais dans ma bulle loin de tout le monde, je me sentais bien. Je fis quelques paniers puis j'entendis derrière moi des bruits de talons qui claquer sur le sol du terrain de basket. Je pense que j'ai de la visite aujourd'hui.

© MADE BY SEAWOLF.
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you're worse than poison
— Harry I. Archibald.

Chose rare et peu occasionnel, ce vieux vicelard de M. Waston c'était absenté et ton cours était annulé. Les mines réjouites avaient vite remplacé l'humeur morne des étudiants dans la salle. Normal, sachant que les cours de ce vieux crouton durait des heures (bon en réalité que 2 heures) , tu avais l'impression d'être aspiré dans un trou noir en rentrant dans sa salle de classe et en ressortir comme-ci une journée entière venait de s'écrouler. Tu savais bien que tout le monde partageait ce même avis, rien qu'à voir leur expression similaire à la tienne après le cours, elle n'est différente en rien à la tienne. Sachant très bien qu'à cette heure, ni âme errait dans le gymnase, tu te dirigeais vers ce dernier, mais t'arrête brusquement en franchissant les portes de l'établissement. Tu plissais des yeux pour être certaine que tu ne rêvais pas. Tout doute dissipé, la colère fit place. Ce gout trop familier de trahison mélanger de peine brûla dans toutes tes veines. Tu n'arrivais pas à croire que cela t'arrive une deuxième fois. Une deuxième fois. Parmi quelle chance cela pourrait arriver à une seule personne ? La tête embrouillée d'idées noires, tu te dirigeais vers cette personne qui t'est si familière et un être cher d'autrefois. Ton sac à main comme arme, faute de ne pas avoir un flingue sur toi (comme t'arriverais vraiment à obtenir un permis avec ta malchance), tu lui flanques un bon coup sur la tête. « Alors toi aussi !? Je n'arrive pas à croire. Vraiment, vous les hommes, vous êtes les pires rejetons sur cette planète. » .

© LOYALS.
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