GINEVRA SIEHERA OLIVEIRA ► Magdalena Zalejska

L'enfance


" Quelle étrange machine que l'être humain, un assemblage de réglages, de cadrans et de signaux dont nous ne pouvons déchiffrer qu'une petite partie. Et encore sans doute, de façon très imprécise."



Le 31 Octobre, la nuit de l’horreur, Halloween, Paolo et Célestina Oliveira donnent naissance à une petite fille qu'ils décidèrent de prénommer Ginevra Siehera, il faut dire qu'elle fut toute suite adorer par la petite famille, malgré son nom du moins original ?  Son frère ainé a toujours été protecteur un peu trop même mais cela était une force pour elle. Gin vivra une enfance heureuse, un peu laxiste puisque ses parents la laisseront faire un peu ce qu’elle veut, elle pourra ne sortir jusqu’à pas d’heure a un certain âge alors que les autres enfants de son âge eux seront en train de dormir à cette heure-là. Autant dire qu’elle a beaucoup de chance d’avoir des parents comme cela, qui prête un peu moins attention à elle que d’autres parents mais Ginevra n’aura jamais à se plaindre. C’est plutôt ses parents qui se sont plaint pourquoi ? Imaginer que vous vivez dans un petit cocon calme jusqu’à ce que vous ayez une petite fille qui arrive, comme tout le monde elle grandit mais la différence qu’elle a c’est qu’elle, elle ne tient pas en place, elle passe son temps à courir, à sauter partout à rigoler fort etc. autant dire que le cocon calme il a vite disparu après la naissance de Ginevra alors les parents ont eu de quoi se plaindre. Malgré leur nombreuse tentative de la calmer en l’inscrivant a des activités sportives comme la danse, bref certes elle se défoulait bien et elle est devenu assez sportive mais ça ne là jamais calmer. La seule chose qui arrive à la calmer c’est la peinture mais sa elle l’a découverte toute seule et elle le pratique assez souvent c’est une passion et elle peint tout et n’importe quoi mais ceci reste très jolie. Depuis à 10 ans un drame survenu, elle fut témoin d'un meurtre et le commanditaire lui mit l'arme dans la main. La police arriva et la menotter. Ginevra a crié qu'elle n'était pas coupable, cependant personne ne l'a cru à part ses parents. Elle a été jugée coupable et contrainte de passé cinq ans dans un asile.



L'adolescence


" À mon avis, lorsque l'on est confronté à des choix que ce soit en acte ou en pensée, gardons à l'esprit que nous sommes mortels. Et tâchons de vivre de manière à ce que personne n'ait à se réjouir de notre mort. "


Gin a passé cinq ans de son adolescence dans l'asile, il faut dire que la jeune femme a beaucoup dessiné c'est la seule chose qui l'a fait tenir mais elle était en manque d'amour de la part de ses parents ça c'est sûr. La vie à l'asile était une partie de plaisir, la preuve on regardait si elle prenait ses médicaments, il faut dire que la demoiselle les prenait et après elle se faisaient vomir car elle ne voulait devenir aussi folle que les gens qui étaient là. Puis elle rencontra un jeune homme avec qui elle eut une relation, il s'agissait d'un des nombreux infirmiers. Ils étaient heureux jusqu'au jour où la jeune femme tomba enceinte de lui. Elle désirait tellement ce bébé avec lui, mais après lui avoir annoncer la nouvelle le jeune homme lui dit qu'il devait partir aux États-Unis rejoindre sa fiancée. Ginevra décida de se faire avorter, elle demanda à un des médecins de l'asile de pratiquer l'avortement. Cela fut un déchirement pour elle car elle avait à peine 15 ans. Mais la jeune femme a réussi à se défaire de sa dépendance au jeune homme car elle s'est prolonger dans sa première passion qui est la peinture. La jeune femme a aussi à commencer à prendre des cours par correspondance afin d'avoir au moins un diplôme car elle ne savait pas comment elle allait finir dans cet asile où elle n'avait pas sa place selon elle.
Vers la fin de ses 15 ans, elle put sortir de son asile, c’est alors qu’elle apprit que son grand frère avait été tué dans une bataille deux ans plus tôt et elle a été que mise au courant à sa sortie ! Elle péta les plombs de nouveau, mais dans sa nouvelle descente en enfer, c’est son corps qui en fut meurtri. Elle se mutila, tomba dans l’anorexie, ne mangeant plus. Elle se détestait. Elle voulait tant revoir son frère…  Pour protéger les apparences, la famille déménagea aux États-Unis. Pas une école qu’elle a fréquentée n’a pas tremblé de peur. Crise d’adolescence ? Elle fut renvoyée de six écoles en claquant des doigts, vol, harcèlement, draguer ses profs, violence, absences répétées… Tout pour avoir un minimum d’attention. Elle réussit malgré tout à obtenir un diplôme avec des notes moyennes. Elle n’a jamais aimé l’école.



Aujourd'hui


" Pour rester soit même dans un monde qui s'évertue jour et nuit à vous rendre comme n'importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu'un humain puisse livrer et cette bataille n'a pas de fin."


Quand la jeune femme eut ses 18 ans, la jeune femme devenue encore plus belle, mais elle manquait d'affection parentale, elle se retourna donc vers les hommes, plus vieux qu’elle. Mais elle savait que ses parents allaient tout faire pour qu'elle ne fasse plus de conneries. Ils décidèrent de couper ses sorties, la privée de vie sociale, elle passait son temps à dessiner ou peindre, elle faisait des portraits de toutes les personnes qu'elle aimait. Gin était assez mal car elle n'avait plus la notion du temps car elle était comme coupé du monde, elle était une demoiselle comme si sa vie était en mode pause. Elle ne se souvenait plus du visage de ses amis et ni de son frère et de sa meilleure amie. Elle dut faire un pacte avec ses parents, elle entrerait à l’université en médecine et arrêterait de faire ses conneries et elle serait un peu plus libre… Elle accepta à contre cœur, elle avait besoin de se sentir libre, vivante… Mais elle leur cacha qu’elle avait appliqué pour les arts plastiques et non médecine comme elle avait leur avait dit.  La voilà donc depuis 3 ans maintenant à Harvard, la célèbre université, elle avait réussi son admission grâce à son portfolio. Depuis, elle s’est écarté de sa famille et a replongé dans ses vieux vices… profiter de la vie à fond !