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C'est le 23 Mai à New York, que les membres de la famille Phoenix m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Luce-Hope Daisy Phenix. Je suis dans une relation assez compliquée et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Arts Platiques OU je travaille en tant que escort-girl depuis trois ans déjà. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les mathers. Luce-hope daisy phoenix | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtarde sans aucune doute. Même si pour tout avouer, je ne suis pas de ce genre de nana à se mettre la tête à l'envers aux soirées, moi je suis plus du genre à vouloir conserver un minimum de self-control... Mais si le joli garçon du coin m'offre une tequila, pourquoi pas. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Je suis un peu trop coquette. Chez moi, j'ai fait une table avec plusieurs exemplaires du Vogue Italia et US. Ouais, moi je ne fais jamais les choses à moitié. Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Malgré tout ce que l'on peut penser de moi, je suis plutôt assidue. Petite, j'aimais beaucoup l'école parce qu'elle m'était un véritable échappatoire, lorsque je me prénommais encore Alessandra. Plutôt romantique ou réaliste ? On m'appelle la briseuse de rêve. Je suis un peu trop réaliste pour avoir été trop idéaliste et romantique durant mon adolescence... Désormais, je rentre dans les personnes qui sont trop à espérer l'impossible. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympathique ? Je ne connaissais pas ce mot. Déplaisante, lui je l'connais. Désagréable au possible, Daisy pour vous servir. Plutôt altruiste ou égoïste ? Disons que si demain tu meurs de faim et que j'ai la dernière assiette de Carbo, je les mange sans scrupules. Plutôt optimiste ou pessimiste ? J'ai épuisé mon quota d'optimiste pour les dix années à venir. Plutôt extraverti ou introverti ? Grande gueule au possible. Plutôt sucré ou salé ? Les deux, j'adore les frittes trempées dans la glace à la fraise. Si, si c'est excellent avec de la bernaise. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Le second choix est pas trop mal, étant un exemple d'agressivité et de vulgarité. Je dis merde à chaque fin de phrase lorsque c'est pas " Putain " ou " Fuck " Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Mais quelle est cette question ? Aucun des deux. Perso, je préfère j'ai rien contre Bieber, mais on dire qu'il n'est pas ma tasse de thé et que Black non plus. Purée, on s'croirait dans Harry Potter avec le Black. Comme Sirius, vous m'suivez ? Physique... Style vestimentaire Je suis plutôt Bobo pour ma part. Bourgeois-Bohème pour les incultes. Il s'agit d'assortir du très chic, prenez un Coppola de Vuitton, avec une pièce un peu déglingue : genre un slim Cheap Monday que t'as valdingué partout. Le reste, tu mets un t-shirt loose, une veste de créateur - Sais pas, une de chez Marc Jacobs - un t-shirt loose et des Zizi Repetto. Piercing Non merci, c'est trop laid. Tatouage Un seul, le prénom de mon amoureux sous le sein gauche, sous le droit j'ai un grain de beauté. Je crois... Aux fantômes ? Ouais, absolument. J'en suis même un. À l'apocalypse ? Ah ça non, ça fait la 300e et quelques fois qu'on la prédit... Aux coups de foudre ? Malheureusement oui. À l'amitié fille/garçon ? Ouais, mais avec un peu d’ambiguïté. Aux sexfriends ? Sinon la vie serait bien morne. À une religion ? En vrai, je suis catho' mais personne ne s'en doute. À la magie de Noël ? À vrai dire, oui totalement. Au destin ? Je compte un peu trop là-dessus. Aux fins heureuses ? Ca dépend de ta définition d'heureuse. Je/j'ai... Déjà fait un threesome Oh oui, d'ailleurs j'en fait un demain, tu veux v'nir avec moi ? Une voiture Non, trop de responsabilités. Bois de l'alcool Je dis pas non à un verre, mais j'aime pas trop. Fume Ouais, je clope comme un pompier. Je fais d'autre chose comme un pompier mais bon. Prend de la drogue Oui, j'suis héroinomane. Suis pas méchante donc j'fais pas de discrimination : tout ce qui termine en 'ine' termine dans mon organisme. Veux me marier J'adorerai, mais je l'mérite pas. Veux des enfants J'préfère pas répondre. Une maladie grave Le sacarsme, ça compte ? Ah ouais, j'ai chopé un MST l'année dernière. Je suis épileptique aussi, mais ça, personne ne le sait. Un lourd secret Oh oui... Avant, je m'appelais Alessandra Lula Martielli, mais ça c'était avant ma fuite de l'Italie à cause de mes ennuis avec des mafieux. Du coup, je me suis réinventé une vie complète. Mens souvent Tout le temps. Beaucoup d'expérience au lit Suis une bête de sexe. Beaucoup d'expérience en amour Je n'ai aimé qu'un mec. Eu beaucoup de déception en amour Une seule. Eu beaucoup de déception en amitié Aucune. De la facilité à me faire des amis Oui, on aime m'aimer, mais bon, faut encore que j'accepte la personne. Des envies de meurtres Pas là, mais si tu continues avec tes questions, sûrement. Peur du noir Ne le dites à personne, mais oui. Et aussi du mot "Ombilical." Peur de la solitude Non, je l'aime plutôt même. De bonnes notes Ouais, mais faut que je bosse d'arrache pied pour en obtenir. Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de Lowell Je suis quelqu'un de très porté sur l'art en général. Je ne fais que dessiner tout ce qui peut me plaire, aussi bien des portraits que des paysages même si j'ai tendance à préférer l'humain qui offre d'avantage de folies. Esquisses et peintures jonchent le sol de ma chambre. ou de Mather Je suis une grande gueule sarcastique qui aime faire la fête ? Doublée d'une escort girl, faut pas se poser de questions. |
Pseudo/Prénom Shitman, Papa Poulpe, Lulu... Âge 16 balais. Pays/Région Inyourass Où as-tu connu le forum ? J'sais plus, aller demander à Jacobs. Tes impressions Purée, je t'aime ILH. Crédits Bazzart Avatar Mila Kunis Scénario ou PI ? Malgré le manque d'originalité, PI Facilité à s'intégrer ?10 /10 Mot de la fin :panic: |
Histoire
Always running away ▼▲
Mes pensées tourbillonnaient un ballet incessant, si bien que les maux de têtes ne tardèrent aucunement à le rejoindre, leur redonnant d'avantage de fougue. L'avion... Comment ces choses pouvaient-elles voler alors que leur poids défient toute concurrence dans la catégorie poids lourd ? Comment ces engins de métal pouvaient-ils s'élever dans les airs et prétendre à être des oiseaux ? Mes mains tremblaient tant la peur s'emparait de moi : je ne souhaitais plus que poser mes pieds sur le plancher des vaches, la terre ferme, et enfin quitter cette machine qui ne m'inspirait aucune confiance. Les hôtesses affluaient, distribuant d'hypocrites sourires aux passagers pour certains à moitié avachis sur leur siège, tandis que d'autre se soulaient déjà. Charmante compagnie. Mon cœur battait à la chamade, mon souffle s'accélérait : je fermais les yeux. J'espérai ne pas être proie à une crise, pas dans ce lieu. Je fermais les yeux, tentant de me faire baisser la jauge d'anxiété que j'avais cumulé toute ma semaine durant... Un visage apparu, le sien. Je parvins à esquisser un mince sourire tout en allongeant mes jambes. « Mademoiselle ? » La jeune femme posa sa main sur mon épaule, ayant sans doute perçu mon instant de panique de tantôt. Contre mon gré, j'ouvris de nouveau les yeux avec un énième soupire. « Tout va comme vous le voulez ? » J'acquiesçais en silence, ayant hâte de retourner à mon havre de paix. L'importune ne tarda pas et retourna à ses occupations qu'elle avait coutume de faire tandis je repensais au merveilleux coup de fil auquel j'ai eu le droit l'avant veille. Il m'avait demandé, que dis-je ! suppliée de revenir à ses côtés, qu'il m'accueillerait à bras ouvert chez lui, tant pis si nous risquions de nous faire découvrir par ses parents m'avait-il répété avec sa voix chaude et conciliante... Sur le champs, j'ai accepté. Comment dire non à l'homme que vous avez appris à aimer ? Certes, j'étais aussi poussée par autre chose à quitter mon pays pour New York, mais cela n'était qu'un second prétexte : j'avais réussis à m'attirer des ennuis avec une famille de mafieux plutôt influentes, et contrainte de passer un sale quart d'heure si elle me retrouvait je m'empressais de fuir.
Les nombreuses heures de vols me semblèrent interminables, même plongée dans un sommeil léger qui ne cessait d'être perturbé par les turbulences. De plus, mon voisin ne cessait de ronfler si fort que je ne parvenais à me rendormir qu'après dix minutes d'intenses tentatives. Heureusement, il était temps pour moi de retrouver la terre ferme : New York pointait le bout de son nez. Il faisait d'ores et déjà nuit noire, si bien que je grelottais simplement vêtue de ma robe Isabel Marant, enfin il s'agissait d'une copie que j'avais reproduite au prix de longues heures de travail acharné. N'ayant pas beaucoup d'argent, je me contentais d'user de mes talents de couturière pour m'approprier les nouvelles collections. J'arpentais de long en large la rue dans laquelle je devais l'attendre, et même si je me trouvais à l'endroit dit, il ne venait toujours pas... La froid mordait mes bras et mes jambes nues tandis que je m'asseyais à même le sol. Même une heure plus tard, même deux, je demeurais seule. Je sentais quelque chose se déchirer petit à petit, et tomber en lambeau. Je ne tardais pas à comprendre qu'il s'agissait de mon cœur qui n'accordera plus jamais son attention à qui ce soit. Je m'apprêtais à me relever lorsqu'une main, inopinément, me fut tendue. Il s'agissait d'un homme d'une carrure plus que normale, sans aucun signe particulier si ce n'était sa paire de chaussures blanches qu'en temps normal je n'aurais pas raté. Je n'aimais pas que l'on m'approche, j'étais un petit chat sauvage qu'il vaut mieux ne pas tenter d'apprivoiser sous peine de griffures et morsures. Malgré tout, je le laissai m'aider à me remettre sur pied, le laissant débiter son flot de paroles sournoises qui me conduisirent dans ce bureau que je n'avais jamais vu, en face du 'Patron', tel il le nommait. « Votre nom ? » Je restais tétanisée : allais-je courir le risque ? J'étais recherchée par la Mafia Italienne, et connaissant la gravité de mes actes, il valait mieux pour mon avenir que je sois quelqu'un d'autre. « Daisy Phoenix. » Prononçais-je avec la voix enrouée. Je ne savais pas vraiment d'où venait cette soudaine inspiration, et ce n'était pas mes préoccupations de l'instant. « Bien, bien... Votre âge ? » Je me mordais la lèvre inférieure, disant cette fois-ci, la vérité. « Dix-sept. Du 23 mai. » Précisais-je avec gêne. Sa main se referma sur la mienne comme un pacte avec le diable.
New Life With A Dirty Secret ▼▲
Cela faisait déjà un an que j'étais aux États-Unis, continuant encore et encore ce stupide et dégradant métier - quoi que très bien payé. Escort Girl. Beaucoup fuirait à l'entente de ce mot, un peu trop d'ailleurs. Qu'est-ce que cela pouvait bien faire de ce que je faisais de mon corps ? Il s'agissait du mien, après tout. Mes réflexions stoppèrent à l'instant même ou la porte s'ouvrit sur mon entretient afin de faire mon entrée à Yale, ayant désormais l'âge d'en être. « Bonjour, Miss Phoenix. » Je lui adressai un sourire ainsi que quelques politesses avant de découvrir son bureau. « Un plaisir de vous rencontrer... » À moitié faux, il me paraissait sympathique, mais je n'étais jamais très heureuse de voir du monde. Je prenais place dans le siège qu'il me proposa, faisant de même dans le sien. Sa main renfermait mon dossier qu'il avait dû examiner tantôt. « J'ai relu, et relu votre dossier, Miss Phoenix, et il y a un point qui me chiffonne. » Aussitôt, je me raidissais. « Vous n'avez pas rempli la case sur vos parents, ni sur votre métier, et ayant les moyens nécessaire pour entrer à Yale sans bourse demande soi de très gentils parents, soi une profession digne de ce nom. » Je me mordillais la lèvre inférieure sous l'anxiété qui m'envahissait peu à peu. Merde. Il fallait que j'invente du mieux possible, dans les plus brefs délais. « Ils... ils sont mort il y a quelques années... » murmurai-je avec les larmes aux yeux, mettant à profit mes talents de comédienne. « Et... » Je ne pus continuer et baissai le regard. Intérieurement, j'arborai une expression victorieuse : je sentais qu'il venait de gober mes affabulations. « Je m'en veux terriblement d'avoir ravivés de tels souvenirs... Excusez-en moi, je vous pris. » Ses mains tremblaient en raison de sa nervosité quant à son erreur. « Vous... Bienvenu à Yale avec toutes mes félicitations ! » M'annonça-t-il avec un sourire paternel.
J'étais ravie d'avoir mené à bien cette entrevue, songeais-je tandis que je regagnais la gare tout en faisant claquer mes Zizi Repetto sur le sol goudronné. Désormais, un peu moins. Pour tout avouer, je venais de me faire expulsée de Yale à cause d'une fâcheuse histoire dont je me serais très bien passée : suite à des fouilles de toutes les chambres étudiantes, un sachet de trois grammes de cocaïne ont été retrouvés dans la mienne. J'aurais dû mieux les dissimuler, regrettai-je tout en sautant dans le premier train. Fort heureusement, j'avais un plan de secourt, cette rustine que l'on garde précieusement en cas de coup dur... Harvard venait de recevoir ma lettre de motivation, et je ne tarderai aucunement à avoir une réponse. « Tiquer, s'il vous plait ! »
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