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cap ou pas cap pv NOAH :D

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Mes mauvaises habitudes reprenaient ses droits. Dormir aurait été une décision plus judicieuse en voyant la journée qui m’attendait mais je n’avais pas envie. Oublier était de loins ce qui m’importait le plus. La soirée de la veille avec Adam ne s’était pas bien passée et hantait mon esprit. Je n’avais pas dormis, préoccupée et vexée. J’avais nourris contre moi ce sentiment désagréable d’hostilité. Je ne voulais pas lui parler. J’avais juste envie d’échapper le temps d’une soirée à ma relation qui me reliait à Adam. J’étais donc partie à cette soirée d’étudiant. Un joint entre les mains, j’apportais le poisson entre mes lèvres avant de relâcher la fumé dans l’air frais. La musique vaguait dans l’espace tandis que mon attention se portait sur l’unique drogue que j’avais entre les mains. Cette merde était devenue mon quotidien. Heureuse de constater que je n’étais pas la seule à mal commencer l’année scolaire. Je m’installais au bords de la piscine. Mes pieds baignaient dans l’eau fraîche de la piscine tandis que les étudiants allaient et venaient sans me prêter la moindre attention. Une présence attira mon attention avant de sentir des doigts s’emparer de mon joint. Mes sourcils se froncèrent et mon visage se leva en l’air pour pouvoir apercevoir son visage. « Noah ! Rend moi sa tout de suite !» dis-je en fronçant les sourcils. Fumé ne lui ressemblait pas. Non, il était le genre de mec à jeter mon joint dans l’eau ou à le piétiner nerveusement. Je me laissais glisser sur le côté pour pouvoir me lever et me mettre à sa hauteur. Mes yeux se plissèrent et je lui fis : « Cap de finir ce joint ?» un sourire diabolique s’afficha sur mes lèvres avant de finalement dire. « Allez rend moi sa fillette !»

Copyright Clochette
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T'essaye de me faire du mal ? Sois pas ridicule, t'en n'es même pas cap.



Quand on s’ennui, quand l’amour de votre vie vous manque, quand le temps vous parait affreusement long si bien que les jours ressemblent aux nuits et les nuits au jours, alors vous comblez vos heures de futilités. D’une dévotion inconditionnelle à la campagne présidentielle de vos amis, à l’honneur de votre maison. D’un sadisme tout aussi aiguisé pour détruire tout ce qui vous déplait, à commencer par les Mather. D’une perversité sans borne qui vous pousse à coucher avec plus de prostituées qu’en ont vue passer les trottoirs de Boston. Ouai, c’est moche un mec amoureux qui sait plus où donner son cœur. C’est laid un mec complètement soumis à ses émotions et qui n’attend comme seule force de rémission que le retour de sa bombe. Sage me manque, tous les jours elle me manque. La vie est différente sans elle, je ne m’en étais jamais rendu compte. Elle est plus fade, moins belle. Elle a beau endossée le costume imparfait de tous ceux que je déteste, je ne peux pas l’empêcher. Tout en moi m’hurle que c’est elle, et tout en moi me supplie de crever. Pour qu’enfin ça s’arrête, qu’enfin je retrouve ma liberté, que j’arrête de stagner ou de piétiner comme un sagouin à la recherche de son regard. Ce soir j’avais décidé de combler le vide avec cette soirée. Je ne suis pas le genre de type qui se mélange à la foule, mais mieux valait se sentir inconfortable en société, qu’agoniser seul dans son lit. Et j’aperçois au bord de la piscine Billie, je reconnais sa nuque, je reconnais son dos. L’épaisse fumée qui se dégage d’elle me fait arquer un sourcil et sans crier gare, je me pointe derrière elle choppant la merde qui lui sert d’échappatoire du bout des doigts : « Tu te fous de ma gueule ? ». Je la regarde me narguer, cap de finir ce joint ? Elle plaisante j’espère. Même si je suis un joueur invétéré, il y a des choses que je ne ferais jamais. Comme aller à l’encontre de mes convictions et de mes valeurs : « Rêve », dis-je simplement en balançant d’une pichenette le pétard à l’eau. Je m’attends aux remontrances, je m’attends à ce qu’elle rétorque : « Tu te souviens encore à quelle maison tu appartiens … Fillette ? », dur et froid, sévère comme un grand frère devant sa sotte de sœur.
 

© charney for ilh
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Mon joint m’échappa et mon attention se reporta sur l’étudiant. Mes sourcils étaient froncés, vacillant de son visage au joint qu’il avait entre les doigts. Le connard. « Tu te fous de ma gueule ?» son ton était froid mais bizarrement très détendu. Un sourire narquois s’afficha sur mes lèvres. Fumer pour gagner. C’était un pari honorable du moins sa m’en avait tout l’air. « Rêve.» une petite grimace s’afficha que mes lèvres avant de finalement afficher un grand sourire. Tellement prévisible ce Noah que je n’avais même pas eu besoin d’attendre sa réponse. Le vice ne le définissait pas et je le savais bien. Rapidement, les doigts de l’étudiant se rejoignirent et firent voler le joint dans l’air frais de Boston. Le poisson s’écrasa lourdement dans l’eau de la piscine. Il était sérieux. Mes sourcils se froncèrent après quelques secondes comprenant bien l’issue que venait de donner Noah à mon joint. « Tu te prend pour qui ?! T’aurais juste pu me le rendre !» dis-je sur un ton légèrement agressif avant qu’il ne vienne rajouter d’un air froid et dur. « Tu te souviens encore à quelle maison tu appartiens... Fillette ?» mes sourcils se froncèrent un peu plus. Il était sérieux ? Mon corps se rapprocha de l’étudiant et mon regard soutenait durement le sien. « Oh épargne moi ce cinéma d’accord. Je fais ce que je veux, confrérie ou pas.» dis-je en le poussant légèrement comme pour le pousser dans ces retranchements. Mes mains le repoussaient et ma colère, elle ne se dissipait pas. J’avais envie de le frapper, de le pourrir sur place pour ce qu’il avait fait. « Si j’ai envie de fumer, je fumerai. Tu baises et tu bois bien alors m’emmerde pas !» dis-je en me stoppant net analysant son visage. Il semblait tout aussi froid et solitaire que moi. « quoi ?!»

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Je ne me complais pas de vices vils et stupides, aussi fragiles et inintéressants que sont la drogue et les substances illicites. J’ai grandis à Amsterdam, là-bas, tout le monde fume de l’herbe, avec son café, avec son croissant, avec son dîner. Mais, pas nous. Pas les gens de haut rang, c’est justement ce qui nous distingue des autres. Notre sang froid, notre ténacité, et la façon qu’on a de ne jamais se goinfrer d’illusions juste pour se soulager. J’avoue en avoir transporté une ou deux fois en rallye, quand j’étais adolescent. Comme tous les jeunes, on était con, on cherchait quelque chose de stimulant, enfreindre les règles. Mais jamais de ma vie je ne pourrais poser mes lèvres sur cette merde, c’est un truc de faible, de minable, de miséreux, un truc de mec de rue, d’énergumène finit à la pisse et je ne supporte pas voire Billie ou quelqu’un de la confrérie en user : « Te le rendre et cautionner la merde que tu te fourres dans les poumons ? Non, sans façon ». Ferme et froid. Et la sotte venait me défier en me fixant droit dans les yeux : « Si tu deviens Student, tu pourras faire ce que tu veux. Tant que tu fais partie de l’Eliot, que tu le veuille ou pas, ton image a une répercussion sur l’image même de la maison. Et j’commence à en avoir assez des gens qui ne respectent pas les règles et qui nous tourne au ridicule. Alors si tu te crois aussi maligne que ça Billie », un pas de plus, mon visage à quelques millimètres du sien, plus provoquant que jamais : « Cap de jeter le petit pochon que tu caches dans ton sous-vêtements, ici et maintenant ? ». Elle ne le fera pas, bien sûre que non. Trop faible. Et elle essaye de pousser, et je me mets à sourire narquois parce que je sais que je l’ai agacé : « T’es idiote ou tu le fais exprès ? », dis-je en attrapant ses poignets pour qu’elle arrête de me pousser me figeant aussi net : « La drogue est interdite, INTERDITE tu comprends ? Ne m’oblige pas à te dénoncer Billie. Si c’est le danger, le frisson et l’adrénaline que tu cherches, je vais t’en donner. Et je n’ai pas besoin de ces merdes pour le stimuler. ».

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« Te le rendre et cautionner la merde que tu te fourres dans les poumons ? Non, sans façon.» Noah ressemblait étrangement à Sabian. Et ces paroles auraient pu être reprise très facilement par mon frangin. Des donneurs de leçon. Pourtant, leurs vies n’étaient pas un modèle d’exemple. Mes sourcils étaient fronçés et mon regard dur. Je m’apprêtais à lui répondre mais l’eliot poursuivit. « Si tu deviens Student, tu pourras faire ce que tu veux. Tant que tu fais partie de l’Eliot, que tu le veuilles ou pas, ton image à une répercussion sur l’image même de la maison. Et j’commence à en avoir assez des gens qui ne respectent pas les règles et qui nous tourne au ridicule. Alors si tu te crois aussi maligne que ça Billie.» son ton était tranchant et toute cette discutions ne me plaisait pas. Bordel qu’il pouvait être agaçant. Renfermer dans ses principes à la con, je n’aimais pas la morale qu’il était en train de me faire. Il s’approcha de moi suspendant son visage au dessus du mien. Ma tête s’était légèrement relever pour pouvoir le fixer du regard. Noah était bien plus grand que moi. A cotée je paraissais petite et ridicule. « Tu m’emmerdes !» dis-je faiblement tout en gardant le contrôle. Son regard était dur et froid. Son visage ne vacillait pas. Non il me provoquait. « Cap de jeter le petit pochon que tu caches dans ton sous-vêtements, ici et maintenant ?» Il plaisantait ? mon regard cherche là, une excuse, une blague ? il était vraiment sérieux ?. Ma main se plaqua fermement contre son torse pour le faire reculer, profitant par la même occasion pour le frapper. Il était agaçant. « T’es idiotes ou tu le fais exprès ?» d’un geste rapide et parfaitement contrôler. Les doigts de Noah s’enroulaient autour de mes poignets. Il me stabilisa et m’obligea à m’arrêter avant de me cracher de nouvelle insanité. Ma mâchoire se crispa et mes yeux se plissèrent. Relever sur la pointe des pieds. « Je prends le pari ! Et tu sais quoi ? sa ne sera pas la seule chose à aller dans l’eau !» dis-je en prenant ces poignets et en m’avançant dans la piscine. L’entrainant avec moi dans la piscine. Il voulait jouer ? et bien le jeu était de nouveau lancé. Mon visage remonta à la surface suivit de près par l’étudiant. Mon regard chercha celui de l’étudiant et je me mis à rire. « Franchement, les cheveux mouillés c’est pas terrible ! Tu perds de ton charme Noah !» je me mis à nager en sa direction et lui fis : « je t’écoute... qu’as-tu de si stimulant à me proposer ?»

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Je connais bien les filles comme Billie. Le genre rebelle, un peu à l’étroit dans les règles qui régissent notre monde et qui cherche sans arrêt à les contredire. C’est d’ailleurs ce qui m’a plu chez elle. Le fait qu’elle ne se laisse pas faire, qu’elle est foutrement indépendante, et qu’elle ne laisse jamais qui que ce soit lui dicter sa conduite. Seulement voilà, je méprise la drogue et les drogués. Je suis amoureux de l’Eliot et son image est aussi importante pour moi que la mienne propre. Et puis, en fond de ligne, j’apprécie Billie, je l’apprécie vraiment, et ça me fait grandement chier de la voir se détruire comme ça. Elle est forte, c’est ce que je voudrais lui dire. Qu’elle n’a pas besoin de se berner d’illusion pour supporter sa vie. Cette échappatoire ce n’est rien, elle n’a pas besoin de ça, et si c’est du danger qu’elle cherche, alors j’vais lui en donner. Mais j’suis pas le genre de type mieilleux et bien à l’aise dans l’expression de sentiment. Le seul moyen jusque là que j’ai trouvé pour la contrôler, c’est de la défier. Et j’crois qu’elle comme moi, on se complet dans ce jeu, c’est notre manière à nous de nous évader. Comment ça, ça ne sera pas la seule chose à finir à l’eau ? J’arque un sourcil, mais n’ait pas le temps d’esquisser le moindre mot. Elle me tire avec elle, et comme elle se laisse tomber de tout son poids dans la piscine, naturellement, je sombre avec elle. Quelques battement et je reviens à la surface plus énervé que jamais : « Bordel, mon costume ! ». Ouai, ultra superficiel le mec. Et plus elle se moque de moi, plus je durcis le regard : « Ha. Ha. Très marrant. », dis-je en m’éloignant vers le bord, fouillant mes poches pour en sortir mes effets : « Tu fais chier, j’venais d’en racheter un », dis-je en constatant que mon téléphone était mort. Je le pose sur le rebord et sort mon paquet de clope trempé, roulant des yeux au ciel : « Tu. Me fais. Vraiment. Chier. Billie-Aly White ». De toute évidence, je ne pouvais rien changer à ça. Je retirais la veste de mon costume comme elle s’alourdissait et la posait sur le rebord avant de me tourner vers elle : « Pour commencer, tu vas retourner à l’intérieur, draguer le premier abruti qui passe, tu l’emmène dans les toilettes, tu te débrouille pour le déshabiller, et tu me ramène une chemise et un pantalon secs ».

© charney for ilh
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