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Margot Weasley
Fiche d'identité
Nom Weasley, comme dans Harry Potter. Sa couleur de cheveux, une coïncidence ? Margot est convaincue depuis une farce de ses sœurs que J.K. Rowling s'est inspirée de leur famille pour la célèbre famille nombreuse de son roman. Et qui sait, peut-être que c'est vrai, hein, peut-être qu'elle est passée par Boston un jour et qu'elle a eu un coup de coeur sur les Weasley ? Qui plus est, le premier roman est sorti même pas un an après sa naissance. Coïncidence encore ? Elle n'y croit pas. Prénoms Margot, et juste Margot. Ses parents se sont fait chier à trouver plein de noms pour Mili et Kaya, mais Margot, ils se sont dit qu'un seul, c'était bien (et surtout, ils avaient plus d'idées sur le coup) Âge 20 ans, et non, ce n'est pas une énième jumelle WeasleyDate de naissance Le 11 septembre 1996. Pour ses cinq ans, elle a vu les tours jumelles du World Trade Center s'effondrer. Yummy. Lieu de naissance Boston, MAStatut amoureux Célibataire Orientation sexuelle Hétérosexuelle ouverte d'espritClasse sociale MoyenneÉtudes majeures JournalismeÉtudes mineures Linguistique, option coréenJob Fait visiter Harvard à des touristes pendant ses heures de pause entre deux cours.Choix de groupe #1 Lowell HouseChoix de groupe #2 Cabot HouseLOWELL HOUSE.
Y a une chose au monde que Margot aime autant que l'écriture et le journalisme, et cette chose, c'est l'art. Enfant, elle en a fait baver ses parents, indécise sur les ateliers à suivre à l'école, elle a tout testé: Le dessin, le théâtre, la musique, et au final, c'est surtout sur cette dernière catégorie qu'elle s'est arrêtée, même si elle pratique de tout. Ca sera la première à se porter volontaire pour monter sur des planches, la première à se désigner pour aider à faire la décoration d'une scène, et surtout, elle aime chanter, Margot. Elle faisait déjà résonner sa voix fluette dans leur maison quand elle était petite fille, s'attirant parfois la curiosité de ses parents et de ses soeurs, et parfois, des supplications de silence. Parce que bon, la journée, c'est bien, la nuit, moins. Alors c'est naturellement à la rentrée qu'elle a demandé à rejoindre la maison des artistes, comme Kaya. Elles ont cette passion de l'art en commun, les deux soeurs, et à force d'entendre son aînée chanter les louanges de la Lowell House, elle s'est dit qu'elle allait les rejoindre.
CABOT HOUSE.
Vous connaissez le cliché de la petite soeur qui veut tout faire comme les grandes ? Ben voilà Margot. Et si Kaya est chez les Lowells, Milli, elle, elle est Cabot. La maison de femmes, la sororité, celle où on est pas seulement belle, mais aussi des exemples pour toutes les autres femmes du campus. Margot, grâce à la plus jeune des jumelles justement, a toujours appris à prendre soin d'elle, jouant avec le maquillage dès le début de l'adolescence, apprenant à bien s'habiller, à mettre en avant son teint de poupée, ses boucles blond vénitien et ses grands yeux verts. Bon, niveau relation, elle n'est pas exemplaire, certes. Mais pour le reste, la belle est convaincue de rentrer dans les critères de la Cabot House.
Y a une chose au monde que Margot aime autant que l'écriture et le journalisme, et cette chose, c'est l'art. Enfant, elle en a fait baver ses parents, indécise sur les ateliers à suivre à l'école, elle a tout testé: Le dessin, le théâtre, la musique, et au final, c'est surtout sur cette dernière catégorie qu'elle s'est arrêtée, même si elle pratique de tout. Ca sera la première à se porter volontaire pour monter sur des planches, la première à se désigner pour aider à faire la décoration d'une scène, et surtout, elle aime chanter, Margot. Elle faisait déjà résonner sa voix fluette dans leur maison quand elle était petite fille, s'attirant parfois la curiosité de ses parents et de ses soeurs, et parfois, des supplications de silence. Parce que bon, la journée, c'est bien, la nuit, moins. Alors c'est naturellement à la rentrée qu'elle a demandé à rejoindre la maison des artistes, comme Kaya. Elles ont cette passion de l'art en commun, les deux soeurs, et à force d'entendre son aînée chanter les louanges de la Lowell House, elle s'est dit qu'elle allait les rejoindre.
CABOT HOUSE.
Vous connaissez le cliché de la petite soeur qui veut tout faire comme les grandes ? Ben voilà Margot. Et si Kaya est chez les Lowells, Milli, elle, elle est Cabot. La maison de femmes, la sororité, celle où on est pas seulement belle, mais aussi des exemples pour toutes les autres femmes du campus. Margot, grâce à la plus jeune des jumelles justement, a toujours appris à prendre soin d'elle, jouant avec le maquillage dès le début de l'adolescence, apprenant à bien s'habiller, à mettre en avant son teint de poupée, ses boucles blond vénitien et ses grands yeux verts. Bon, niveau relation, elle n'est pas exemplaire, certes. Mais pour le reste, la belle est convaincue de rentrer dans les critères de la Cabot House.
APRÈS LA BOMBE.
Chanceuse, au moment des faits, Margot n'était pas encore en âge d'étudier à Harvard, mais elle n'a pas loupé une miette des événements, vivant à Boston. Elle se souvient s'être enfermée dans sa chambre, collée à la télévision, en état de choc. Elle n'a pas comprit pourquoi une personne pouvait en être venue à de tels extrêmes. Vouloir prendre la vie d'innocents d'une manière aussi barbare, aussi cruelle. Malheureusement, s'il y a une chose qu'elle avait appris depuis sa naissance, c'est que ce monde n'a pas toujours la meilleure logique. Trop jeune pour aider, ses parents l'ont tenue à distance elle comme ses soeurs, pour les protéger de tout ça. Elle se souvient avoir hurlé après sa mère lorsqu'elle a débranché la télévision, même si au fond, elle a fait ça pour protéger Margot.
Chanceuse, au moment des faits, Margot n'était pas encore en âge d'étudier à Harvard, mais elle n'a pas loupé une miette des événements, vivant à Boston. Elle se souvient s'être enfermée dans sa chambre, collée à la télévision, en état de choc. Elle n'a pas comprit pourquoi une personne pouvait en être venue à de tels extrêmes. Vouloir prendre la vie d'innocents d'une manière aussi barbare, aussi cruelle. Malheureusement, s'il y a une chose qu'elle avait appris depuis sa naissance, c'est que ce monde n'a pas toujours la meilleure logique. Trop jeune pour aider, ses parents l'ont tenue à distance elle comme ses soeurs, pour les protéger de tout ça. Elle se souvient avoir hurlé après sa mère lorsqu'elle a débranché la télévision, même si au fond, elle a fait ça pour protéger Margot.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Dix-huit ans. L'âge d'entrer à l'université, comme ses soeurs. Margot était en première année de journalisme quand tout ça est arrivé, et leurs parents avaient si peur de ces agressions qu'ils avaient imposé un couvre feu aux rousses, couvre feu qu'elle respectait à la règle, la plus jeune. Et ce jour de janvier, elle n'est pas sortie. Elle regrette, au fond, parce qu'elle voulait proposer un cinéma à Kaya et Milli après les cours. Au final, tout ce qu'elle a pu faire, c'est pleurer en suppliant la police de lui ramener ses grandes soeurs, coincées dans un McDo pendant une prise d'otages. Des malades, des déséquilibrés. Ils ont tué, blessés, et pendant des heures, Margot a vécu dans l'angoisse de perdre ses modèles. Après la bombe, la prise d'otages. Où va le monde ? Voilà ce qu'elle n'a eu de cesse de se répéter, jusqu'à ce qu'elle récupère ses soeurs saines et sauves. Malgré tout ça, quelque chose s'est brisé ce jour à chez Margot. Alors elle a plaqué Harvard, et elle est partie. Voilà l'effet que ça a eu sur elle, cette tragédie.
Dix-huit ans. L'âge d'entrer à l'université, comme ses soeurs. Margot était en première année de journalisme quand tout ça est arrivé, et leurs parents avaient si peur de ces agressions qu'ils avaient imposé un couvre feu aux rousses, couvre feu qu'elle respectait à la règle, la plus jeune. Et ce jour de janvier, elle n'est pas sortie. Elle regrette, au fond, parce qu'elle voulait proposer un cinéma à Kaya et Milli après les cours. Au final, tout ce qu'elle a pu faire, c'est pleurer en suppliant la police de lui ramener ses grandes soeurs, coincées dans un McDo pendant une prise d'otages. Des malades, des déséquilibrés. Ils ont tué, blessés, et pendant des heures, Margot a vécu dans l'angoisse de perdre ses modèles. Après la bombe, la prise d'otages. Où va le monde ? Voilà ce qu'elle n'a eu de cesse de se répéter, jusqu'à ce qu'elle récupère ses soeurs saines et sauves. Malgré tout ça, quelque chose s'est brisé ce jour à chez Margot. Alors elle a plaqué Harvard, et elle est partie. Voilà l'effet que ça a eu sur elle, cette tragédie.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Dreamy
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Dreamy, ou Mélanie pour les copains et j'ai 23 ans(omg première fois que je le dis depuis une semaine ). Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi-même, y étant depuis bientôt 5 ans . J'aime ILH de tout mon petit coeur alors j'ai décidé de retenter un personnage. J'utilise Katherine McNamara comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé, issu de la famille Weasley quand même .
Mot de la fin ? ▲Je viens de voir une faute à "Je veux être parrainé(e)", vous avez mis parrainez ! *tape sur leurs doigts* Sinon je vous aime.
Je souhaite ▲ adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainée
Mot de la fin ? ▲Je viens de voir une faute à "Je veux être parrainé(e)", vous avez mis parrainez ! *tape sur leurs doigts* Sinon je vous aime.
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