Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMILLIE • “You should never trust a wolf in sheep's clothing. Because the only thing the wolf will ever want to do is break you.”
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


MILLIE • “You should never trust a wolf in sheep's clothing. Because the only thing the wolf will ever want to do is break you.”

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le t-shirt noir collant sur sa peau transpirante, Milo ralentissait la cadence. Sa respiration était bruyante et rapide. Voilà plus de deux heures qu'il courrait, il avait fait le tour de la ville, à toute allure, histoire de se canaliser un peu. Il s'infligeait un entrainement très dur pour pouvoir suivre le rythme d'Harvard. Pouvoir étudier dans une université pareille était un véritable privilège pour le beau brun qui voulait se montrer digne de la chance qu'il avait. Il voulait que ses parents soient fiers de lui. Il voulait prouver au reste du monde qu'il en était capable, qu'il n'était pas juste un gamin complètement perdu à la recherche d'identité. Ses pas ralentissaient jusqu'à s'arrêter totalement. De retour devant son immeuble, il commençait à fatiguer. Ses muscles étaient bouillants et douloureux, il avait assez couru pour aujourd'hui. Le Winthrop enleva ses écouteurs et les fourra dans la poche de son bas de survêtement gris. Il reprenait tout doucement sa respiration et trouva utile de faire quelques étirements pour éviter les courbatures. Il se racla la gorge avant de cracher par terre. Élégant ! Il ne mit pas longtemps avant de terminer ses étirements et de retrouver un rythme cardiaque assez stable. Le beau brun mit sa main dans sa poche pour en sortir une clé, il ouvrit directement la porte d'entrée et se faufila à l'intérieur. Il pénétra dans le hall de ce majestueux immeuble et arriva jusqu'à la cage d'ascenseur où il appuya sur le bouton pour l'appel. De la merde hein, il était fatigué et à cet instant précis, les escaliers lui paraissaient insurmontables. Il attendit quelques secondes qu'il arrive et entra dans l'ascenseur. Il appuya sur le bouton du dernier étage et s'adossa contre la vitre. Milo ferma les yeux quelques secondes, le temps que l'ascenseur n'arrive à destination. Lorsque les portes s'ouvrirent, il descendit et entra chez lui. Il traversa le salon où il balança son MP3 ainsi que ses clés sur le canapé. Ouais, il était du genre sans gène. Le jeune homme posa délicatement ses mains sur son t-shirt qu'il souleva pour l'enlever. Il s'essuya le visage avec le t-shirt avant de le balancer également sur le canapé. « Putain ça sent bon ! » dit-il en sentant la douce odeur de chocolat qui vint jusqu'à ses narines. Sans chercher à comprendre, il s'avança, torse nu, jusqu'à la cuisine où il vit Charlie en train de cuisiner. Elle faisait sans doute un gâteau au chocolat. Sans doute, il était tellement nul en cuisine qu'il était incapable de dire ce qu'elle était en train de faire. Milo afficha un léger sourire en la voyant concentrée sur sa cuisine. Sans un mot, il alla jusqu'au frigo où il sortit une bouteille d'eau froide. Il l'ouvrit et l'apporta directement à ses lèvres où il en bu presque un tiers d'une traite. Lorsqu'il eu fini de boire, il posa la bouteille sur la table et jeta un petit coup d'oeil en direction de Charlie. Sa course l'avait épuisé mais pour faire chier la blondinette, il était toujours en forme. Elle remuait du chocolat dans une casserole. Le Winthrop arriva à sa hauteur et se colla à elle, son bras encore humide de son footing toucha celui de la belle blonde. « Tu fais quoi ? » demanda-t-il et sans attendre sa réponse, il glissa son doigt dans le chocolat et l'apporta à sa bouche. Comme un gosse, il suça son doigt plein de chocolat. Il éclata de rire en entendant Charlie râler après lui. « Mais ferme ta gueule, t'étais calme là, pourquoi tu cries comme une hystérique ? » dit-il d'un calme déconcertant. C'était parti, les hostilités venaient d'être lancés, c'était à celui qui allait avoir le dernier mot.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Un silence pesant vaguait dans l’appartement. John était partie travaillé et Milo était allé courir dans les rues de Boston. Une habitude qu’il était facile de prévoir chez les Castellan. Mon regard se perdait sur le mur de ma chambre. Plus d’un mois que j’habitais ici. La vie n’était pas désagréable si on enlevait le faite que j’avais mis entre parenthèse ma liberté pour ces quelques billets. Le temps ne m’avait pas permise de réfléchir. L’état de Stacy s’empirait de jour en jour. J’avais besoin d’argent et John l’avait d’ailleurs bien perçu. J’avais accepté d’une simple poignée de main. Ce contrat pouvait paraître futile mais je voyais là ma simple porte de sortie. John avait besoin d’une fiancé et j’avais besoin d’argent. Nos intérêts étaient tout deux comblés et à partir de sa, je n’avais vu là aucune objection. Ma gorge se noua. Mes pensées était bien trop souvent tourmenté. La légèreté n’avait jamais été vraiment mon truc. Trop habitué au chaos, j’avais appris à gérer comme il se devait les situations de crise. Mon corps se redressa et une grimace s’installa sur mon visage. J’allais pouvoir profiter calmement de ce début de mâtine. Cette solitude me convenait parfaitement. Je n’avais pas besoin d’eux et en réalité je n’avais jamais eu besoin de personne. Pas même de mes parents. Mes jambes étaient lourdes et mes bras endolories. Mes doigts se pressaient contre ma nuque. « Allez... c’est partie pour une nouvelle journée.» Mes yeux étaient encore fermés. Délicatement, je les ouvris avant d’appuyer sur le bouton de la télécommande. Les volés de ma chambre se relevait laissant entrapercevoir les premiers rayons du soleil. Un sourire ravie s’afficha sur mes lèvres. Le calme de ce début de mâtine était plaisant. Aucune parole, aucun soupire, aucun bruit étrange qui sortait de la chambre de milo. Non. La cohabitation n’était jamais très évident avec Milo. D’un naturel agaçant, il passait le plus clair de son temps à jouer avec mes nerfs. Me rendant à la fois instable et étrange aux yeux de tous. Un parfait petit abruti qui avait pourtant le mérite d’être séduisant. Je me levais enfin de mon lit attrapant au passage, la chemise de John. Mes habitudes m’obligeaient à instaurer des règles. Personne ne dormaient dans mon lit pas même John. Mon intimité commençait au porte de cette chambre. C’était les conditions que j’avais négocier avec M. Castellan. Une fiancé pour un peu d’argent et un peu d’intimité. Personne n’avait accès à cette chambre, du moins personne n’y était autorisé à y venir. Je me dirigeais vers la cuisine ou je sortis presque machinalement une casserole et quelques saladier. J’avais envie de me détendre et la cuisine était le meilleure remède à sa. J’adorai mangé comme j’adorai faire du sport. Un équilibre équitable quand on regardait ma vie. Je sortis les ingrédients des placards. Un gâteau au chocolat allait devoir faire l’affaire. Les minutes s’enchainaient avant que je ne vienne mettre un peu de musique. Ces mâtines de solitude me plaisait. J’avais pour une fois l’impression de pouvoir faire ce que j’avais envie et ne rendre de compte à personne. Transporter par ma bonne humeur, je me trémoussais au son de ces notes de musique. Concentrée et amusée par cette situation je n’entendis même pas la porte de l’entrée se refermer. Milo était de retour. L’ignorance était parfois préférable avec lui. Il s’approcha du frigo et en sortis une bouteille d’eau. Mon regard restait étonnement concentrer sur la casserole qui se trouvait devant moi. Une de mes mains agrippaient le manche de ma casserole et l’autre main se contentait de remuer le chocolat fondu. Les bonjours étaient silencieux et cela ne me déplaisait vraiment pas. Je préférais cela à nos incessantes prises de tête. Milo était épuisant et malgré cette bonne humeur, ce silence n’annonçait rien de bon. Je le savais. Une fois finit, j’affichais un sourire satisfait. Surprise, mon corps se redressa immédiatement lorsque son bras plein de sueur se colla à moi. Mon visage se tourna vers lui pour le regarder. Milo avait enfin mon attention. Je me perdais quelques secondes dans son regard. Lui accordant enfin l’attention dont il avait besoin. Mes yeux prirent le risque de descendre le long de son cou avant de me rendre compte qu’il était torse nu. Sa peau était recouverte d’un léger manteau de sueur. Ses muscles ressortaient sans le moindre effort. Milo était parfait et il le savait. Mon visage se tourna immédiatement comme surprise par les pensées malsaines que je venais d’avoir. Il n’avait rien à voir avec John et ne lui ressemblais pas vraiment. Différent l’un de l’autre.Son parfum était énervant. Il titillait mes narines comme il arrivait à titiller mes hormones.« Tu fais quoi ? » un sourire presque espiègle s’afficha sur mes lèvres tandis que je tournais une nouvelle fois mon visage vers l’étudiant. « Sa ne se voit pas.» La main masculine se fraya un chemin jusqu’à la casserole. Il trempa lourdement son doigt avant de l’apporter à sa bouche. Prise de surprise, je me reculais pour me retourner vers lui. Il était sérieux. Mon regard le suivait suspendu à son affront tandis qu'il affichait un sourire satisfait « Dégage Milo ! j'ai pas fini alors vient pas tout ruiner,j'ai besoin du chocolat pour faire gateau » dis-je en soupirant bruyamment. Milo était parfois l’identique portrait d’un gamin de douze ans. Je grimaçais avant de tenir mon affront. Remet encore une fois ton doigt dans la casserole castellan et je frappe avec cette cuillère. Cette idée me fit sourire détendant un peu plus l’atmosphère qui s’était installée. « Mais ferme ta gueule, t’était calme là, pourquoi tu cries comme une hystérique ?» mon sourire s’évapora et mes sourcils se froncèrent. Son langage ne m’avait jamais vraiment plus. Aussi direct que froid, il pouvait la plupart du temps se comporter en parfait petit connard. Je me mis à soupirer une nouvelle fois en me remettant face à ma casserole. « Je ne criais pas ! Et je déteste que quelqu'un mette ces gros doigts dégueux dans ce qui devrait être un magnifique gâteau au chocolat ! » dis-je sur un ton tranchant. Ma cuillère replongea dans la casserole. Essayant de le pousser à partir. L’ignorance pouvait le faire fuire. Il voulait avoir mon attention et je n’étais pas prête à lui donner du moins pas aussi facilement. « Et puis soit dit en passant, tu pues ! c’est horrible, tu me donnes envie de vomir.» Parfait mensonge, même transpirant Milo avait ce dons d’être attirant. Je tournais ma tête avant d’afficher un grand sourire comme pour lui dire. Et 1-0 mon garçon. La musique en bruit de fond, je me laissais une nouvelle fois transporter par ces quelques mélodies. « Arrête de m’emmerder Milo et va te laver sa semblerait être une décision judicieuse» dis-je en grimaçant. Son visage se rapprocha de mon oreille et dans un nouveau geste. Il trempa une nouvelle fois son doigt dans le chocolat. Ma mâchoire se crispa et sans que je ne puisse me contrôle. Je mis ma main dans la casserole pour me retourner brusquement face à lui et lui plaquer ma main pleine de chocolat sur le visage. « Tu disais ?» dis-je en lui barbouillant le visage de chocolat. « Ne vient pas râler tout à l’heure si tu n’as pas eu de dessert !» une fois finit, je me reculais de lui pour admirer le spectacle et la sans pouvoir me retenir d’avantage. Je me mis à rire finalement amusé par la situation. « t'es pas mal comme sa finalement !»
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
En règle générale, Milo ne réfléchissait pas beaucoup avant d'agir. Il se laissait bercer par ses pulsions, aussi primaires soient-elles. Et aujourd'hui, il avait envie de faire chier Charlie, de la taquiner, de la provoquer, de l'insulter mais surtout de la baiser. La pute de John était bonne et il ne s'en cachait pas. Elle était là depuis environ trois mois et avait fait une entrée fracassante dans leurs vies. Débarquée de nulle part, elle jouait le rôle de la fiancée parfaite de son parrain. Tout ceci n'avait aucun sens et pourtant, il la payait bien une fortune pour bénéficier de ses services. Charlie devait faire la pute et accepter qu'il la baise plusieurs fois par semaine. Faire des apparitions en publique faisait également parti du contrat. Un contrat que le Winthrop eut le loisir de lire et d'en faire une copie. Ce manipulateur était entré en douce dans le bureau de John et avait volé le contrat, le temps de le scanner. Milo était comme ça, il ne laissait pas de place au hasard et aimait avoir une longueur d'avance sur tout. Il connaissait tous les termes du contrat et savait pertinemment ce que Charlie avait le droit et l'interdiction de faire. Il avait assouvi, là, une curiosité malsaine et mal placée. Bien sur, il n'allait pas crier sur tous les toits qu'il avait lu ce fameux contrat. Quoiqu'il en soit, l'arrivée de cette putain avait bousculée leurs habitudes. Certes ce n'était pas désagréable de la voir tous les jours. Elle était bonne et particulièrement sexy mais d'un autre côté, les entendre baiser n'était pas une partie de plaisir. Milo détestait ça et se barrait quand la blondinette était " convoquée " dans le bureau de John. Le pire dans cette histoire c'est que le jeune homme était obligé d'habiter là, il ne pouvait pas se prendre un appartement dans Boston. Il n'avait pas d'autres choix que de suivre les directives de son parrain qui financer ces études à Harvard. Le Winthrop lui en était reconnaissant pour tout ce qu'il faisait pour lui et ne pouvait pas vraiment se permettre de le laisser tomber. Et puis, depuis quelques mois, John lui parlait de plus en plus de son entreprise. Il y avait un sens caché à tout ça, peut-être avait-il pour objectif de lui faire reprendre la succession. Quoiqu'il en soit, il ne se posait pas trop de question et pour l'instant, se contentait de réussir sa rentrée dans cette prestigieuse université. Il ne réfléchissais pas non plus puisqu'il avait mit allègrement son doigt dans le chocolat pour venir ensuite le lécher. Le but de tout ça ? Emmerder profondément Charlie. La blondinette venait de réagir au quart de tour, pour son plus grand bonheur. Il l'avait fait exprès pour la provoquer et la faire sortir de ses gonds. C'était tellement facile de la faire rager. « Un magnifique gâteau, laisse moi rire, t'es une burne en cuisine. » lança-t-il par pu esprit de contradiction. Il éclata de rire lorsqu'elle vint dire qu'il puait de son footing. « Depuis quand un mec bourré de testostérone ne te fais pas effet hein ? C'est ton boulot meuf. » répliqua-t-il du tac au tac. Milo ne voulait pas en rester là, il voulait vraiment la provoquer. Il s'avança toujours un peu plus de Charlie et plongea de nouveau son doigts dans le chocolat. Il lécha allègrement son doigt en commentant sa prestation par des humm très convaincants. « Bordel c'est bon. » dit-il d'un air subtil. Il se recula lorsqu'elle vint lui aplatir sa main pleine de chocolat sur le visage. Machinalement, il leva les avants bras pour se couvrir le visage, la boxe avait fait de lui un être sur la défensive. « Je disais : salope, touche pas mon visage ! » répliqua-t-il en essuyant sa joue à l'aide du dos de sa main. Et comme un gosse, il essuya sa main sur le bras de Charlie. « J'en veux pas de ton gâteau, j'tiens à ma vie merci. » dit-il avant de reculer d'un nouveau pas et de venir prendre appui sur le plan de travail. Il plissa les yeux en la regardant faire. Elle semblait amusée par la situation. Milo ne pu s'empêcher de rigoler discrètement. Il s'avança vers elle et essaya tant bien que mal de replonger une nouvelle fois son doigt dans le chocolat. Charlie essayait de l'en empêcher sauf qu'elle ne remarqua pas sa main gauche qui vint se saisir d'un oeuf. Contre toutes attentes, il leva le bras et vint lui éclater l'oeuf sur la tête. Le liquide visqueux dégoulina le long de sa chevelure. Charlie se tourna vers lui et prête à riposter, il se colla à elle afin d'anticiper tout mouvement déplacés. « Et tu fais quoi là hein ? » dit-il juste avant de se saisir d'un nouvel oeuf. Il l'éclata de nouveau sur sa tête avant d'exploser de rire. Il avança son visage près du sien. « J'suis pas le seul à avoir besoin d'une douche, poisseuse va. » lança-t-il avant d'exploser de rire. Elle avait l'air ridicule avec ses oeufs sur la tête.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

« Un magnifique gâteau, laisse moi rire, t’es une burne en cuisine.» en véritable connard, Milo ne dérogeait pas à ces bonnes vieilles habitudes. L’insolance et la taquinerie le définissaient plutôt bien. A défaut d’être apprécier de tout le monde, il était facile de le détester. Ces mauvais côtés ressortaient toujours un peu plus. Et en réalité, me ressemblait étrangement. Mes yeux se plissèrent et mon regard se tourna frugalement. « Le problème avec toi Milo...» dis-je en me stoppant comme pour le faire patienté. « C’est que tu vois des burnes partout.» un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres. Il voulait m’énervée, m’agacée. Je le ressentais et son comportement le trahissait à des kilomètres. Je continuais à mélanger le chocolat tandis qu’il continuait à fondre. On pouvait d’ailleurs voir le liquide devenir moins opaque. « Depuis quand un mec bourré de testostérone ne te fais pas d’effet hein ? C’est ton boulot meuf.» ma machoire se crispa et mon regard resta concentrer sur ma cuisine. En réalité, j’avais envie de lui balancer ma casserole de chocolat dans la gueule. C’était énervant même si j’essayais de retenir mes mauvaises pulsions. Milo savait ou appuyé et mes activités semblaient le rendre fou. « depuis que tu as ouvert la bouche Milo.» dis-je en tournant une seconde fois mon visage avec le sourire le plus faux du monde. Prend toi sa dans les dents Milo. Notre relation était aussi étrange qu’intriguante. Du moins c’était le terrible ressenti que j’avais quand j’y pensais. Partager entre la haine et le plaisir de pouvoir partager quelques moment, j’étais parfois ravie de vivre avec lui. Rester confiner avec John comme seul colocataire, ne me plaisait pas. Cette relation avec le parrain Castellan était aussi malsaine que le contrat que j’avais signé dans l’arrière de cette voiture. Elle ne m’avait jamais plus et n’allait sans doute jamais me plaire. Milo était d’ailleurs le seul à avoir été mis dans la confidence. Il avait été là à mon arrivé et depuis notre cohabitation se déroulait d’une drôle de façon. Un va et vient incessant qui ne nous permettait même pas de mettre une étiquette sur notre relation. Il s’avança une nouvelle fois et plongea de nouveau son doigt dans le liquide chocolaté. Mon corps se tourna et un soupire d’exaspération s’échappa d’entre mes lèvres. Mon regard s’attarda sur son doigt qu’il prit soin de sucer lentement. Ces soupires s’etouffaient dans sa bouche tandis qu’il savourait la saveur de ce fruit aphrodisiaque. « Bordel c’est bon.» instinctivement, ma main se plaqua contre son visage. Essayant le chocolat sur son visage. Amusé par le tableau que j’avais devant les yeux, je me mis à rire de bon coeur. Imprimant cette image dans mon cerveau. Milo recouvert de chocolat n’était une situation si désagréable et cela me permettait de lui fermer sa jolie bouche de Winthrop. Il se recula Les bras levées, il se cacha le visage et m’empécha de continuer à le barbouiller. « Je disais : Salope, touche pas mon visage !» et subtilement j’apportais un de mes doigts à mes lèvres le mordillant avec sensualité. Milo n’allait pas être le seul à jouer. Il voulait jouer et bien jouons Castellan. Le contredire ne servait à rien. Buté, ces préjugés étaient aussi claire que de l’eau source. Tellement loin de la réalité, je m’en moquais discrètement et finis par lui dire : « Va te faire joliment foutre !» Mon corps se tourna vers mes casseroles. Travaillons travaillons même si je n’y croyais pas vraiment. Milo bafouilla une nouvelle phrase que je n’avais même pas entendu. Peu convaincu, je me canalisais pour pouvoir reprendre tranquillement mes activités. M’arrêter sur cette victoire était exactement ce que je voulais. Alors que je ne lui prêtais plus attention, il s’approcha une nouvelle fois et ma main vient rapidement recouvrir le dessus de la casserole avant de sentir quelque chose de dur s’éclater sur le sommet de mon crane. Ma bouche s’ouvrit, surprise par son geste. Mon visage se tourna vers l’étudiant avant de d’afficher une grimace tandis que l’oeuf dégoulinait dans mes cheveux. Degueulasse. Heureusement pour moi, l’oeuf n’était pas périmé. Prête à répondre à son attaque, il se colla à moi m’empêchant de rétorquer comme je le voulais. « je m’apprête à te faire la peau Castellan !» dis-je entre ma mâchoire serrer. Il attrapa un nouveau oeuf et l’éclata une seconde fois sur mon crane. « J’suis pas le seul à avoir besoin d’une douche poisseuse va.» son rire raisonnait dans la cuisine tandis que son regard m’examinait. Le liquide vicieux dégoulinait partout sur le côté de mon visage venant se tacher sur la chemise propre de John. Il allait me tuer, c’était inévitable. J’entendais déjà sa voix grave râler dans les quatre coins de l’appartement. Mes yeux se plissèrent et je lui fis : « Tu vas mourir Milo Castellan.» dis-je tout naturellement avant d’approcher sensuellement mes mains au bouton de la chemise. Hors de question de la salir d’avantage, les dégâts étaient déjà bien assez important. Je me reculais légèrement comme pour indiquer que le jeu allait enfin pouvoir commencer. Mon regard fixait avec intensité celui de l’étudiant tandis que la chemise s’ouvrait délicatement offrant une vue bien plus prononcer sur le reste de mon corps. Mon soutien gorge se dessinait petit à petit sous le vêtement. Je prenais mon temps avant de laisser tomber la chemise à mes pieds. « Tu ne peux pas t’empêcher de m’emmerder, c’est sa hein ?!» dis-je en hochant la tête. Mon corps se rapprocha un peu de lui, instaurant une maigre distance entre nous. Son regard restait suspendu sur mes seins fraîchement découvert. « Tu sais mes yeux se trouvent ici milo !» dis-je en pointant mes yeux des doigts pour l’inciter à relever son regard. Je me plaçais devant lui alors qu’il était revenu s’appuyer contre le plan de travail. « Tu cherches quoi en faite un ? me faire quitter l’appartement ?» dis-je en m’approchant encore un peu pour pouvoir lui susurrer ces dernières paroles dans l’oreille. « Sa n’arrivera jamais ! Met toi sa dans la tête !» mon ton était doux et sec à la fois, un mélange subtile qui donnait à ma voix un côté sauvage. Alors que mon corps le tenait en haleine. Ma main se saisissait de la poignée de la casserole. Le chocolat devait être chaud et pour tout vous dires, je m’en contrefichais. Rapidement et maladroite, je déversais le contenu sur le haut de sa tête comme il venait de faire. Déversant une bonne partie du chocolat du l’étudiant. « HUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUM» je me mis à rire tandis que l’étudiant essayait de prendre la casserole. « Même pas en rêve ! tu touches pas.» Nos mains se bagaraient en hauteur, rapprochant sans le vouloir nos deux visages. « T’es un vrai connard !» dis-je avec un petit sourire sur les lèvres. Ce moment était aussi drôle que fou. John pouvait arriver à tout moment dans l’appartement. Une sonnerie de téléphone nous immobilisa instantanément. C’était peut être stacy ou même l’hôital et mon sourire se dissipa aussitôt. Toujours en alerte, je répondais à chacun de mes appels. Mon regard se baissa et mes mains restaient en l’air. Je ne voyais pas d’ici dans un petit moment de faiblesse je fis à Milo. « Tu peux me dire c’est qui s’il te plait ?» dis-je sérieusement comme si la partie de jeux venait d’être mise sur pause. La crainte de la mauvaise nouvelle. J’espérais pouvoir reprendre la ou nous en étions et l’étudiant était le seul à pouvoir me répondre.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)